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    Les secrets de "Paris 16ème" !

    Alexandra Kazan, Alexandra Naoum et leurs partenaires lèvent le voile sur les dessous de "Paris 16ème". Au coeur d'une aventure intense, pleine de surprises et de rebondissements...

    Comment êtes-vous arrivée sur ce projet ?

    J'ai passé un casting en février 2007. Nous avons fait un pilote en juillet de la même année. Et le tournage de la 1ère saison débutait en juin 2008 pour 6 mois non-stop.

    Parlez-nous de Lorène ?

    Elle a 22 ans et vient de Dijon. Ça commence mal pour elle, elle perd ses parents dans un accident de voiture. Sa mère est enterrée à Paris, et c'est là qu'elle fait la connaissance de Catherine Cipriani, une ancienne amie de sa maman. A la suite d'un malaise, elle passe finalement la nuit sur Paris et est hébergée chez les Cipriani. Son oncle, interprété par Richard Gotainer, lui apprend un terrible secret : que son père n'est pas son père ! Elle se rend compte que son vrai père vit sûrement sur Paris, que sa mère y était 20 ans plus tôt. Elle décide donc de rester dans la capitale pour le trouver. Comme il s'avère qu'il vient du 16ème arrondissement. Elle va y rester pour découvrir le secret de ses origines.

    L'élite parisienne, est-ce un mileu que vous connaissiez ?

    Je me suis déjà retrouvée dans des soirées dans le 16ème mais je m'y sentais pas à ma place. Lorène, elle, est restée parce qu'elle avait à y faire. Elle réussit même à s'y intégrer. Moi je n'en serais pas capable. Ce que j'aime chez elle, c'est qu'elle a du caractère. J'étais contente que Lorène ne soit pas la gentille qui débarque de sa province. Tout n'est pas blanc ou noir. Elle n'est pas méchante, mais elle n'est pas niaise non plus.

    Quel était le défi à relever sur "Paris 16ème" ?

    Paris 16ème est un soap avec des contraintes budgétaires et de temps. Le défi était de rester cohérent, de ne pas tomber dans le cliché. Nous avons essayé de rester vigilant tout du long. C'est pour ça que c'était bien d'être en contact avec les auteurs, de pouvoir discuter, de ne pas suivre le texte mot pour mot. Quelques fois, en tant que comédien, il y a des choses qui nous tiennent à coeur, qui nous paraissent très importantes. Et ils étaient toujours ouverts à la discussion.

    Dans un feuilleton de ce genre, il y a beaucoup de monde...

    Oui, il nous a fallu du temps pour nous y habituer. On a commencé à faire les cinq premiers épisodes avec Renaud Bertrand. Ensuite les autres réalisateurs ont pris le relais. Et au fur et à mesure que les réalisateurs arrivaient, les équipes changeaient. Nous étions sur deux équipes tout le temps, que ce soit en studio ou en extérieur. Deux plateaux, deux réalisateurs, deux fois deux caméras et tout ce qui va derrière. Au début, on voyait tous les jours des gens nouveaux arriver et on se demandait qui était qui, c'était horrible. Puis au bout d'un moment, tout le monde se connaissait et c'était bien plus agréable.

    Un tournage intense donc ?

    Oui, mais ce n'était pas nouveau pour moi. J'avais déjà vécu ça sur une autre série, Nos années pension. Nous tournions 25 minutes utiles par jour, soit 26 épisodes en 6 semaines. Et là on était à 9 minutes par jour. Au début, je me suis dit c'est les vacances (rires), mais le véritable défi était de tenir sur la durée.

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