Que dire de ce films qu'il est magnifiquement tournée une histoire a vous couper le souffle, une fin que l'on attend pas une scénario bien ficeler et des acteurs qui jouent magnifiquement
Un film inattendu, un film rare. Aussi captivant qu'intriguant, le récit nous ensorcèle... sans nous trahir. Que dire sinon de l'acteur principal qui nous fait une démonstration. Ce film parle d'art, sans oublier qu'il appartient au 7ème. A voir, mais à voir pleinement (sans être distrait)
Quel film !! du début à la fin, tout est parfait, stylé, magnifié. Les personnages sont tous magistralement interprété et malgré ces 2h15, le film n'a aucune longueur. Certaines scènes m'ont bouleversé, une vraie découverte. G. Rush est vraiment un très très bon acteur. La perfection où presque.
Ce film est bluffant et le final est également surprenant. une ambiance particulière dans ce film qui est très bien interprétée. l'acteur principal est très bon. Je recommande ce film. 4/5
Les rouages de cette histoire ce mettent en place la mécanique s'avère parfaitement ajustée. Arrivé à un âge avancé peut on croire à l'amour d'un jeune coeur ? Il y a un prix à payer. Un super film.
The Best Offer – ON Y VA Les salles de cinéma sont pour découvrir des films comme un fauteuil au coin du feu pour lire, le parc monceau pour courir ou encore l'île saint Louis pour déguster une glace, l'endroit idéal, le plus propice pour savourer notre bonheur. Hier, j'ai enfin eu la chance de découvrir la toute dernière salle parisienne, le Louxor. Au milieu d'un quartier qui a toujours bien du mal à se redéfinir, enfin rénové, le Louxor brille de ses couleurs vives et attire inexorablement le chaland vers les salles obscures qu’il protège comme un écrin d’une ville capricieuse. A l’intérieur tout est réalisé avec soin ; les lourdes portes avec leur hublot à l’ancienne mènent vers des hémicycles luxueux et sobres qui dominent l’écran immaculé et majestueux. Une invitation qu’il ne faut pas refuser. D’autant plus quand le film proposé, en l’occurrence, « The best offer » est un petit bijou. Tornatore nous invite à pénétrer l’univers particulier d’un commissaire priseur de grande renommée, Virgil Oldman, au comportement erratique et anti-social. Adepte d’une très grande solitude, ennemi du genre humain, il ne retrouve sa sérénité et sa douceur que face aux portraits de femmes que son métier lui donne l’occasion de découvrir et d’estimer. Intervient alors une jeune fille qui souffre de la même agoraphobie qui lui propose d’évaluer la collection reçue de ses parents rassemblée dans une vieille villa en ruine au sein de laquelle la mystérieuse héritière s’est volontairement recluse. Complètement déstabilisé par cette rencontre, la vie d’Oldman s’en trouve irrémédiablement bouleversée. Un très bon polar, filmé avec élégance et pertinence. Comme dans l’évaluation d’une œuvre d’art, chaque détail a son importance et Tornatore maintient le suspense avec une grande maitrise jusqu’au dénouement final. Un film qui s’interroge aussi sur les sentiments amoureux, sur leur authenticité et sur la violence de leurs conséquences.
Un film qui tient en haleine pendant la première partie, qui s'étire en longueurs en seconde partie et nous réveille miraculeusement en troisième partie!
Si ce n'est quelques légères incohérences ou exagérations au niveau du scénario (que je ne peux révéler sans vraiment spoiler), ce film est vraiment superbe à regarder et les acteurs sont impeccables. Certes la métaphore entre faux dans l'art et faux dans les sentiments est assez appuyée mais on prend beaucoup de plaisir à cet sorte de véritable hommage à Hitchcock.
Un film un peu hybride, plein de mélancolie. D'un style classieux à l'Italienne avec, en rôle principal, un personnage typiquement anglais. L'histoire d'amour est très belle avec presque une ressemblance avec Edward aux mains d'argent. Jusqu'à un final qui nous remet les pieds sur terre avec brutalité. Le film aurait pu éviter quelques longueurs quand même.
Je ne suis pas très féru du cinéma italien mais je dois dire que ce film m'a totalement bluffé... Le film nous plonge dans l'univers de l'art avec l'histoire d'un commissaire priseur très solitaire, ne se confiant a personne. Il se voit chargé d'une affaire qui bouleversera sa vie, que ce soit sentimentalement ou professionnellement. Le scénario du film est incroyable, il y a de tout, de l'amour, du suspense et des rebondissements. Niveau casting, on ne peut pas faire mieux en tête d'affiche avec Geoffrey Rush qui joue avec brio le rôle du commissaire priseur. Ensuite dans les seconds rôles, on peut citer Donald Sutherland, Jim Sturgess ou l'inconnue du film Sylvia Hoeks qui eux font leur travail sans difficulté. Concernant la réalisation, Giuseppe Tornatore fais preuve d'une subtilité et d'une finesse totale. Ce film est une bouffée d'air frais qui m'a fait décompressé sans difficulté, on rentre dans l'histoire très facilement et on se laisse entrainer dans l'intrigue. Donc je dirais aux personnes, qui aiment les films d'amour avec une pointe de mystère, d'aller voir ce film. Il en vaut vraiment la peine et même ceux qui ont des apriori vous pourriez être bien surpris.
Très beau film, c’est extrêmement bien filmé, bien réalisé, très raffiné. L'histoire est passionnante et attirante, pleine de suspens. Avec des acteurs excellents, tout particulièrement Geoffrey Rush, immense acteur qui était incroyable dans « Le Discours d’un Roi » et dans « La voleuse de Livres ».
Film d'amour, d'enquête, drame,...un peu de tout cela! Ce film est très bien réalisé avec des images magnifiques mais l'histoire est un peu lente. L'intrigue s'installe lentement et la fin se voit venir. Cependant, pour le jeu et les prises de vue, cela vaut le coup!
Je suis à deux doigts de crier au chef d’œuvre. Voilà bien une sacrée surprise !!! quel film !!! quel scénario ! quelle interprétation et surtout quelle intrigue. L’histoire d’un commissaire priseur de grand renom qui n’a de contact avec personne ni aucun objet (il porte des gants en permanence sauf pour caresser certains tableaux qu’il convoite), ces tableaux de visages de femmes uniquement dont il a, tout au long de sa vie et avec la complicité d’un vieil ami peintre, réalisé une collection extrêmement importante qu’il a cachée dans une pièce secrète de son appartement dans laquelle il passe la plupart de ton temps libre et là !!! une demande d’expertise d’une très jeune femme qui souffre d’une agarophobie très importante. Cette femme l’intrigue, il se prend à son jeu, il en tombe amoureux. Une très belle histoire qu’il partage avec un artisan horloger qui lui sert de mentor en art de séduction. Un film tout en finesse, en délicatesse, ça se frôle, ça s’évite en se cherchant, ça finit par sa trouver. Le tout accompagné d’une très belle photographie, de la musique d’Ennio Moriconne, porté par un Geoffroy Rush qui s’approprie l’écran et le personnage, des seconds rôles presque aussi importants que le rôle principal, chacun étant un maillon de cette chaîne.….. pour arriver à la fin qui laisse sans voix !!!! à laquelle on ne s’attend pas car elle est faite de rebondissements !!! presque parfait, courrez-y s’il passe encore chez vous.