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    Godzilla
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    Alex Jaeger
    Alex Jaeger

    98 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 24 juillet 2018
    Serte on ne voit pas beaucoup Godzilla, au début, et ça parle pas mal, mais même quand ça parle, il s'agit toujours de monstres, les personnages sont assez attachant en plus, donc finalement même quand il n'y pas Godzilla le film reste intéressant, pas de romance, pas de blabla inutile, on reste toujours sur la bonne route et quand vient les scènes d'actions, alors là... c'est juste HALLUCINANT ! Les Mutos sont excellents, avec le positionnement de la caméra et la 3D on a vraiment l'impression que ces saloperies passes au dessus de nous ! ^^
    La première apparition de Godzilla est d'une puissance extrême, quand la caméra monte progressivement vers la tête du monstre et qu'il fini pas lâcher son cri, le spectateur fusion avec son fauteuil ! ^^
    et si vous avez peur de vous ennuyer, dites-vous que la fin est digne d'un bon Pacific Rim, et de loin ! paroles du plus grand fan de Pacific Rim au monde ! ;)
    Si je devais parlais de défaut je dirais juste que les effets spéciaux, bien que très impressionnants, ne sont pas tout à fait terminé sur certaines scènes, ce qui est un peu dommage, mais c'est vraiment pour chipoter. ;)
    Sebi Spilbeurg
    Sebi Spilbeurg

    75 abonnés 1 005 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 11 mai 2014
    Happy birthday to you, happy birthday to you !!!!!!!!! Cela fait 60 ans qu’il a terrorisé le Japon et ses habitants. 60 ans qu’il a lancé le genre des films de kaijus. 60 ans qu’il se frotte à divers adversaires qui sont devenus aussi célèbres que lui (Mothra, Rodan…), sans pour autant avoir une notoriété équivalente dans le monde entier. Et pour cet anniversaire dantesque, ce sont les Américains qui ouvrent le bal, tentant là où Roland Emmerich à louper son tir pour la majorité des fans du monstre et des cinéphiles : donner un lifting de taille, avec les moyens nécessaires, à Godzilla tout en gardant les bases de la saga. Second essai donc pour l’oncle Sam, pour regagner le cœur des aficionados ! Et autant le dire tout de suite : rester objectif pour cette critique va être un exercice difficile (étant donné que les films de destruction massive sont mes plaisirs coupables) !

    Du coup, par quoi commencer ? Le scénario ? Les longs-métrages de ce genre n’ont jamais brillé par leur écriture (ne consistant qu’à voir un monstre gigantesque tabasser un autre, pendant que de pauvres humains insignifiants s’activent alors que l’on s’en fiche royalement). Honnêtement, il n’y avait que le tout premier Godzilla (celui de 1954) qui avait véritablement quelque chose à proposer. En voulant à tout prix mettre en avant la peur du nucléaire post-Hiroshima ainsi qu’une réflexion sur l’utilisation de l’armement. Ce Godzilla 2014 arrive-t-il donc à surprendre de ce point de vue ? Pas tout à fait. Nous avons-là un gros blockbuster qui doit passer par la case « présentation des personnages » pour pouvoir mettre en place ce qui est promis sur le papier (des titans et des villes en ruines). Remettant en cause l’utilité de certains d’entre eux, comme la femme du héros, qui ne sert finalement qu’à être un repère pour le spectateur lors des séquences de foule. Sans compter que nous avons droit à quelques moments dignes des films américains (les scènes héroïques, le militarisme, le happy end…). Cependant, malgré ces défauts, le scénario surpasse, et de loin, tout ce qui a été fait sur les films de kaijus.

    D’une part en ce qui concerne les personnages. Jamais dans un tel film on s’était attaché aux protagonistes. Et cela, nous le devons à un travail d’écriture fort appréciable (qui les approfondis un minimum, notamment le père du héros), mais surtout aux comédiens. Qui, même s’ils n’ont pas spécialement une grande place dans l’histoire, s’en sortent superbement (en ce qui concerne les actrices, que ce soit Elizabeth Olsen ou bien Juliette Binoche). Arrivant à rester crédibles quelque soit la situation qu’ils doivent jouer (mention spéciale à Aaron Taylor-Johnson, qui délaisse son image de Kick-Ass). Avec, en tête, un Bryan Cranston inspiré et touchant, prouvant une nouvelle fois qu’il est un excellent acteur (la définition même qu’il peut aussi bien jouer de la comédie – la série Malcolm – que des rôles sérieux et dramatiques).

    De l’autre, nous avons une très bonne utilisation du thème du nucléaire. Qui fait partie intégrante de la mythologie de Godzilla et devait donc répondre présent à cette version, même s’il n’est plus autant d’actualité que dans les années 50. La bonne idée du film est de le fusionner avec l’écologie, tout en présentant des références pour les deux thématiques (la destruction de la centrale fait penser à Fukushima, le raz-de-marée provoqué par Godzilla au tsunami de 2004). Ainsi, Godzilla et ses congénères ne sont plus des créations nucléaires, mais des êtres d’une autre époque qui ont réussis à survivre par leur alimentation en radiations (de tout genre). Induisant que nous en sommes l’origine et que, par ce biais, nous avons bouleversé la Nature. Qui doit être rétablie par Godzilla (tel est son rôle dans ce film, et non pas une créature avide de destruction). D’ailleurs, les monstres apparaissant dans ce long-métrage (laissons la surprise pour les autres) ne sont jamais considérés de la sorte, mais plutôt comme des animaux. Un point non négligeable quand on veut traiter d’écologie !

    L’autre bonne idée de ce long-métrage est d’avoir laissé la réalisation entre les mains de Gareth Edwards. Cinéaste qui s’est fait connaître avec son premier film Monsters en 2010, qui a su convaincre les producteurs de lui laisser la lourde tâche de s’occuper du mythe Godzilla pour sa seconde réalisation, c’est pour dire ! Mais il y avait de quoi avoir peur. Et pour cause, on pouvait s’attendre à ce qu’un « petit réalisateur » se fasse happer par la machinerie hollywoodienne, livrant ainsi un film qui ressemble bien plus aux producteurs qu’à lui-même. À la grande surprise, Godzilla 2014 est bel et bien un film de Gareth Edwards, qui reprend la même mise en scène que Monsters, à savoir tout filmer à hauteur d’homme. Ce qui nous rapproche des personnages (également un autre point qui nous permet de nous y attacher) tout en donnant énormément d’ampleur, de grandeur aux monstres présents dans ce film. De ce fait, nous restons petits, impuissants et désemparés par les destructions dont nous devenons les témoins. Le tout filmé avec une énergie folle, pour ne jamais nous perdre.

    Autre point positif avec le choix de Gareth Edwards : son respect envers Godzilla. The Amazing Spider-Man 2 (pour donner un exemple récent) se présentait comme une honte pour ce super-héros pourtant vénéré. Ici, c’est carrément un hommage qui est rendu ! Godzilla ne se montre qu’au milieu du film, certes, mais tout est fait pour nous le cacher et ainsi faire monter l’attente. Jusqu’à ce qu’apparaissent ses épines dorsales. Puis une de ses pattes. Et enfin cette caméra qui remonte doucement vers sa gueule, qui s’ouvre pour faire entendre son célèbre rugissement (brillamment modernisé pour ce film). Dès lors, on sait que le réalisateur a joué avec le mythe et ce que représente Godzilla pour les fans. Et des moments comme ça, le film en regorge ! Comme celui où le gros lézard se prépare à « lancer » son souffle nucléaire : ses épines s’allument petit-à-petit dans la brume, du bout de la queue jusqu’à la base du cou, et feu !! Et si vous n’êtes toujours pas convaincus pas ces arguments, il ne vous reste plus qu’à regarder le film. Et voir à quel point certaines scènes sont faites à ce que l’on s’attache à Godzilla (notamment quand celui-ci se retrouve en bien mauvaise posture). Prouvant que le statut d’idole du monstre a été conservé jusqu’au bout !

    Est-il nécessaire de parler des efforts techniques qui ont été faits sur ce film ? Vous faire part du budget (au moins 215 millions de dollars) devrait vous convaincre. Mais précisons tout de même que les effets visuels sont aussi réussis que nous le promettaient les diverses bandes-annonces. Faisant largement oublier le côté LEGO des films originaux et de la vieillesse du film de Roland Emmerich. Suffisamment dantesques pour que les monstres soient crédibles à l’écran (au concept art réussi, même si pas mal de fans japonais n’approuvent pas le côté « balourd » de Godzilla, alors que cela renforce sa grandeur et sa puissance) et offrir au film des séquences apocalyptiques. Ces dernières étant, au passage, magnifiquement mises en valeur par le travail musical d’Alexandre Desplat, tout simplement grandiose. Et enfin, les effets sonores assurent tout simplement le spectacle (au Grand Rex, le sol vibrait quand Godzilla rugissait !).

    S’il n’est peut-être pas aussi travaillé qu’un film de Christopher Nolan ou de Steven Spielberg (en ce qui concerne le scénario), ce Godzilla 2014 est exactement ce que l’on attendait d’une version américaine : une icône intemporelle visuellement améliorée pour un divertissement grand spectacle. On en prend plein les yeux, sans jamais s’ennuyer. Que demander de plus ? Pressé d’avoir une suite, c’est pour dire !! Après avoir vu ce film, vous en redemanderez à coup sûr !!
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 18 mai 2014
    Ah ouais quand même...
    Telle fut ma réaction à la fin de ce nouveau Godzilla, cloué à mon siège comme paralysé suite au choc auquel je venais d'assister puis incapable de mettre un pied devant l'autre pour rejoindre la sortie de la salle (j'ai même failli me tauler dans les marches...)
    Je l'attendais ce film, depuis son annonce, et sûrement pas en tant que fan du monstre japonais ou du genre du Kaiju Eiga auquel il appartient. Car honnêtement, avant Pacific Rim, mes connaissances dessus étaient inexistantes et ne se sont d'ailleurs pas étoffées entre temps (bien que j'aie essayé de voir le premier Godzilla de 1954). C'était plutôt du côté de l'équipe du film que les choses devenaient pour moi intéressantes, un réalisateur talentueux, un gros casting et un compositeur tout aussi bon (si l'on excepte la m*rde qu'il a pondu pour Monuments Men) ne pouvaient que me rendre impatient.
    Et si le film est blindé de défauts, j'ai parfaitement réussi à en faire abstraction pour apprécier ce premier blockbuster de l' « été ».
    Le parti pris de ce nouveau film, fort intelligent, était de toujours se focaliser sur l'aspect humain, que ce soit dans l'approche du long-métrage où dans les points de vues adoptés lors des séquences d'actions. Ainsi après un angoissant générique (similaire à celui de L'Armée des Morts, sauf que Johnny Cash a ici été remplacé par la compo de Desplat), on suit le parcours de trois personnages dont deux principaux (Juliette Binoche claquant au bout de 10 minutes, cela ne l'empêchant pas d'être investie pour le rôle), Aaron Taylor Johnson et Bryan Cranston. Le film prend son temps de poser les enjeux, aussi simples soient-ils et de faire en sorte que l'on s'attache aux personnages. A ce titre, Gareth Edwards y arrive plutôt bien en ayant l'intelligence de d'abord approfondir celui de Cranston (parfait, comme d'habitude) avant l'élément perturbateur quitte à laisser de côté le protagoniste de Taylor Johnson. Et c'est là l'une des qualité du film que beaucoup ont vu comme un défaut, la manière dont Ford Brody (Taylor Johnson donc) s'efface tout au long du film quitte à être trop lisse. L'idée, encore une fois, était d'explorer le mythe avec une approche humaine et réaliste et non pas de faire du personnage principal un super-héros ultra-charismatique (même si le fameux poncif du héros américain increvable est encore présent) mais plutôt d'en faire un « non-leader » aussi impuissant que les autres face à la nature. Il est animé par l'envie de retrouver sa famille coûte que coûte, chose que nous pouvons comprendre et c'est tout, inutile de s'éparpiller en étalant toute la psychologie du personnage, le but est de rester limpide et d'aller droit au but, à l'instar de Brody, le film n'a pas de temps à perdre. Cela n'empêche pas certaines maladresses et grosses ficelles dont on aurait pu se passer comme l'omniprésence de musiques dans des scènes « intimistes » appuyant de manière trop forcée la dramaturgie ou la fin trop prévisible. En revanche bon point du côté de l'aspect scientifique, à des années lumière des films Marvel et de leurs théories totalement nawak où de leurs absences d'explications, faisant un gros fuck à l'intelligence du spectateur. Par le biais du personnage de Ken Watanabe et de Sally Hawkins, on nous explique clairement les aspects nucléaires des monstres sans que cela soit irréaliste (même si certaines de leurs interprétions partent absolument de rien, comme la pseudo-conversation entre Mutos).
    Mais si certains clichés flinguent un scénario tout à fait honorable, le film demeure irréprochable formellement. Gareth Edwards, en respectant à la lettre son approche humaine, nous offre des plans magnifiques (voire iconiques pour certains) où Godzilla et les Mutos s'approprient totalement le plan de leurs immensités. L'humain est alors réduit au rang de spectateur ou de dommage collatéral comme peut l'être la ville de San Francisco, réduit en cendre, qui n'est pas sans rappeler Hiroshima et Nagasaki après le passage de la bombe nucléaire le 6 et 9 Août 1945. La dernière partie du film (dans San Francisco version « c'est San Francisco ça ? ») prend alors des allures d'apocalypse, malheureusement un peu tard pour un film qui promettait un univers bien plus sombre. Ça reste tout de même extrêmement sérieux et la tension ne quitte jamais le spectateur dès lors que le premier Muto fait son apparition.
    La saison des blockbusters démarre donc extrêmement bien avec le retour en force de Godzilla, qui malgré un scénario parfois cliché et prévisible, propose un spectacle monstrueusement impressionnant à la limite de l'angoissant grâce à une réalisation maîtrisée et un incroyable soin apporté à la photographie ainsi qu'à un mixage sonore totalement immersif.
    … et une bonne 3D (un peu floue sur quelques plans mais proposant une belle profondeur de champ dans sa globalité).
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 14 mai 2014
    Quelle claque, mon dieu mais quelle claque ! Les mots me manquent pour définir le film que je viens de voir. Tout d'abord il faut absolument OUBLIER la version de Roland Emmerich. Ici on a du top niveau. L'histoire est bien solide, avec des acteurs bien convaincants et qui ne sont pas sacrifiés au profit des monstres du film. J'aurais tendance a dire que ce Godzilla 2014 et un peu le Jurassic Park des années 2000 car il y a beaucoup de similitude avec celui ci, notamment au niveau de la tension, le film regorge de moments ou vous êtes littéralement agrippés a votre fauteuil par la trouille, bien renforcé par l'excellente BO d'Alexandre Desplat. Ensuite s'enchaine des moments tous plus anthologiques les uns que les autres. Les effets spéciaux sont a tomber, le Godzilla est franchement réussi et fout une sacré trouille tout comme ses comparses les MUTO. Gros travail également sur le montage sonore absolument ébouriffant.
    Si vous voulez en prendre plein les yeux, avec une histoire convaincante et de fort moments de tension, vous ne serez pas déçu!
    P.S : La 3D est complètement inutile....comme d'hab!!!
    Sylvain. V
    Sylvain. V

    134 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2016
    Godzilla est le meilleur film de science-fiction de l'année 2014. Un casting déterminé et bien choisi, des effets spéciaux très spectaculaire et à couper le souffle, des scènes d'action remarquables et bien vues. Un film grandiose ! Scénario incomparable et mise en scène dynamique. Sensationnel. Original. Innovant. Très distinct du film d'action. 5/5 *****
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 9 juin 2014
    Un Excellent Reboot. Après une adaptation en demi-teinte signé Roland Emmerich, le réalisateur Garreth Edwards livre ici une version plus Fidèle et plus Intimiste tout en rendant un grand hommage au plus célèbre monstre culte de l'histoire du cinéma. Pour Commencer, le Scénario est très efficace tout en étant assez intelligent grâce a certains thèmes qui font partie de l’actualité, ensuite la BO composer par le compositeur Alexandre Desplat est quand a elle au top en collant a parfaitement a l'ambiance sombre et pesante du film. Concernant la Distribution elle s’avèrent tout simplement remarquable et sans faute que se soit Aaron Taylor-Johnson,Bryan Cranston,Elizabeth Olsen,Juliette Binoche,Ken Watanabe,David Strathairn et Sally Hawkins qui campent parfaitement leurs rôles respectives. La Réussite de ce reboot repose aussi sur des Effets Spéciaux Démentiels qui laisse sans voix avec un Godzilla très effrayant lors de ses apparitions qui parfaitement réaliser tout comme les Mutos qui le sont é la Mise en Scène est minutieusement soignée dont notamment lors de certaines séquences phares du film avec un Suspense et une Tension Insoutenable du début à jusqu’à a la toute dernière minute. En Résumer, Godzilla est un grand Blockbsuter a la fois Spectaculaire,Émouvant et Effrayant qui entre au panthéon des meilleurs films de monstres avec l'excellent Cloverfield dont on peut saluer le travail remarquable de Garreth Edwards qui a réussi le pari de faire renaître Godzilla de manière Brillante et Réaliste, tout en faisant parti de ces réalisateurs trés talentueux qui montent a Hollywood ces derniers temps et dont on attend impatiemment les deux suites prévus au film et ses nouveaux projets.
    NoPopCorn
    NoPopCorn

    26 abonnés 286 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 mai 2014
    La guerre des monstres !
    Majestueux et puissant à la fois, intime et épique, ce Godzilla mêlant le réalisme et le drame au fantastique apporte une belle pierre au mythe du « King Of Monsters ».
    Pour en savoir plus, lisez notre critique complète NoPopCorn !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 29 mai 2014
    Je pense que ce film mérite la palme du navet 2014 et j'ai bien peur qu'il la gardera jusqu'à la fin de l'année. Il y a tellement de bons films à voir en ce moment, à évitez : mise en scène nulle, jeu d'acteur pathétique, scénario inexistant et comble du film fantastique, effets spéciaux digne des années 80.
    Marvellous
    Marvellous

    86 abonnés 71 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2014
    Avec Gareth Edawards au scénario, on peut s'attendre à tout ! Et heureusement ce film comble mes espérances ! Après avoir vu le Godzilla de 1998 de Kemmerich avec des acteurs franchement médiocres et un scénario d'une lourdeur insoutenable et abominable, on a le droit à un sacré bon divertissement digne des plus grands films de Kaijus ! Bien au-delà de Pacific Rim et autres Par quoi commencer ? Il y a tant de choses à dire sur ce film ! Tout d'abord, félicitations aux acteurs qui arrivent à créer une atmosphère sinistre. Mention spéciale à Aaron Taylor Johnson et Elisabeth Olsen (que nous aurons le plaisir de les revoir dans Avengers Age of Ultron) ainsi que Bryan Cranston qui n'a hélas pas un rôle très important. En effet, spoiler: il meure
    dès les 30 premières minutes du film. La 3D est un grand avantage du film et je ne regrette pas du tout d'être aller le voir en 3D, où les scènes d'actions sont plus qu'époustouflantes avec un Godzilla plus déchainé que jamais. Heureusement que Godzilla en a plus après spoiler: les deux MUTO (mâle et femelle).
    Le fait qu'on ne voit pas beaucoup les monstres de jour accentue la peur que nous éprouvons (presque) tout au long du film, ou tout du moins nous sommes tenus en haleine. On notera quelques clins d'œil pour les fans : deux affiches des premiers Godzilla sont présentes dans leur maison au début et l'aquarium est surnommée MOTHRA, en référence sûrement à MOTHRA, le papillon géant défenseur du bien que nous aurons sûrement le plaisir de rencontrer dans Godzilla 2/3. Les combats sont d'une rare intensité, mais les personnages et leur hisoire ne sont pas assez exploités. spoiler: Godzilla crache de la radioactivité bleue
    ce qui m'a fort déplu. En effet, cela ne faisait pas du tout réel. Dommage... La bande original est vraiment cool. Encore une prouesse musical à écouter en boucle toute la journée ! Au final, un très bon film où l'on ne s'ennuie jamais et des acteurs qui jouent à merveille. Génial ! Sauf la fin qui a eu le don de m'énerver...
    4/5 !!
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 mai 2014
    Un vrai navet !
    C'est très mou, les monstres ont deux de tension.
    Le début est lent et on n'accroche pas, on essaye de dormir : on y arrive pas car il y a trop de bruit.
    Film à éviter
    yamilsuez@free.fr
    yamilsuez@free.fr

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 mai 2014
    GROSSE DAUBE , Un vrai navet !!! , Les scènes se suivent et ne se ressemblent pas,les monstres sont laids,les personnages ne sont pas attachants. Le Godzilla d'Emmerich avait le mérite d'être drôle et plus intense.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 18 mai 2014
    16 ans après la version de Roland Emmerich, cette nouvelle adaptation était très attendue par les fans. Et cela est à double tranchant pour l'équipe du film car aucun cadeau ne leur sera fait. Il faut dire que les fans japonais étaient très dubitatifs quant à l'interprétation américaine d'une histoire bien de chez eux. Ils connaissaient déjà toutes les facettes de Godzilla, dont l'histoire cinématographique a commencé en 1954 sous la houlette de Ishirô Honda et s'est poursuivie avec une trentaine de films à ce jour. Bref, la peur de n'obtenir qu'une pâle copie d'un des monstres les plus populaires de leur culture les a fait douter. Après avoir vu le film, nos sentiments sont aussi mitigés mais pour des raisons différentes. Cependant, avant de parler de tout ce qui ne va clairement pas, parlons des points positifs.

    Commençons par l'histoire générale du film. L'approche adoptée est celle du tout premier Godzilla japonais de 1954 et en cela les fans pourront apprécier le retour aux sources. Notre Kaïju préféré a ici pour but de terrasser deux autres monstres qui menacent l'équilibre de la nature et risquent d'anéantir l'espèce humaine. Nous retrouvons donc avec plaisir le thème cher à Tomoyuki Tanaka, créateur de Godzilla. Cette version de l'histoire nous a beaucoup plu car elle donne un côté sympathique et attachant au monstre. En plus, le but, l'origine et la raison d'être de Godzilla sont plus clairs que dans la version de 1998.

    En revanche, si l'on s'intéresse aux détails du scénario, les grosses maladresses et incohérences s'enchaînent, entraînant le film avec eux dans le ridicule. On peut évoquer entre autres au moins un quart de l'intrigue qui part en une simple fumée au lieu de dévaster la moitié des Etats-Unis, des services de secours peu crédibles et des réactions et dialogues des protagonistes humains complètement stupides. En sommes, on retrouve l'éternel « les Américains sont les plus forts » qui fait perdre une partie de sa cohérence au film et c'est dommage.

    On peut cependant apprécier la technique et la réalisation, auxquels il n'y a pas grand chose à reprocher. Les ambiances post-apocalyptiques dus aux passages des montres sont très bien faites. Certaines images sont vraiment magnifiques avec des jeux de lumières et de couleur très travaillés. Quant aux combats de monstres, qui sont le fond de commerce de ce type de film, ils sont aussi très réussis et très impressionnants. On aurait probablement aimé en voir un peu plus à la place des combats monstres/humains mais le tout reste quand même largement agréable. Quant à l'ambiance sonore, c'est également un grand succès. Elle aurait pu être assourdissante mais les réalisateurs ont fait l'excellent choix de la réduire à un volume très mesuré, lui permettant de devenir un appui des différentes scènes clés plutôt qu'un fabricateur de migraines en masse.

    Enfin, parlons de la performance des acteurs, principale faiblesse du film selon nous. En effet, mis à part Bryan Cranston et Juliette Binoche (que l'on voit très peu au final), aucun des autres acteurs n'est vraiment convaincant. Même Ken Watanabe (Inception, Le Dernier Samouraï) ne donne pas de profondeur à son personnage. Il faut bien avouer qu'ils n'ont guère été aidés par le script aux dialogues et mises en scène peu crédibles mais on attendait quand même mieux. Certes, le jeu des acteurs n'est pas la pièce maîtresse de ce genre de film, mais cela nous a quand même gêné.

    Point de vue féminin : La conclusion est assez rude. Le film est appréciable d'un point de vue visuel mais il ne faut pas trop rentrer dans les détails sans quoi l'on est vite déçu. A voir rien que pour comparer avec les anciennes versions mais sans trop en attendre.

    Point de vue masculin : L'essentiel y est. On passe tout de même un bon moment même si l'abondance d'incompréhensions scénaristiques et le mauvais jeu des acteurs gâchent pas mal l'ensemble.

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    Nicolas.BSN
    Nicolas.BSN

    81 abonnés 297 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 16 mai 2014
    Gigantesque et monstrueux! Voici comment on peut décrire ce Godzilla version 2014. Il met un peu de temps à apparaitre mais une fois qu'il est là, il dévaste tout sur son passage. Son cri est juste bluffant et nous cloue à notre siège. On se laisse porter par les personnages cherchant à combattre ces créatures et l'histoire reste crédible tout en étant assez simple. Les décors et paysages nous plongent dans une aventure titanesque. Deux mentions spéciales: la scène de saut à travers les nuages (dommage qu'on la voit déjà dans la BA...) et l'arme secrète du Roi des montres (...)!
    redB75
    redB75

    2 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 mai 2014
    Seigneur que ce film est nul, navrant, indigeste, mou....
    Grosso modo on ne doit voir Godzilla que 15 minutes en tout.
    Quand on le voit et qu'on se dit qu'enfin l'action commence, hop, interruption, on passe a une autre scène (en général assez niaise) et on revient brievement sur lui puis on repart...
    L'impression de voir 10 fois la même scène : Godzilla déploie sa grande taille dans un nuage de poussière, Godzilla arrive et se lève en faisant gicler de l'eau, Godzilla apparait en se levant (a croire qu'il rampe le reste du temps) parmi les immeubles...
    Bref on reste sur notre faim et c'est sans compter sur le jeu d'acteur moisi (aucune émotion, pas de crédibilité), le scénario écrit par un gosse de 3 ans (pardon aux enfants de 3 ans), des lenteurs abominablement longues...
    Passez votre chemin si vous payez votre place, si vous avez la carte allez le voir et venez sauver les finances des cinéphiles en postant un avis salvateur.
    LeddyZ
    LeddyZ

    99 abonnés 67 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 mai 2014
    Aïe aïe aïe, si je m'attendais à ça...Définitivement, il ne faut pas se fier aux bandes-annonces: Godzilla est le prototype-même du "pétard mouillé". On sent vraiment que Gareth Edwards s'est donné corps et âme pour faire plaisirs aux fans, pourtant son long-métrage s'enfonce de plus en plus dans la médiocrité au fil du temps de projection: ça me fait de la peine pour le réalisateur, sincèrement. J'ai attendu patiemment que le film démarre, hélas! il n'a jamais démarré: je me suis ennuyé à mourir, de bout en bout, alors même que l'objectif de Godzilla est de divertir. J'ai même accepté de diminuer mes attentes et de passer outre le scénario faiblard, conscient que ce genre de film ne visait pas à développer une intense réflexion, malheureusement les maladresses s'accumulent et il en devient impossible de défendre Godzilla: rythme catastrophique (les scènes d'action sont effroyablement mollassonnes, brouillonnes et constamment entrecoupées d'autres séquences n'ayant rien à voir), personnages sous-développés (que ce soit le "héros" Aaron Taylor-Johnson ou Ken Watanabe; spoiler: Bryan Cranston, quant à lui, meurt au bout de 20 minutes, donc ne vous attendez pas à le voir beaucoup à l'écran...
    ), 3D inutile (honnêtement, je n'ai jamais vu un film qui exploitait aussi peu cette technologie. Il est scandaleux de devoir payer plus cher pour RIEN), et j'en oublie encore...Seules deux brèves scènes m'ont beaucoup plu: la descente vertigineuse en parachutes d'une part, et le contraste entre le gigantisme de la créature de l'ancien temps et les douces notes d'un piano en fond sonore d'autre part. C'est tout, en deux heures. Autant dire que c'est maigre.
    Le film se clôt de manière ridicule et l'on ressort fatigués après cette catastrophe, ou reposés grâce une belle sieste de deux heures, au choix. Par contre, on a tous le sentiment de s'être faits pigeonnés, car Godzilla est une grosse arnaque.
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