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    12 séries phares de 2014 à rattraper pendant l'hiver

    Fargo, The Knick, The Affair, The Flash... elles ont démarré cette année et vous les avez peut-être manquées. Il n'est pas trop tard pour les rattraper, surtout en cette période où la plupart de vos séries préférées sont parties en pause pour l'hiver

    The Flash

    The CW

    Synopsis : Jeune expert de la police scientifique de Central City, Barry Allen se retrouve doté d'une vitesse extraordinaire après avoir été frappé par la foudre. Sous le costume de Flash, il utilise ses nouveaux pouvoirs pour combattre le crime.

    5 bonnes raisons de la rattraper...

    • Une identité propre : The Flash n'est en effet pas un copié-collé en rouge d'Arrow, dont il est le spin-off. Malgré quelques moments de noirceur, lorsque Barry fait le (parfois douloureux) apprentissage de ses pouvoirs et de sa condition de héros, le show se démarque de son modèle en étant plus fantastique (on y traque du méta-humain) et plus léger, grâce à l'humour et à la gentille arrogance de son personnage. Sur le plan du ton, The Flash s'avère ainsi complémentaire d'Arrow, comme l'a prouvé le très réussi cross-over en deux parties, au sein duquel chaque super-héros apporte beaucoup à l'autre.
    • Grant Gustin : un ex-acteur de Glee en Barry Allen ? Dire que la nouvelle n'avait pas vraiment suscité l'enthousiasme relève de l'euphémisme. Affirmer que tout le monde a été agréablement surpris, lorsqu'il est apparu dans la saison 2 d'Arrow, aussi. L'acteur est en effet impeccable dans la tenue de l'homme le plus rapide du monde, qu'il joue la candeur, la peur ou devienne dangereux.
    • Des seconds rôles intéressants : à l'instar d'Arrow, dont il reprend également le rythme soutenu et la structure des épisodes, The Flash nous présente une galerie de seconds rôles dont l'utilité va en grandissant. Qu'il s'agisse du duo Cisco-Caitlin, qui avait pourtant de grandes chances d'être caricatural, d'un Eddie un peu falôt au début mais qui gagne en épaisseur depuis quelques semaines. Sans oublier Joe et le mystérieux Harrison Wells, dont les scénaristes dévoilent les secrets au compte-goutte. Et puisqu'on parle de ça...
    • L'art du teasing : côté cliffhanger, The Flash se porte très bien, merci pour lui. Chaque épisode se termine en effet sur une scène bonus, très souvent centrée sur Wells (celle du pilote vaut, à ce titre, son pesant d'or) ou des super-méchants à venir. De quoi donner un peu plus envie de revenir, semaine après semaine, vers cette série enthousiasmante à défaut d'être celle de l'année (autant être honnêtes).
    • Instant nostalgie : outre les retrouvailles des deux frères de Prison Break, Wentworth Miller et Dominic Purcell, la série nous offre deux Flash pour le prix d'un. C'est en effet John Wesley Shipp, héros du show des années 90, qui incarne le père de Barry, tandis qu'Amanda Pays doit apparaître dans le final de mi-saison en reprenant son rôle de Tina McGee. Pour quelqu'un dont la série a marqué l'enfance, malgré son unique saison, c'est un bonus non-négligeable.

    Maximilien Pierrette

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