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    Godzilla
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    1 879 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 22 juillet 2014
    16 ans après la version de Roland Emmerich, Godzilla est de retour sur grand écran certes avec un casting solide, de Bryan Cranston, à Aaron Taylor-Johnson en passant par Ken Watanabe et encore Elizabeth Olsen, mais servi malheureusement par un scénario effroyable.

    Au-delà de la structure confuse de l’histoire, le film ne fait qu’enchainer des séquences sans liens solides, les personnages et leurs relations ne présentent aucun intérêt. Mais si l’absence de personnages développés est l’apanage du genre, la plupart des blockbusters parviennent toujours plus ou moins à nous proposer des héros attachants créants à chaque fois le point d’entrée dans une histoire, ce qui n’est hélas pas le cas ici. On n’est jamais vraiment concerné par les problèmes des héros, entre un Ken Watanabe constipé et un Aaron Taylor-Johnson apathique, on en finit à être presque plus touchés par les MUTOS à la recherche d’un nid pour leur progéniture.

    Si je critique le manque de structure de l’ensemble, il faut souligner que le film comporte quand même de belles scènes, comme le saut en parachute à haute altitude repris notamment sur une des affiches. Un des plans les plus beaux du film est sans doute un des premiers révélant Godzilla, nageant dans l’océan et passant sous le porte-avion des héros pour éviter une collision.

    Entre belles séquences et personnages creux, Godzilla est un film frustrant et ennuyeux, une vraie déception impossible à sauver faute d’éléments assez solides, j’en viens presque à regretter le film de Roland Emmerich… à fuir donc !
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 22 juillet 2014
    Mais quelle leçon, mais quelle leçon... ce film est incroyable. La musique, le thème du début lorsque le nom GODZILLA apparaît. Le fait de rarement voir le GODZILLA rend le film encore plus énorme et je ne comprends pas les gens qui oses crier au scandale vis à vis de ça, les bandes annonce ne nous ont pas promis des batailles non-stop pourtant, mais bel et bien un film traitant des catastrophes naturelles et de la création de l'Homme. Le tsunami (Godzilla), le nucléaire (L'homme qui se prend pour Dieu). Bref, un film vue et revue que je conseille vraiment. En plus, l'idée de filmer les créatures à hauteur d'homme je trouve ça bluffant. Un autre bon point : ce qu'on voit dans le film est complètement changé vis à vis des bandes annonces, du coup, la surprise était vraiment bonne !
    Sylvain. V
    Sylvain. V

    134 abonnés 372 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2016
    Godzilla est le meilleur film de science-fiction de l'année 2014. Un casting déterminé et bien choisi, des effets spéciaux très spectaculaire et à couper le souffle, des scènes d'action remarquables et bien vues. Un film grandiose ! Scénario incomparable et mise en scène dynamique. Sensationnel. Original. Innovant. Très distinct du film d'action. 5/5 *****
    Kameleon74
    Kameleon74

    20 abonnés 320 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 22 juillet 2014
    Film ni bon ni mauvais un godzilla sauveur de la planète (plutot Los Angeles)pourquoi pas. ..le casting est parfait les effets spéciaux pas mal...par contre l'histoire et le combat je trouve cela un peu niant niant ;)
    anonyme
    Un visiteur
    2,5
    Publiée le 26 juillet 2014
    Mais qu'est-ce que c'est que ce truc ? Ca ? du Godzilla ? Ca ne vaut même pas les 1/4 de Cloverfield. On y crois pas du tout avec les monstres qui rentrent dans les gratte ciels comme dans du beur... Les bastons dans le noir ont y comprend rien du tout, comme pour cacher des défauts... Pacific Rim avait pourtant réussi de ce côté là.

    Pour tout vous dire, j'ai plus apprécié la version de Roland Emmerich...

    J'ai déjà tout oublié de ce film, j'ai été gentil pour 2,5/5.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 21 juillet 2014
    bon certes le film est spectaculaire au niveau des effets spreciaux et des combats spoiler:
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    mais je ne m'attendais pas que ce godzilla soit vu comme un "sauveur" dans ce film contrairement dans d'autres films, du coup il est mis moins en avant que ses grand ennenis, il a un second role par rapport au couple de Muto
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 20 juillet 2014
    Franchement ces quoi ce film , une daube , à part quelques scènes et encore ... Franchement sa était vraiment l'arnaque de l'année ! Ces long ces nul , l'histoire est à dormir debout ! Rien est bien dans ce film , à part quelques scènes d'actions !
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    Quand on re-re-refait une adaptation, au moins qu'elle soit soignée ! Le scénario n'a aucune cohérence, les scènes sont un gag à chaque image. Ah en fait c'est une parodie... !
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    ce fil est tres mou mais c'est excellent blockbuster je ne me suis pas ennuyer meme si c'est sa reste un bon film regarder le
    Cyril B
    Cyril B

    13 abonnés 330 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 juillet 2014
    Bon, pas trop mal, je m'attendais à pire et au final c'est un film que se laisse bien regarder. La partie la plus intéressante est pour moi la première moitié avec la recherche scientifique, paléontologique et l'histoire du phénomène. La deuxième joue beaucoup plus sur l'action, nécessaire mais moins intéressante pour moi du coup. Les effets spéciaux sont bien réussis. Scénario pas trop mal mais sans grande surprise non plus. Une vision de Godzilla différente des précédents films, ce qui en fait aussi son attrait. Un bon film au final.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 juillet 2014
    Et Gareth Edwards réinvente le film de monstres tout en rendant un vibrant hommage au plus célèbre lézard de l’histoire du cinéma !

    Le physicien nucléaire Joseph Brody enquête sur de mystérieux phénomènes qui ont lieu au Japon, après qu’un incident ait irradié la région nippone. Refusant de croire la version officielle qui évoque un séisme, il découvre que les incidents ne sont pas liés à une catastrophe naturelle, mais à un monstre réveillé par des essais nucléaires dans le Pacifique au lendemain de la Seconde Guerre mondiale : Godzilla !

    Gareth Edwards ! Retenez bien ce nom car cet homme n’a accompli rien de moins qu’un miracle ! A l’instar d’un Sam Mendes ayant participé à la renaissance de James Bond avec Skyfall, Gareth Edwards a tout simplement rendu un vibrant hommage au plus célèbre lézard du cinéma en livrant un long-métrage qui ringardise celui de Roland Emmerich tout en établissant sa domination sur le film de monstres ! Mais afin de comprendre l’ampleur du miracle, un petit retour en arrière s’impose afin d’expliquer le contexte de la création de la créature, qui s’établit à mi-chemin entre respect d’une culture ancestrale et forte attache historique.
    Godzilla, 1er du nom voit le jour au Japon en 1954, dans un Japon d’après-guerre encore meurtri par les bombardements et l’inhumanité des troupes américaines, responsables de ce désastre nucléaire. Alors conséquence des bombardements, le lézard géant, par son existence parvient à cristalliser la forte attache du Japon a sa culture des monstres et des divinités (Kaijū Eiga), tout en dressant une peur manifeste du nucléaire. De plus, Godzilla illustre à merveille l’arrogance de l’homme, qui de par ses avancées technologiques croit pouvoir dompter la Nature, alors que c’est bien évidemment l’inverse.

    Face à ce matériau de base, Edwards se retrouvait devant un dilemme : assurer la continuité de l’héritage du film japonais tout en revendiquant un style différent ; ou bien à l’instar de Roland Emmerich, se saisir de cette figure iconique et la transformer en une bébête américaine, croulant sous un déluge d’effets visuels et pyrotechniques.
    Et à l’heure ou Guillermo Del Toro et son Pacific Rim, engoncé par son désir d’hommage à la culture nippone et son désir d’en faire un blockbuster ample et débridé, semblait l’erreur à ne pas réitérer, Gareth Edwards parvient à transformer l’essai en parvenant à affirmer une continuité de son style sans dénaturer le matériau d’origine.

    Un style qui a déjà tenu en haleine les fans de son premier film, Monsters, par sa très grande humanité, et sa dignité. Son approche humaine, qui n’est pas sans rappeler celle de Spielberg, est alors clairement visible dès le générique de début, qui dresse par le biais de soi-disant images d’archives et dossiers secrets, l’existence de Godzilla, et ce toujours sous une vision à hauteur d’homme. Ainsi, point de représentation totale du monstre, mais seulement quelques écailles, une trainée dans l’océan, des compteurs sismiques qui déconnent.
    Cette volonté d’en dévoiler le moins possible permet alors, tout en rendant un bel hommage à Steven Spielberg et ses Dents de la Mer, de sacraliser et d’élever au rang de Dieu des monstres, Godzilla, le tout dès la première fois où il est nous est permis de le voir. Et là encore, Edwards ne s’adonne pas à une sorte de frénésie de la représentation, car, à travers sa réalisation angoissante, celui-ci cherche en permanence à rendre immense le roi des monstres, en nous donnant à voir tantôt une patte, tantôt le cou, tantôt la queue.

    Cette faible présence du monstre, marquée par de nombreuses scènes ou sa présence est davantage supposée qu’explicite, apparait de manière paradoxale comme salvatrice. En effet, en ménageant la surprise, Edwards parvient à insuffler dans sa mise en scène une tension et une angoisse constante, qui irradie chaque scène quand bien même le monstre en est absent.

    Et au milieu de ce déluge d’acier et de radioactivité, le réalisateur surprend tout le monde en insufflant une réelle profondeur à son film grâce à l’autre atout de son film : ses personnages ! Campés par des acteurs très éclectique tels que Juliette Binoche, Bryan Cranston, Ken Watanabe ou encore Aaron Taylor-Johnson, ils reflètent avec brio le statut de spectateur, déjà issu du film original et qu’Edwards a su fidèlement retranscrire à l’écran. Car à l’inverse de l’héroïsme dégoulinant, présent dans la version d’Emmerich, Edwards dresse ces hommes et ces femmes, aveuglés par leur arrogance et leur soi-disant toute puissance, comme les spectateurs des chimères qu’ils ont engendrées. Sans défense, seuls, ils sont, par plusieurs fois, confrontés à la mort telle la scène du saut en parachute, qui fera date.
    Toutefois, ce statut de spectateur apparait ici comme le point noir du film, tant certains personnages disparaissent de manière trop subite et relèguent les bons acteurs les interprétant à une quasi figuration !

    Fort heureusement Edwards arrive à se distinguer des autres blockbusters, en restant très humain dans le découpage de ses scènes de destruction massive. Ainsi point d’égarement sur des immeubles détruits, sur des foules systématiquement tuées ou autre chaos ambiant y régnant. Sa mise en scène préfère considérer les humains comme des dommages collatéraux, préférant ainsi faire ressentir l’horreur à ses spectateurs qu’à en jouir de manière perverse.
    Et après le festival d’émotions se répercutant à travers le film, Edwards abandonne l’angoisse pour la remplacer par un profond sentiment de jouissance et d’euphorie lorsqu’arrive le « choc des titans », combat arrivant à combiner le délire d’un Pacific Rim, les prouesses visuelles d’un Transformers et la puissance de feu du lézard japonais pour un défoulement pyrotechnique et sonore rarement vu au cinéma.

    En plus de ça, Edwards pour clore son délire de réalisation, a la très bonne idée de nous laisser avec une vraie fin ne laissant pas de places a des suppositions concernant une hypothétique suite, en dressant le plus célèbre lézard du cinéma en une créature incarnant à la fois le sauveur, le vengeur le destructeur et l’icône !
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Le mythe revisité avec un démarrage rythmé qui retombe comme un soufflé. AUCUN intérêt! L'apport Alien dénature complètement le sujet et la cohérence du script. Quelle deception!!!!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Ce film est celui que l'on m'a le moins recommandé mais j'ai fait le choix d'aller le voire... Et c'est sans regrets , ceux qui pensaient découvrir un Godzilla méchant on forcément tout faux puis que c'est une créature bien-faisante. Pour ma part je trouve cet opus très réussi.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 juillet 2014
    60 ans après sa première apparition, le plus célèbre des Kaijūs revient pour la 30e fois et la seconde sous forme de remake. Le but est même ici de mettre sur pied une nouvelle franchise tout en restant fidèle à la saga originale, ce qui faisait défaut dans la version de Roland Emmerich sortie il y a 16 ans. Cependant, Godzilla mesure dorénavant plus de 100m et est ici considéré comme le défenseur de la terre et non plus comme son envahisseur. Le film insiste d’ailleurs sur le fait qu’il est là pour rétablir l’équilibre et fait ainsi de lui un anti-héros. Malheureusement, tenter de le rendre héroïque est dangereux et est ici éviter de peu. Néanmoins, le monstre reste avant tout le point fort de cette adaptation grâce à son design très soigné. Il n’a jamais été aussi imposant et terrifiant ni même aussi crédible et expressif. Malgré leur inefficacité sur le champ de bataille, la mise en scène privilégie tout de même l’intrigue humaine à celle du monstre, on ne l’aperçoit que très peu et encore plus rarement en entier. Fort heureusement, chaque passage à l’écran est une véritable réussite et offre une claque visuelle époustouflante. Ce film honore d’ailleurs ses ainés par ses affrontements dantesques entre montres. Gareth Edwards prend également grand soin de l’ambiance et impose un style inédit aux films catastrophes. La noirceur de la photographie et l’angoisse dégagée par la musique apporte ainsi une tension dramatique et un souffle épique supplémentaire. Le scénario est quant à lui assez mince vu les événements traités mais tient le spectateur en haleine via une tension omniprésente et des rebondissements jouissifs. Gareth Edwards instaure donc Godzilla dans un nouvel univers totalement unique où les monstres ne sont finalement que des seconds rôles car l’homme reste au centre du récit.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 14 juillet 2014
    film très (trop) long ca ne demarre "vraiment" qu'après 1h30 (d'ailleurs la scene des parachutistes du trailer est a peu pres a cette durée
    tres sombre (pas le scenario hein, la c'est ultra classique) mais l'image est degueu (désolé c'est le seul mot qui me vienne), du coup les combats de monstres sont plus suggérés qu'autre chose
    comme ca a été dit plus bas, le godzilla fait quand même un kameo, on l'aperçoit une fois ou deux
    bref pas grand chose a sauver dans ce film, a la limite, celui avec jean reno etait meilleur (c'est dire)
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