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etoile_du_jaguar
3 abonnés
106 critiques
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1,0
Publiée le 20 mai 2014
Ennuyeux. TLJones s'en sort assez bien comme réalisateur, mais, après 10 minutes d'introduction où on ne comprend rien, on suit un chariot de folles dans une histoire sans rebondissements. L'épisode de l'incendie de l'hôtel construit au milieu de rien est carrément débile. Bon,allez, TLJones s'est fait plaisir. Mais gardez vos sous.
Un film étonnant. L'histoire déjà au départ : une femme devant convoyer seule 3 autres femmes devenues folles en plein far-west. Et aussi quelques surprises dans le scénario. Un film à l'image particulièrement réussie avec des paysages à couper le souffle. Un film très bien joué avec un Tommy Lee-Jones en cowboy hirsute invraisemblable. Mais un film contemplatif et lent. J'avais lu que c'était un film féministe mais je n'en suis pas si sûr : certes cette femme montre un courage, une indépendance, une capacité à se débrouiller seule et une conscience exceptionnelles mais elle est aussi malheureuse au point de prendre le risque de l'humiliation en demandant (je ne dévoile rien c'est dans les 5 premières minutes du film) de but en blanc à un homme de l'épouser.
Bref, je mets quand même la moyenne car même si c'est lent, je ne me suis pas ennuyé donc le positif l'emporte.
L'histoire de femmes dans les western sont suffisamment rares pour marquer le genre. TL Jones est parfait, les femmes aussi, l'intrigue se tient. C'est un film lent, c'est nécessaire afin de laisser la place aux sentiments. Un grand western qui revisite les clichés.
C'est un rude film mamzelle ! Où le vent balaie les esprits aussi arides que dérangés. Belle images, personnages forts, mais l'allure est à pas de mule et on soupèse les étendues d'une histoire qui frôle l'ennui.
quel ennui!enième film sur la rencontre d'une femme de caractere et du vieux cowboy bourru,mais on a vu mieux dans le genre;le pretexte n ai pas convaiquant;je regarde l'affiche et tout est là:un vieux melo poussiereux , maladroit .
Superbe film,bouleversant d'humanité Paysages grandioses Tommy lee jones dans son plus beau registre,bougon,cynique mais un coeur gros comme ça Hillary swank merveilleuse dans ce rôle de femme seule forte et faible à la fois avec ses doutes et son humanité Un très grand film , sobre mais qui prend aux tripes,la scène du fleuve plus qu'emouvante.
Vraiment nul.... L' histoire est plate. On attend un revirement qui ne vient jamais..... C'est l'histoire d'une désespérée qui par son désespoir touche le Coeur d'un vieil homme aigri et égoïste.... Une perte de temps totale.... Je mets 0,5 d'une étoile ❇ pour le paysage...
Il y a les Feel Good movies et il y a "The Homesman". Une vision âpre et quasi désespérée de l'Ouest américain. Et accessoirement un film qui vous donne envie de vous tirer une balle, quelle que soit la qualité du scénario et de l’interprétation.
Tommy Lee Jones démontre, dans ce film décevant, son machisme d'un autre âge. Les femmes sont réduites à des folles ou, pire, à des chasseuses de maris désespérées au point de se pendre quand elles ont enfin réussi à mettre un vieillard (TLJ lui-même) dans leur lit l'espace d'une nuit. Pathétique.
J'ai vu un film... vraiment incroyable. L'histoire est puissante, imprévisible et réellement touchante. Tommy Lee Jones réalise et joue un film au plus près des émotions humaines, avec une force incroyable. Hillary Swank est vraiment touchante, attachante et émouvante... Et ce convois de femmes croisent la route de tout ce que le wild wild west peut proposer (indiens, outlaws, personnages troubles parfois en quête de respectabilité,...). Chaque situation est l'occasion d'approfondir la psychologie des personnages. Pour un western, on y place une dose de psychologie incroyable, le tout avec des images magnifiques qui montrent la petitesse de l'homme... et la petitesse de l'homme face à la nature. La très belle réalisation de Tommy Lee Jones est un bijou de maîtrise et de subtilité, et donne vraiment envie de voir d'autres de ses oeuvres. Il convient également de souligner la qualité du casting. Un très grand film.
Survivre dans l'Ouest américain. Cultiver une terre ingrate, affronter les conditions climatiques. Ne pas sombrer. Trouver un mari. Rester forte et droite. Être choisie pour transporter des femmes qui ont sombré. Trouver un fou pour l'accompagner. Ne pas sombrer. Essayer de se trouver un mari pour faire des enfants, et ne trouver personne. Surtout ne pas sombrer. Chanter pour se donner de la joie. Pleurer quand on est à bout de nerf. Penser à ne pas sombrer. Affronter ses peurs, utiliser l'humour en cas de désespoir. À partir de la, le film oblique, à la grande surprise du spectateur. Le "grand relâchement" fait son œuvre, le film se concentre sur un personnage. TLJ réussi à faire un mélange subtil de néo-western réaliste, comme Kelly Reichart, ainsi qu'un récit d'aventure ou la violence, la folie, la religion se mêlent. Et où ne pas sombrer vire à l'obsession... Du grand art !
Loin d'un western classique bien que tous les ingrédients à l'image y soient, l'allumage est progressif, entre présentation et préparatifs, avec une musique moins grandiloquente que pour affronter les grands espaces dans des chevauchées spectaculaires mais tout de même de jolis plans étirés. Le couple conduisant les trois égarées promet, on pressent à quelles extrémités cette terre inhospitalière en plus de leurs caractères aguerris, va les amener, les échanges humains de ces contrées étant plus proches du grognement que de la parole. Mary se défend au mieux en tant qu'individu, cantonnée entre sainte et/ou mégère apprivoisée. Elle intrigue à juste titre. Il y a des pics de qualité, quelques gags bienvenus, mais le voyage manque du piment qui ferait décoller ce couple empêtré dans les façons de ce temps-là... Après tant de veulerie, voir Meryl Streep en femme de pasteur est le lot de consolation. Même si Tommy Lee Jones analyse sans complaisance le retour à l'animalité la plus crasse, même s'il sait implicitement dire "voyez à quoi on peut revenir un jour dans toute société en perdition", sa pirouette d'ivrogne fait un peu réalisateur qui se réfugie dans l'acteur, trop facile...