Avis : Transcendance - Page 5

C'est un bon film sur plusieurs point de vue, tout d’abord il fait réfléchir sur l'humanité, jusqu’où l'homme peut-il aller pour survivre ou arrivé a ses fins ? Mais il fais réfléchir également sur l'avancé technologique, au fond est-ce une bonne chose ? a vous de voir. Mais il y a aussi des points négatifs, comme le fait qu'il n'y est pas de grosse action, du coup ça rend le film un peut mou. Sinon il fait passé un bon message.

Que dire?Bonne idée de départ,mais le scénario est mauvais vraiment mauvais(trop d'incohérence).Les acteurs ne nous emportent pas,Johnny Depp est trop Long avec aucun intérêt.

Il s'agit du premier film en tant que réalisateur de Wally Pfister qui n'est autre que le directeur de la photgraphie du réalisateur Christopher Nolan et ce depuis "Memento" (2000). La réflexion supposée et, à priori, désirée par le réalisateur n'est jamais approfondie pour un film qui reste une simple série B...

Un film dont je n'attendais rien et pourtant j'ai adoré. Les différents speech, le message qu'il y a derrière. J'ai vraiment apprécié ce film et quand je vois les note de la presse ainsi qu'on des navets comme Transformers (film S.F) je réalise qu'on vie dans une époque médiocre. Triste époque

spoiler: D'un coté on avait une machine qui réparait les dégâts fait par l'homme sur la planète au détriment de toute éthique (et se comportant comme un prédateur agissant pour la pérennité de son "espèce") et d'un autre coté en détruisant la machine , l'homme va redétruire ce que la machine avait réparé. La fin n'est ni bonne ni mauvaise.

hé bé dis donc qu'est-ce que c'est nul !!!!, il ne se passe quasiment rien du début à la fin , bref j'ai laissé tombé en court de route et c'est trés lent , pourtant j'aime bien cet acteur mais là , c'est n'importe quoi, je pense que ce film a été trés exploité , au ciné maintenant , on dirait qu'il ne sort plus que des daubes

Plus qu'une œuvre sur l'informatique, c'est avant tout une réflexion sur la place de l'Homme dans le monde, sur la notion de bien et de mal sur les limites entre ce qui est acceptable et ne l'est pas. Plus qu'un blockbuster blindés d'effets spéciaux impeccables, c'est surtout un film d'auteur et une fable sur l'amour, la confiance qu'on peut placer en l'être aimé même quand tous les autres lui ont tourné le dos et qu'on ne le comprend pas de prime abord.

Avoir choisi Johnny Depp, célèbre pour ses personnages extravaguant chez Burton et Verbinski est une excellente idée, il est une fois de plus fabuleux dans ce contre emploi où il joue un être désincarné, sans émotion, accédant à un niveau de compréhension total. Les bons et les mauvais ne sont pas ceux qu'ils semblent être dans ce film et cette fin bouleversante déplaira sans doute à beaucoup de monde. Ceux qui s'attendent à retrouver une IA façon Skynet ou la Matrice risquent en effet d'être bien déçus. On peut également penser au film Le Cobaye, mais la comparaison ne tient que sur des similitudes conceptuelles. Le traitement n'a rien à voir.

Transcendance, en plus d'être l'un des rares blockbusters de l'année à n'être ni une suite, ni un reboot, ni une adaptation d'une œuvre pré-existante est un film courageux, qui prend le risque de ne pas offrir ce qu'on pourrait en attendre et va jusqu'au bout de l'idée de son auteur. Un petit bijoux de cinéma !

Attendez que TF1 le programme un dimanche soir à 22h30. Ce sera bien assez tôt pour voir ce film.
Malgré la prétention à être un film marquant de SF avec une morale sur le développement des technologies, le scénario est finalement bien maigre et n'invente rien. PIRE, le scénariste nous spoil la fin (de toute façon prévisible) dès les premières minutes. Sympa ...
Quand aux acteurs, on se demande bien comment Morgan Freeman et Cillian Murphy de sont perdus là... Et Johnny Depp prouve qu'il devient difficile pour lui de sortir des personnages loufoques qu'il sait faire.

Je l'ai attendu, Je l'ai vu et Je l'ai apprécié ...

mais je regrette le manque d'originalité dans le récit, voir l'absence d'ambition dans la poursuite de scénario très Terminatoresque : une IA humaine qui s'oppose à l'humanité malgré elle. On sent qu'on effleure à peine la surface avec ce film, tellement de chose manquent : - la confrontation médiatique entre une IA déclarée, la société et le gouvernement/
- L'oeuvre de Deep/IA, pas suffisamment développée
- Le développement de l'histoire cantonné à cette petite ville dans le désert alors qu'un impact montré à l'échelle du monde aurait été bien vu (problème de budget ?

Là on a juste des extrémistes soutenus par le gouvernement et Morgan Freeman qui sert un peu à rien sauf à être du film Nolanesque.
D'ailleurs sur la pellicule, on ressent la patte Nolan (netteté ultra réalisme) qui souffre sans les à-côtés scénaristiques propre à ce dernier.

L'interprétation de Rooney Mara tape sur le système et donne constamment envie de la gifler. Peut être est-ce l'effet recherché ou juste une impression personnelle, moi qui n'ait pas boudé mon plaisir quand "Frank" l'a catapultée sous un métro à Washington.
ça fait également du bien de revoir Paul Betany dans un rôle autre que celui d'une IA bien que le film porte sur une IA et Rebecca Hall qui ne se contente pas de jouer la faire-valoir d'un homme robot mais également son épouse. Deep est également juste dans son rôle de Chercheur groovy atteint par la mort et ensuite par la transcendance.

Je place Transcendance dans la catégorie des attractions qu'il faut voir pour le plaisir d'amateur SF mais pas dans les chefs d'oeuvres de la SF d'anticipation comme "Bienvenue à Gatacca", "AI" ou "Terminator".

Dommage que le four annoncé du film fasse tâche pour les débuts de Pfister qui reste un bon réalisateur en devenir ... il y a pire comme ballon d'essai.

Un bon film de SF, l'histoire est originale mais il se laisse juste regarder. Et puis la fin est juste logique. Se regarde mais sans plus.

J'attendais de Transcendance une version ciné d'un genre que j'apprécie beaucoup en littérature, la hard-science. C'est au final un gloubi boulga de SF, allant chercher dans le cyber punk ses thèmes les plus courants, en cherchant à se justifier en permanence. Le résultat est raté parce que le rythme est trop lent pour un blockbuster, et l'histoire trop simple pour une SF qui se voudrait "intelligente". Les acteurs sont décevants également, beaucoup en ont parlé, mais comment pourrait-il en être autrement tant leurs personnages sont mal écrits ? Bref, ce n'est pas une surprise puisque les critiques étaient dures envers transcendance, mais c'est effectivement un échec.

Johnny Depp n'est plus ce qu'il était ce film ets juste Zzz ZzzZzzZzzZzzZzzZzzZzzZzzZzzZzz

Histoire sans histoire, aucun fil conducteur, aucune crédibilité.
C'est de l'escroquerie pure qui repose sur la filmographie de Johnny Deep.
Déception totale!
Ce film, on peut le dire, ne m'a pas transcendé!

PLM.

pas mal, le sujet est top, le scénario assez crédible, ca fait rêver et réfléchir. malheureusement pour moi , spoiler: je ne suis pas tomber dans le paneau , je suis resté tout le film du coté de will, je le croyais, je le voulais survivre :(

un film sympa, qui ne rentrera pas dans l'histoire pour autant...

(...) Transcendance est une première réalisation pour Wally Pfister, dont le nom parlera malgré tout aux plus cinéphiles. Le metteur en scène s’est en effet connaître en tant que directeur de la photographie, notamment chez Christopher Nolan, avec qui il a collaboré sur la trilogie du Dark Knight. Pour son premier film sous sa nouvelle casquette, il dirige Johnny Depp dans un thriller de science-fiction, s’interrogeant sur la place de la technologie face à l’être humain.
Le défaut majeur du film est le manque d’empathie ressenti vis-à-vis des personnages. Trop vite introduits, pas assez incarnés, trop clichés, ils manquent cruellement de matière, pour ainsi dire. Le duo Depp-Hall n’arrive ainsi jamais à attirer la sympathie.
(...) D’un point de vue technique, en revanche, le résultat est de toute beauté, les images sont magnifiques, les cadres souvent travaillés, les effets spéciaux irréprochables. Pfister est un fervent défenseur de la pellicule, et lorsqu’on admire le résultat, on ne peut que souhaiter longue vie au support. Malgré tout, la mise en scène souffre parfois d’un manque d’idée. On ne s’improvise pas ainsi metteur en scène, et une succession de plans léchés ne suffit pas à faire un bon film.
Au final, avec Transcendance, on se retrouve face à un produit esthétiquement travaillé, mais manquant de vie et de sentiments (...)

C'est pour maintenant, la machine a dépassé l'être humain. Par son hubris la plus démesurée, l'homme a atteint un point de non retour, et une ère nouvelle est en train de voir le jour. Celle de l'avènement technologique. Quand Will, un brillant scientifique se fait tuer, sa femme décide alors de le connecter à une machine douée de conscience pour que son esprit perdure. Mauvaise idée.

La volonté de dénoncer l'avancée toujours plus rapide de la technologie au détriment d'un humain de moins en moins autonome est toujours intéressante, mais les trop nombreux raccourcis scénaristiques rendent ce récit irrationnelle. Alors que l'entité Will est omniprésente grâce à la puissance d'Internet, comment se fait-il qu'il ne s'aperçoive pas du plan de ses ennemis ? Doublé d'un scénario lourd et indigeste composé de gros mots scientifiques pour paraître sérieux, Transcendance désenchante à plus d'un titre.

Nonobstant un casting alléchant, on est déçu par un Johnny Depp qui nous fatigue avec un jeu désincarné et antipathique, tandis que Rebecca Hall n'est crédible dans le drame qu'à moitié. Idem pour l'homme qui tient les commandes, Wally Pfister, qui n'est autre que le directeur de la photo de Nolan (Insomnia, Le Prestige, The Dark Knight). Le réalisateur en herbe nous livre ici un récit sans réelles ambitions, tant scénaristiques que formelles, et c'est bien dommage.

L'homme veut être immortel, d'accord, et maintes films se sont inspirés de cette réalité pour en faire de très belles œuvres de science-fiction. Ici, tout est plat et rien n'avance, de sorte que le public s'impatiente de voir un décollage narratif qui ne prendra jamais son envol. « Blabla » sont les derniers mots de Depp avant qu'il ne se fasse tirer dessus. C'est également la sensation qu'on aura en sortant de cette salle obscure : avoir assister à du vent.