Avis : La Planète des singes : les origines - Page 7

Le meilleur blockbuster de l'été. Une très bonne surprise dotée d'images de synthèse incroyables. Mais l'histoire est aussi captivante. Bravo !

Je sais pas vous, mais moi, la première fois que je suis tombé sur la bande annonce de cette "Planète des singes", j'ai franchement cru à une blague. Je rigole pas : j'ai cru à une parodie genre "Spartatouille" ou un autre truc du genre. (D'ailleurs l'affiche me fait le même effet : c'est sûrement l'affiche la plus moche de l'année) bref, autant dire que je ne partais pas avec les meilleurs a priori concernant cet énième reboot... Alors bon, vous l'avez compris, finalement je n'ai pas été tant été consterné que ça par cette "Planète des singes"... Même s'il ne faut pas perdre de vue qu'elle est plombée par un paquet de casseroles. D'abord, les effets spéciaux sont absolument moisis et n'aident clairement pas à la prise au sérieux du film. Ensuite, l'intrigue mettant en avant les rapports entre les hommes et le premier singe expérimental relèvent quand même de la vaste blague. Le réalisateur Ruppert Wyatt fait l'effort de construire un truc assez sérieusement donc on essaie d'y croire, mais la plupart des situations sont tellement absurdes visuellement qu'on manque des fois d’exploser de rire... Et puis enfin, il y a toutes ces petites incohérences dans le comportement des macaques avant qu'ils se fassent gazer qui sont autant d'attaques qui viennent nuire à l’immersion, si bien qu’il faut quand même une sacrée bonne volonté pour suivre ces aventures... qui en plus n'ont aucune surprise pour nous, étant donné que la BA nous raconte déjà tout, du début à la fin ! Alors qu'est-ce que je lui trouve à ce "Planète des singes" me diriez-vous ? Eh bien malgré tout, j'avoue que je n'ai pas pu m'empêcher de me faire conduire sans trop de heurts. Certes le film est vide de propos mais il est assez dynamique dans son cheminement ; certes il y a les sempiternelles nounouilleries et stéréotypes, mais c'est pour ne pas à avoir à s'embarrasser à construire ses personnages ; et enfin certes les singes sont pathétiques, mais j'ai tout de même trouvé un plaisir régressif à sentir cette sauce monter jusqu'à son paroxysme final (qui est loin d'être dégueulasse je trouve, malgré une fois de plus le mauvais rendu visuel des effets spéciaux). Enfin bref, que dire pour résumer, en pesant le pour et le contre ? Eh bien c'est que finalement ce film est un spectacle bien classique, qui ne casse pas de briques, mais qui saura faire passer son temps à celui qui n'en attend pas grand-chose. Pourquoi pas après tout...

Cette nouvelle pierre apportée à cette célèbre saga cinématographique est LE film sur les origines que l'on attendais depuis les suites (et le remake de Tim Burton) désastreuses au chef d'oeuvre de Franklin J. Schaffner en 1968. Avec ce film, la 20th Century Fox redore son blason et fait oublier le désastreux "La Conquête de la planète des singes" sur le même thème dela révolte des singes contre l'espèce humaine. Riche en émotion mais aussi en action, Ces origines présentent de nombreuses surprises comme les nombreux clins d'oeil aux films antèrieurs mais surtout l'énorme travail d'Andy Serkis à travers la performance capture. Un trés bon blockbuster.

Un bon blockbuster qui revisite les origines de "La planete des singes" crée par le romancier Pierre Boule, événement précédent que tout le monde ignore et cette opus est plutot constructif et instructif !!! A la base, un jeune chercheur étudie un singe pour soigner la maladie d'Alzheimer chez l'etre humain ce qui le réussit sur son père et le singe développe une intelligence inouie grace à la science. Mais la bete se voie déçu par l'homme, mis en cage avec d'autres memes espèces aprés un incident et maltraité par les gardiens. Le singe se rebelle, pique sur une petite évasion des ustensiles miraculeuses pour le dévelloppement intellectuel du singe chez son maitre et forme son armée. Histoire interressante qui nous montre la vision vu par les singes faites par des effets spéciaux qu'on croirait réaliste. Un peu déçu par la fin qui nous laisse présager une suite. James Franco, Freida Pinto, John Lithgow et les autres acteurs non numériques sont impeccables. Tout de meme divertissant.

Ce préquel réussit la prouesse d'être presque plus signifiant que le concept de départ de La Panète des Singes en posant de vrais enjeux, et surtout en créant un personnage mythique en la personne de César. La performance technologique de la motion capture est impressionnante pour donner vie à ces singes et en faire des personnages charismatiques.

Un beau spectacle visuel qui ne néglige pas l'émotion. Les singes sont d'un réalisme saisissant et Andy Serkis livre une prestation impressionnante. Seul bémol : une première partie un peu longue, et une seconde pas assez...

Après une réussite pour les X-men, les singes les plus intelligents du monde arrivent sur nos écrans et passent le test avec réussite. Cependant il ne faut pas oublier tout ce que l’on connaît. Ici les signes qui prennent le pouvoir cherchent une seule chose, se venger de la race humaine après s’être fait exploiter pour nous stupides humains. La réussite du film est essentiellement dut grâce à la motion capture hyperréaliste, celle-ci donne une profondeur d’expression aux personnages de César, singe intelligent victime de la race humaine. James Franco prend le contrôle de la plus belle surprise de cet été, et qui est selon moi le meilleur volet de la série.

Un prophète, en moins fort, avec des singes. Sur base de découverte scientifique assez crédible, on voit peu à peu le petit César se faire adopter, grandir, développer son intelligence, ses sentiments (de la compassion, de l'amour, de la colère, de la gratitude) et son envie de liberté. Pas de lourdeurs, le film se déroule sans anicroche, le scénario était assez fin pour ne pas sombrer dans des choses vues et revues (à part les deux gardiens de fourrière, l'un gentil, l'autre méchant, mais c'est un classique auquel on ne peut déroger). Les expressions faciales de César sont magnifiquement travaillées, bien que les images de synthèse ne soient pas au top technologiquement. La conclusion aussi est fine, alors que tout prédit une fin bien bourine, et l'on sort agréablement surpris d'un tel dénouement. Chapeau.

Bien que fan des précédents films, notamment les premiers, et fan de james Franco, je resterai objectif sur mon avis concernant ce nouveau volet de La Planète.. Globalement, j'ai été déçu. Traité comme un Marvel et racoleur je n'ai pas aimé le manque de sérieux et de rigeur dans le scénario. Il y avait là un super sujet et pour une fois l'occasion d'une réelle nouvauté avec cette partie jamais traité qu'est la cause de cette planète dominée par les singes. Le film méritait au moins 2 volets (même si une suite est tjrs possible...) et non d'être baclé comme cela. Exemple : les signes libérés des zoos et qui miraculeusement deviennent eux aussi intelligents et intègres ceux du labo. Idem ceux du labo étaient quelque uns et quand ils sortent du labos sont pres d'une centaine... Oui c'est du cinéma et un blockbuster mais bon dans les premiers films il y avait plus de cohérence.. et je suis Fan donc j'ai le droit d'être un peu déçu. Il n'en reste pas moins que James Franco est adorable dans ce rôle de "papa" et qu'il y a quelques effets spéciaux bien réussis, y compris les singes d'où une bonne note au final ;-) Bye.

Quarante-trois ans après la première adaptation et dix ans après le remake, Hollywood reboote le roman de Pierre Boulle. Comme celui de Batman par Christopher Nolan, ce reboot est fait de manière très intelligente car, au lieu de reprendre l'histoire du roman et des films précédents, il nous explique de manière le plus crédible possible, en utilisant les avancées scientifiques d'aujourd'hui, comment les singes ont commencé à se révolter (en modifiant complètement l'histoire de ce début de révolte par rapport à la série originale). Ce film se présente comme les prémisses de la révolution à venir et il semble évident qu'il faudra au minimum un ou deux autres films pour voir comment les singes prennent réellement le pouvoir. On est donc à plusieurs dizaines voire centaines d'années de l'épisode original (qui reste de loin le plus célèbre de la saga originale). Cela laisse donc la possibilité de développer de multiples autres histoires avant de se retrouver fasse à un réel remake du film de Franklin J. Schaffner ou celui de Tim Burton.
Ce film, se déroulant dans un univers contemporain au notre, tranche avec les blockbusters habituels car les personnages provoquant la destruction et la violence ne sont pas réellement des "méchants" mais juste des êtres devant se libérer de leurs chaines. Toutefois, leurs "adversaires" ne sont pas non plus les "méchants" mais juste des êtres humains dépassés par les évènements. Ce film est donc traité de manière assez subtile et réaliste (dans les limites du possible). On pourrait juste reprocher au film d'être trop court car il aurait été intéressant que l'évolution psychologique des singes soit décrite plus longuement. Ce traitement psychologique des singes se fait notamment grâce à des effets spéciaux plus que réussis (même si, toutefois, il manque un petit truc qui fait que l'on se rend compte que ces singes ne sont que des trucages).
Il serait d'ailleurs regrettable de ne pas signaler la prestation remarquable d'Andy Serkis dans le rôle de César qui se fait une véritable spécialité d'être l'Acteur de la Motion capture (c'est également lui qui incarne Gollum dans la saga du Seigneur des anneaux, King Kong dans la version de Peter Jackson et le Capitaine Haddock dans le Tintin de Spielberg). Voici un acteur dont le visage est inconnu du grand public alors que ses interprétations sont extrêmement connus. On peut considérer que cet acteur ressuscite la pantomime chère à Charlie Chaplin, la technologie ramenant ainsi le cinéma à ses origines.
Cette digression passée, on ne peut qu'encourager le public à aller voir ce film original et intelligent qui donne envie de connaitre la suite de cette histoire.

Très belle réalisation, très bon scénario, belle interprétation. De bons effets spéciaux au service de l'histoire.Un film où les animaux virtuels sont plus humains que les humains eux-mêmes. Une réussite.

Un très bon retour aux sources pour la saga aux Sept épisodes, avec en guise une performance une nouvelle fois époustouflante de Andy Serkis, l'acteur de l'ombre le plus célèbre du septième art ! l'histoire est bien structurée, la performance capture est littéralement bluffante, sans conteste la meilleure à ce jour, et césar est attachant, manque peut-être juste une scène ébouriffante mais hormis cela c'est une réelle belle surprise, la suite, car suite il y aura s'annonce grandiose. Chapeau

Archi nul !!! comment un tel navet peut-il obtenir des critiques dytirambiques d'une certaine presse qui a pourtant la dent dure avec d'autres films beaucoup plus crédibles et interessants ? Je suis outrée et en colère d'avoir perdu mon temps et mon agent pour voir un tel navet

film sans intéret
grosse deception, secnario creux, absolument AUCUN suspens (on devine dés la 1ere minute ce qu'il va se passer), les mechants sont trés méchants, les gentils trés gentils, j'ai cru voir un walt disney.
c'est dommage, il y avait de quoi faire

Et au panier des suites doublées d'un reboot, il faudra ajouter ce nouvel opus de La planète des Singes. Après la déception causée par le pourtant prometteur volet de Tim Burton et de son casting en titane, on pouvait redouter de voir cette nouvelle mouture entre les mains d'un réalisateur jusque là inconnu au bataillon. Cela nous apprendra à être mauvaises langues, tant ce reboot revitalise durablement la saga, aux moyens d'un script malin et humain. Chose paradoxale en soi, surtout quand le personnage principal est un chimpanzé. Voilà aussi l'originalité du film: montrer l'humanité à travers les yeux d'un animal qui en a plus que nous-même. Bien entendu, l'originalité aurait pu se transformer en calvaire si le chimpanzé numérique avait eu l'air aussi lisse que sans âme. Et c'est là LA grande qualité de ce film: avoir confié le rôle au pro Andy Serkis, qui délivre une fois de plus une prestation mémorable dans le rôle de César. On sent la vie et toute une variété de sentiments à travers les yeux de ce primate. Rupert Wyatt insuffle rythme et émotion, et n'hésite pas à faire de ce blockbuster un film plus sombre que la moyenne. Tant mieux, ça ne fait que nous accrocher davantage. Un reboot subtil et spectaculaire. On attend la suite, avec impatience.