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    La Planète des singes : l'affrontement
    Note moyenne
    3,9
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    1 768 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Après un Origin vraiment très bon, c'est la douche froide avec cette suite qui avait un potentiel énorme, du gâchis. Lent, très lent, il est inutile de s'attendre a un scénario complexe ou a des personnages psychologiquement recherché. Ici place aux clichés, Les humains méchants qui veulent buter du singe et les gentils humains (car la guerre c'est mal m'voyez) ainsi que leurs équivalent en singe. Basique n'est pas forcément mauvais, or pour le coup, les scènes tirent trop en longueur et les dialogues sont limite.

    Les humains sont complètement foiré, on ne ressent aucune empathie, aucun enjeux, on attend donc patiemment que la guerre humains/singes vient briser le rythme lent et la lassitude déjà installer depuis un moment, malheureusement, ce moment n'arrive jamais pour ainsi pouvoir nous pondre un troisième opus.
    Petite parenthèse pour la 3D qui, encore une fois est aux abonnés absent, le supplément de 2€ est là, lui.

    Bref, déception, beaucoup de bruit pour rien, si vous n'avez pas peur de vous ennuyer, il vaut quand même le coup visuellement, les singes sont une total réussite, on accroche d'ailleurs bien mieux avec eux qu'avec les humains, la photographie est bonne et certaine mise en valent le détour.

    Grand risque de sortir de la projection avec un gout amer, selon vos attentes.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    Ce film ne vaut pas le précédent épisode de la planète des singes les origines qui était très réussi grâce à la force de son scénario qui développait des thèmes intéressants sans négliger les scènes d'action.
    Dans ce dernier épisode, je me suis vraiment ennuyé à plusieurs reprises et je sentais mon siège,le film manque d'entrain. Je n'ai pas aimé non plus les décors glauques et sombres qui nuisent aux effets 3 d, rien à voir avec les effets spéciaux d'Avatar où le spectateur est immergé dans un monde virtuel. Les dialogues sont pauvres et les scènes d'action grossières, irréalistes, confuses et absurdes. La présentation des différents personnages humains et simiesque est caricaturale, ils ne sont ni crédibles, ni attachants.

    L'intrigue est si terne qu'elle ne présenterait aucun intérêt à être dévoilée, au risque d'ennuyer le lecteur de la critique.

    Bref ce film m'a déçu contrairement au précédent épisode, beaucoup de foin pour pas grand chose !
    Attigus R. Rosh
    Attigus R. Rosh

    166 abonnés 2 431 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 août 2016
    La Planète des Singes : L'Affrontement est un peu moins bien que son prédécesseur mais confirme un trilogie de bonne qualité.
    J'ai trouvé le remplacement de James Franco en tête d'affiche par Jason Clarke peu pertinent (je préférais le premier acteur). Par contre, Andy Serkis est toujours aussi bluffant en César, plus humain que nature. On arrive aussi à être intéressé par les personnages de Koba et de Dreyfus, les deux antagonistes du film.
    L'histoire est par contre assez intéressante et ne prend pas forcément le tournant le plus attendu spoiler: (j'aurai plus facilement imaginé que ce soit les humains et non un singe qui déclenchent l'affrontement)
    . Le film se termine en apothéose, annonçant un troisième volet.
    Les effets spéciaux et en particulier la motion capture sont très réussis. Les scènes de combat sont dignes d'un blockbuster et arrive à donner un ton très réaliste à des combats de singes.
    Au final, c'est un film de très bonne facture.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 12 août 2014
    Le meilleur film de 2014. L'année n'est pas finie mais je ne prends pas beaucoup de risques.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 1 août 2014
    La pluie en 3D du début du film est bien faite. Chose étrange, les effets spéciaux des singes sont magnifiques mais pas ce qui les entoure. D'ailleurs les acteurs sont meilleurs en singe qu'en humain.
    Le film bénéficie également de la lenteur actuelle des films d'aventures et d'action produits par Hollywood. Les scènes d'action émaillent paresseusement, elles aussi, la léthargie de ce film d'été dont le singe adversaire des héros porte un nom à consonance d'Afrique sub-saharienne. Heureusement que le film est assez soporifique pour ne pas à avoir à pousser le réflexion plus loin. Une étoile et demi pour les scènes entre singes uniquement. Et le petit dernier du héros qui est trop mignon.
    Scrameustache1
    Scrameustache1

    4 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 30 juillet 2014
    Un bon film profitant d'une bonne réalisation et de bons effets spéciaux mais qui manque cruellement de saveur.
    Comme la plupart des blockbusters actuels le film ne vous émerveillera pas mais ne vous décevra pas non plus.
    J'en ressors surtout déçu de ne pas avoir vu de changement de situation entre le début et la fin du film. Pour un histoire axée sur le déclin de la civilisation, il est étonnant de ne pas avoir de réel bouleversement pendant le film.
    On rajoutera à ça le très mauvais choix du début de film avec un zapping télé pour présenter les événements des 20 dernières années : on a déjà vu ça 3 fois cette année ça devient un peu lourd non ?
    Le goût amer est accentué par cette impression d'être face à un simple prologue à un 3ème épisode qui on l'espère présentera ce fameux peuplement de la terre pour que l'on voit enfin cette tant attendue Planète des singes.
    stallonefan62
    stallonefan62

    245 abonnés 2 495 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 décembre 2022
    une suite dans la lignée du 1er volet. entre émotion, scène d'actions exellentes on ne s'ennuie pas. les effets numérique et la motion capture sont encore poussés plus loin et reste incroyable !! la façon de nous raconter la vie des singes est extrêmement interessante
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 7 septembre 2014
    De La Planète des Singes : Les Origines étaient sorties pas mal de bonnes choses, mais la meilleure restera sans doute le personnage de César, singe vu comme vitrine de l’humanité et qui faisait passer le message sur le besoin de la liberté comme nécessaire à l’obtention de cette condition d’homme avec une force indéniable. Trois ans plus tard, c’est au tour de Matt Reeves (responsable du beaucoup plus malin qu’il n’y parait Cloverfield) de mener cette épopée simiesque. Et si les plus bornés clameront que c’était mieux avant (les prothèses en plastique, surement) c’est qu’ils passent sans doute à côté de cette retranscription satirique de l’homme qui donne toute sa substance à La Planète des Singes : L’affrontement. Et ici, l’homme, c’est le singe. En effet le film poursuit la volonté de donner des qualités humaines aux singes, pour rappeler que nous sommes avant tout des animaux, mais surtout pour représenter l’homme à travers les singes, dont l’apparence physique n’est que l’unique frontière les séparant des vrais humains. Nous retrouvons également cette solidarité entre les singes, mise en scène avec brio à travers des séquences assez longue (notamment lors d’une scène de chasse à couper le souffle) ne faisant que renforcer le point de vue qu’essaye d’adopter le film dans son premier acte, celui des singes. Il est d’autant plus intéressant de noter que le rapprochement entre l’homme et le singe est effectué au niveau scénaristique par un nombre croissant de scènes mêlant primates et humains. Dès lors la confusion entre humain et animal ne fait qu’appuyer cette dualité de l’homme. La complexité de l’être humain devient alors un axe primordial du décuplement de la portée du discours qu’offre le long-métrage. Ce dernier se transforme quelque part en illustration de la nature cycliquement belliqueuse de l’homme, très bien mise en valeur par un scénario qui sait donner des moments frappants. Rick Jaffa, Amanda Silver et Mark Bomback ont su trouver cet équilibre entre humains et singes. A l’image du film précédent, l’humanité est en stagnation, condamnée à survivre, alors que les singes continuent leur évolution, embrassant leur humanité. Ainsi la richesse de propos social du film intervient de par les deux camps, laissant entrevoir une humanité complexe tant à travers les singes (Koba, joué par un Toby Kebbell en forme) que les humains (Dreyfus, Gary Oldman, second couteau en or). Elle demeure donc bien là, la force de cette version de la planète des singes, livrer une satire de l’humanité poignante, s’immiscer dans la force et la faiblesse de l’homme, le décrire de façon neutre pour mieux avancer la vérité de son message. A mesure, chaque décision des personnages sera vue comme une preuve d’humanité, car le côté animal a été abandonné depuis longtemps, les animaux, eux, ne se faisant pas la guerre. Une guerre d’autant plus saisissante qu’elle est filmée avec puissance par un Matt Reeves jamais à cours d’inspiration. Ne cédant pas au surdécoupage, il inscrit ses plans dans la durée, leur confère un sens du détail bienvenu et film le reste avec une habileté impressionnante. Il est de plus aidé par Michael Giacchino qui succède à Patrick Doyle. Le compositeur livre, entre quelque hommage à Ligeti, des morceaux aux élans de noirceur parfois joué uniquement au piano qui ne sont pas sans rappeler la bande originale du Transperceneige. Il arrive également à dégager cette vigueur à travers des notes lourdes et confère ainsi de la robustesse à l’image. Pourtant c’est lorsqu’il se fait moins grandiloquent que sa musique s’aligne parfaitement avec le film usant par exemple d’un morceau légèrement pianoté lors d’une scène d’action monstrueuse ou lorsqu’il laisse le film se terminer sur des violons fracassants de virtuosité. Toutefois, c’est lors des scènes d’opposition que l’atmosphère belliqueuse est sublimé par la grâce folle qui se retrouve dans les séquences longues, les ralentis, les absences de son qui laissent Michael Giacchino étaler son inspiration, et certains jeux de lumière foudroyant de symbolisme, inscrivant cette essence guerrière de manière extrêmement immersive. Ce volet parle bien d’un affrontement, le combat de l’homme contre lui-même, prêt à se sacrifier pour gagner, permettant par-là d’évoquer avec impact toute la contradiction d’une humanité au bord de l’extinction et aux velléités toujours barbares. C’est presque un aveu de la nature autodestructrice de l’homme qu’on nous livre. Heureusement, les scénaristes s’attardent, avec encore plus de maitrise et de force que l’opposition, sur cette union quasi-fraternelle entre Malcolm et César. Se muant en conte philosophique sur la considération d’autrui, elle pose un pamphlet touchant, une déclaration d’humanité encore plus profonde que dans Les Origines. L’interprétation de Jason Clarke provoque alors une empathie envers son personnage, émissaire d’une espèce et facette du côté bon de l’homme, dont le dernier plan aura une valeur symbolique d’un pessimisme désarmant. Et c’est sans conteste César qui ancre cette suite dans un élan grandiose. Incarné par un Andy Serkis au charisme royal, d’un regard percutant et à la posture dominatrice, il porte littéralement les enjeux de cette aventure. Sage, avisé, il emporte le spectateur avec lui pour mieux transmettre les choix auxquels il est confronté. C’est à travers lui que la compréhension de l’humain se fait. Ce dernier découvre alors l’homme et par conséquent, ses semblables, se retrouvant désillusionné à mesure que cette mauvaise humanité (simiesque et humaine) le heurte. Les scènes mettant en avant sa prise de conscience s’avèrent plus frappante, s’introduisant même dans une mélancolie fatale, symbole de l’impossibilité de changer l’homme. Là où le film fait fort, c’est qu’il continue de considérer César comme un homme, donnant une dimension humaine plus forte lors de scènes clés, notamment une, empreinte d’une nostalgie touchante, suggérant que César regrette son ancienne vie. Enfin, tout cela rend la conclusion davantage détonante puisqu’elle montre avec une tristesse indicible tout le désarroi qui s’empare de ce dernier alors qu’il vient de saisir la nature humaine. A l’image d’un Platon désœuvré devant ce que ses semblables ont fait à Socrate, César est désabusé par ce qu’il vient de vivre et doit supporter la responsabilité énorme (responsabilité étant vue comme gage d’humanité, et mise en valeur par des dialogues profonds) qu’est la survie de son espèce, car la guerre ne fait que commencer…à moins qu’elle ne se soit jamais terminée.
    Jonathan M
    Jonathan M

    116 abonnés 1 528 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 août 2014
    Je pense qu'à un moment donné, il va falloir arrêter la supercherie. Là, on atteint limite le grotesque. Le remake "Origin" se trouvait déjà mal en point, mais alors la suite fait figure d'une monumentale bouse commerciale.
    anonyme
    Un visiteur
    0,5
    Publiée le 31 juillet 2014
    On voudrait en faire une parodie que l'on ne pourrait pas!

    Plus manichéen qu'un disney, spoiler: la scène de meurtre du Roi Lion à l'appui
    , le scénario qui est une vaste blague n'est pas rattrapé par des scènes très belles visuellement comme on pourrait l'attendre d'un blockbuster en 3D hyperréaliste...Le pire restant le son.
    Bref, on en ressort révolté malgré soi, malgré qu'on veuille rire de tant de nullité. Parce que ce film va générer des entrées, de l'agent, a été financé au départ... Au détriment d'autres projets forcément plus intéressants!
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 25 août 2014
    3 ans après un très bon opus, la saga continue… Les événements se déroulent donc 10 après le premier et les choses ont beaucoup changés… Les humains ne sont plus les maîtres, ils sont au bord de l’extinction. On voit bien dans le film que le budget n’est plus le même, les effets spéciaux sont sublimes et les singes presque réels grâce à la magie de la motion capture. Et le meilleur c’est qu’ils ont tournés beaucoup de scènes dans des décors réels comme la forêt par exemple. Cela amplifie considérablement le réalisme du monde présenté par le film. Grâce au talent du réalisateur le film bénéficie d’une mise en scène grandiose avec des scènes d’actions très bien filmés, dynamiques et violentes. Oui car ce qui m’a surpris dans cette production, c’est cette violence assez inattendue pour ce genre de production à gros budget. Il faut dire aussi que le film est sombre. Et ce genre de risque me plaît beaucoup, car c’est lourd de toujours avoir les mêmes normes pour tous les blockbusters. Ce qui est intéressant dans le film c’est le message qu’il transmet : quand deux civilisations différentes se craignent et cherchent à se provoquer l’une contre l’autre, elles finiront par s’affronter tôt ou tard malgré les tentatives pour bloquer l’affrontement. Le message est donc aussi humaniste et nous concernent tous. Le film est sortit au bon moment car nous sommes dans ce genre de situation. L’affrontement entre les Etats-Unis et la Russie est inévitable et c’est bien dommage. Les Etats-unis veulent la guerre, la Russie n’en veut pas mais est obligé de s’y préparer pour répliquer. Autre point fort du film : la prestation de Andy Serkis en César. Sérieux. On dirait vraiment un singe, ce type maitrise parfaitement les expressions des singes et leurs mimiques. Mais hélas, ce film a aussi des points faibles comme le scénario. Il reste tout de même très classique dans son déroulement avec des retournements visibles à l’avance. Cela à cause en grande partie de la volonté des studios pour en mettre plein la vue. Mais rassurez-vous, les scènes d’actions sont très bien dosées et ne donneront pas de sentiment de lacement. Autre point faible, les personnages humains. Je sais bien que le but est de s’attacher aux singes et de voir en eux leur supériorité, mais j’aurai voulu un meilleur développement tout de même car on sent bien que la présence des humains est symbolique. Sérieusement, il aurait fallu au moins étoffer le personnage de Gary Oldman ! Mais malgré ces défauts, le film reste grandiose et très agréable à regarder grâce à la mise en scène de Mat Reeves et le charisme des singes. 4/5 mérité.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 16 juillet 2014
    Ayant comme beaucoup - et pour beaucoup de raisons - aimé "Les origines", je me dois de sortir contre cette nouvelle farce simiesque signée Grollywood, la fabrique de friclm.
    Le remplissage par le vide, je veux bien quand c'est gratuit, et encore.
    Ici, pendant deux heures, les dialogues ne font que décrire l'action (eh oui, c'est d'ailleurs le seul effet 3d du film), et paradoxalement (ou pas) l'action ne fait que justifier les dialogues. Un mécanisme fort brillant ... et en tout temps apparent ! Ça clignote un maximum ! D'ailleurs toute tension est systématiquement désamorcée... Je crois qu'ils ont direct tourné leurs pitchs de réunion, ou alors le scénario a été écrit par de vrais singes pour plus de réalisme...
    Les personnages sont tour à tour (ou en même temps): faux - accessoires - larmoyants - manichéens - illogiques - prévisibles - ridicules - vides - mièvres - inutiles - proprets - et j'en oublie...
    De plus, quand les invraisemblances sont gênantes en SF, c'est déjà grave; quand elles sont légions, c'est rédhibitoire. Ça l'est d'autant, ici, que l'opus précédent avait justement fondé du tangible. Pour en arriver à un tel niveau de vacuité, c'est un sacré beau gâchis. Le pire étant que la même histoire aurait aussi bien pu donner un autre bon film.
    Mais là pour le coup, l'affrontement est un vrai massacre...
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 4 août 2014
    Suis-je devenu un vieux con blasé ? J'avoue ne pas trop comprendre les tonnes de commentaires élogieux vis-à-vis de ce film.
    Qu'est-ce qui ne va pas ?
    => Déjà les dialogues. Du vu, du revu, et du re-revu un bon MILLIARD de fois, je ne compte plus les fois où je me tapais la tête contre mon fauteuil devant tant de médiocrité
    (exemple: "Femme inutile= Nan Malcolm ! N'y va pas ! C'est beaucoup trop dangereux" "Homme courageux= Je dois le faire ! Je dois sauver le monde !" "Fiston inutile= Papa ! Laisse-moi t'accompagner ! " [etc...])
    => Tiens d'ailleurs en parlant du fils de Malcolm, il ne sert à RIEN DU TOUT dans l'histoire. J'ai beau chercher, je ne vois pas. C'est exactement pareil pour le fils de César en fait. Du coup ça me permet de signaler la bonne fournée de personnages inutiles.
    =>Le film est extrêmement long à démarrer. (Les humains ne doivent pas venir sur le territoire des singes. Les singes vont sur le territoire des humains pour leur dire de ne pas revenir. Les humains y retournent, mais perdent la confiance des singes. Les singes disent donc de ne pas revenir. Mais Malcolm y retourne, MAIS les humains reperdent à nouveau la confiance des singes. Vous avez compris le manège ? Ça doit occuper un bon premier tiers du film)
    =>L'orang-outan s'appelle Maurice.
    => Si je ne m'abuse, le film s'appelle "La planète des singes: l'affrontement", c'est exact ? spoiler: Certes, il y a bien une scène de guerre vers la fin (très jolie scène avouons-le), mais César déclare lui-même dans les secondes précédant le générique de fin que l'affrontement va seulement commencer. Gnéééé???? Le titre aurait dû être "La planète des singes: le pré-affrontement" ou quelque chose comme ça.


    C'est mauvais.
    anonyme
    Un visiteur
    1,5
    Publiée le 3 août 2014
    Pour tous ceux qui mettent 4 et 5 étoiles: avez-vous vu le même film que moi?
    Entre le premier film et celui la, il n'y a aucune comparaison. Il faut arrêter d'être content d'aller voir de films aussi merdiques (pour ne pas dire autre chose). Car cela encourage les scénaristes!
    Remarque, si vous avez aussi aimé Transformers 4, je comprends.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 30 juillet 2014
    Une très belle découverte. Je me suis perdu a essayer de prévoir ce qu'il allait se passer pour finalement retomber au fond de mon siège en voyant la tournure du film, ou plutôt celui qui donne la tournure au film. Film a voir absolument.
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