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    Welcome to New York
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    335 critiques spectateurs

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    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 211 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 30 septembre 2016
    90 00 personnes aurait vu Welcome to New York le jour de sa sortie, combien auront prit plaisir à le regarder ? Ce film, si on peut l’appeler ainsi, s’inspire de la vie de Dominque Strauss Kahn et de ses ennuis judiciaires suite à l’affaire du Sofitel. Cinématographiquement que peut-on en retirer ? Rien, la caméra est amateur, le jeu est plus qu’improvisé, la lumière est sale, les dialogues sont lamentables et la musique est inécoutable. Depardieu est un excellent acteur et on aurait pu attendre un minimum de sa part au-delà de la médiatisation du film. Or, son jeu n’est que grognements insupportables et gênants. Welcome to New York fera très certainement son succès grâce à sa polémique, mais rare seront les spectateurs qui trouveront du bon dans cette histoire indigeste. Vous voulez du porno, vous en trouverez facilement sur Internet. Mais ne dépensez pas sept euros dans cette ignoble exhibition gratuite.
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    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 27 septembre 2016
    Comment représenter le réel au cinéma ?
    Comment interpréter un personnage ?
    Le préambule indique la philosophie suivie par Abel Ferrara pour développer son histoire.
    L'acteur (Depardieu) déclare dans un interview qu'il faut être le personnage (Dereveaux) et non pas jouer le rôle pour représenter un personnage (DSK), et pour cette raison, il déteste les politiciens car ils trichent.
    Cette déclaration servira de fil conducteur à la fiction développée par Abel Ferrara. La difficulté sera alors pour le spectateur de différencier le fait réel de l'oeuvre fictionnelle.
    Abel Ferrara orchestre avec maestria sa démonstration, passant d'un monde à un autre avec beaucoup de subtilité et de savoir faire.L'utilisation des couleurs n'est pas facilement repérable mais permet de caractériser les personnages et leur univers. On passe ainsi de couleurs chatoyantes, évoquant le plaisir de vivre (son animalité) à une absence de couleurs vives pour refléter la privation, l'obligation de se soumettre aux règles de la société (police, justice, épouse).
    Le réalisateur utilise l'aspect documentaire dans son film pour indiquer que les victimes sont également manipulées et pour dénoncer l'influence du pouvoir de l'argent sur la condition et le devenir des gens On peut lui reprocher son absence de point de vue sur la victime, ainsi que le dénouement peu lisible et un peu trop axé sur la condition du personnage-acteur. Belle œuvre tout de même.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 19 août 2016
    En général les films de Gérard Depardieu sont plutôt bons, mais là j'ai vraiment pas aimé.
    L'histoire d'un politicien très connu et dont les médias on en fait la une un bon moment.
    J'ai trouvé ça trop longuet. Pour ma part la vie privée de ce personnage ne nous regarde pas. La première heure est de trop. Reste plus grand chose.
    Un film sorti sur internet sans passer par le cinéma. Je ne sais pas s'il y a un rapport avec la qualité d'un film , mais pour l'heure c'est raté.
    A éviter.
    Eselce
    Eselce

    1 238 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 7 juillet 2016
    Ecoeurant comme film ! Entre les grognements et les scènes X jouées par Depardieu, son langage cru et volontaire visant à rendre abominable le politique "DSK" dont le film est inspiré, le retrace avec un surplus de détail et des dialogues inspirés l'affaire DSK de l'entrée dans l'hôtel à l'arrestation en suivant quelques ébats du personnage sans parler du procès. La fiction va trop loin dans la perversion et le voyeurisme du personnage. On imagine davantage l'acteur principal se comporter ainsi dans la vie que le véritable "Devereaux" agir en bête de sexe et parler de façon aussi crue avec le copain de sa fille. Décevant compte tenu du marketing autour du film malgré quelques débats soulevés (Comme la candidature à la présidence française). Trop de vulgarité et une analyse crue et sans pitié de DSK. Il aurait été intéressant d'aller plus loin dans l'historique du personnage. Ce qui l'a conduit à son addiction pour le sexe, peut-être une partie de son enfance troublée et le comment en est-il arrivé là. L'oeuvre est mal construite et insuffisante mais je ne vois pas bien en dehors de G. Depardieu pour incarner "Devereaux".
    Matthias T.
    Matthias T.

    39 abonnés 612 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 1 mai 2016
    "La bouillabaisse, c'est la partouze des poissons." (Gérard Depardieu/ Georges Devereaux

    Une histoire inspirée d'un fait-divers sordide, une campagne médiatique jouant sur l'aspect scandaleux et choc du film, une bande-annonce dont on ne retenait que les scènes de sexe : c'est peu dire que Welcome to New York pouvait susciter le scepticisme. On croyait avoir affaire à un objet vain et vaniteux, dissimulant derrière sa provocation tapageuse une profonde vacuité, et qui, bien loin de sa promesse de "film-choc de l'année" retomberait très promptement tel un pétard mouillé.

    Une bonne partie de la presse lui était d'ailleurs déjà tombée sur le dos ; les accusations d'Anne Sinclair et l'intention de DSK d'intenter un procès au réalisateur Abel Ferrara et au producteur Vincent Maraval - alors même qu'il n'a pas vu le film - donnaient aussi, d'ores et déjà, une mauvaise image du film au spectateur.

    Le film nous paraît pourtant mériter un peu plus de considération et d'intérêt que le traitement dédaigneux et avilissant auquel il a eu droit. Outre ses conditions inhabituelles de visionnage (seulement sur Internet en vidéo à la demande et non en salles) - qui feront sûrement date dans l'histoire de l'exploitation et de la distribution des films - ce Welcome to New York se révèle (bien) davantage que la simple provocation grossière et bas de gamme à laquelle il a été souvent réduit.

    Le premier écueil dans la réception du film de Ferrara nous semble avoir été de s'attarder sur son adéquation (ou non) au fait divers dont il s'inspire, celui de l'accusation de viol d'une femme de ménage afro-américaine vis-à-vis du directeur du FMI Dominique Strauss-Kahn en mai 2011. La décision - prise par Abel Ferrara et Christ Zois, auteurs du scénario - de changer les noms des protagonistes (Georges Devereaux pour Dominique Strauss-Kahn, Simone Devereaux pour Anne Sinclair) est à elle seule éloquente.

    Plus qu'une simple évocation d'un fait-divers, Welcome to New York nous semble au contraire une fable sur la vanité des plaisirs de la chair, et la tristesse de la jouissance physique. Ce n'est pas un film sur DSK (en particulier), mais sur la tristesse de la chair et de ses plaisirs (en général). Rarement (enfin cette année aussi dans le diptyque Nymphomaniac de Lars Von Trier), le sexe aura été aussi triste au cinéma !

    On peut certes déplorer plusieurs défauts : un scénario parfois simple voire caricatural, des scènes d'orgie pas toujours inspirées - avec leur côté porno amateur, leur fondus enchaînés racoleurs et leur mauvais éclairage -, des longueurs par-ci par-là (le film dure tout de même deux bonnes heures), une mise en scène qui, parfois, lorgne avec un mauvais téléfilm (découpage de temps en temps plan/plan dans les scènes de confrontation entre Devereaux et son épouse dans la seconde partie).

    Néanmoins, c'est avant tout pour Gérard Depardieu l'occasion de revenir sur le devant de la scène avec un rôle vraiment digne de ce nom - pas une apparition ou une caricature de lui-même dans un navet français, américain ou russe, mais un rôle, un vrai. Mis à part des grognements de jouissance porcins dont on aurait aisément pu se dispenser dans la première partie consacrée à ses orgies dépravées, l'acteur crève l'écran avec une simplicité et une évidence désarmantes. Plus que jamais, il s'impose comme un acteur qui ne se protège pas, et ne prend pas de filet lorsqu'il joue. Belle est cette absence totale de protection, beau sans conteste ce don illimité de soi. C'est par ailleurs avec un incomparable panache que Depardieu sait rendre l'infinie tristesse de la chair ; car si, dans ce rôle, il se montre grossier, pervers, cochon, malsain, il a aussi cette part de grandeur qui parvient à élever au tragique la destinée de Georges Devereaux, le personnage qu'il interprète, et qui confère à son jeu une grande richesse et une grande densité. A cet égard, la dernière scène du film est tout simplement magistrale. Après s'être longuement confronté avec son épouse en huis-clos et lui avoir en vain expliqué que rien (ou presque) de ce dont on l'a accusé ne s'est vraiment déroulé, Devereaux se retrouve seul avec une autre femme de ménage, une hongroise du nom de Martha, auprès de laquelle il entreprend une nouvelle fois la même tentative d'approche, par habitude mécanique, oisiveté prolongée ou cynisme. La tentative d'approche se solde par un échec, et le film se finit de manière forte et poignante par un regard-caméra de Depardieu/Devereaux/DSK, à la tristesse vertigineuse et abyssale qui nous prend à témoins... Dans ce regard semblent se mirer mille choses, et avant tout la conscience de la vanité de tout ce qui a été filmé et vu par le spectateur précédemment : les cocktails "vodka - viagra - glace", les parties de fesse interminables, les éjaculations multipliées au milieu de la nuit, la blague vulgaire faite au petit ami de sa fille sur la bouillabaisse - qui serait, pour reprendre son analogie hautement raffinée et poétique, en tous points égale à "une partouze de poissons"... Ce regard-caméra opère en somme comme une confession, bouleversante et très forte faite à l'égard d'un spectateur, qui a assisté à la chute que le film a dépeint.

    Ce ne sont donc pas ses défauts qui demeurent le plus prégnants. Bien plus qu'un film de seconde zone racoleur et grossier, Welcome to New York parvient en effet - par certains moments de magie dans la mise en scène de Ferrara et l'interprétation de Depardieu, bien secondé par une impeccable Jacqueline Bisset, et par une grâce tout autant mystérieuse que fragile - à atteindre par intermittences une notable puissance, voire la grandeur et l'ampleur d'une tragédie shakespearienne étouffante et d'ailleurs toute en huis-clos, ce qui rend entre parenthèses son titre d'autant plus ironique.

    critique parue sur le site inthemoodforwatchingmovies.blogspot.fr)
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 20 avril 2016
    Welcome to new york, n'est pas seulement un film sur l'affaire DSK, il s'agit également de la chute d'un colosse finalement aux pieds d'argile. Le film se veut sulfureux mais il s'agit uniquement de quelques scènes en début de film. j'aime particulièrement le moment ou il se retrouve en cellule, sans même pouvoir téléphoner.
    Redzing
    Redzing

    966 abonnés 4 323 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2016
    Abel Ferrara s'intéresse à l'affaire DSK (en prenant soin de changer les noms pour s'éviter des soucis judiciaires), et réalise un film qui fit pas mal de bruit à sa sortie, de par son sujet, et par le fait qu'il fut uniquement diffusé en ligne car refusé par les distributeurs de salles. A l'arrivée, "Welcome to New York" se focalise sur la chute d'un homme ambitieux, consumé par son appétit sexuel et son égoïsme. L'intrigue politique ou judiciaire est en effet complètement laissée de côté. Cependant, le film traîne pas mal en longueur, entre des scènes de sexe pas toujours utiles, et les détails de l'arrestation, un peu trop appuyés. La réalisation de Ferrara n'est quant à elle pas très inspirée, avec une mise en scène très statique et des éclairages assez moches. Question interprétation, on appréciera Jacqueline Bisset en ersatz d'Anne Sinclair. Gérard Depardieu, lui, est convaincant en égocentrique qui tombe en déchéance à cause de ses névroses, mais à tendance à en faire des tonnes quand il s'agit de débauche, à tel point que l'on se croirait parfois dans une parodie.
    Karim A.
    Karim A.

    40 abonnés 615 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 janvier 2016
    Un film fait dans la précipitation
    scénario qui tient pas la route, Depardieu n'est pas assez proche du personnage qu il est censé interprété.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 27 novembre 2015
    Gégé! que fais-tu dans un si mauvais film?!! quelle déception!
    Ennuyeux, des plans beaucoup trop longs, rien de nouveau, bref, on s'ennuie à mourir.
    Et puis.... c'est du véritable porno durant les 20 premières mn du film. Inadapté au plus de 12 ans!!
    EMB77
    EMB77

    1 abonné 27 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2015
    Bravo à G.Depardieu qui interprète ce rôle à la perfection. Il est tout simplement parfaitement écoeurant dans les scènes de sexe du début, volontairement. Ses mimiques, ses grognements... Et puis petit à petit, on le voit autrement. Un film dérangeant.
    shindu77
    shindu77

    77 abonnés 1 587 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 10 septembre 2015
    C'est un navet absolu. Mal réalisé, très mauvais jeu d'acteurs. Pas grand chose à dire à part qu'il faut oublier ce film au plus vite. C'est une aberration.
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein
    Ramm-MeinLieberKritiker-Stein

    119 abonnés 543 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 août 2015
    Un homme insistant et épais enveloppe le corps d’une femme frêle aux tissus intimes de couleur rouge. Il n’en peut plus, n’arrive pas à tenir le coup, il se sent serré dans son costume trois-pièces. La grande qualité de ce dernier n’y change rien. Ferrara filme les ombres. Il faut qu’il respire, alors il éructe. Éructe puis hurle tel un chien en proie à une crise subite de la rage tandis que la jeune fille le suce. Mais il ira jusqu’au bout de l’acte. Ce qui revient le plus dans ce film de Ferrara, c’est ce sentiment de terrible fatalité dans le comportement et les gestes d’un Depardieu presque possédé. Possédé non pas seulement par la maladie psychologique mais aussi par ce qui se rapprocherait presque d’une caricature, entre sexe et ridicule, d’une chronique du marquis de Sade. Ce qu’il faut bien comprendre et c’est ce qui est le plus pathétique dans cette oeuvre, c’est qu’on est face à une bande d’animaux féroces qui s’envoient et s’étalent de la mousse de champagne dans une suite de grand hôtel, suivi par une relation sexuelle à trois. Depardieu interprète l’homme fatigué par la vie, qui se revigore grâce au sexe tribal. Ferrara filme corps sur corps, épaves sur épaves, pour ensuite les réunir et réussir ce qui serait « l’emboitement » parfait. C’est pour cela qu’il va toujours plus loin, qu’il ose s’aventurer aussi facilement dans les relations intimes. On peut tout aussi facilement ressentir le vide d’un personnage en crise, qui n’ose presque pas s’approcher de deux identités féminines en train de pratiquer l’acte amoureux (se rapprochant parfois du tortueux), et qui préfère les commander pour mieux regarder, tel un spectateur de corrida qui recherche l’empalement de la bête, ce qu’il cherche en premier abord dans une relation. Ou comme cette scène accompagnée par sa femme de chambre qui dit une même phrase, qu’elle répète et répète, tel un écho, le temps que cela parvienne jusqu’à un agresseur bedonnant. On trouve une certaine exagération, déjà dans le caractère d’une sorte de parodie d’un nymphomane dans une comédie américaine, puis avec cette mise en scène qui ennuie avec ses tremblements insistants (comme si on se retrouvait sur un bateau qui tanguerait avec une très grande force, par bonds répétés) ou certaines idées pas vraiment talentueuses qui voudraient tenir d’un soi-disant « génie » mais qui gêne plus une intrigue déjà coupée à la hache et replacée à l’arrache entre deux scènes de sexe ou de soumission. Le ton apporté se veut imposant mais ne l’est guère souvent, surtout à cause de zooms rapides désagréables, suivis par des dialogues hautement risibles. Exemple premier : Depardieu qui se plaint de la douleur qu’il vit aux poignets à cause de menottes, et un policier lui réplique que ce n’est pas pour son confort. Toujours ce manque d’intelligence et de subtilité qui perdure. Ce désir de faire du bon cinéma qui passe après le désir de porter à polémique. Ce n’est pas étonnant venant de Ferrara. C’est juste navrant, et cela ne comporte réellement que peu d’intérêt, en ce qui concerne le thème ou la mise en oeuvre de l’art. Du cinéma peu inspiré.
    Arthur Jules Bonaparte
    Arthur Jules Bonaparte

    18 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 mai 2015
    Depardieu rentre parfaitement dans la peau de l'ancien patron du FMI. Un rôle difficile, avec un personnage libertin, cynique à l extrême, et même exécrable. Mais Depardieu relève le défi et nous stupéfait du début à la fin!
    kingbee49
    kingbee49

    30 abonnés 590 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 31 mars 2015
    Un film étrangement désincarné et froid ou Ferrara filme les faits et tente d'inventer le "hors champs" de l'affaire, parfois laborieusement (les scènes avec Depardieu et Bisset font pitié). On s'attendait à une démarche plus opportuniste de la part de Ferrara et on a finalement droit un film qui n'a pas d'autre réel parti pris qu'une observation clinique. Il faut cependant attendre le dernier tiers pour découvrir une approche psychologique de Devereaux/ DSK, qui donne plus de sens au personnage... A part ça, on a beaucoup glosé sur des soit disant scènes porno soft qui envahissaient le film...Soyons sérieux, il y a en tout trois scènes de sexe de cinq minutes filmées avec une certaine distance et qui n'ont rien de pornographique ! La seule crudité qui touche, c'est la nudité de Depardieu lors d'une scène chez les flics. Là, le personnage et l'acteur se confondent comme si on voyait à l'écran la somme de leurs excès à la lumière du monde. Cela en est presque dérangeant. En revanche, ayant vu le film en VOD en version française, j'ai trouvé le doublage très limite, d'autant plus que le film oscille curieusement entre scènes doublées et scènes en son direct. Cela fait un peu bâclé je trouve...
    Chaill
    Chaill

    13 abonnés 396 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 1 avril 2015
    Tout d'abord le gros Gérard nous explique qu'il a accepté de faire ce film (en plus du gros chèque) parce qu'il est une sorte d'anarchiste et qu'il méprise les politicards et leur langue de bois. Donc on défèque sur les représentants de la démocratie, mais on se jette dans les bras du premier dictateur qui passe. Drôle de morale notre Gégé.
    La première demie heure est ni plus ni moins qu'un film de c... qui n'a rien à envier aux productions Marc Dorcel et consorts. On est invité à mater 3 cabrioles de Deveraux (DSK), dans son bureau, à l'hôtel entre amis et de nouveau à l'hôtel, mais cette fois ci en plus soft, avec 2 prostituées seulement. Avant la fameuse scène de la femme de chambre.
    Là on s'arrête et on se demande pour qui nous prend Ferrarra, adepte d'érotisme torride dans ses films. Strauss Kahn serait donc un dangereux maniaque sexuel? Mais pourquoi donc est il toujours en liberté à 60 ans passés? Non, c'est juste un homme qui a de gros besoins, parfois impulsifs, et qui ne méritait sûrement pas d'être ainsi trainé dans la boue et se faire passer pour un gros porc lubrique à grands coups de cris bestiaux, dans ce film repoussant.
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