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    Philomena
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    4,1
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    507 critiques spectateurs

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    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 27 avril 2014
    Un excellent film interprété par une grande actrice Judi Dench, qui donne une empreinte forte à ce film. Sur la découverte d'un passé et la recherche du mot savoir... A chaque personne qui regarde ce film jusqu'au bout et ont apprécié, ça c'est une autre question. Qu'auriez-vous fait, vous? Je note ce film 4,5 étoiles sur 5.
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1
    Critique de Monique Pantel dans Europe 1

    63 abonnés 355 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 22 février 2014
    Sensationnel ! Dans l'Irlande puritaine des années 50, une jeune fille, Philomena, est enceinte. C'est la honte ! Alors ses parents la rejettent. Dans le couvent où elle est envoyée, la pauvre petite est aux mains des religieuses qui confondent la haine et la charité. Alors on lui fait avoir son petit. Mais dès qu'il est né, on la lui laisse voir une heure par jour. Et après plus du tout, il sera adopté à trois ans, et après on va le chercher. Et j'ai pleuré tout le temps, et ça m'a fait du bien !
    perle de rosée
    perle de rosée

    43 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 16 février 2020
    Ce film est un puissant, plein de finesse et de subtilité. Une belle adaptation du roman éponyme. Très bon jeu d'acteurs. On s'attache aux personnages et à cette histoire captivante.
    PetiteCerise
    PetiteCerise

    8 abonnés 226 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 janvier 2014
    Stephen Frears s'attaque à une histoire bien dramatique et pourtant l'humour so British accompagne l'histoire avec une petite légerté. Judi Dench et Steve Coogen est un duo remarquable qui met en avant le contraste des générations. J'ai beaucoup aimé.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 17 janvier 2014
    Acclamé à la Mostra de Venise ou encore en lice pour les Oscars 2014, Philomena est un biopic grandiose à voir sans détour. Le réalisateur, Stefen Frears est à son meilleur niveau ; nous fait rire et pleurer dans la mêmes secondes et de la plus belle des façons.

    Le scénario adapté d’une histoire vraie et du livre de Martin Sixsmith : The Lost Child of Philomena Lee, est purement incroyable mêlant à la fois subtilité et complexité. Philomena nous entraîne dans une véritable investigation mais aussi à une quête de la vérité. En effet, Philomena n’est pas simplement la recherche d’un enfant perdu, c’est aussi la quête du pardon tout en pointant du doigt les défaillances et les pêchés du couvent des bonnes sœurs. Philomena est un véritable scénario tiroir avec son lot de rebondissements inattendus et touchants. L’histoire prend au fur et à mesure un tournant dramatique voir tragique et le film est d’une telle puissance que l’on ressent toute l’impuissance et la tristesse de Philomena face à la perte de son enfant. Pour finir, les répliques sont brillantes et réfléchies, ce qui donne encore plus de sens à cette histoire fabuleuse. Notons, aussi les pointes d’humour savamment insérées tout au long du film, qui séduisent le spectateur le moins convaincu.

    Au niveau de la réalisation, Stefen Frears préfère les plans longs et lents. En cela, Philomena peut paraître par moment interminable, notamment quand Philomena raconte son livre à Martin ! Mais, ces longues séquences sont nécessaires pour donner à Philomena tout son relief. En effet, les séquences longues et détaillés permettent au spectateur de mieux s’immerger dans le film et de comprendre les facettes du personnage. Et grâce à la caméra de Frears, on peut ressentir le malaise de Martin face à Philomena (au début du film) mais aussi la tristesse de Philomena. Cependant, à détailler, le film devient quelque peu longuet.

    La qualité des acteurs viennent renforcer ces quelques séquences longues par leur magnifique présence et prestation. Steve Coogan dans le rôle du journalise (Martin Sixsmith) est incroyable ; il ne se contente pas seulement de réciter son texte mais prend une véritable implication dans son rôle. Judi Dench dans le rôle de Philomena est encore plus incroyable ; sa nomination à l’oscar de la meilleure est purement justifée !

    Pour conclure, Philomena est un biopic de qualité, qu’il faut voir pour son intelligence, son scénario iceberg ou encore pour la qualité des acteurs.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 24 janvier 2014
    Voici "une histoire d'aventure humaine écrite pour des esprits déficients"

    Le pitch : Dans l'Irlande catholique des années 1950, Philomena Lee, une adolescente, tombe enceinte. Elle est envoyée illico dans un couvent où on ne l'autorise à voir son bébé qu'une heure par jour. A l'âge de trois ans, l'enfant lui est subitement retiré pour être adopté par des Américains. Après des dizaines d'années dans le silence, elle rencontre un ancien correspondant de la BBC récemment licencié, qui la persuade de partir aux Etats-Unis sur les traces de son fils.

    Nous voilà plongés dans l'histoire véridique de Philomena Lee, qui après avoir commis le pêché de la chair et être tombée enceinte, se fait envoyer par son père au couvent. Dans ce lieu austère, elle travaille comme une forcenée à la blanchisserie et n'est autorisée à voir son fils, Anthony, qu'une heure par jour. Dès le début, on a face à nous quelqu'un de courageux, une battante, aussi bien lors de son accouchement (elle accouche par le siège sans anti-douleur) que dans les jours atroces qui suivront. Alors qu'on lui rabâche qu'elle a été une mauvaise fille, que ce qu'elle a fait est très mal au regard du Tout-puissant, elle se fait convaincre de renoncer dès sa naissance à tout droit sur son enfant.
    C'est pourquoi quand ce dernier a trois ans, il est arraché à sa mère par des bourreaux que sont certaines bonnes sœurs, pour être adopté par un couple d'Américains au porte-monnaie juteux.

    Sous les cris et les larmes de Philomena qui n'a même pas le temps de dire au revoir à son petit, la voiture démarre et... silence. Elle n'aura plus jamais aucune nouvelle pendant cinquante ans, des années qui la laisseront pleine de culpabilité. Toutefois, celle-ci conserve sa foi et vit dans l'espoir de revoir Anthony. Un jour, elle fait, grâce à sa fille, la rencontre de Martin Sixsmith (Steve Coogan), un journaliste athée et plutôt sarcastique. Celui-ci s'engage auprès d'elle à tout faire pour retrouver son fils, et c'est ainsi que démarre un duo que tout oppose : la religion, la culture, les goûts littéraires, le niveau de vie. Pourtant, dès les premiers instants, on sent une complicité très palpable, tintée d'une touche humour des deux côtés : un bel homme quelque peu cynique et une septuagénaire drôle malgré elle.

    Philomena est un film qui pince le cœur, et qui lorsqu'il touche au mélodramatique, vient sécher nos larmes pour nous apporter douceur, espoir...et vie. Car si notre petit bout de femme s'effondre parfois, elle est d'un courage qui force le respect. Celle qui est toujours restée dans le secret parce qu'elle était bouffée par la honte, se décide enfin à parler et à marcher sur les pas de son fils. Après être allés au couvent dans l'éventualité qu'on leur donne trace d'Anthony, direction Washington où apparemment celui-ci habiterait. La suite n'en est que plus émouvante.

    Ce qui m'a particulièrement touchée dans cette histoire, c'est le calme et la paix dont fait preuve notre personnage. Cette valeur du pardon qui a ici une portée magnifique. Pour Philomena, il faut pardonner pour rester en paix. C'est à ce titre qu'elle rétorque à Martin, à la fin du film : "Je ne suis pas comme vous. Je peux pas être en colère ; c'est fatiguant la colère. Je préfère accorder mon pardon pour être en paix" et aussi lorsqu'elle murmure : "il y avait certaines sœurs gentilles". A ne vouloir jamais déclarer la guerre, cette femme ne peut inspirer qu'émotion et admiration.
    Stephen Frears nous dévoile toute la beauté de ce personnage très modeste, même un peu trop. Par dessus tout, il est juste en nous exposant deux problématiques : l'Irlande et l'église catholique d'une part, de l'autre la difficulté à traiter le sida aux Etats-Unis dans les années 80.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 1 mars 2014
    Excellent film joué par une excellente Judi Dench , bravo et merci
    hubertselby
    hubertselby

    58 abonnés 436 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 janvier 2014
    Ce film est touchant et très beau. Judi Dench joue Philomena, une vieille dame un peu simpliste de part son manque d'éducation mais pas dénué de sens moral et de bonté.
    Steve Coogan joue le journaliste britanique ultra blasé, esquinté par son millieu qui va la rencontrer et l'aider dans le but de faire un article pour se relancer.
    Deux individus blessés chacun de leur manière vont s'entraider pour que cette jeune femme qu'elle était à l'époque retrouve son fils.
    Magnifique charge contre cette merde de communauté religieuse de soeurs tarées...
    De très bons rebondissements !
    De l'émotion, de la dénonciation, de l'amour, de la peine, de la colère et le pardon.
    Si vous avez une heure et demie, ça le fera bien !
    Hubert Guillaud
    Hubert Guillaud

    118 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 11 janvier 2017
    Philomena est-il autre chose qu'un mélo pour spectateur retraité ? Certes, son couple de personnage - l'un digne, l'autre critique -, évite à Frears de tomber dans le pire pathos. Si on se laisse bercer par la caméra très sage de Frears, on se demande tout de même ce qui nous a retenu là, tant tout cela était convenu, jusqu'à la morale pour vieille bigote. Frears est devenu l'Inspecteur Derrick de la réalisation.
    caro18
    caro18

    145 abonnés 2 213 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 14 janvier 2014
    Une belle histoire qui navigue entre émotion et dégout envers l'église catholique.
    officiel76
    officiel76

    41 abonnés 411 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 20 janvier 2014
    il y a bien longtemps que j'avais vu pareil mélo qui me bouleverse. Quelquefois la frontière est ténue entre la profondeur et le sentimentaliste, mais certaines scènes sont à ce point bouleversantes qu'il faut ne retenir que le meilleur de ce film. les flash back sont un peu maladroits...mais Judi Dench est absolument époustouflante, tant qu'on a souvent l'impression que c'est sa propre histoire qu'elle joue. C'est une vraie leçon d'humilité, d'amour et de talent qu'elle nous donne. Bravo.
    defleppard
    defleppard

    324 abonnés 3 265 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 21 avril 2014
    J'ai trouvé la mise en scène ennuyeuse rapidement, j'ai donc arrêté le visionnage peu de temps après. 1 étoile et demie.
    VeganForAnimalRights
    VeganForAnimalRights

    119 abonnés 214 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 8 septembre 2014
    Un film humainement sympathique, mais artistiquement bien faible...Un mauvais Frears, somme toute.
    nicolas t.
    nicolas t.

    56 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 janvier 2014
    Tire larmes démago.
    Frears vieillit mal. Où est passé son mauvais esprit ?
    Roger O.
    Roger O.

    10 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 31 janvier 2014
    Stephen Frears est un cinéaste vraiment très intéressant: quel que soit le film, il parvient à faire écrire (ou récrire si nécessaire) un scénario de qualité, à engager des acteurs parfaits (ici Judi Dench et Steve Coogan), et à assurer une mise en scène fluide, presque invisible. Certains crient au classicisme, voire à l'académisme: moi, je dis :"Vive le cinéma!"
    Peu importe que le film s'inspire de faits réels, comme c'est aujourd'hui la grande mode; l'important est la relation qui se crée entre les deux personnages principaux, deux cabossés de la vie, l'un pour des raisons bassement matérialistes et politiques, l'autre pour des raisons autrement tragiques. Ils ne forment pas un couple, mais un duo dont chacun des membres va peu à peu se rapprocher de l'autre. C'est le thème central de toutes les "comédies américaines" et il arrive que l'on sourie ou même que l'on rie dans ce film. Cependant, c'est la colère anticléricale exprimée par le personnage interprété par Coogan (co-auteur du scénario) qui constitue l'élément le plus sain de l'œuvre: il y a des choses que l'on n'a plus l'habitude d'entendre au cinéma et cela fait du bien de partager l'indignation soulevée non seulement par le comportement de la vieille sœur sadique confite dans ses préjugés assassins, mais aussi et surtout par la complicité criminelle des si gentilles (en apparence) religieuses du présent de la narration.
    Pourtant, le film ne transpire pas l'aigreur et l'esprit de vengeance: le journaliste comprenant Philomena finira par lui offrir une statuette saint-sulpicienne et par admettre le romanesque naïf de celle qu'il aura appris à connaître et à apprécier, après l'avoir considérée d'un œil mercantile comme un simple sujet d'article de journal "près des vrais gens".
    Il est rare de voir ainsi mêlés la colère et la compréhension, l'humour et la tragédie. Frears est vraiment un cinéaste très intéressant.
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