Avis : Mince alors ! - Page 6

Charlotte de Turckheim est une actrice appréciée globalement plus par le grand public que par les purs cinéphiles. Il n’est donc pas surprenant de constater que ses films en tant que réalisatrice ne cherchent pas réellement à marquer l’Histoire du cinéma. Mince alors ! ne déroge pas à la règle. Nous sommes ici dans un long-métrage qui ressemble plus à un banal téléfilm qu’à une véritable œuvre de cinéma. Le tout reste divertissant et bénéficie d’un casting plaisant (il est toujours agréable de voir Victoria Abril et Lola Dewaere est pleine de charme) mais est néanmoins d’une grande banalité et demeure très oubliable. Une comédie distrayante mais peu mémorable et déclenchant peu de rires.

Comment ne pas apprécier cette comédie pleine de bonne humeur, de sourires et composée de dialogues très drôles. Une comédie osée qui traite d'un sujet qui l'est tout autant et dont le résultat détend, nous procure du bien-être. Et en plus, la distribution est agréable, talentueuse et charmante. Non franchement, c'est un film surprenant !!

L'AMOUR EXTRA LARGE. Diantre comme t'es grosse!!! Enfin je souris à un film de Charlotte De Turkheim, un peu seulement, faut pas trop en demander. Diantre, mais pourquoi rajoute t'elle des scènes ridicules? Zut mes calories, mon régime, ma taille fine, mon 30% de matière grasse. Allez Charlotte, encore un effort.

Le cinéma de Charlotte de Turckheim n'a jamais brillé par sa finesse et son humour délicat. S'attaquer à un sujet pareil avait de quoi faire peur. On est pas déçu: vulgarité, gags vieillots, personnages caricaturaux. Un effort a été du côté du scénario, on ne peut le nier, mais le résultat tient tout juste du paresseux téléfilm. Trop de personnages, d’intrigues secondaires hors sujets. Zéro idée de mise en scène. Et des clichés à la pelle (le mari volage etc). Il faut tout de même signaler que le jeu de Catherine Hosmalin est le plus réussit du film. Un rôle en or qu'elle défend de façon plus qu'honorable. Elle permet au film de ne pas être si raté que ça.

j'ai vraiment adoré ce petit film bien sympathique et marrant.très bon trio d'acteurs qui jouent toutes les trois superbement bien leur rôles et nous font bien rire du début à la fin.de plus, j'ai été ravi de retrouvé Grégory FITOUSSI qui est toujours aussi séduisant que quand il jouait anciennement dans la série "sous le soleil" que je trouvais super bien et beau dedans.mais dans ce film il joue un mec infidèle, salop, égoiste ça lui vas à merveille aussi.en gros.j'ai passé un très bon moment. à revoir d'ici quelques mois chez soit tranquillement en dvd.

Un film plus fin qu'il n'y parait, porté par une belle brochettes d'actrices, et qui joue la carte de l'originalité. Ha ha non je plaisante. Un gentil téléfilm un peu bancale, aux dialogues assez mal intégrés (beaucoup de vannes et de "bons mots" piqués à droite et à gauche) et sans surprise. Maladroit mais porté par une énergie positive qui plaira probablement a un public pas trop exigeant (n'y voyait là aucune remarque péjorative).

Bof... Une comédie peu fine, bourrée de clichés, qui ne vaut guère mieux qu'un (mauvais) téléfilm de TF1. De plus, on s'ennuie à de nombreuses reprises et on attend la fin avec impatience. Vite oublié. Décidément, Charlotte de Turkeim et le cinéma, ça ne colle pas!

Ce n'est pas si mauvais car on ne s'ennuie pas. C'est comme toujours une comédie très prévisible, mais comme on n'est pas dans un thriller, aucune importance. Le message envers le diktat de la minceur tombe plutôt à plat, ne serait-ce que par le choix de l'héroïne, une très jolie Lola Dewaere, dont les quelques kilos en trop sont plus mignons qu'autre chose. Peu de chance que les filles ou femmes obèses puissent s'identifier à elle. Son mari est un sombre crétin, ( pauvre Grégory Fitoussi, on lui réserve toujours de ces rôles ). Le rôle de Victoria Abril n'est pas très intéressant, on dirait qu'elle fait toujours la même chose depuis qu'elle n'est plus jeune. Mais Catherine Hosmalin s'en tire avec les honneurs, c'est le meilleur rôle et la meilleure prestation du film. L'histoire avec la fille De Turckheim et le gamin n'est pas passionnante, et n'a rien à faire là. Bref, dans le registre des films sur les rondes, j'en resterais à Balasko.

Un film est pas mal dans l ensemble ou traite un sujet récurrent dans notre vie après on passe un
Moment dans l ensemble

Une comédie cousue de fil blanc aux sous-intrigues totalement inintéressantes. Un film grand public à la psychologie à deux sous. Bref, une comédie tout sauf drôle et qui se regarde avec ennui.

"Mince Alors!" est une petite comédie peu ambitieuse qui accumule les clichés spoiler: (le mari qui trompe sa femme et lui offre une cure d'amaigrissement, la jupe qui craque, l'issue de la cure, la femme maigre qui se croit grosse)
et les initiatives banales spoiler: (on voit venir à des kilomètres l'histoire de la collection pour les personnes de tout poids, le rencard avec le médecin)
, le tout enrobé dans un humour qui vole pas toujours haut spoiler: (la femme coincée dans la SPA)
et très peu de profondeur sur le sujet de l'obésité. En effet, les répliques (sur les régimes, les gros, etc...) font mouche une fois sur 2 et le scénario effleure les questions du bien-être spoiler: (le malaise d'Émilie)
, du regard des autres spoiler: (le relooking express)
, et oublie de parler des raisons de l'obésité spoiler: (maladie, boulimie, stress, etc...)
pour se focaliser plus sur la thématique de la beauté, à travers la nymphomane Sophie qui a peur de vieillir. Au final, le film séduit uniquement grâce à l'énergie de ses 3 actrices principales (la charmante Lola Dewaere qui n'a pas besoin de perdre du poids à mon sens, Catherine Hosmalin qui adore jurer et l'exubérante cougar Victoria Abril), dont la complicité transparaît en permanence à l'écran et dont les personnages sont pas trop mal écrits spoiler: (le passé d'ancienne nageuse d'Émilie, s'affirmer pour Nina, assumer pour Sophie)
. En revanche, que ce soit le gosse, celle qui l'accompagne, le mari, la maîtresse ou bien le coach Freddy (Pascal Légitimus n'est pas gâté par son rôle très conventionnel), c'est pas terrible, la palme revenant indéniablement à l'agaçant Thomas et au ridicule des séquences dans le salon de coiffure. Côté mise en scène, la réalisation de Charlotte de Turckheim est complètement anecdotique et les split-screen ne servent à rien du tout. À l'arrivée, "Mince Alors" souffre la comparaison avec le très bon film "Le Pari", son équivalent décomplexé version "stop au tabac" plus travaillé niveau humour et plus intelligent sur l'univers du tabac que ne l'est celui-ci sur le marché de l'obésité, et parvient à éviter le naufrage seulement grâce à ses 3 actrices principales.

Charlotte De Turckheim s’en prend à un sujet d’actualité mais dont une approche en finesse semblait difficile. Elle ne s’est donc pas foulé en multipliant les clichés, tant dans les personnages stéréotypés que dans les situations caricaturales. Le manque de crédibilité de cette accumulation de stéréotypes est toutefois divertissant mais n’est jamais ni drôle ni moralisateur, autant dire que ce scénario basé de petites histoires inintéressantes tourne en rond. A part les trois actrices principales qui arrivent à être attachantes, le reste du casting est aussi mauvais que les quelques blagues qu’il s’échange.

Certes, on se marre bien devant la bande-annonce et le thème des "gros" laisse présager quelques originalités crues. En tout cas, on reconnait bien là la légèreté des films de Charlotte de Turckheim, ne confondant pas comédie avec drame et larmes. L'intrigue centrale concerne un groupe de trois femmes suivant une cure d'amaigrissement pendant un mois à Bride-les-Bains ; l'une y a été contrainte, ou plus poliment invitée par son mari, l'une est bien foutue mais y va pour retrouver ses copines et des plans cul tandis que la dernière en a bien besoin mais repart chaque année comme elle est arrivée. Bref, la cure passe ici pour un moment de détente et de plaisir, où hommes et femmes, petits et grands cohabitent et se lient en quelques jours alors qu'ils ne se connaissaient pas, le combat avec la bouffe est à peine survolé et la motivation des obèses est absente. On est alors amené à se demander ce qu'à vraiment voulu raconter la réalisatrice, peaufinant avec une lourde série de blagues et de jeu de mots sur les gros (j'avoue qu'il y en a beaucoup que j'ai pas saisi!) et accumulant de nombreuses intrigues sentimentales, reliées aux personnages secondaires. Ce qui parait original au premier abord perd rapidement de son efficacité, le montage primaire n'arrange pas la situation. Heureusement, le trio d'actrices se complète et fait plaisir à voir, une super alchimie; Catherine Hosmalin joue enfin un rôle à sa taille d'actrice, Victoria Abril (dont le jeu me fait penser à celui d'Eva Longoria, va savoir pourquoi...) est pleine de peps tandis que la jeune recrue Lola Dewaere (la fille de Patrick, ouioui!) sonne juste. J'ai juste pas compris comment son personnage a pu s'intégrer aussi facilement (c'est un film je sais!). Après, on ne s’ennuie pas bien que les sous-intrigues font parfois penser à celles de "Joséphine, ange gardien", dommage. Outre le côté moralisateur qui expose plusieurs profils de personnes obèses dans notre société, le regard qu'on leur porte et aussi comment ils se perçoivent eux-même qui m'a peu parlé (alors que c'était l'originalité du film à la base!), on peut dire que ça se regarde un dimanche soir, et fait oublier qu'il faut aller bosser le lendemain. Je dirais qu'il y a quelques kilos en trop pour le coup...

Une comédie ? Pas si sûr. À vouloir trop en dire, trop en montrer, en multipliant les anecdotes, Charlotte de Turckheim se perd dans une succession de clichés et de situations attendues. Son implication paraît sincère, mais pourquoi vouloir faire rire à tout prix ? Le scénario tourne en rond et donne l’impression de ne pas arriver à dire ce pourquoi il est écrit. Dommage pour les comédiennes qui font le maximum pour rester crédibles, en dépit de dialogues trop bavards et souvent faussement drôles. http://cinealain.over-blog.com/article-mince-alors-101050716.html

Un comédie nauséabonde regorgeant de bons sentiments. Le spectateur est infantilisé à l'extrême et se voit marteler une foultitude de messages-clichés type "La vraie beauté est intérieure", "Il faut oser dans la vie", et patati et patata. Tout le film transpire le fake à plein nez : les situations sont criantes d'artificiel et les répliques sonnent faux dans la bouche des comédiens. Ce qui est bien dommage d'ailleurs, car on sent que les dialogues de l'arrivée dans le centre ont bénéficié d'un gros travail. Pomme blette sur un gâteau moisi, le final, lors duquel on est évidemment toutes copines, on a évidemment toutes réussi, et tout va pour le mieux dans le meilleur des mondes.