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    Trainspotting
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    782 critiques spectateurs

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    ml-menke
    ml-menke

    35 abonnés 551 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 21 février 2011
    Au coeur de la drogue et de la misère ils prétendent avoir raison de vivre ainsi dans l'extasse. Pourtant tout n'est pas rose avec eux. Le personnage principale en vient à la conclusion qu'ils se trompent. Alors Choisissez de vivre!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 17 mars 2010
    Un film totalement déjanté à mourir de rire, Ewan McGregor est superbe en junkie bousculé par sa bande de potes qui le force à s'écarter du droit chemin. Robert Carlyle est impressionant en psychopathe et Ewen Bremner est à pisser de rire, en gros, ils n'ont pas fait d'erreurs sur le casting, Trainspotting est un grand cru des oeuvres de Danny Boyle.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Excellent film, qualifié par certains de culte, le film possède d'indéniable qualités : Grands moments de délires psychédéliques, BO énorme.
    Mis il souffre aussi d'une réalisation médiocre et d'une interprétation stéréotypée parfois.
    Enfin le plus important reste l'ambiance...
    Tonton Twan
    Tonton Twan

    3 abonnés 192 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 avril 2020
    "Trainspotting" ou "90's Edinbourg princesse Sarah"

    Ce film est une tentative de réponse de Danny Boyle à la question de Michel Audiard : "Comment réussir quand on est con et pleurnichard..." Et la réponse est : On ne réussit pas...

    "Trainspotting" est un livre glauque qui a donné un film de la même eau... Qui a été élevé au rang de film culte par "les jeunes de leur génération"... Ce sont les mêmes qui font marcher les émissions de télé réalité maintenant... génération maudite pour pas dire maudite génération...

    On doit concéder à ce film 2 grands intérêts : Une bande son top et la découverte d'Ewan Mc Gregor... Certains veront un troisième bienfait à ce film : l'émergence de Danny Boyle... Je les laisse maîtres de leurs propos car je trouve qu'il y a trop de Pathos facile dans le travail de Danny Boyle... Slumdog millionaire est regardable mais souffre du même mal...
    MaCultureGeek
    MaCultureGeek

    1 042 abonnés 1 224 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 décembre 2019
    Découvrir Trainspotting juste après la claque que m'a mise Requiem for a Dream avait tout de la détente absolue; le film, affilié à un registre comique que ne partageait pas son successeur, commence dans un rythme effréné pour ne plus rien lâcher. Film hargneux s'il en est, l'oeuvre qui révéla au monde le talent clipesque de son réalisateur, un Danny Boyle inspiré, se construit au départ comme un plaidoyer de la cool attitude aux allures burlesques, pour ensuite virer, l'amour venu, dans le drame à proprement parler.

    Là où Requiem for a Dream s'intéressait à la destruction de la famille causée par la drogue (biologique et amicale), Trainspotting disserte quant à lui sur la perte progressive de l'espoir, des idéaux, de la dignité et de l'honneur au profit de quelques doses de crac prises entre deux interpellations et une cure de désintox. Le personnage interprété par Ewan McGregor représente parfaitement cela : amoureux d'une fille pas même mineure, honnête au départ mais forcé au mensonge par la rudesse de son vécu, Renton s'érige en représentant de cette société underground, coutumière des overdoses et des gros délires en trip hystériques.

    Il se pose également comme défenseur de la cause de ces camés qu'on abandonne, qu'on suit de loin en attendant la première erreur : c'est ainsi que l'on aura droit à un passage d'une ironie savoureuse en début de film, séquence durant laquelle il exposera toutes les remarques que lui font son entourage sur son mode de vie et ses fréquentations, en affichant à la vue du spectateur la malhonnêteté intellectuelle d'un discours qui condamne une drogue en étant complètement accro à une autre (l'alcool, la cigarette, la nourriture, etc).

    Si l'effet de style est amusant, il fait remonter en surface l'un des soucis d'écriture de Trainspotting : trop soucieux de prendre la pose et de présenter son intrigue de façon cool (envie qui se répercute aussi sur la manière d'héroïser ses personnages minables), il a tendance à trop dire sans le montrer suffisamment finement, à partir en frontal quand un tel exercice de style mérite de prime abord une discrétion de développement fouillée et habile.

    Ne pas montrer si clairement les défauts de la société aurait rendu la critique encore plus incisive et véridique : disons qu'il aurait eu plus d'ampleur à affiner son propos plutôt qu'a le balancer comme une tarte en pleine figure, à l'image de Trenton qui termine sa course, en début de bobine, le dos contre un pare-brise. Il n'est pas impossible de trouver une corrélation entre cette écriture qui manque de discrétion et la mise en scène tape-à-l'oeil de Boyle, qui prévoyait déjà au milieu des années 90 les tics de mise en scène insupportables du début des années 2000.

    Il est d'une certaine manière l'un des précurseurs de cette esthétique du clip à laquelle on aura droit quelques années plus tard, et a le mérite non négligeable d'être l'inspiration première du superbe Requiem for a Dream d'Arofonovsky. Paradoxalement, là où le clip dynamitait totalement les attendus du manifeste anti-drogues de 2000 et donnait une dynamique incroyable à la première heure de Trainspotting, on sent un certain essoufflement de la mise en scène à l'arrivée du monde underground de la techno, auquel s'ajoute l'évolution des moeurs, des plaisirs et des types de drogues ingérés.

    Balancé non sans humour, ce passage d'un âge à un autre prévoyant déjà la transition entre un cinéma plus classique et un autre moderniste, aux codes différents, plus excessif visuellement marque une étape particulière dans l'esthétique du film : c'est alors que l'oeuvre, encore plus excessive qu'au départ, donnera justice au charisme de ses acteurs par une iconisation venant cruellement jurer avec leurs personnalités pathétiques, menteuses, indignes.

    Là où McGregor n'est au final qu'un gosse perdu qui tombe amoureux du symbole féminin qu'il n'a pas pu connaître au collège plus jeune, là où il suit une cure de désintox (prétexte à la déformation des angles de caméra, à l'extension généreuse des cadres ainsi qu'à la distorsion des couleurs), Boyle le représente comme une victime de sa propre vie qui attend toujours le bon moment pour prendre les reines; d'une figure fragile, faiblarde on passe à un opportuniste malin qui sait quand se battre et quand se taire, où aimer et où se planquer pour échapper à la loi.

    On ne peut cependant s'empêcher de réaliser que malgré tous les efforts du réalisateur pour mettre en avant la cool attitude de son film et de ses personnages, malgré tout ce qu'il a pu faire pour le rendre comique, divertissant, détente, Trainspotting tient surtout du drame tragique durant lequel il suffira de la mort d'un personnage en particulier, ajouté à celui d'un enfant (passage d'une finesse de narration exemplaire, par contre), pour se recentrer sur une narration plus intime, enfin éloignée du superficiel et du désir d'impressionner son public.

    Boyle étant aussi capable d'émouvoir (toute mesure garder), il profite de cet évènement dramatique pour repartir de plus bel dans son intrigue et nous conduire vers des sommets de n'importe quoi. Trainspotting, ou la malhonnêteté qu'on aime détester.
    bobmorane63
    bobmorane63

    159 abonnés 1 905 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 août 2012
    Un film Britannique culte qui marque les esprits par le metteur en scène talentueux Danny Boyle !! Je l'avais découvert pendant sa sortie, j'avais un souvenirs bizzare d'un long métrage dur, faut dire qu'il est interdit aux moins de 16 ans, l'age que j'avais à l'époque et en le revoyant aujourd'hui, c'est un peu plus leger que je ne le pensais avec un coté trash et délirant avec de l'humour British. L'histoire de cinq potes avec des personnalités différentes accros à la cocaine qui ont des visions assez droles. La première partie raconte l'amitié entre amis, les relations avec les filles et autres choses de façon sympathique. La suite dégainère avec les abus à la consommation, la cure de désintoxication difficile pour l'un, la perte d'un ami par overdose, la violence. Ce film porte un message de ne jamais commencer la drogue et le sujet fait reflechir au fil de l'histoire. Danny Boyle singne à ce jour son meilleur film avec des images d'une virtuositée impressionnante aidé d'une excellente bande originale (Lou Reed, Iggy Pop etc...). Les cinq acteurs principaux, Ewan Mc Gregor, Ewen Bremner, Jonny Lee Miller, Robert Carlyle et l'acteur dont je ne me souviens plus du nom livrent des performances grandioses. Vous n'aurez aucune excuses si vous l'avez pas vu.
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    79 abonnés 1 525 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 octobre 2018
    "Trainspotting" aborde un milieu peu exploité au cinéma : les junkies. Et il le fait de la bonne manière : sans cliché mais en même temps sans tendresse non plus. Danny Boyle et son équipe ne sont ni là pour faire un spot anti-drogues ni là pour faire la promotion de l'héroïne.

    C'était la meilleure façon d'aborder ce milieu puisqu'il fallait une certaine documentation pour rendre toute l'histoire crédible mais il ne fallait pas non plus les regarder de manière éloignée car on ne serait jamais rentré dans l'histoire.

    Au contraire, en suivant les pérégrinations de Mark Renton qui divague entre ses potes héroïnomanes et ceux qui ne sont pas de ce milieu et qui aimeraient bien l'en voir sortir, on peut rentrer dans sa tête, comprendre son mode de fonctionnement et ce qu'il recherche en se détruisant. Et tout est loin d'être tout blanc ou tout noir. Le gris, c'est la couleur dominante de ce film, tant au niveau de l'image qu'au niveau du scénario.

    Impossible de dire qui a raison et qui a tort. Les parents qui cherchent à ce que leur fils sortent de la drogue ? Ils le font de la pire des manières et mettent en danger leur fils. Le pote qui lui dit de sortir de cette merde ? Il l'entraîne dans d'autres problèmes. Ses potes junkies ? Ils le tirent vers le bas. Presque toutes les relations de Renton sont toxiques. Mais toutes ont leur raison.

    Alors suivre sa quête pour s'en sortir, c'est à la fois passionnant et drôle parce qu'on ne cherche pas le pathos. Au contraire, il y a de l'humour pince-sans-rire pour souffler un peu. Tant mieux.
    D'autant plus que le rythme est maintenu donc on ne s'ennuie pas un seul instant.
    Audrey L
    Audrey L

    567 abonnés 2 443 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 15 janvier 2019
    Film complètement taré pour les amateurs de séquences sous opiacées... Trainspotting se révèle plus mature que les films psychédéliques sans but, car il nous donne à voir (au travers de ses hallucinations) la société écossaise prise en étau entre nationalité anglaise à peine souhaitée et volonté d'indépendance affirmée. Cette volonté d'émancipation passe ici par la métaphore de ces jeunes junkies qui se "libèrent" de tous ces carcans (société, famille, enfants...) par la drogue en grande quantité. Ewan McGregor est le fil conducteur de cette épopée transgressive, un poil plus sage que les chiens fous qu'il a comme amis, et sa vie hors de cette communauté restrictive permet d'ajouter une note d'espoir au "self-made" (l'art de se construire en faisant ses propres choix). Danny Boyle s'est clairement amusé avec ce scénario (il n'y a qu'à voir la séquence de désintoxication, mythique et déjantée), et malgré l'image vieillie du film et l'aspect un peu redondant de l'intrigue de drogue et junkies, on se souvient longtemps de ce petit bijou barré .A voir surtout pour Ewan McGregor perdu au milieu de chiens fous, et pour la scène de désintoxication qui n'a rien à envier à L'Exorciste (version timbrée).
    videoman29
    videoman29

    211 abonnés 1 810 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 1 septembre 2019
    C'est en 1996 que le réalisateur Danny Boyle sort « Trainspotting », un drame puissant qui va immédiatement devenir culte pour toute une jeune génération... séduite par la liberté de ton du film et son côté inhabituellement « trash ». En effet, le scénario nous fait suivre un groupe d'amis désœuvrés qui passent leur temps à se « défoncer » à l’héroïne dans les squats d’Édimbourg. La gravité du sujet n'a d'égale que l'humour avec lequel il est traité. Les scènes de « défonce » s’enchaînent, entrecoupées de petites galères et de magouilles minables destinées à se procurer l'argent nécessaire à un nouveau « shoot ». Cette fuite en avant qui semble n'avoir aucune issue, ne parvient pourtant pas à desserrer les liens d'amitié qui unissent nos inséparables compères. Il faut dire que ces pauvres personnages, sans le moindre avenir, sont d'autant plus attachants qu'ils sont interprétés par des acteurs hyper talentueux et charismatiques. Le résultat est tout à fait passionnant et porte un regard, effrayant mais réaliste, sur l'univers de la drogue en Europe. Tout simplement génial !
    kibruk
    kibruk

    115 abonnés 2 411 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 8 mars 2021
    Mêlant de façon très étonnante réalisme et délires (comme la scène culte de la plongée dans les WC), "Trainspotting" arrive à être à la fois une comédie sociale très drôle et l'une des meilleures représentations cinématographiques des ravages de la drogue. On passe du rire à l’émotion le tout dans un contexte très misérable et sordide, c'est ce qui rend "Trainspoting" unique et inoubliable.
    vive-le-cine123654789
    vive-le-cine123654789

    86 abonnés 621 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 avril 2014
    Un film vraiment super. Bon, ce film nous montre un côté de la toxicomanie qui n’est peut-être pas forcément très proche de la réalité, mais on sent quand même que ces personnages sont parfois complètement déconnecté de la réalité. Mais avant tout, ce film est un message de vie si on peut dire et qu’il faut profiter de ce que l’on. L’histoire est vraiment superbe, en suivant le personnage principal au travers de petits épisodes de sa vie passant par divers état, nous faisant entrer très rapidement dans ses trips. Plusieurs des scènes en deviennent même géniale tellement le trip va loin (je pense notamment à la scène dans les toilettes au début, ou celle lors du sevrage…juste mythique). Non, sincèrement l’histoire est vraiment géniale, bien menée et vraiment prenante. Certains des dialogues sont tout simplement épiques et jouissif. Les acteurs sont tous vraiment très bon : aucun ne sort vraiment du lot, sauf peut-être McGregor mais parce qu’on le voit plus souvent. La mise en scène de Danny Boyle nous montre déjà ce qui deviendra la marque de fabrique du réalisateur avec un montage dynamique et des plans serrés magnifiquement orchestrés. Musiques et décors contribuent à créer cette atmosphère particulière du film. Un film super que je conseille vivement !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 6 novembre 2013
    Procédé malheureusement fréquent au cinéma, l'utilisation d'une excellente bande son afin de porter le scénario. Dans l'odyssée de l'espace, on se sert effectivement de la musique pour accompagner les images mais un profond silence ferait aussi l'affaire. Ici, la musique nous relance constamment, comme une drogue que le spectateur s'administrerait sans règle ni raison. ——————————————————————————————————————————————
    Nous avons ensuite l'ambiance du milieu drogué. C'est peut-être assez caricaturale, il s'agit d'un regard superficiel, extérieur sur la drogue réussissant néanmoins à communiquer une certaine énergie, un délire de groupe, des situations grotesques et amusantes. Il reste néanmoins quelque chose de ridicule et de puéril dans le jeu des acteurs. Les rôles sont exagérés et tout tourne autour du personnage central Ewan qu'il faudrait considérer comme charismatique, je crois.
    ———————————————————————————————————————————————
    Jusquà cette fin absurde où tout est mélangé. Sur un ton cynique et ironique, Ewan décide de se conformer à la société de consommation et d'abandonner définitivement la drogue. Résolution qui se veut sérieuse mais que le spectateur oubli sur le champs à l'écoute de l’excellent titre Born Slippy du non moins excellent groupe Underworld.
    Hastur64
    Hastur64

    199 abonnés 2 289 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 26 octobre 2012
    Adapté du best-seller éponyme de Irvine Welsh, roman qui a fait connaître mondialement l’auteur « Trainspotting » a également permis à son réalisateur Danny Boyle et à son acteur principal Ewan McGregor d’accéder à la reconnaissance. Un peu différent du livre dont il est tiré, le film s’intéresse principalement à Renton et, adaptation oblige, possède une narration plus linéaire et fait moins place aux autres personnages et aux réflexions sur la drogue, l’Ecosse et la classe ouvrière que ce n’était le cas dans le livre. Il semble, pour ceux qui ont lu le livre, un peu moins âpre et transgressif que ne l’était son matériau d’origine. Il n’en est pas moins une vision assez crue et aiguë de la communauté des héroïnomanes d’Edimbourg dans les années 80 avec l’apparition du SIDA. Les trouvailles de mise en scène de Boyle contribuent en outre à bien rendre le côté doux amère de cette chronique et sympathiques des personnages qui dans le livre le sont beaucoup moins. Les acteurs sont tous épatants et la percée postérieure dans le métier de McGregor méritée au vu de sa performance dans ce film. Un film à la bande son soignée, au scénario travaillé et à la mise en scène inventive qui mérite la bonne opinion qu’il draine avec lui depuis une quinzaine d’années. À voir absolument pour ceux qui n’auraient pas encore eu la chance de le faire et à revoir avec bonheur pour les autres.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 10 janvier 2017
    Un Véritable Ovni. Le réalisateur Danny Boyle frappe trés forts en adaptant le roman de Irvine Welsh pour en faire un Uppercut cinématographique Psychédélique et Rock N Roll sur les addictions a la drogue qui est entre la parfaite croisée entre Orange Mécanique et Fight Club. Pour Commencer la Réalisation est Inventive tout en étant maîtriser avec maestria comme souvent le réalisateur Danny Boyle en a le talent et qui est accompagné d'une BO électrisante qui accompagne magnifiquement l'univers nauséabonde du long métrage. Ensuite le Scénario est quand a lui Passionnant du début jusqu'a la dernière minute en suivant les dérives de Cinq jeunes Écossais chômeurs accro aux cocaïne et drogues en tout genre qui vont vivre des hauts et des bas pendant 1h30 dont le Rythme ne parvient a ne jamais s'affaiblir en cours de route, Ajouter a cela une multitude de Séquences Marquantes qui sont rester a graver dans les annales en passant par une poignée de Dialogues Incisifs et qui font littéralement mouche a chaque fois grace notamment a son Humour trés Grinçant et Noir a souhait tout en n'oubliant pas de nous choquer a travers quelques passages assez Crues et Insoutenables avec en prime une petite pincée D'Emotion qui également au programme. Enfin les Personnages sont Loufoques et Attachants tout en révélant au monde entier une troupe d'acteurs formidables qui s'investit énormément dans les roles de ces personnages hauts en couleurs qui est composer entre autres de Ewan Mcgrégor,Robert Carlyle,Kelly Macdonald,Kevin Mckidd,Jonny Lee Miller et Ewen Bremner qui apporte beaucoup leurs édifices a ces Jeunes Adultes révolté et tourmenter. En Conclusion, Trainspotting est une véritable baffe du Septième Art qui réussit a marquer toute une génération a sa sortie en salles et même plusieurs années après qui confirme au passage le talent virtuose de Danny Boyle qui arrive a nous livrer une oeuvre tragi-comique a la fois Déroutant,Corrosif,Déjanté et Poignant qu mérite amplement son statut de Film Culte ainsi que celui d’œuvres incontournables des années 90 dont on en ressort totalement sonné a chaque visionnage et dont on peut espérer que la Suite Prévue prochainement se montera a la hauteur de cet ovni britannique a redécouvrir impérativement.
    DarkAkuma02
    DarkAkuma02

    56 abonnés 506 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 4 mars 2017
    Ewan McGregor incarne Mark, jeune écossais accro à l'héroïne passant son temps à traîner avec ses amis Tommy, Sick Boy, Spud et Franco. L'histoire commence alors qu'il prend une nouvelle fois la décision d'arrêter de consommer de la drogue.
    Ce film a un rythme extrêmement soutenu, donnant l'impression qu'il n'y a jamais de temps mort. Les événement s’enchaînent d'ailleurs avec diversité sur 1h30 montrant spoiler: Mark prenant la décision de se sevrer, rencontrer des filles avec ses amis, replonger dans la consommation d'héroïne puis arrêté par la police, réussir à se sevrer avec l'aide de ses parents et travailler comme agent immobilier à Londres jusqu'à ce qu'il revende une importante quantité de drogue avec ses amis et décide de voler l'argent à la fin
    . Finalement, tous ces événements paraissent très simples étant donné la facilité et la fluidité avec laquelle ils s'enchaînent. Même les séquences les plus dramatiques semblent glisser sur les protagonistes avec peu de conséquences tant ils les vivent avec nonchalance, malgré le fait que spoiler: l'enfant de Sick Boy, encore bébé, meurt ou qu'ils fassent face au décès de leur ami Tommy
    . La réalisation et le montage énergique de ce long-métrage contribuent pour beaucoup à son rythme, alternant sans transition scènes réelles et éléments vécus sous l'emprise de drogue par Mark.
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