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Un visiteur
2,0
Publiée le 18 mars 2013
Jappeloupé. Mauvais signe : bien que ce soit le printemps du cinéma, dimanche soir à la séance de 22h15, j'étais le seul spectateur dans la salle de 400 places au grand amusement des employées d'UGC qui me connaissent bien. Le pire était donc à craindre et en effet ce film est ni plus ni moins qu'un documentaire sur les concours hippiques et le métier d'éleveur de chevaux. On se lasse très vite et de plus, le film dure 2h10. Il n' y a pas d'émotion, la mort du père est baclée en 2 minutes Quand aux acteurs, si Guillaume Canet tire son épingle du jeu, c'est service minimum pour les autre. D. Auteuil passe le temps entre sa tasse de café et ses gitanes, Marie Bunel et Marina Hands sont transparentes.
Le film est assez prévisible et nous impose tous les poncifs du genre. A éviter si l'on est indifférent au sujet (l'équitation). Cette avalanche de critiques à 5 étoiles me parait suspecte
Attention, film-académique sur une belle-histoire-en-forme-de-joli-conte. Il est possible que vous ayez une sensation persistante de déjà-vu. La tentation su sommeil pourra alors vous guetter.
Dans l'air du temps, ce film ravira les amateurs de gayes qui préfèrent les voir galoper plutôt que de les retrouver dans leurs barquettes de lasagnes au bœuf. Inspirée de faits réels, l'histoire est, au dire du mironton qui a servi de modèle, un peu tirée par les chevaux (haha).
Juste magnifique ! Beaucoup d'émotion. Je ne m'étais jamais intéressé au saut d'obstacle auparavant et là je me suis régalé. Des scènes grandioses avec les championnats de Los Angeles ou les Jeux Olympiques de Séoul. Tous les personnages sont justes et derrière celui de Pierre Durand se cache un sacré bon cavalier Guillaume Canet qui, je l'espère, récoltera lui aussi des médailles.
Le réalisateur québecois, Christian Duguay, nous offre un film simple, limpide, magique. La beauté visuelle nous rappelle qu'il fut dans le passé un excellent directeur de photographie. Ses plans scotchent les spectateurs à l'écran même les non-férus de sport hippique. Guillaume Canet, bouleversant Pierre Durand, en incrustant dans le scénario son propre itinéraire, nous assure des instants larmoyants. De l'émotion en veux-tu en voilà mais ni trop, ni trop peu, dans l'allégresse comme dans le désespoir. Toute la distribution est au diapason. Du père protecteur, Daniel Auteuil, à la groom fusionnelle avec son cheval, Lou de Laâge, en passant par le propriétaire originel, Jacques Higelin, l'interprétation hisse Jappeloup vers les sommets. Un film profond basé sur les relations humaines, notamment la relation père-fils sublimée par le duo Auteuil/Canet.
C'est un hymne à l'amitié. C'est aussi une leçon de travail et de pugnacité. Cest enfin un biopic sur le sport magistralement retranscrit, en s'inspirant des pépites du genre dans le cinéma américain. Un grand spectacle.
J'aime car à l'heure où le film n'était pas encore sorti, je pouvais lire des com "Oui c'est impossible de résumer un film dans une bande annonce de 2min" ..... Et bien ..... Le film est bien à l'image de sa bande annonce, c'est à dire un navet. La BA est un condensé à 80% du film sans développement intéressant. Du coup aucune surprise. Et le pire c'est cette musique pathos présente dans la BA et omniprésente dans le film. Ah bah oui faut verser la petite larme. Réalisation bien plate, à la hauteur d'un Christophe Barratier ou d'un Fabien Onteniente. Des mouvements de caméras (vive la dolly, ça coûte cher) pas justifiés qui n'apportent rien. Ralenti idem. On a l'impression de regarder un téléfilm français pour M6 mais avec un budget de 26millions. Difficile de s'attacher aux personnages par manque de profondeur. Celui de Raphaelle a la profondeur d'une moule. Lou de Läage en fait des tonnes. (spoiler: la scène où elle démissionne parce que son choual, il va être vendu. Allez hop, je me tire sur mon solex sur fond de musique pathos
Avec sa clope au bec à chaque plan du film (au moins chez Malick c'est le soleil dans la gueule et c'est joli), Autueil joue sur ses acquis et sa technique mais sans briller. L'apparition de guest stars tels que Jean Rochefort et Donald Sutherland, est ridicule.
Ah oui j'oubliais, merci au gros placement de produit durant la scène des championnats de France de 1982, avec les bannières publicitaires de la chaine Equidia. Hummm petite erreur chronologique, la chaine de TV n'est crée qu'en 1999. Vraiment, c'est un film raté.
Superbe film, plein d'émotions, on vit vraiment les compétitions comme si on y était, on a envie d'applaudir, de crier et de pleurer...merveilleux Guillaume Canet !
un excellent film, dont on peut regrette ou se féliciter, telle est la question, qu'il soit fait comme un film américain...pas de surprise donc, c'est calibré. mais c'est vivant, et rythmé et pourtant, les chevaux ne me passionnent guère, Jappeloup pas plus qu'un autre, je ne m'en souviens d'ailleurs pas du tout alors que j'ai l'age requis ! tous les acteurs sont vraiment à leur place; C'est impeccable, mais sans surprise.
Superbe ! J'ai compris et ressenti ce que peut ressentir un champion olympique lorsqu'il arrive sur le toit du monde. Tiens, je crois que je vais retourner le voir.
Après "Les Petits Mouchoirs" très bon mais comportant quelques longueurs et passages inutiles, Canet nous a concocté cette fois un film qui atteint quasiment la perfection, aussi fort que les américains dans les émotions mais tout en gardant un charme à la française, magnifique.
Ratage complet pour Jappeloup. C'est dommage car il y avait du potentiel et quelques talents.
On lui préfèrera Seabiscuit de Gary Ross, qui n'était déjà pas extraordinaire, mais qui est bien mieux filmé et bien plus chargé en émotions et sensations fortes.
15€ la sieste, ça fait cher. L'accent marseillais du cheval rend ses répliques incompréhensibles. Pour la fin du film j'aurais aimé que le cheval finisse dans des lasagnes Findus.