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    La Prochaine fois je viserai le coeur
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    438 critiques spectateurs

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    Pauline_R
    Pauline_R

    172 abonnés 398 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 11 novembre 2014
    Un bon polar qui vaut surtout par l'interprétation époustouflante de Guillaume Canet, de tous les plans, clairement dans le meilleur rôle de sa carrière. Si le film souffre d'un certain manque de rythme, le personnage de Canet n'en reste pas moins fascinant et insaisissable jusqu'à la fin.
    nicolas t.
    nicolas t.

    56 abonnés 239 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 novembre 2014
    Super sujet pour un traitement très décevant.
    Tout est glauque et va dans le même sens : la musique
    les décors, la météo. A force de noirceur on s'ennuie très vite
    et on regrette un bon Faites entrer l'accusé du dimanche soir.
    Canet assure, tout en intériorité, mais hélas ça ne suffit pas.
    Polly6789
    Polly6789

    42 abonnés 104 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 24 novembre 2014
    D'extrêmes longueurs, une psychologie de personnage facile et une interprétation médiocre de la part de Canet. Je suis très déçue par ce film. Pour lire mon avis complet, cliquez sur le lien ci dessous.
    tixou0
    tixou0

    647 abonnés 1 976 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 17 novembre 2014
    L'Oise venait à peine de sortir de l'angoisse née des méfaits du "Tueur de l'ombre" (Marcel Barbeault) - sa traque dura 7 ans de 1969 à 1976 - que débutait une nouvelle affaire de tueur en série, celle du "Tueur fou de l'Oise" (une petite année durant. de mai 1978 à avril 1979). Aucun suspens - dès l'affiche - avec "La Prochaine fois, je viserai le coeur", 3e "long" de Cédric Anger, on sait à quoi s'en tenir quant à l'identité et la qualité de l'assassin (un seul homicide réussi, et cinq tentatives) : Alain Lamare (rebaptisé, par nécessité, Franck Neuhart), un gendarme appartenant à une brigade du PSIG (Peloton de Surveillance et d'Intervention de la Gendarmerie), participe (avec un beau zèle - masochiste) aux investigations concernant ses propres crimes ! Ce qui intéresse le scénariste (adaptant un récit romancé de l'affaire, "Un Assassin au-dessus de tout soupçon") et réalisateur, c'est l'approche psychologique : "dans la tête du psychopathe" (Lamare sera reconnu irresponsable, car atteint d'une forme rare de schizophrénie - ordonnance de non-lieu en 1983 - et est toujours interné). Cette ambition n'est qu'incomplètement accomplie dans ce film frisant les 2 heures - il s'agit d'une esquisse de "profil", par la présentation de l'environnement familial, sentimental et professionnel de l'intéressé, principalement. On regrettera que le passage à l'acte soit plus montré (longuement, et sur un mode monotone) que démontré..... Tout repose sur Guillaume Canet, la quarantaine, devant incarner un jeune psychotique de...22/23 ans.... Encore un casting irréaliste, donc. De plus, GC n'est pas plus convaincant, nonobstant l'âge du personnage, en Lamare/Neuhart qu'en Agnelet chez Téchiné.
    Jean Marc Dinaut
    Jean Marc Dinaut

    20 abonnés 291 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 16 novembre 2014
    A bord de voitures volées, il poursuit, il tue sans perversité voyante,( du moins dans le film ). sans cause apparente, maladroitement, sauvagement, des jeunes filles. Dans une froideur clinique, il tue sous l'influence de ses pulsions schizophrèniques, (héboïdophrénique) diront les spécialistes. Le plus troublant c'est que ce psychotique avéré est gendarme. De plus, il enquête sur ses propres crimes. L'intériorité pour le moins complexe de la personnalité de cet homme est incarné avec brio et génie par un G.Canet au fait de son talent. Faisant penser au glacial film de JP.Melville le Samouraï, dans une lumière bleutée, le héros du film se fige peu à peu dans un iceberg de tortures, d'impuissances, d'auto destruction, de douleurs.Ce qui provoque le malaise, c'est qu'il est capable dans son inhumanité d'aimer, comme toute le monde, la nature, ses collègues, sa femme de ménage (A.Girardot), ses parents, son frère.Très réelle exposition d'une affaire criminelle hors pair, ce film trace avec une grande acuité le portrait incompréhensible de ce meurtrier énigmatique.
    philmon2
    philmon2

    37 abonnés 234 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 19 mars 2015
    Mon dieu quelle lourdeur, quel ennui... Certes, avec le sujet du film, on ne s'attend pas à une comédie. Mais là, c'est vraiment traité de la pire manière qui soit. Aucun intérêt.
    NammJones
    NammJones

    100 abonnés 1 719 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 20 novembre 2014
    Belle interprétation de Guillaume Canet, sans qui le film manquerait un peu de souffle.
    Lorsque l'on ne connait pas l'histoire, on aimerait être surpris par des faits marquants mais là, tout est prévisible et on ne fait que suivre la vision du réalisateur, pour finir par découvrir sans vraiment s'étonner.
    nathaliewell
    nathaliewell

    19 abonnés 160 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 29 novembre 2014
    Je suis sortie de la salle avec un terrible mal de tête proche d'une migraine. Voila ce que ce film aura eu comme effet. Je ne m'attendais évidement pas à voir une comédie au vu du sujet mais sincèrement ce film m'a énervé au plus haut point de par sa lourdeur, sa lenteur et de sa mise en scène terriblement médiocre. C’était vraiment pénible à subir ! Des dialogues qui quand ils ne sont pas inexistants sont ennuyants et sans intérêt aucun. La seule chose qu'à réussit a faire Cédric Angers dans son choix de mise en scène, c'est de plomber non seulement son film mais également l’interprétation de Guillaume Canet pourtant excellent acteur. Il ne raconte rien sur ce gendarme criminel et psychopathe. Il a du confondre profondeur avec lourdeur et il n'a pas du s'en rendre compte puisque jusqu'au montage ce film est mauvais. Cette histoire se passe en 1978 mais il ne suffit pas d'avoir des costumes et des voitures d’époque pour réussir à réaliser un film. On ne peut pas se contenter de prendre comme sujet un fait divers aussi abject soit-il et réussir à en faire un film de cinéma quand on est est aussi mauvais dans sa mise en scène. C'est médiocre du début à la fin. Plusieurs personnes ont quitté la salle avant la fin qui tarde tant à venir. Je les comprends. J'ai moi aussi à plusieurs reprises eu envie de partir. J'aurai du le faire, cela m'aurait éviter ce désagréable mal de tête. En sortant de cette projection insupportable, j'ai entendu une femme dire à son amie : « C'est sure que vu le sujet et que c'est une histoire vraie on ne s'attend pas à ce que ce soit joyeux, mais c’était super chiant ! » Comme je suis d'accord avec elles !
    La prochaine fois je quitterai la salle !
    Kana57
    Kana57

    34 abonnés 901 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 avril 2015
    On suis ce Film sans un réel attachement a l'histoire c'est plat sans nous tenir en halène avec ce tueur, le réalisateur traverse tout ça avec désintérêt pour dire qu'il a filmer quoi,sa manque de rythme et des plans cache misère de trop prés pour essayer de coller avec l’époque
    vite vu vite oublier
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 039 abonnés 4 100 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 23 mars 2015
    On dit souvent que le tueur revient rôder sur les lieux de son crime et même qu'il est souvent présent parmi les badauds lors de la découverte de la victime. Alain Lamare susnommé le "tueur de l'Oise", comble de la schizophrénie était gendarme en 1978 quand il était chargé d'enquêter sur les crimes que lui-même avait commis. Il est étonnant qu'il ait fallu presque trente ans pour que cette histoire fascinante soit portée à l'écran. Cédric Anger qui officie dans le genre noir depuis son premier film "le tueur" (2002) où déjà il renversait les codes établis, proposant une variation insolite sur l'exécution d'un contrat, s'est emparé du sujet en adaptant le livre d'Yvan Stefanovitch "Un assassin au-dessus de tout soupçon". Comme Richard Fleischer s'immergeant dans l'esprit torturé d'Albert de Salvo le célèbre étrangleur de Boston interprété par un Tony Curtis méconnaissable ("L'étrangleur de Boston" en 1968), Anger propose une double lecture troublante de l'affaire du tueur de l'Oise selon que Franck (Guillaume Canet) revêt l'uniforme de gendarme où les frusques du jeune homme incapable de se réaliser dans sa relation avec le sexe opposé. Guillaume Canet dont le physique évolue doucement vers plus de gravité ne refuse jamais une occasion de sortir de son emploi habituel de jeune homme sympathique auquel semblait le condamner son visage poupon. Le parti pris d'Anger comme en son temps Fleischer est de ne pas s'embourber dans de trop longues digressions sur les ressorts psychologiques du passage à l'acte qu'il sera de toute façon impossible de réellement démonter. Juste quelques pistes sont ouvertes, laissant au spectateur le choix de se faire sa propre interprétation. Le jeu marmoréen en tout point remarquable de Guillaume Canet s'accorde parfaitement avec cette lecture neutre voulue par le réalisateur. Tony Curtis mais aussi Joe Spinell chez William Lustig ("Maniac en 1980), Guillaume Canet rejoint les inoubliables interprètes de tueurs en série horrifiés par leurs agissements qui cherchent désespérément celle qui pourra leur offrir la normalité, s'enfermant ainsi dans un cercle infernal. Magnifiquement filmé dans une Picardie déprimante, "La prochaine fois je viserai le cœur" offre une scène d'action du plus bel effet où Franck pris en tenaille, devenu une bête traquée doit affronter une battue. Le film n'a pas eu le succès qu'il méritait et une fois de plus la critique est passée à côté d'une des rares tentatives audacieuses de notre cinéma nationale qui a bien du mal à sortir des sentiers battues de la comédie dramatique tournant en boucle sur les problèmes existentiels des classes aisées exposés sans vergogne à une population lassée par la crise et de plus en plus prête à se chercher des boucs émissaires.
    alouet29
    alouet29

    69 abonnés 1 514 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 28 janvier 2017
    Malgré les efforts de Guillaume Cannet, le film est long, lourd, froid presque glauque. Dommage car le sujet aurait mérité un traitement plus affiné.
    MissCinéphile
    MissCinéphile

    21 abonnés 300 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 12 novembre 2014
    J'ai été agréablement surprise par ce film. D'ordinaire, je n'apprécie pas plus que cela les polars "à la française", du fait de leurs règles extrêmement codifiées, mais le fait est que "La Prochaine fois je viserai le cœur" s'avère réellement dérangeant. Le jeu glacial de Guillaume Canet est pour beaucoup dans la réussite du film, de même que la musique. La mise en scène, à la fois sobre et "lente" (voire ennuyeuse, pourront dire certains) ne m'a pas du tout dérangé mais permet au contraire d'entrer plus avant dans l'intrigue.
    En résumé, je ne me suis pas ennuyée une seconde. Les comédiens (Canet en tête, bien évidemment) sont excellents et l'intrigue ne l'est pas moins. Un très bon polar, qui prend parfois des allures de film d'épouvante.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 14 novembre 2014
    Inspiré d’un fait divers survenu dans l’Oise en 1978, le film de Cédric Anger raconte comment un gendarme a pu être à la fois tueur en série et enquêter sur ses propres crimes. Avec ce polar qui n’en est pas un, il n’y a donc pas de suspense. Très vite on voit Franck tuer sa première auto-stoppeuse. Et dès qu’il enfile l’uniforme, on peut croire qu’il « aimerait s’arrêter lui-même », dixit le réalisateur. La fin est connue aussi, puisque le pandore, jugé irresponsable de ses actes, a été placé en hôpital psychiatrique.
    Puisque le justicier est l’assassin, la question n’est donc pas qui, mais pourquoi ? Pourquoi ce fonctionnaire rigoureux et exemplaire le jour, se montre parfois un peu trop zélé avec ses collègues ou un peu trop distant avec celle qui se pâme pour lui ? A la rigueur, son amour de la nature et une forme d’ascétisme peuvent expliquer sa misogynie. Est-ce suffisant pour se muer en psychopathe névrotique la nuit ? Même une schizophrénie inexplorée ne saurait expliquer ces pulsions mortifères. Alors mystère sur le mobile.
    L’habileté du film, c’est que même en nous plaçant du point de vue du gendarme, même en faisant dans la nuance et le psy, on n’est guère plus avancé. « Il n’y a pas d’explication à ses actes, dit Anger, c’est un type incompréhensible ». L’invraisemblable parait donc vrai. Ce tour de force, on le doit en partie à la remarquable performance de Guillaume Canet. Ses velléités de tendresse sont vite réprimées par son visage buté et son cœur fermé comme une prison à perpétuité. Bluffant.
    Félicité
    Félicité

    75 abonnés 7 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 21 novembre 2014
    Le début commence bien, mais on se laisse vite ennuyer ... il n'y a pas d'action.
    Je suis déçu de ce film qui est censé être à suspens.
    anonyme
    Un visiteur
    1,0
    Publiée le 14 avril 2015
    pas très bon ce film avec Guillaume Canet en gendarme-tueur en série, le film n'est pas prenant du tout, pas de suspens ou d'intrigue, c'est plat comme la vie de ce simple gendarme qui tue juste pour le plaisir ou pour son plaisir, à ne voir qu'une fois sans plus et à oublier très vite
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