Avis : Transcendance - Page 3

J'ai tendance à penser que tout ce qui provient plus ou moins loin de l'écurie Nolan sent fort le purin. Un peu comme une puanteur si régulière dans sa nocivité qu'il est très difficile de faire de l'ironie ou du second degré. Transcendance ne fait pas exception à la règle et les flatulences qu'il dégage via le visage bêtement informatisé de Johnny Depp sont à l'image d'une compétition mondiale de pets : on s'imagine qu'on passera un bon moment mais on se retrouve soudain éclaboussé par un participant trop habitué du poulet épicé.

Le gros problème de ce film, c'est qu'en voulant être original, il devient subitement mauvais. C'est le genre de film ayant un énorme potentiel et qui au final ne parvient pas à surprendre une seconde. Tout part d'une idée géniale, un scénario du tonnerre de Dieu qui peut laisser présager un très bon film. Mais minute par minute on se rend peu à peu à l'évidence : Le film est plat. Il est lent, pour ne pas dire qu'il traîne de la patte, une absence totale d'un semblant de rythme. Pourtant ce film de SF possède un bon casting ! Johnny Depp, Morgan Freeman, ou Cilian Murphy ( Inception ) mais un bon casting ne veut pas dire obligatoirement jeux d'acteur inoubliable. En effet Freeman est transparent, Murphy un peu moins, Depp sauve le film d'un crash coté performance. Les effets spéciaux en revanche sont très travaillés. Maintenant j'affirme que le potentiel d'une telle histoire est gâché par d'innombrables bourdes. Certaines choses sont exaspérentes, comme la femme de Will qui cherche plusieurs fois à résonner son mari ( 3, 4 fois ) mais au final elle se ravise. Comme beaucoup d'autre d'ailleurs. Pourquoi ? Pourquoi ne veulent-ils pas parler franchement ? Un autre problème est : la naiveté des personnages. C'est gonflant. Et puis, le film aurait pût être un peu plus intelligent si Will était devenu le vrai méchant de l'histoire. Pourquoi ne pas le faire contrôler toutes sortes d'infrastructure, la bourse ou autre chose ? Il aurait pu pirater des missiles nucléaires ou contrôler les éléments ! On aurait pu lui donner la clé de l'univers mais au final : rien. Un amas de maladresse. Bref, un film gâché.

Transcendance est la première réalisation de Wally Pfister et malheureusement ce n'est pas une réussite. Le film n'arrive pas à nous captiver la faute à une histoire bancale qui aurait pu être bien meilleure. Johnny Depp est décevant et le reste du casting est mal exploité ( en particulier le personnage de Morgan Freeman). Heureusement que la photographie est très belle (normal pour Wally Pfister) et que les musiques sont réussies. Transcendance n'est pas une catastrophe mais il n'est pas à la hauteur des ambitions du chef opérateur de Christopher Nolan. Un film de SF décevant.

J'attendais pas beaucoup de ce film au départ pour ensuite prendre une grosse claque, vraiment un très très bon film, gros coup de cœur.

Une critique étalée en pathé n'en est -et de loin- pas une mais un sévère manque de cohérence. On peut aimer ou ne pas aimer une chose. Tout oeuvre cinématographique accroche ou fait décrocher le spectateur en fonction de son imagination, ses gouts et sa sensibilité. J'ai lu des articles qui n'étaient pas des critiques mais des avis personnels. Donner son avis, c'est facile et peut constructif. Le partager requiert un sens critique la plus neutre possible.
En voici ma version :
Transcendance réuni un casting de premier choix avec des acteurs ayant fait leurs preuves dans d'immenses blockbusters. La cohérence du scénario frise terriblement avec l'actuelle réalité et le rythme observé se veut quelque peut lent, sans rappeler une certaine inéluctabilité des choses. Jusqu'au bout, on se demande si la volonté et les pensées du Dr. Will Caster sont belle et bien les siennes ou serait-ce la machine qui s'est enrichie de sa personnalité. Et c'est ce qui fait tout le propos du film : la lutte entre les activistes et l'avancée scientifique, compagne du destin de l'Homme et de son humanité.
Aller le voir vaut le détour, sauf si vous attendez quoique ce soit lié au passé des définitive, il s'agit là du premier film du réalisateur Wally Pfister qui signe là sa marque de fabrique réfléchie au tempo plus lentio que ce que l'on à l'habitude de voir mais qui se veut franchement efficace, car il correspond bien à la dynamique un peut terre-à-terre du personnage principal. Une excellente surprise donc pour les amateurs du genre, qui soulève en fond un problème qui fait grincer les dents, un combat entre l'avenir de l'homme face à la science et la religion.
Original, dans l'air du temps, qui souleve un vrai problème, un casting de qualité.
Voilà ce que vous devez retenir si cela peut vous convaincre de tenter une nouvelle expérience cinématographique.

Je ne sais pas pourquoi mais ce projet semblant en émoustiller certains, perso dès la bande-annonce j'avais senti l'entourloupe. Et vu qu'on te balance la bande annonce en boucle, par pur altruisme j'y suis allé, j'ai donné mes deniers durement acquis pour cette oeuvre caritative qui permettra à Depp de payer son mariage et la pension de ses morveux. Ne suis-je pas un homme bon ?

Sérieusement ? Comment pouvait-on croire qu'un film réalisé par le directeur de la photo des films de Nolan, produit par Nolan pourrait être bon ? Ce truc pue le film de petit malin sans idée à des kilomètres.

On est typiquement dans ce genre de film un peu hybride, qui sont certes des blockbusters, mais qui se la jouent SF intimiste, porteuse de messages et de pseudos réflexions.

Mais il ne faut pas se leurrer, c'est avant tout un sombre navet, totalement cliché et inintéressant. On a ce truc formaté au possible, incohérent, bête comme ses pieds. Le film te balance sans cesse à la gueule un "ta gueule, c de la science tro lol", c'est juste pénible. Et vu que c'est cousu de fil blanc on voit dès le début où il veut nous mener, c'est ultra poussif et laborieux.

La femme aime son mari, il meurt, il devient une machine, elle l'aime, elle a peur blablabla. Inintéressant. L'idée de l'intelligence artificielle, c'est bon, ça fait des dizaines d'années que c'est exploité en SF, et c'est rarement bien fait, on avait bien Her cette année qui était sympa... Mais on n'a pas fait mieux depuis 2001 dans le genre.

Faut m'expliquer à quoi servent les personnages. Hall, ok, Depp, ok, Bettany, ok, mais bordel ils servent à quoi Murphy (que j'adore) et Freeman ? Ils font de la figuration, ces personnages sont inutiles au possible. C'est juste consternant.

D'ailleurs l'écriture des personnages n'est pas en reste, elle est au niveau de la nullité du film, Depp est l'archétype du gentil scientifique un peu asperger sur les bords, mais qui est quand même charismatique et qui fait des blagues (on croit rêver), Hall qui est la conne naïve, Bettany le mec qui tente de "philosopher" sur l'homme et toutes ces futilités... Et on a Murphy et Freeman qui servent encore à rien et qui n'ont aucune personnalité.

J'aurai aimé dire qu'il y a un truc à sauver, mais non, c'est long, pénible à regarder car on voit où ça veut en venir, mais ça met dix ans à y parvenir, c'est vain. Et puis on se tape une fin qui se voudrait belle et un peu énigmatique, une sorte d'ersatz de Nolan (pas certain que ça soit le modèle à suivre). C'est consternant.

Marrant aussi de voir que ce directeur photo n'a même pas fait la photo du film lui-même. Il devait être débordé à faire cabotiner ses acteurs afin que le tout soit harmonieusement mauvais.

Tout est tellement mal amené et idiot que j'avais vraiment envie de taper le siège de devant, comme ça, juste pour me passer les nerfs. On m'a vraiment pris pour un con pendant deux heures, il n'y a pas un truc qui sonne juste. Même lorsqu'ils "baisent" dans un rêve ils le font en sous-vêtements. Mais qui rêve qu'il copule en sous-vêtement ? personne !!!

Et puis la question : est-ce Depp ou non ? C'est juste ridicule, comme ambigüité, le film passe totalement à côté de son sujet. Et commencer son film par la fin n'aide pas à le rendre intéressant.

Ce qui m'énerve aussi c'est cet aspect énergie illimitée, comme si la thermodynamique n'existait pas, tout sort de nulle part juste parce qu'un ordinateur est connecté à internet. C'est juste idiot.

Et la pseudo réflexion finale est à se flinguer tant ça pue la mauvaise SF de roman de gare.

Mais qui espérait me tromper et voir Depp dans un film correct pour changer (et surtout jouer normalement), c'est pas demain la veille qu'on retrouvera cet acteur doué dans un rôle convenable, il préfère faire le cabot, tant pis pour lui. Ce qui lui faudrait c'est qu'il tourne avec un Kechiche histoire qu'il le brise un peu, qui pleure toutes les larmes de son corps, qu'il reparte en rampant, qu'il fasse des excuses publiques pour avoir gâché son talent ces dernières années...

Finalement la seule question que je me pose c'est si le public tombera dans le panneau comme il a pu le faire pour Now You See Me (l'arnaque est environ tout aussi grande), mais vu que Transcendence est bien plus chiant, je me dis qu'il y a des chances que le film se fasse littéralement chier dessus.

Ce film explore la théorie de la numérisation totale d’une conscience humaine. Même si la science-fiction est très présente, le réalisateur Wally Pfister a toutefois décidé de placer au centre de son scénario une histoire d’amour très intense. On a donc un mélange des genres très prononcés et le pari était, par conséquent, de les doser efficacement pour que le mariage soit réussi. Alors qu’en est-il ?

Tout d’abord, parlons de la composante science-fiction. Le thème de l’intelligence artificielle a souvent été abordée dans l’Histoire du cinéma. Mais, la façon dont « Transcendance » s'y intéresse est inédite et très originale. En effet, c’est la première fois que l’idée de numérisation de la conscience humaine est traitée dans un film de grande ampleur. Ce nouveau point de vue offre beaucoup de nouvelles possibilités et le réalisateur nous en livre quelques unes que j’ai trouvées très intéressantes.

Il faut savoir que « Transcendance » est la première réalisation de Pfister mais il a déjà une très longue carrière dans le cinéma puisque qu’il a été le directeur de la photographie pour d'autres projets tels que la dernière trilogie Batman, Inception ou encore Le Prestige (c’est un très proche collaborateur de Nolan). Or, on retrouve clairement cette expérience ici : l'esthétisme est irréprochable. Certaines scènes et certains plans sont magnifiques et bien pensés ce qui est très appréciable et tout particulièrement lorsque cela touche à la science-fiction.

Forcément, le thème de l’intelligence artificielle amène à des problématiques d’éthique scientifique et rappelle systématiquement les dangers du jour où la machine détruira l’humanité. Ces éléments sont présents dans le film, mais avec une dimension supplémentaire grâce à l'angle d'approche choisi. Cela rafraîchit un peu tous ces débats dont on avait, il faut bien le dire, pas mal fait le tour.

Passons à la dimension « romance ». Comme je l’ai dit, au centre de l’intrigue il y a une histoire d’amour passionnelle. Je l'ai trouvé très belle et très touchante. Elle donne lieu à de très beaux moments de complicité entre les deux protagonistes, mais aussi à des instants dramatiques qui ne peuvent pas laisser le spectateur de marbre. De plus, elle introduit les thèmes des sentiments et de l’âme humaine qui sont très pertinents vu le contexte.

Jusqu'à présent, le film paraît très réussi et pourrait être un chef-d’œuvre, mais ce n’est malheureusement pas le cas. En effet, pris à part, le côté science-fiction et le coté romantique sont très bien faits. Mais la façon dont ils sont associés crée une grande faiblesse. J’ai trouvé que le film garde tout du long le rythme d’une histoire d’amour ce qui n’est pas du tout compatible avec ce que l’on attend d’un film de science-fiction. On se retrouve devant de très long plans, très souvent inutiles, qui nous font décrocher un peu, voire même nous plongent dans l'ennui. C’est vraiment dommage car cela gâche son immense potentiel. Ce mélange n’est toutefois pas totalement raté car il donne naissance à un suspense qui, a contrario, tient en haleine le spectateur une bonne partie du film. Cependant, cela ne suffit pas à compenser le reste.

Pour finir parlons des acteurs. Ce long métrage était seulement le deuxième film de science-fiction comptant Johnny Depp au casting. On est plus habitué à le voir dans des oeuvres fantastiques, un domaine dans lequel il excelle. Du coup, ce n’est pas du très grand Johnny Depp. Il livre une performance dans la moyenne, ce qui est pour le coup assez décevant quand on connaît son immense talent. Pourtant, son personnage dispose d'une personnalité atypique, un peu hors norme comme il les aime. Rebecca Hall sort un peu du lot. Elle arrive à nous faire passer beaucoup d’émotions et elle est très convaincante dans la peau de son personnage tourmenté. Le reste du casting (Morgan Freeman, Paul Bettany, Cillian Murphy, Kate Mara…) joue leur rôle mais sans être en état de grâce.

Au final, j’ai trouvé que Transcendance avait un potentiel gigantesque et c'est bien dommage qu'il ait été gâché par un mauvais équilibre global. Un film qui n’est, au final, pas « transcendant » mais tout juste sympathique.

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Pour sa première réalisation, Wally Pfister, le directeur de la photographie de Christopher Nolan, aborde un sujet inquiétant et d'actualité. Jusqu'où la technologie va-t-elle s'arrêter et en serons-nous les victimes ? C'est un thème tout à fait intéressant mais complètement desservi par ce film qui semble très vide. Se sachant mourant, le scientifique Will Caster accepte de donner son esprit à un super-ordinateur, ce qui le rend rapidement omnipotent. Derrière une réflexion tout à fait légitime se cache un film dont le seul intérêt est son pitch. Quand on va plus loin, on trouve un film sans surprises au scénario bancal. Si les personnages de Johnny Depp (étonnamment sobre ici) et de Paul Bettany ne sont pas trop inintéressants, celui de Rebecca Hall est réellement le seul qui a une véritable épaisseur psychologique et encore il est assez énervant. Les autres acteurs présents (Morgan Freeman, Cillian Murphy, Kate Mara) sont là simplement pour faire beau puisque le scénario ne prend même pas la peine de faire exister leurs personnages. Malgré son histoire forte, "Transcendance" ne parvient pas à aller au-delà, coincé entre un scénario mal construit et une mise en scène relativement fade. Le résultat a autant d'âme qu'un ordinateur, c'est dire !

Une mise en garde dirons certain ! Moi je vous le dis, plus qu'un film, un futur inéluctable.
Des questions et des réponses, sur notre humanité, sur le sens de l'amour, sur la quête du bonheur, sur la religion, sur nos peurs si multiple, et aussi sur l'éthique. Bref, quelque chose de profond qui dérangera bien évidement les croyants, les imbéciles, les incultes, et les fans de films d'action pur testostérone !

Mais une oeuvre qui ne vous laissera pas indifférent.

nous faisant gràce des effets ostentatoires rivalisant dans ce genre de film et qui finissent par peser voir rendre ridicules certaines histoires, ce film s'économise et livre une vision sombre et troublante, à la limite du conte, d'un futur où l'Homme serait tellement connecté à la machine qu'il en perdrait ses repères. Beau visuellement, bien interprété, j'ai vraiment beaucoup aimé alors que je ne suis généralement pas client de ce genre. Transcendé, il faut le dire...

Je comprends pourquoi Transcendance a fait un bide aux USA, et je comprends également les critiques de la presse. Johnny Depp, réveille toi et arrête de tourner dans des navets !!
Le scénario avait l'air très intéressant, et je pense qu'il y avait de quoi faire. Mais une nouvelle fois, ce film tourne à la catastrophe. Le film n'est pas lent, mais il est mou. Très mal exploité, on n'y croit pas une seule seconde et cela tourne au ridicule. De plus, les acteurs sont vraiment nuls. Johnny Depp ne m'a pas convaincu du tout. En le regardant, on dirait qu'on l'a forcé à tourner dans ce film.
N'y allez pas.

Une production Christopher Nolan réalisée par son directeur de la photo attitré avec un casting ultra-lourd comprenant Johnny Depp et des rescapés de chez Nolan (Morgan Freeman, Rebecca Hall, Cillian Murphy, Lukas Haas) pour un film de SF original ou du moins non tiré d'une œuvre littéraire. L'intrigue suit donc un éminent chercheur en intelligence artificielle qui transfère ses données cérébrale dans un puissant ordinateur alors qu'il s'apprête à mourir. Mais en devenant de plus en plus omnipotent, notre héros va peu à peu sombrer vers le côté obscur, devenant une sorte de dieu numérique pouvant interférer avec la réalité et dont les intentions s'avèrent maléfiques. Ça ne vous rappelle rien tout ça ? Vous l'aurez compris, Transcendance lorgne énormément sur Le Cobaye de Brett Leonard, sorti il y a de ça vingt ans. Empruntant également des thématiques issues de Matrix, Ghost in the Shell ou encore L'Invasion des Profanateurs, le premier scénario de Jack Paglen (qui a bien poireauté dans la black list hollywoodienne avant d'être adapté) n'a finalement pas grand chose de vraiment original. Entremêlant neo-thriller sur les classiques dangers de l'intelligence artificielle et science-fiction soft, le film n'arrive jamais à instaurer un quelconque climat d'angoisse, de tension, de menace. La faute à une succession de scènes mal dirigées où nos pauvres protagonistes déblatèrent des dialogues sans aucune conviction (seule Rebecca Hall se démène à fond). Même Johnny Depp, en tête d'affiche et anti-héros principal de l'histoire, est finalement relégué au second plan, inactif et monolithique. Alors oui, le long-métrage est visuellement magnifique, avec une photographie éclatante, des décors somptueux et des effets spéciaux réussis mais tout semble superficiel, comme inutile dans cette intrigue peu rebondissante bondée de trous scénaristiques énervants spoiler: (comment Will arrive-t-il à créer de la vie à partir de rien ?)
. Se prenant beaucoup trop au sérieux, le film collectionne malheureusement des lenteurs, des ellipses mal structurées, des répliques pauvres et un sérieux manque d'action tout en brassant des thèmes maintes fois explorés mais qui ne sont ici qu'à peine effleurés comme ces êtres hybrides tout juste aperçus et la réelle problématique du film, noyée sous des dialogues parfois incompréhensibles. Au final, avec son scénario de série B, ses personnages peu travaillés et son Johnny Depp quasiment absent, Transcendance est un film raté – on peut le dire – peu transcendant.

Wally Pfister réalise un excellent film de science fiction. Ingénieux, intelligent, on en apprend beaucoup. Johnny Depp est au top, très bon casting ainsi que le scènario. Un mise en scène correcte, des décors très détaillé. Des effets spéciaux époustouflants, épatants même spectaculaire. Je ne dirais pas un chef d'œuvre mais une réussite. Le film explique très bien la phrase d'Einstein : " Je crains le jour ou la technologie dépassera l'homme ", très belle phrase qui sers pour le film. Une bonne inspiration. 4/5 ****

Après Lone Ranger l’été dernier, Transcendance, le dernier film de Johnny Depp fait lui aussi un énorme bide aux USA. Est-ce justifié ? Eh bien non ! Tout comme pour Lone Ranger, je ne comprends pas pourquoi ce film est autant boudé par le public. Alors certes, ce n’est pas le film de l’année ni le meilleur film de SF de ces dix dernières années mais force est de constater que Transcendance est un film bien fait au sujet fort intéressant. Il offre une approche attrayante sur la relation homme/machine et sur les pouvoirs et les dérives qu’a une intelligence artificielle sur l’Homme et sur le Monde. Wally Pfister, ancien chef opérateur de Christopher Nolan et dont c’est la première réalisation, livre une œuvre honnête portée par un très bon casting, Johnny Depp en tête. De plus, les effets spéciaux sont plutôt bien réussis et la musique est assez plaisante. En revanche, la 3-D est plus qu’inutile et ne sert vraiment à rien donc 2-D si vous avez le choix. Transcendance est donc un film intéressant, qui pousse à réfléchir et qui méritait vraiment de faire un meilleur score au box-office américain et mondial.

oh la vaaaaaaaaache! Mais quel navet! Un calvaire.