Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence : Critique presse
Un pigeon perché sur une branche philosophait sur l’existence
Note moyenne
3,2
19 titres de presse
20 Minutes
Positif
TF1 News
La Voix du Nord
Le Dauphiné Libéré
Ouest France
Première
Studio Ciné Live
Transfuge
Télérama
aVoir-aLire.com
L'Obs
La Croix
Le Journal du Dimanche
Cahiers du Cinéma
Critikat.com
Le Monde
Les Inrockuptibles
Libération
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19 critiques presse
20 Minutes
par Caroline Vié
un film tordant (...). On est constamment bluffé par la beauté de ses cadrages évoquant des tableaux animés (...). Le cinéaste s'amuse comme un petit fou à multiplier les gags macabres.
La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes
Positif
par Alain Masson
Quelle ressource nous reste-t-il ? Rire et nous ne serons pas comme eux ! Cela ne vaut-il pas mieux que de sonder en ahuri le regard d'un pigeon philosophe, mais empaillé ? Après tout, ces curiosités de toute époque qui s'offrent à nous, cet étalage si divers : et si nous étions au musée, comme le suggère le prologue ?
TF1 News
par Romain Le Vern
Quatorze ans après "Chansons du deuxième étage", sept après "Nous les vivants", ce nouveau Roy Andersson, hilarant dès sa scène inaugurale, clôt une trilogie avec tout ce que l'on aime chez lui : plans-séquences sophistiqués, absurde dévastateur, angoisse existentielle, mélancolie contagieuse.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
La Voix du Nord
par Philippe Lagouche
Cette esthétique livide, qui n’appartient qu’à lui, l’auteur l’associe à une grande profondeur de champ invitant à ne rien manquer de ce qui se trame au fin fond d’un cadrage. Même s’il témoigne d’une tendance à l’abstraction plus nette que par le passé, ce Pigeon mérite bien d’être couvé.
Le Dauphiné Libéré
par La Rédaction
Une série de saynètes avec, pour dénominateur commun, la vision d’une humanité affligeante, sujet et objet d’un film au radicalisme réjouissant, si on y adhère…
Ouest France
par Pierre Fornerod
Un peu longuet, certes, mais ça ressemble à rien de ce que nous montrent les écrans ordinaires.
Première
par Gérard Delorme
L’ensemble relève du collage et il faut reconnaître à Andersson un vrai talent poétique pour trouver de l’harmonie dans la monotonie, des variations dans la répétition et des résonances dans les leitmotivs.
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Thomas Baurez
Une succession de vignettes burlesques et poétiques.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Transfuge
par Charlotte Garson
La réussite d'"Un pigeon" tient à la singularité millimétrée de sa mise en scène, ouvertement référencée à la Nouvelle Objectivité allemande des années vingt, mélange de précision extrême et de surréalisme.
Télérama
par Frédéric Strauss
Si Roy Andersson est pessimiste, il sait être chaleureux. La fantaisie illumine ce cinéma indompté, qui n'hésite pas à nous bousculer en télescopant les époques, à nous imposer un rythme contemplatif et exigeant. Si la mise en scène du cinéaste se rapproche du burlesque à la Jacques Tati, elle suit sa propre musique.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Marianne Renaud
"Un pigeon perché sur une branche" se révèle être un petite perle d’humour noir qui dépeint en une trentaine de scènes les comportements humains, entre pathétique et absurde, avec un trait lucide, souvent ironique, mais jamais méprisant.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
L'Obs
par Pascal Mérigeau
Le film, au contraire du pigeon, ne philosophe pas, c'est heureux, et démontre qu'il est possible de rire de tout.
La Croix
par Arnaud Schwartz
Auréolé du Lion d'Or à la dernière Mostra de Venise, le film du suédois Roy Andersson est un exercice aussi libre que radical.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
L'image est sublime, mais cet ensemble de saynètes relève du procédé et est inégal, l'humour absurde irrésistible du début cédant la place à des récits anecdotiques manquant cruellement de rythme et qui tournent en rond.
Cahiers du Cinéma
par Gaspard Nectoux
Pour comprendre ce que certains trouvent en fait à ce Pigeon, revenir à la phrase de Renoir père devant les lénifiants de son temps : « L’art en redingote épatera toujours. » Pour sûr, celle de Roy Andersson est bien amidonnée.
Critikat.com
par Benoît Smith
Cela reste de la misanthropie en boîte, toute faite, trop commode pour dissimuler qu’elle n’anime pas les trouvailles vachardes du metteur en scène mais leur sert de prétexte.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Le Monde
par Mathieu Macheret
En 39 plans-séquences tirés au cordeau, ce petit théâtre grinçant et sardonique, peuplé d'une galerie de pantins blafard, repeint le monde sous des teintes glauques et ne retient de la nature humaine que ses aspects les plus mesquins.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Les Inrockuptibles
par Jean-Baptiste Morain
C’est un cinéma sans âme, où les personnages ne sont que des marionnettes agitées par un misanthrope psychorigide.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Libération
par Julien Gester
Macabre et désabusé.
La critique complète est disponible sur le site Libération
20 Minutes
un film tordant (...). On est constamment bluffé par la beauté de ses cadrages évoquant des tableaux animés (...). Le cinéaste s'amuse comme un petit fou à multiplier les gags macabres.
Positif
Quelle ressource nous reste-t-il ? Rire et nous ne serons pas comme eux ! Cela ne vaut-il pas mieux que de sonder en ahuri le regard d'un pigeon philosophe, mais empaillé ? Après tout, ces curiosités de toute époque qui s'offrent à nous, cet étalage si divers : et si nous étions au musée, comme le suggère le prologue ?
TF1 News
Quatorze ans après "Chansons du deuxième étage", sept après "Nous les vivants", ce nouveau Roy Andersson, hilarant dès sa scène inaugurale, clôt une trilogie avec tout ce que l'on aime chez lui : plans-séquences sophistiqués, absurde dévastateur, angoisse existentielle, mélancolie contagieuse.
La Voix du Nord
Cette esthétique livide, qui n’appartient qu’à lui, l’auteur l’associe à une grande profondeur de champ invitant à ne rien manquer de ce qui se trame au fin fond d’un cadrage. Même s’il témoigne d’une tendance à l’abstraction plus nette que par le passé, ce Pigeon mérite bien d’être couvé.
Le Dauphiné Libéré
Une série de saynètes avec, pour dénominateur commun, la vision d’une humanité affligeante, sujet et objet d’un film au radicalisme réjouissant, si on y adhère…
Ouest France
Un peu longuet, certes, mais ça ressemble à rien de ce que nous montrent les écrans ordinaires.
Première
L’ensemble relève du collage et il faut reconnaître à Andersson un vrai talent poétique pour trouver de l’harmonie dans la monotonie, des variations dans la répétition et des résonances dans les leitmotivs.
Studio Ciné Live
Une succession de vignettes burlesques et poétiques.
Transfuge
La réussite d'"Un pigeon" tient à la singularité millimétrée de sa mise en scène, ouvertement référencée à la Nouvelle Objectivité allemande des années vingt, mélange de précision extrême et de surréalisme.
Télérama
Si Roy Andersson est pessimiste, il sait être chaleureux. La fantaisie illumine ce cinéma indompté, qui n'hésite pas à nous bousculer en télescopant les époques, à nous imposer un rythme contemplatif et exigeant. Si la mise en scène du cinéaste se rapproche du burlesque à la Jacques Tati, elle suit sa propre musique.
aVoir-aLire.com
"Un pigeon perché sur une branche" se révèle être un petite perle d’humour noir qui dépeint en une trentaine de scènes les comportements humains, entre pathétique et absurde, avec un trait lucide, souvent ironique, mais jamais méprisant.
L'Obs
Le film, au contraire du pigeon, ne philosophe pas, c'est heureux, et démontre qu'il est possible de rire de tout.
La Croix
Auréolé du Lion d'Or à la dernière Mostra de Venise, le film du suédois Roy Andersson est un exercice aussi libre que radical.
Le Journal du Dimanche
L'image est sublime, mais cet ensemble de saynètes relève du procédé et est inégal, l'humour absurde irrésistible du début cédant la place à des récits anecdotiques manquant cruellement de rythme et qui tournent en rond.
Cahiers du Cinéma
Pour comprendre ce que certains trouvent en fait à ce Pigeon, revenir à la phrase de Renoir père devant les lénifiants de son temps : « L’art en redingote épatera toujours. » Pour sûr, celle de Roy Andersson est bien amidonnée.
Critikat.com
Cela reste de la misanthropie en boîte, toute faite, trop commode pour dissimuler qu’elle n’anime pas les trouvailles vachardes du metteur en scène mais leur sert de prétexte.
Le Monde
En 39 plans-séquences tirés au cordeau, ce petit théâtre grinçant et sardonique, peuplé d'une galerie de pantins blafard, repeint le monde sous des teintes glauques et ne retient de la nature humaine que ses aspects les plus mesquins.
Les Inrockuptibles
C’est un cinéma sans âme, où les personnages ne sont que des marionnettes agitées par un misanthrope psychorigide.
Libération
Macabre et désabusé.