Avis : L'An 1 : des débuts difficiles - Page 2

Une comédie grasse qui parvient à être un peu drôle sans être mémorable.

Les quelques bonnes répliques sur les us/coutumes et religion rende l’ensemble moyennement divertissant.

Jack Black est toujours aussi mauvais.
Il fait partie de ces comédiens qui ruinent un film par leur simple présence.
Enfin, il faut être honnête, avec ou sans Jack Black, ce film est mauvais, très mauvais.

Un peu cucu mais asser marrant, très bon acteur.....mais sans plus

Un film qui n'arrive qu'en de très rares occasions à nous arracher de légers sourires.
Décevant.

L'An 1, quand tout a commencè! A une èpoque biblique, en pleine quête de sens! Ajoutez y le duo comique Jack Black / Michael Cera, un dècor ancien et vous comprendrez que ces dèbuts soient aussi difficiles! Ce n'est pas ce qu'a fait de mieux Harold Ramis! Quelques gags surnagent dans cette comèdie pipi-caca qui n'èvite pas la lourdeur! Le point bas de l'histoire, c'est quand Zed et Oh atteignent le nadir èmotionnel! C'est le point le plus bas du film pour le duo spoiler: surtout pour ce pauvre Oh qui se pisse dessus!
Ne se souciant jamais de lui-même, Black pousse le bouchon très loin quand il le faut tandis que Cera, deux de tension cet acteur, n'est jamais dedans! Du coup leur tandem ne fonctionne qu'à moitiè! Reste deux actrices sublimes pour les yeux : June Diane Raphael & Juno Temple, un physique à rèveiller un mort! La suggestion ètant bien plus excitante quand Juno vous astique comme personne une lance pour la chasse! Deux lances qui plus est...

Typiquement le genre de comédie américaine bien lourde qui fatigue rapidement. Jack Black et ses copains cabotinent sans relâche en assénant les traits d’humour scabreux et quasiment tous sous la ceinture en agrémentant le tout de pets et de pipi-caca débilitant au possible. Par miracle quelques répliques font mouche et quelques gags passent plutôt bien mais on ne rit pas à gorge déployée, loin s’en faut. Reste une critique acerbe et bien senti de tout ce qui touche à la religion et de de point de vue là il y a au moins un intérêt. Ça reste faiblard et potache, à réserver aux soirées arrosées entre potes et encore …

Si l'on fait une moyenne entre les moments à base d'humour caca-pipi-prout (c'est dans cet ordre qu'on y assiste) qui ne plairont qu'aux plus jeunes ou aux moins fins des spectateurs, et les vrais moments qui font sourire voire rire, si l'on se laisse porter par l'histoire sans chercher quelque chose d'intellectuel, et enfin si l'on n'est pas allergique à la religion qui pointe le bout de son nez à quelques reprises, alors on peut en arriver à une note identique à la mienne.
Globalement, ce film m'a paru tout à fait regardable et sympathique un certain nombre de fois, mais l'humour n'est pas loin de toucher le fond à plusieurs moments, ce qui m'empêche de lui mettre plus (après l'avoir regardé, je penchais pour 3 étoiles, mais ayant réfléchi et faisant cette critique un jour après, les 2,5/5 me semblent plus adaptées).
A noter qu'on y retrouve une belle brochette d'acteurs relativement connus, dont Jack Black, Michael Cera, Vinnie Jones avec des cheveux, Juno Temple (dont je n'ai pas réussi à retrouver dans quel film je l'ai vue auparavant, même après avoir lu sa filmographie ici), Olivia Wilde (n°13 dans Dr House), Oliver Platt (que je n'avais pas reconnu, c'est le prêtre poilu maquillé comme une femme), Christopher Mintz-Plasse (non reconnu non plus, ici en Isaac).

Ce n'est pas le début de ce film qui est difficile mais tout ce qui suit. Si Jack Black parvient souvent à compenser partiellement les faiblesses de ses films, il n'en est rien ici. Le début fait un peu illusion, après c'est simplement calamiteux.

Ca démarrait plutôt pas mal, les blagues incestueuses se mélangeant à la maladresse et la lourdeur de Jack Black, puis ca part de tous les côtés mais surtout nulle part. Le scénario n'a aucune ombre de cohérence, on passe d'une scène à l'autre. Chaque personnage secondaire a 5 minutes d'apparition puis disparaît. Pourtant avec un tel casting et Harold Ramis à la réal, on aurait dû avoir un résultat qui tenait la route. Ils ont voulu se la jouer Monty Python mais sans le talent et un humour très bas de plafond. La dernière demi-heure semble interminable alors que le film est relativement court. Pour paraphraser de vrais humoristes, il y eut "L'an 1", pas d'an 2 (heureusement), puis l'an pire...

La plus mauvaise production de Judd Apatow.Mais il n'est pas le seul responsable.On a connu le réalisateur Harold Ramis beaucoup plus fin et inspiré pour ses comédies,et Jack Black se fourvoie dans un numéro en peau de bêtes."L'an 1:des débuts difficiles"(2009)raconte,si l'on puis dire,le parcours de 2 chasseurs-cueilleurs,exclus de leur tribu pour fainéantise.Il va leur arriver tous les trucs les plus débiles et loufoques imaginables.Si l'on sourit parfois(le décalage entre l'époque préhistorique et antique,face à des considérations modernes),l'humour se résume trop systématiquement à du pipi-caca-prout.La seconde partie tourne à la parodie de péplum vulgaire,sans queue ni tête,où Jack Black ne peut même plus laisser libre cours à ses grimaces qui piquent.Bref,passez votre chemin.

Le début n'est pas difficile, il est catastrophique. Et puis petit à petit on s'habitue au ton décalé du film et on finit par s'y intéresser en le regardant comme un péplum de fantaisie. Alors bon, on ne va pas souligner tous les points négatifs, c'est vrai que le film est lourdingue et bavard et même parfois complètement débile, mais à côté de ça certains gags font (un peu) rire. (la banane, fallait oser), et le côté iconoclaste vis-à-vis des religions est plaisant. Et puis ce qui ne gâche rien, les filles sont jolies : June Diane Raphael et Juno Temple mais aussi Olivia Wilde dans le rôle de la Princesse Inanna

Je ne suis pas d'accord avec le titre! Le début de l'An 1 n'est pas si difficile et il est même encourageant! C'est après que ça se gâte!!! Si l'idée de mélanger un peu préhistoire et religion, la réalisation n'est pas du tout au niveau, les blagues nases et les situations pas drôles ne manquent pas! Si vous voulez une critique acerbe de la religion et bien pensée, voyez "The invention of lying", une vraie réussite. Ici par contre, passez votre chemin car vous risquez de rencontrer un os, quand t'es nase, arrête (Nazareth!!!! LOL). Blague nulle? Le film est du même acabit!

(...) Bon, attention, le film n'est pas non plus une purge qui mérite le mépris mais elle est en tout cas symptomatique d'une certaine façon de faire les comédies actuellement aux USA et qui en démontre les limites, particulièrement quand c'est fait sans un gros travail en amont. Le film démarre pourtant avec pas mal de rythme, enchaînant les références bibliques et les détournant de manière plus ou moins subtile mais au moins, je trouvais ça plutôt drôle. Surtout que le début dans la tribu n'est pas terrible et s'avère trop plein de poncifs et patine carrément dans la semoule. Zed et Oh traversent le pays et les époques, passant de l'âge de pierre à une civilisation en ordre de marche au fil des rencontres et c'est pile quand ils arrivent à Sodome que le scénario cale à nouveau. L'intrigue ne tient pas, les personnages sont convenus et les situations scabreuses sont trop soulignées, surtout qu'avec son classement PG-13, le film perd en impact provocateur et reste au final assez chaste, alors qu'à la même époque, Judd Apatow justement avait bouleversé le visage de la comédies US en faisant des films plus adultes, qui s'avéraient être plus transgressifs grâce à un classement R assumé. Et plus que tout, le film est pollué par ce cancer de la comédie US, qui s'avère à double tranchant, à savoir l'improvisation permanente. En se reposant quasi-exclusivement sur l'inspiration de ses acteurs, on prend un énorme risque car non seulement on perd beaucoup de temps (en gros, on multiplie les prises avec des acteurs qui sortent tout ce qui leur passe par la tête, et ça n'a parfois aucun sens, voir les bêtisiers pour bien s'en rendre compte) mais en plus, la mise en scène devient extrêmement limitée avec içi une enfilade de champ/contre-champ souvent mal cadrés sur les visages des acteurs qui sortent donc des répliques plus ou moins drôles. Le montage s'avère en plus assez ignoble et très lent, ce qui n'aide vraiment pas. (...) Il en résulte donc une comédie à moitié drôle et donc à moitié réussie, à la mise en scène molle et au rythme inégal, flinguée par un Jack Black envahissant et un Michael Cera trop dans le même registre et au scénario mal construit. C'est rageant de gâcher un tel potentiel ! (...)

Comédie poussive qui trouve son salut dans son casting imposant et généreux. On a connu Harold Ramis plus inspiré.