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Naguère, ils étaient trois à former un groupe de musiciens amateurs comme il en existe à tous les coins de rue, ou plutôt dans toutes les caves. Aujourd'hui, Lucas (Bénabar, premier rôle au cinéma et bon comédien), connait la gloire et la fortune en exploitant les compositions d'un de ses potes mystérieusement disparus.
La comédie est plaisante dans les quiproquos qu'elle met en place, faciles mais cocasses, où Lucas fait tout pour cacher son succès artistique usurpé auprès de son copain de retour (Jocelyn Quivrin). L'autre argument comique du film, c'est d'adjoindre à Lucas la star un ami de longue date (Dubosc), gaffeur et sot, en cohabitant oisif et parasite.
Des dialogues bien ciselés, un trio d'acteurs inattendu et à l'aise: le réalisateur Eric Lavaine signe une comédie plutôt savoureuse, fondée sur le mensonge, dont on regrettera toutefois qu'elle se dénoue de façon morale et convenue, comme toutes les comédies grand public hélas.

J'ai passé un bon moment en famille avec cette comédie assez drôle dans le burlesque et les situations de quiproquo. Benabar est convaincant dans son rôle et attachant. Dubosc fait du dubosc et c'est drôle.

Le film a deux soucis, le pitch de départ est potentiellement porteur, mais c'est la façon de la traiter qui est catastrophique, le vaudeville, quoiqu'on en pense est un exercice difficile et n'excuse en aucun cas le fait de faire n'importe quoi. Et puis il faut savoir terminer un film autrement que par des niaiseries convenues. Le second soucis c'est Bénabar, (je n'aime pas le chanteur mais les goûts et les couleurs…) mais ici c'est en tant qu'acteur qu'il faut le juger et le résultat est sans appel, il ne sait pas jouer (alors qu'il y a tant d'acteurs talentueux au chômage) Dubosc est constamment dans le surjeu, mais c'est son image de marque. Une petite étoile de plus pour le rôle déjanté de Virgine Hocq

Un film fort sympathique dans lequel Franck Dubosc joue le second rôle du film et arrive à animer le film en entier contrairement à Bénabar qui était moins convaincant et carrément lourd et gauche par moments.
Sinon le scénario est pas mal et distrayant

Petite comédie manifestement destinée aux jeunes fans de Benabar, car pour les autres, l’ensemble est plutôt médiocre. Le scénario n’est pas nouveau (un artiste s’empare de l’oeuvre inédite d’un ami normalement décédé pour se forger une aura, et l’ami en question finit par réapparaitre, obligeant l’imposteur à de multiples facéties pour cacher son « vol »). Ce n’est pas très drôle et j’ai trouvé que la prestation de Franck Dubosc, qui partage la maison de Benabar , n’était pas réussie, visant sans doute la clientèle espérée du film. Pas terrible.

Le cauchemar de Lucas commence lorsqu'il rencontre Thomas à la gare du Nord où il a emmené Marion qui part pour Londres. Il semble que Thomas ait décidé de se rendre en Inde où il vit depuis un certain temps et qu'il soit venu à Paris pour quelques jours. Lucas comprend tout de suite que son ami ne tardera pas à découvrir la supercherie et voudra sans doute toucher l'argent des droits d'auteur dus aux compositeurs. Lucas tente de distraire Thomas en inventant toutes sortes de bêtises. A l'insu de Lucas Thomas découvre la ruse à la grande surprise de son ami il lui annonce que les chansons ne sont pas de lui. C'est une comédie française assez drôle que nous avons regardé sur le Net avec ma femme il n'y a pas longtemps. Réalisé par Eric Lavaine le film est amusant et offre quelques bon rires vraiment sincères. Le jeune casting comprend Benabar qui a également contribué au scénario avec le réalisateur et Hector Cabello Reyes. Franc Dubosc est l'odieux Francis qui offre quelques moments drôles. On voit Jocelyn Quivrin dans le rôle de Thomas et Anne Marivin dans celui de Marion...

un film qui ma plut malgré un peu des images vulgaire d'un des personnages , et ça façon d'être mais j'ai quand même passé une bon moment

Divertissant!
Une bonne comédie qui a un bon rythme ! Le jeu de Benabar n'est pas si mal et pour une fois, Dubosc amusant.
3,5/5

Un bon petit film bien marrant avec franc dubosc j'ai bien aimer retrouver aussi yolande moreau pierre palmade et francois damiens qui retrouve ici le meme role que dans ses cameras caches.On a la bonne musique du film qui le saura de benabar.

Moi qui n’aime habituellement pas Franck Dubosc (mes pièces à conviction : « Camping » et ses sketchs à la télévision), je dois dire que j’ai été bluffé. En effet, il est parfait dans son rôle de colocataire sans gène. Quant à Bénabar, il est simplement fait pour être acteur. J’espère que ce premier rôle en amènera de nombreux autres. Il est de quasiment tous les plans et on marche à fond dans ses mensonges. De même, le reste de la distribution est à l’unisson (Jocelyn Quivrin, Anne Marivin pour qui j’ai craqué depuis « Bienvenue Chez les C’htis », Isabelle Nanty…). En bref, de merveilleux acteurs jouant à fond les nombreux quiproquos de l’histoire font que l’on passe un bon moment. Cependant, l’histoire très (trop) simple et la réalisation vraiment plate font qu’on se lassera de revoir ce film et que cela différentie un film comme celui-ci de comédies françaises cultes qu’on prend plaisir à revoir (pour ma part, je parle de films comme « Le Diner de Cons », « Les Compères », « Ah ! Si j’étais riche » ou « Les Bronzés font du ski »…). Donc, un film qu’on peut voir mais que l’on reverra difficilement.

Une comédie menée de main de maître par un Dubosc fidèle à lui même et un Bénabar que j'ai également trouvé excellent dans un role qui lui convient a merveilles! Le scénario est prenant et le dénouement inattendu! Un tres bon film que je recommande si vous voulez passer un bon moment de rires. 4/5

Le synopsis du film est une fausse route. Alors que tout semble indiquer que celui-ci va tourner autour de la figure de Franck Dubosc en faux comédien, faux riche et véritable imbécile, c’est bien Bénabar qui tient le haut de l’affiche. Une idée plutôt intéressante pour apporter différentes colorations au film et ne pas le laisser, comme dans tant d’autres, aux seules mains d’un Dubosc à qui on demande sans cesse de rejouer son personnage d’idiot immature et rêveur.
Idée intéressante mais rien ne suit derrière. Mal fichu, le film ne semble jamais aller là où il devrait aller. Long à démarrer, il joue ensuite un quart d’heure sur son pitch avant d’emprunter d’autres chemins qui ne fonctionnent jamais. Cela ne fonctionne jamais car Bénabar n’a rien d’un comique et la situation dans laquelle il se trouve est tellement invraisemblable et idiote que cela n’est jamais drôle. La voix off pendant la première demi-heure souligne cette incapacité à tenir le récit. La suite n’offre que peu de bons moments, avec notamment l’insipide escapade à la campagne.
Tout ce qui aurait pu être drôle est systématiquement tué dans l’œuf et le pseudo psychodrame de la dernière demi-heure est au moins aussi ridicule que le dénouement. Au final, et c’est une surprise pour beaucoup, la seule chose qui tient vraiment debout dans ce film, c’est le personnage de Dubosc, plutôt drôle, mais qui est peu à peu mis de côté. Pour le reste, c’est un plantage total tant la folie évidente qui se profile est sans cesse rabrouée comme un diablotin qu’on refuse de laisser sortir de sa boite. Avec une telle idée de base, on ne comprend toujours pas pourquoi car seul du grand n’importe quoi aurait permis de passer outre toutes les incohérences et invraisemblances du récit.

Très beau film sur le mensonge et l'usurpation. On ne gagne jamais à s'approprier le bien d'autrui à son insu. Le personnage de Bénabar le démontre parfaitement avec ses moments de doute qui deviennent des angoisses au fil du film. Le chanteur est bon acteur, et son duo avec Franck Dubosc fonctionne bien, ce dernier jouant à merveille le copain décalé et pot de colle qui agit comme une petite conscience du personnage principal. Anne Marivin, qu'on aimerait voir plus souvent, est délicieuse. Les personnages secondaires apportent chacun leur petite pique qui fait évoluer le personnage principal, mention spéciale pour Isabelle Nanty qui sait crier très fort ! Le scénario est bon et crédible. Bref, un excellent divertissement.

Ce n’est pas un film ni une comédie de haute voltige mais bon sang, que c’est sympathique.
Les acteurs s’amusent bien, et cela transperce l’écran.
La bande son est tout aussi agréable.
Je trouve les gags mignons et drôles.
On passe un bon moment.

Quelques réticences avant visionnage, mais pour le coup, ce film fait mouche. Du coup lorsqu'on s'attend au pire, on ne peut jamais être déçu. Tout d’abord ce bon Francky que j’adore, mais qui trop souvent s'est retrouvé dans d'innommables bourbiers dont je ne citerai pas le nom, tire à merveille son épingle du jeu. Il est parvenu à rester lui-même sans trop en faire et en étant sincère, attachant comme jamais. Jocelyn Quivrin comme à son habitude est irréprochable. Même à titre posthume, on l'aime toujours autant, si ce n'est plus. Celui qui répond présent là où on ne l'attendait pas est bel est bien Bénabar, chanteur de profession et qui contre toute attente se révèle être un excellent acteur dans un rôle sur mesure. C'est donc un trio gagnant en tête d'affiche de cette supercherie à grande échelle. Tromper son monde est un art qu'il est impératif de maitriser, auquel cas, c'est lui qui vous maitrise tôt ou tard, vous rappel à l'ordre sans prendre de gants. Cet homme qui connaitra un succès fulgurant grâce aux œuvres d'un autre en payera les frais. Bien entendu à l'échelle de la comédie française, c'est à dire en demi mesure, tout en souplesse et subterfuge. Cette imposture qui nécessite tant d'énergie et d'ingéniosité n'est qu'un enchainement de quiproquos loufoques et de grosses frayeurs. Le mime raté et le chanteur du moment; un duo dépareillé qui bien sûr, vante les pouvoirs de l'amitié à toute épreuve. Mais je dois dire qu'Eric Lavaine a eut le nez fin avec ce scénario, car c'est tout bonnement dans l'air du temps. L'écriture est impeccable, et donc par conséquent le rire est au rendez-vous, ainsi que d'autres émotions. Ce n'est pas une comédie révolutionnaire, mais qui toutefois ne s'oublie pas du jour au lendemain et s'encre ainsi solidement au patrimoine du divertissement. A voir. 4/5