Derniers Avis : La Planète des singes : l'affrontement - Page 20

Bien plus SF que le premier opus. On retrouve le souffle des premiers films de la saga avec les affrontements entre singes et humains. Le film ne se limite pas a un beau spectacle, de superbes scenes de combats et de tres belles images. A l'interieur de chaque communaute, les conflits existent, la narration n'est pas simpliste. Cesar sera conteste dans son groupe et au sein meme de sa famille et il devra se battre pour retrouver sa place. Au final, la guerre est declaree, un beau divertissement, un film reussi.

Le premier opus se définissait déjà comme un blockbuster d'exception, cette suite réussit l'exploit de faire aussi bien.
S'attachant les services d'un excellent réalisateur en la personne de Matt Reeves qui effectue un travail formidable, le film se veut encore plus hallucinant sur le plan de l'animation, qui donne à César, grâce à Andy Serkis un photoréalisme bluffant.
Le scenario quoique classique déroule à merveille ses enjeux dramatiques, et fait l'effort d’éviter toute forme de manichéisme en nous offrant également une réflexion sur la nature humaine, tout ça en nous offrant bien sur un spectacle de haute volée.
Le plus fort reste tout de même les singes qui en plus d’être incroyablement animés, sont composés de personnages extrêmement attachants qui à eux seuls méritent qu'on voient ce film qui est une réussite totale !

Après un premier film très réussi, l'attente longue mais toujours appréciée au final du sequel fut plutôt positive. Le film change les personnages humains et rentre dans une nouvelle ère. Très bien écrit, l'introduction connecte les deux volets parfaitement. M. Reeves prend aussi son temps pour poser les bases du changement opéré et le scénario intelligent et patient permet de bien mettre en place l'histoire et de revoir les bases d'un éventuel (ou même assuré ?) 3e volet. Et je dois dire que le développement de l'histoire, chose qui manque cruellement en ce moment, faisait plaisir en plus d'avoir une grammaire cinématographique respectée et bien utilisée. Par contre, le film semble un peu patiner par moments dans l'histoire mais le tout reste cohérent et appréciable. Mais le manque de personnage humain charismatique, même si la présence de G. Oldman, toujours impressionnant, permettait cela, il reste trop en retrait dans le film. Mais fort heureusement, les rôles des singes sont impeccables et déroutant par moments quand ils plongent encore plus vers une forme d'humanité, aussi bien en versant vers les bons côtés, comme les mauvais. Cependant, M. Reeves nous rappelle qu'il avait commencé fort avec « Cloverfield » dans sa mise en scène, et là aussi il arrive à bien maîtriser son sujet visuellement, des travellings séduisants, un joli plan-séquence lorsque que J. Clarke essaye de fuir de la base humaine, des scènes de combats claires et impressionnantes et l'émotion qui passe sans en faire des tonnes. Bien aidé par la musique de M. Giacchino, compositeur talentueux qui sent très bien les scènes des films et à la limite du mélo parfois. Du coup, le sequel est une réussite, quoique plus discret, car il ne possède pas de noms qui vendent, malgré le grand G. Oldman, et que le film possède une histoire posée, sans l'omniprésence de l'action pour rythmer le film mais une véritable histoire et surtout le passage d'un ère à une autre, mais dans un registre plutôt intimiste.

Après un premier volet déjà réussi de Rupert Wyatt, cette suite pousse les atouts de son prédécesseur encore plus loin et étouffe ses quelques défauts pour proposer une toute autre ambiance : exit les tâtonnements, la découverte inter-espèce et le sentimentalisme superficiel, on a affaire ici à une rencontre des hommes et des singes comme alter ego mutuels et à tout ce que cela peut engendrer, de la fraternité à la guerre. Tout comme les personnages qui les symbolisent, les deux camps sont si bien écrits qu'on n'a aucun mal à entrer dans l'histoire et à la prendre au sérieux, surtout que les animations des singes sont bluffantes (presque trop humaines, en fait). Sombre et mature, ce film est bien plus qu'une simple démonstration de savoir faire technologique et je trépigne déjà d'impatience à l'idée de voir le troisième !

Là, j'ai un peu la pression car ma blonde (qui est brune, lol) a A-DO-RE « La planète des singes, l'affrontement »... Et elle me l'a fait savoir avec insistance, une fois n'est pas coutume. Alors je fais gaffe à ce que je vais dire ! Trêve de plaisanteries ; D'une manière générale, je suis assez d'accord avec son jugement, ce deuxième épisode est plutôt bon. Certes on peut regretter une très légère faiblesse scénaristique, les humains manquant sérieusement de profondeur à mon goût. Ceci dit, ce léger inconvénient est très largement pallié par l'incroyable qualité de la « performance capture » qui donne une réelle vie aux singes. L'impression de réalité est totale et particulièrement immersive, franchement ça fout la trouille ! Les deux singes principaux, César et Koba sont simplement magnifiques et la performance des acteurs qui les incarnent est proprement hallucinante. Les effets spéciaux, quand c'est bien fait, il faut reconnaître que ça défrise. Bref, je suis sauvé, moi aussi j'ai aimé ce film. Fan de la vieille franchise, j'estime qu'il n'y a aucune trahison avec cette vision modernisée. Vivement la suite...

Passant outre le fait qu’ici les singes parlent, qu’ils soient doués d’habilité au fusil d’assaut, la suite à l’excellent reboot de la franchise par Matt Reeves, soit l’affrontement, démontre tout de même l’habilité des scénaristes en terme de gestion de la chronologie de cette toute nouvelle mouture du mythe. Se plaçant en effet plus de dix ans après les faits narrés dans les origines, la trame narrative de l’affrontement nous fait l’honneur d’éviter adroitement les aléas d’une production qui aurait mis en avant la contamination, l’extinction en masse de notre espèce, aux travers d’un film sans surprise voire carrément inutile. Non, ici, nous nous plaçons dans un environnement décharné, ou l’homme n’est plus désormais que le survivant, alors que l’animal, par analogie, le singe, domine le monde qui l’entoure. Ce postulat offre une opportunité alléchante permettant de raconter une histoire allant bien au-delà d’un simple conflit de suprématie. Pour autant, si l’écart narratif est conséquent, j’entends entre les deux films, les nouvelles bases induites par le film de Rupert Wyatt sont respectées.

Exit James Franco, que l’on ne reverra plus, et place à quelques nouveaux individus, dont Jason Clarke, Gary Oldman ou encore Keri Russell. Le monde a radicalement changé, la civilisation est maintenant déchue. Seul César, roi des primates, semble avoir gardé son esprit parmi les plus sages. Meneur de singes hors pair, la vedette en Motion Capture, alias Andy Serkis, est sans conteste l’élément fort d’un récit relativement intelligent. Oui, soyons certains que la Planète des Singes, l’affrontement, est ce que l’on pouvait faire de mieux comme suite au reboot d’il y a peu. Substance narrative et techniques de mise en scène novatrices sont notamment des aspects positifs indéniables de cette production qui ne prend jamais le public pour des consommateurs sans arrière-pensées. En somme, ce nouveau modèle de Blockbuster, bien au-dessus du tout-venant hollywoodien contemporain, offre nous seulement un spectacle visuel grandiose, mais aussi un scénario captivant. Chose rare.

Matt Reeves, pour rappel metteur en scène du curieux et saisissant Cloverfield, aurait simplement pu se contenter, pour l’occasion, de mette en scène une guerre spectaculaire et sans merci entre humains et chimpanzés. Heureusement, les scénaristes ont été plus subtils, privilégiant l’exercice de la réflexion, de la coordination de tout un ensemble narratif, en faisant l’impasse sur la simple et pure démolition à laquelle les blockbusters d’aujourd’hui nous ont habitués. Non seulement l’affrontement concorde avec le film précédent mais il permet aussi de laisser ouvertes bien des portes pour la suite des opérations. Mais l’affrontement est aussi, en dépit d’être un film étonnamment posé, une véritable démonstration de technologie. En effet, qui peut se vanter d’avoir vu mieux en matière de capture de mouvements. Cette nouvelle technologie, d’actualité principalement grâce à un certain metteur en scène, je pense à Peter Jackson, trouve ici son paroxysme.

Oui, la planète des singes, l’affrontement, est visuellement splendide. A l’exception de quelques séquences en CGI bien trop marqués, le film est d’une réelle beauté, et ce dans l’action ou dans la contemplation. Matt Reeves, qui s’était fait discret depuis son succès aux cotés de J.J. Abrams, démontre qu’il est un metteur en scène maîtrisant parfaitement les nouvelles technologies du cinéma, un réalisateur à qui l’on peut confier n’importe quel contrat de divertissement. En somme, pour conclure, disons qu’en dépit de quelques phases grotesques, notamment le singe rebelle sur son cheval et un fusil dans chaque main, l’affrontement est une réussite totale, l’archétype du Blockbuster réussi et respectueux, même si l’on regrette le peu de présence à l’écran de Gary Oldman. 16/20

La réalisation technique est parfaite. Les gestes et les comportements des singes semblent très réalistes. Les émotions et sentiments sont bien visibles. On peut reprocher au film sa longueur avec un scénario trop court. Il ne s'agit pas d'un affrontement mais du premier contact et du premier combat.

superbe film! !!! Rien à ajouter! !! Les effets spéciaux sont tout simplement magnifiques

(3D). Ce nouvel épisode de la Planète des singes, bien que moins original et intéressant que son prédécesseur, constitue un bon divertissement. Les défauts des humains - lutte de pouvoir, mensonges, guerres- sont habilement transposés sur ces intelligents primates. Mais le scénario est trop simpliste et pas assez profond pour faire de ce film une vraie tuerie.

Loin de Valoir son 1er Opus notamment par l'absence de personnages Fort bien trop effacer
De plus le réalisateur humanise trop les Singes dans leurs attitude,néanmoins film divertissant dans son ensemble heureusement que Koba est la pour donner un peut d'attrait au film car sinon c etait le naufrage assurer

heu.... honnêtement je suis déçu par ce film après un 1er opus qui s'annonçait très prometteur ... J'ai vraiment préféré le 1er pour le coup l'histoire était vraiment plus intéressante que ça... franchement ça m'a pas passionné ces singes qui parlent en langage des signes presque tout le film, en plus le scénario est quand même assez limité et je dirai même pas très original ! Après les singes sont bien faits et y a quelques scènes d'action mais franchement ce film m'a pas emballé plus que ça ! Dommage que James Franco n'ait pas participé, je l'aurai peut-être plus apprécié... la moyenne mais pas plus. 2,5/5

Au sein d'un contexte post-apocalyptique prenant place dix ans après les événements du premier volet, beaucoup de choses ont évidemment changé, à commencer par la physionomie des lieux, les modes de vie, ou encore les relations entre espèces. Cela permet d'éviter toute répétition et de poursuivre le travail et la réflexion engagés sans pour autant renier les acquis : un personnage fort (César), sa complicité avec un humain, la technique parfaite...

Dawn of the Planet of the Apes s’avère être moins bon que le premier. Malcolm, l'acteur principale humain (Jason Clarke) est beaucoup moins charismatique que Will (James Franco) ce qui fait que l'on s'y attache moins voir pas du tout contrairement à Will. En revanche, César (Andy Serkis) est toujours aussi incroyable et charismatique en chef des singes ! Concernant les personnages secondaires humains, ils ne sont pas trop exploité, on en découvre un peu sur certains mais rien de plus. Du côté des secondaires singes on ne s'y attardent pas beaucoup non plus, hormis le fils de César et Kabo peut être, Kabo qui va voler la vedette à César au près des singes d'ailleurs. Mais vus le nombre de singes et d'humains proche de César et Malcolm, on ne peut pas leurs en vouloir. Le scénario est bien plus simpliste que le premier opus (Singes vs Humains, qui est le plus fort, qui va survivre ? spoiler: Bien qu'ont se rend vite compte qu'un troisième camp va apparaître au cours du film
) mais tout aussi bien traité que dans le premier. Le film en lui même est intelligent, les singes et les humains vont tout deux essayé de trouver un arrangement pour éviter la guerre spoiler: même si certains vont provoquer la guerre par leurs actes et à cause du fait qu'ils (singes et humains) ne résonnent pas tous de la même façon)
. Plus de 50% du film est sous titré du fait que les singes ne savent pas tous parlés, en 10 ans ils n'ont pas tous acquis la parole, et c'est remarquable pour un blockbusters d'été. La bande son reste incroyable, au même titre que Rise of the Planet of the Apes. Malgré quelques longueurs ce film n'en est pas moins très bon, et on est presque toujours à fond dedans !

Je n'ai pas de mots pour décrire ce chef-d'oeuvre philosophique. " L'affrontement " réussi à en faire autant que " Les Origines ", je conseille ce film à toutes les personnes qui sont en quêtes de films intelligent et philosophique. Le casting de cette suite est très différent, mais en tout cas, les singes ne changent pas. Côté humain, le trio ; Jason Clarke, Gary Oldman et Keri Russell excellent. Et côté primates, le bon vieux Andy Serkis nous livre sa meilleure performance ( capture ). Le caractère des personnages est extrêmement soigné, les relations père-fils ou même singe-humain ont été exploités d'une façon cohérente et efficace, beaucoup d'émotions sont au rendez-vous ! Niveau scénario, j'étais épaté, je m'attendais à un film bien bourrin qui était infidèle à son prédécesseur mais au final j'ai eu tort. On a droit ici, à une histoire plus que captivante, le thème de la guerre ( souvent évoqué ) est une belle métaphore, cette suite explore aussi les bases de survie de l'être humain, intelligent tout en étant divertissant, INCROYABLE ! Les images de synthèse prennent 50% du film, c'est toujours plus fluide et toujours plus agréable à regarder, la motion-capture donne un côté plus humain à ces singes, consciencieux. La bande originale signée Micheal Giacchino nous fait vraiment frissonner, que ce soit de l'action ou de l'émotion, Giacchino assure. La mise en scène de ce film à gros budget est sûrement épique, et bien c'est vrai ; elle spectaculaire à un point inespérée, les plans de vue sont ahurissants, techniquement ce film est au top. " La Planète des singes : l'affrontement " est une des plus belles prouesse du 7ème Art, Hollywood tu ne vieillira jamais !

Tres moyen, on a vite envie de dormir, les singes sont très réussit, instinctivement ils ont des capacités étonnantes, peut être un peu trop.