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    La Planète des singes : les origines
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    2 966 critiques spectateurs

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    lucilla-
    lucilla-

    58 abonnés 169 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 23 août 2011
    Long et soporifique.Et laid. Aucun intérêt. Je ne comprends pas l'engouement pour ce film.
    J.Dredd59
    J.Dredd59

    97 abonnés 699 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 18 février 2017
    Si on dit du remake de Burton que ce n’est qu’un blockbuster banal alors ce préquel c’est quoi ? Franchement, que des images de synthèse et de l’action. Certes on va me dire qu’il y a un peu de réflexion, heureusement sinon James Franco serait pas venu, et c’est clairement le seul attrait du film. Et un long métrage qui mise tout sur une star c’est souvent quoi ? Un blockbuster, surtout si ça pète dans tous les sens, ce qui est un peu le cas à la fin. D’ailleurs cette « réflexion » c’est plus des longueurs dans un rythme lent, dénotant avec la fin, qu’une tentative de philosopher sur la condition humaine et notre rapport avec les animaux, l’instinct, la nature etc.
    Puis ok les effets spéciaux sont bons, la musique pas trop mal, le montage passe, la vf aussi, mais le scénario… Déjà quel besoin de faire ce préquel ? Oui un manque d’idée patent à Hollywood mais à part ça ? Nous expliquer comment on en est arrivé à « la Planète des Singes » ? Le mystère était bien mieux, puis la cause est tellement bête… Un sérum, le singe est intelligent et voilà, ça fait tout, ouah c’était recherché ça, la rébellion s’explique tout de suite là, de même que son succès. Il fallait soigner l’histoire d’autant plus qu’on en connaît la finalité, donc nous étonner aurait été plus non négligeable. Faut croire que miser sur le cachet d’un acteur et tenter de copier Michael Bay est plus rentable.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 juillet 2014
    La planète des singes est aujourd’hui un élément culte de science-fiction. Mettant en œuvre une humanisation des primates pour à la fois rappeler notre bestialité animale mais également pour montrer ce qui fait de nous des hommes, la saga est morte en 2001 avec le film de Tim Burton, un incroyable navet qui n’est qu’un argument de plus pour prouver que Burton n’est pas le réalisateur génial qu’on nous vend (l’a-t-il été ?). Vient alors La planète des singes : les origines. Reboot complet, il se dresse comme une lueur d’espoir.

    Avec un nouveau départ viennent de nouvelles orientations qui sont très clairement ressenties. L’homme n’est plus au cœur du problème, c’est le singe qui intéresse le plus. En cela, le film franchit une nouvelle barrière, s’ouvre sur un autre univers. Il est bien question ici d’un animal, mais son parcours va l’amener à devenir de plus en plus humain. On ressent alors une évolution, comme si les singes devenaient supérieurs aux humains. Ces derniers apparaissent d’ailleurs à un stade d’anti-évolution, où les limites de l’éthique sont vite oubliées face aux enjeux qui suivraient de leur transgression. Il est d’autant plus juste que lorsque le film analyse notre rapport à l’animal, l’homme se prenne pour le maître incontesté, et chutera bien vite de son piédestal. Nous retrouvons constamment cette opposition entre Homme et Singe. Au début, les scènes montrant les humains sont plus nombreuses, puis petit à petit, la caméra se focalise sur César (singe, personnage principal). D’ailleurs le film procède à un beau parallélisme dramaturgique entre Will (humain qui a recueilli César) et ce même César. Là où le premier essaye de conserver son humanité en ne tentant pas d’alimenter la folie des grandeurs humaine, il est abandonné par ses semblables et permet au deuxième de créer une solidarité apparaissant comme primordiale à la survie d’une espèce. Ainsi le fossé se creuse entre humains et primates, ces derniers étant menés par un César très riche.

    La performance en motion capture d’Andy Serkis est bluffante car elle laisse voir toute l’humanité dont fait preuve son personnage à travers un champ d’émotions variées. Que ce soit dans l’expression corporelle ou faciale, les studios Weta Digital ont fait honneur au jeu de Serkis de bien belle manière. Ce que vit le chimpanzé est rendu encore plus réel, provoquant un attachement pour cette créature qui n’a d’animale que l’apparence. Les autres acteurs ne font pas non plus de la figuration, et si une belle brochette est présente (Freida Pinto, John Lithgow, David Oyelowo…) le plus touchant est James Franco qui arrive à exprimer un pessimisme gracieux ainsi qu’une amertume envers les membres de sa propre espèce, ce qui n’est que bénéfique à l’opposition entre lui et César.

    Évoquons à présent la réalisation de Rupert Wyatt. Cette dernière, très bien pensée, ne fait qu’achever magistralement une histoire prenante. De nombreuses idées font mouches, témoignant d’un style qui a su s’adapter au scénario, rendant ce dernier encore plus fort. Nous comprenons des choses, on nous en raconte d’autres, et nous les retrouvons toutes dans les choix de mise en scène. Une des étapes de l’empathie envers César constitue en des plans qui adoptent l’angle de vision de ce dernier. Il y donc une vraie relation qui se crée entre le spectateur et le primate. Au fur et à mesure, les plans montrant l’oppression, et à fortiori la révolution de César, impactent pour nous proposer le soulèvement comme une évidence, aidée par la force croissante de la réalisation qui propose des travellings pour mieux incorporer cette idée de progression et d’avancée. Cela est encore plus accentué par le fait que la caméra se rapprochera toujours davantage de César, le positionnant de plus en plus au centre à mesure que l’histoire avancera. Il y bien d’autres choses puissantes dans la réalisation, comme les plans représentant la solidarité simiesque ou le dernier acte montrant l’opposition entre singes et hommes, donnant inévitablement lieu à une résolution belliqueuse. Mais ce qui est plus profond encore reste dans doute la quête de liberté de César. Au départ enfermé, tenu en laisse, emprisonné, cette liberté va devenir son but, aussitôt qu’il partagera la souffrance de ses semblables. Et la mise en scène s’avèrera d’autant plus tonitruante que cette quête de liberté gagnera en puissance. Ainsi tout s’agence pour rendre l’enfermement plus réel, on film en intérieur, avec César, pour ressentir l’oppression de l’homme, jusqu’à arriver au moment où tout bascule, où la relation dominant/dominé est bafouée d’un revers de main et représentée de telle manière qu’on assiste à une scène culte.

    Par ailleurs les compositions de Patrick Doyle s’accordent avec le grandiose qui se dégage du film. Elles retranscrivent même parfaitement l’idée de révolution à travers des crescendos (le morceau « Cookie ») et la sensation de liberté faisant frissonner de par les élans de violons géniaux (« Off you go » et « Caesar is home »). De ce fait, le film ne devient pas une vulgaire dénonciation des méfaits de l’homme, mais plus un discours sur la liberté comme besoin de l’humanité. Tim Burton et Helena Bonham Carter ne nous manqueront pas.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 23 juin 2014
    Un très grand film passionnant et touchant , j'espère une bonne suite !
    Clémentine K.
    Clémentine K.

    173 abonnés 1 428 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 février 2017
    Un film divertissant et agréable à regarder qui s'adresse à tout public. On ne peut que ressentir de l'empathie par rapport à ces pauvres animaux mais aussi de l'intérêt face à cette histoire qui laisse songeur et dont on a hâte de voir la suite!
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 2 août 2017
    L'adaptation du livre de l'écrivain français Pierre Boulle par le cinéaste Franklin J. Schaffner, pouvait autrefois avoir un sens. La science fiction « apocalyptique et spéculative » des années 60 trouvait là une source inépuisable de questionnement sur l'avenir de l'homme dans son propre eco-système. Le mystère qui enveloppait le périple existentiel de Charlton Heston dans le désert trouvait à terme une conclusion radicale, au jugement implacable. En 2011, le film de Rupert Wyatt se cherche désespérément une identité, noyé par des considérations moins humanistes que clientélistes. Tout semble faux et surfait, de telle sorte qu'on a davantage l'impression de jouer à la fin du Monde que de vraiment la vivre - même par procuration. Il y a pourtant, dans l'idée même de prequel, de nombreuses pistes intéressantes à tenter en termes d'écriture, de narration et de mise en scène. Mais pour obtenir un véritable film d'anticipation qui puisse survivre aux années, encore faut-il éviter de penser en termes de "franchise", et se libérer des contraintes inhérentes au système. C'est en cela que ce blockbuster, comme tant d'autres, souffre d'une censure omniprésente, et d'une mise scène convenue qui ploie sous une série de clichés gentillets que les effets spéciaux ne parviennent pas à casser. Ceci alors même que le sous-texte dramatique était là, et n'attendait qu'un peu de courage pour prendre son envol.
    Hotinhere
    Hotinhere

    447 abonnés 4 789 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 19 décembre 2020
    Un blockbuster divertissant et spectaculaire, au scénario rythmé et intelligent qui interroge également sur les rapports entre l'homme et les autres espèces.
    Xyrons
    Xyrons

    623 abonnés 3 360 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 6 septembre 2011
    Comment faire renaître une saga débuté dans les années 60, Rupert Wyatt y est parvenu.

    A contrario de Tim Burton, Wyatt a réussit à redonner vit à la saga tout en apportant des nouveautés. En vérité, beaucoup de changements puisque ce reboot n’a presque rien à voir avec la véritable histoire de Pierre Boulle ni avec la précédente saga. Néanmoins le contenu est toujours là et le sujet est lisible. La même critique de la société du livre se retrouve dans le long-métrage. Cette fois, on s’intéresse aux origines de l’histoire, comment tout ça à commencé ? Le scénario est riche, travaillé et l’histoire est intéressante. Il y a également de bons dialogues et les relations entre les personnages sont bien exploitées.
    Du côté de la mise en scène, le travail est impressionnant. Rupert Wyatt nous tient en haleine tout le long grâce à un rythme efficace et une alternance de scènes d’actions réussies (avec de beaux effets spéciaux) et de passages plus lents mais utiles. A noter la réussite des singes, ils font vraiment réels, les images sont visuellement presque parfaites.
    Pour le casting, rien à redire non plus. James Franco est convaincant et les seconds rôles comme Brian Cox également.

    Bref, cette nouvelle franchise est prometteuse !
    titicaca120
    titicaca120

    358 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 22 août 2011
    il n'y a rien à jeter, tout est bon du début à la fin,
    je me suis vraiment régalé,un pur bijou.
    Ashitaka3
    Ashitaka3

    96 abonnés 1 189 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 3 janvier 2012
    Un bon film avec des scènes d'action spectaculaires. Le rythme est soutenu et truffé de détails. Les effets visuels sont tout à fait stupéfiants et l'ambiance parfaitement maitrisée. Il manque peut-être un vrai souffle.
    spouky
    spouky

    20 abonnés 228 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 décembre 2011
    Un film foutrement bien fait. Les singes sont d'un réalisme vraiment impressionnant L'historie même si assez prévisible est très bien emmené et les acteurs répondent présent.
    Un film que je conseille pour les amateurs de science fiction.
    keepondreaming
    keepondreaming

    33 abonnés 338 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 mai 2013
    Sachant que je n'avais vu aucun des films composant cette saga, j'ai bien aimé. C'est très bien fait visuellement parlant mais bon le film ne m'a pas marqué plus que ça. C'est des singes qui se révoltent quoi ...
    wesleybodin
    wesleybodin

    1 034 abonnés 3 864 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 9 novembre 2011
    Une très belle surprise que ce prémice de La Planète Des Singes. Effets visuels stupéfiants avec des singes criant de réalisme, une émotion omniprésente et un scénario qui se tient jusqu'à un final ébouriffant.
    Salim S
    Salim S

    48 abonnés 500 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 août 2011
    Pour un prequel, cet adaptation est un véritable régal. Très bien mené, très bien écrit, plutôt bien joué. Ce "planète des singes : les origines" s'inscrit dans un nouveau genre de cinéma : un film de science fiction original tant par sa technique (Motion picture) que par son schéma de scénario. Brillant !
    Skipper Mike
    Skipper Mike

    71 abonnés 650 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 septembre 2014
    "La Planète des Singes : Les Origines" ne joue clairement pas dans la même cour que le film dont il est le reboot : en aucun cas il ne souhaite apporter une réflexion sur l'homme, mais il cherche uniquement le grand spectacle hollywoodien. Force est de constater que, malgré tout, le résultat est hautement plaisant. Il s'agit ainsi d'un blockbuster très bien fait, pas forcément très intelligent mais avec un scénario fort correct et surtout souvent excitant. En effet, si le début, scènes d'expérimentations animales et de développements scientifiques foireux, laisse un peu dubitatif, la suite est beaucoup plus réussie. Voir César apprendre au contact des humains puis évoluer jusqu'à devenir un être doté d'une conscience révolutionnaire est tout à fait jouissif, et c'est surtout lorsqu'il n'y a plus que des singes à l'écran, lors des scènes dans le refuge, que le film devient vraiment passionnant. On y trouve une esthétique qui rappelle l'introduction préhistorique de "2001 : L'Odyssée de l'Espace". César semble ainsi s'ériger en un nouvel avatar du monolithe de Kubrick. L'adaptation du primate dans ce lieu qui lui est hostile est intense et fascinante ; il est alors dommage que le film perde un peu de ces qualités lors de l'affrontement sur le Golden Gate Bridge, correct sans être transcendant. Heureusement, la fin déjoue un peu les codes du blockbuster classique de par son ambiguïté. Malgré un scénario limité, "La Planète des Singes : Les Origines" n'a finalement rien de binaire et fait oublier le manichéisme du remake de Tim Burton.
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