Derniers Avis sur Tracks

Un super film très réaliste. Histoire vraie impensable qui nous emmène dans le désert Australien. On fait le chemin avec elle. On découvre un peuple méconnu avec de grande valeur. A voir et revoir. Un film qui fait du bien et donne envie de bouger. C'est mon film coup de cœur! Très bonne découverte.

Film super intéressant qui retrace la traversée héroique du désert australien par une femme, son chien & ses 3 dromadaires dans les années 70 ! Alors certes le début est un peu poussif car il ne se passe pas grand chose et on ne ressent quasi aucune émotion du coté de la protagoniste (qui n'est pas très attachante en prime il faut l'admettre) et c'est un peu dommage mais au milieu du film, la fatigue & les pépins s'enchainent et là on ressent bien la coté complètement fou du challenge que s'est fixé cette femme ! En plus dans le film on retrouve Adam Driver, que j'ai adoré dans 'House of Gucci' et c'est la petite cerise sur le sunday ! Un beau film palpitant et prenant !

Je n'ai pas lu le livre le film donc cela n'a pas été entaché ou soutenu par Tracks. Cela aurait pu être un très bon film mais il a détruit par un certain nombre de choses que je trouvais si irritantes pendant que je le regardais, qu'elles m'ont rendu fou !. Le jeu du personnage principal est mauvais. Elle a les deux mêmes expressions tout au long du film. Réalisation il y a du délire à ce sujet vous savez ce que vous voyez ?. Pieds de chameaux puis une mouche en gros plan puis devinez quoi ?. Plus de pieds de chameaux. Rincer et répéter pour la durée du film. Encore et encore et encore des pieds de chameaux. À un moment donné elle perd sa boussole et suit les traces de chameaux en arrière jusqu'à la boussole, mais ensuite vous l'avez deviné elle ne peut pas retrouver son chemin vers les chameaux et se perd. Qu'est-ce que c'est ?. Ensuite, les chameaux s'éloignent mais maintenant elle ne les trouve pas. Quant au livre sur lequel est basé ce film cela ne m'a pas donné envie de le lire. Le personnage véhiculé dans le film n'était ni agréable ni sympathique et je ne voudrais plus jamais revivre quelque chose qui ressemble à cette expérience. C'est tragiquement décevant pour toutes les personnes concernées...

Il faut une sacrée bonne dose d'absence de talent pour réaliser un film aussi languissant sur un sujet aussi fort. Certes, les paysages sont magnifiques, on fait la rencontre d'un certain nombre de personnages intéressants dont pas mal d'aborigènes, mais c'est long, beaucoup trop long, et, très souvent, on s'ennuie profondément. Dommage !

L'Australie, dans ce qu'elle a de plus beau, mais aussi de plus cruel... Robyn Davidson, jeune aventurière, veut rendre hommage à son père en reproduisant l'exploit de sa vie : traverser un désert, lancée dans 3200km d'aridité australienne en solitaire. En solitaire ? Non, car Robyn va s'entourer d'un petit troupeau de chameaux, qui donnent le rythme indolent à cette marche, mais aussi au film, puis d'un vieil aborigène qui la conseille, d'un photographe qui vient ponctuellement tirer quelques clichés... Si le rythme n'est franchement pas au rendez-vous (le film paraît long, se répète souvent), on peut compter sur la magnificence des paysages australiens. Il n'y a qu'à contempler les plaines et roches de toutes les couleurs imaginables, et se laisser porter par le bleu azur qui jure avec le rouge chatoyant du sable à perte de vue... Et nous voilà en voyage, dépaysés, aux côtés d'une Mia Wasikowska investie comme jamais, choisie pour sa nationalité australienne (à la place de vedettes hollywoodiennes qui étaient pressenties), et qu'on ne remplacerait pour rien au monde (elle est brillante et se donne à fond pour le rôle compliqué !). Seulement, le défaut de cette suite de cartes postales, c'est qu'elle nous laisse parfois devant des séquences silencieuses de marches en plein désert, ce qui est parfois redondant et long (on attend les rebondissements de l'aventure, tels l'attaque des chameaux sauvages, trop vite expédiée). Les rencontres nous touchent (avec les locaux) ou nous interpellent (les touristes qui suivent la "Camel Lady" comme des mouches à viandes...). Adam Driver est présent, mais s'efface devant le personnage de Wasikowska assez rapidement (on oublie facilement qu'il a joué dans ce film), et a été choisi, on le remarque d'emblée, pour sa grande ressemblance physique au photographe réel qui a accompagné la chamelière. Les deux heures de film se font sentir à cause du manque de punch de ce voyage (peu de mésaventures, on n'appuie pas bien le lien au papa avec ce voyage-filiation de passion...) et de la surabondance de cartes postales, qui sont donc à la fois l'atout et le défaut du film pour n'avoir pas su être bien dosées. Un belle interprétation de Mia Wasikowska à souligner (qui, on le devine, a dû en baver sur le tournage en plein désert avec les animaux). Et, ce n'est pas négligeable : on voit à cent mètres que les animaux ne sont pas maltraités (les plans qui cadrent l'actrice seule dès qu'elle doit les battre, et l'animal qui est en pleine forme au plan d'après : on n'y croit pas, et franchement, tant mieux !), ils sont un peu grassouillets, ont un pelage de qualité, ne sont pas très effrayés par l'actrice (même quand il le faudrait), et ça fait un bien fou. Essayez de ne pas fondre pour le bébé chameau en chaussons, essayez seulement.

C'est une aventure super émouvante et inspirante, merci pour ce magnifique partage d'une telle expérience, merci d'être et merci à ce que vous avez fait naître en moi.

Un film bien senti, passé un peu inaperçu après Into The Wild ou encore Wild. Une adaptation qui retranscrit parfaitement la solitude et l'entreprise évidente de cette femme qui ne cherche qu'à aimé la vie à travers sa condition, par sa reconstruction. Pour autant ses failures et ses incapacités nous sont révélés. Sa préparation au voyage, dans une première partie, interpelle plus que sa marche. Reste un film âpre avec de belles rencontres, souvent trop éclipsées ou trop appuyées à tord, loin d'une mécanique hollywoodienne attendue, et finalement c'est ce qu'on en retiendra. Un film d'un autre continent, des espaces somptueux et des personnages attachants, pour autant qu'on les découvre.

Les apparences, telles des mirages, témoignent de notre propre évolution.

Tracks : Biopic sublime qui aborde les thèmes de la vie, la mort, la survie, trop de maux, moins de mots, se retrouver, chemin vers la paix intérieure... où finalement la seule vérité réside dans celle du mouvement...

Dans le même esprit que "Wild" de Jean-Marc Vallé, Tracks est une histoire à peine croyable mais s'étant pourtant bien déroulée dans le désert australien (road trip). C'est une véritable réflexion sur le passé, la vie et les décisions personnels que chacun doit prendre à un moment de sa vie. Comme Wild, de nombreux flash-back parsèment le spectateur tout au long des 2 heures du film.

Le film est plutôt bien tourné et fait la part belle aux paysages australiens. Néanmoins, je pense que l'histoire ne plaira pas à tout le monde : les rebondissements sont peu nombreux et les quelques acteurs apparaissant à l'écran en dehors de l'héroïne peu attachants. Pas ennuyant mais quelques longueurs qui risquent d'accaparer les plus septiques.

Les images sont superbes, l'actrice est habitée par son rôle, le scénario est tirée d'une histoire vraie, tout est bon...... mais la haine de soi qui se dégage du personnage est proprement écœurante et ternie tout le film.... un grand dommage mais sa traversée du désert australien à des raisons qui me dépasse.....

Le film raconte la traversée en 1975 de l'Australie sur 3200 kilomètres de Robyn Davidson accompagnée par 4 chameaux et son chien, Diggity. Mia Wasikowska est parfaite dans son rôle d'une jeune femme très asociale, face à ses démons personnels dans le désert. Les chameaux mais aussi un homme, le photographe Rick Smollan, joué par Adam Driver, deviennent peu à peu ses amis. Le destin de Diggity la chienne, va certainement vous briser le cœur. Le film explore à la fois la quête de solitude mais aussi le désir d'avoir une attitude respectueuse envers les populations autochtones (abandonnées par les autorités australiennes ) que Robyn va approcher tout le long de son périple. En cela la rencontre avec "l'ancien" le formidable Roly Mintuma (fascinant dans son rôle) qui prête son authenticité à un personnage qui lui ressemble tellement. Robyn retiendra ses leçons, tout comme elle a mémorisée celles du vieux sage afghan, le chamelier Sallay, quand elle se retrouve seule dans son parcours initiatique dans le désert.

Un excellent film d'aventures. Mia Wasikowska incarne une femme courageuse et téméraire à travers le désert australien. Adam Driver interprète le photographe de National Geographic. Un beau duo d'acteurs nous fait rêver avec ce voyage extraordinaire.

un très bon biopic qui n'egale pas into the wind on trouve cependant la beaute des paysages australiens et du bush. L'actrice meconnue est très bien et n'a rien à envier à kidman Malgre quelques longueurs ce film doit etre vu

Un beau film, de belles images certes et pourtant... Une aventurière à la peau à peine tannée après ce long périple et le physique à peine entamé ! A peine quelques rougeurs et pourtant, que de bons moments à marcher dévêtue les cheveux au vents ! Et que dire de la piste sonore, longue mélopée répétitive, flasque, inerte. Heureusement, notons la présence de personnages hauts en couleur, bien du terroir, mais cela suffit-il..........

A mi-chemin entre Into the Wild et Wild. Exactement le même genre de film, qui plaira donc aux amateurs du genre. De belles images, de la solitude, de la remise en question du monde moderne, via le refus systématique du matérialisme et le retour à la nature, un petit peu d'espoir, des déceptions, quelques moments de tension qui fracturent un peu la linéarité du film, et finalement pas grand chose de plus ou de bien nouveau sous le soleil. On passe toutefois un agréable moment car c'est visuellement très beau, mais on en ressort quand même avec un espèce de "tout ça pour ça". Mais c'est une histoire vraie et le film semble la respecter. C'est aussi ce qui compte.