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moket
455 abonnés
4 226 critiques
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3,5
Publiée le 17 octobre 2018
Les thrillers de Dan Brown sont souvent moqués par les élites pour leur côté ésotérique et leurs approximations historiques, mais force est de constater qu'elles sont bien écrites, addictives, distrayantes et qu'elles savent ménager leur suspense. Malgré quelques facilités et raccourcis, malgré une réalisation assez quelconque et trop démonstrative, malgré un Tom Hanks un peu bouffi, on se laisse prendre au jeu de cette intrigue pleine de faux semblants et de rebondissements.
Comme d'habitude, Ron Howard s'effrite dans un film compliqué au scénario qui donne plutôt mal au crâne. Encore une fois, Tom Hanks accepte ce rôle, et encore une fois on n'y comprend pas grand chose. Seules les images des différentes villes sont intéressantes. Mais, rien n'est véritablement prenant. Et donc pendant 2 heures, c'esrt une course poursuite longue et lente qui vous attend.
Fan du premier épisode (un peu moins du deuxième), j'attendais beaucoup de ce troisième volet. La recette est toujours la même : une succession d’énigmes pour arriver in extremis à stopper une catastrophe. Ce film-ci y réussi encore avec brio. Les rebondissements se succèdent à un rythme correct sur fond d'ambiance mystérieuse. C'est ce qui m'a (encore) plu dans ce film et qui mérite le plein d'étoile. Au niveau des point négatifs qui font perdre une étoile : Le grands méchant est par contre plutôt ridicule dans ses actes comme dans ses raisons .On aurait pu choisir une autre cause ou raison de ce fléau annoncé. A noter selon moi le jeu des acteurs trop peu convainquant, pas assez engagé, trop superficiel (excepté Tom Hanks). Autre bémol également : la fin bâclée qui contraste avec le reste du film. Bilan : cela reste globalement un bon film qui mérite le détour.
"Inferno" a beau être plus rythmé que les autres films issus de Dan Brown et moins garni en bondieuseries gonflantes (comme le mauvais "Anges et démons"), j'ai plusieurs fois piqué du nez lors du visionnage. Démarrage poussif, visions épileptiques, flashbacks lourds, montage épuisant, scènes ridicules spoiler: (à l'hôpital au début, le masque dans le musée) , thématique banale mille fois traitée spoiler: (surpopulation, virus tueur, ça fait très Mission Impossible 2) , énigmes classiques spoiler: (tableaux, églises, lettres cachées, devinettes) et fin complètement bâclée, pas grand-chose ne fonctionne. Le pire reste l'utilisation des personnages secondaires, déjà trop nombreux à la base: entre révélations prévisibles, inintéressantes ou insistantes, ils naviguent de manière très bordélique dans une intrigue qui défie régulièrement les lois de la cohérence. Le seul vrai atout du film c'est Florence (l'un de mes meilleurs souvenirs de touriste, tant cette ville est magnifique), dont on voit de nombreux plans somptueux lui rendant bien hommage. Par contre, les virées à Venise et Istanbul sont très expéditives. Enfin, le casting est moyen, Tom Hanks faisant le job sans génie alors qu'Omar Sy n'est pas très à l'aise en anglais, que Felicity Jones manque de charisme et que les autres font avec le grand n'importe quoi de leur rôle. Au final, "Inferno" est une purge harassante.
Pas un moment de répits dans cet opus, bande son inexistante ou totalement insipide, personnages inexpressifs. On a le sentiment que tout le monde courre le plus vite possible pour arriver à la fin du film dans les meilleurs temps....
Un film énigme pas très réussi, qui part dans tous les sens, avec un héro pas très perspicace. On a du mal à pénétré dans cette histoire qu'on tente de suivre malgré la lenteur de progression malgré ses raccourcis pas très crédibles. Ne laissera aucun souvenir ...
La rechute ! L’adaptation du 4ème livre de Dan Brown projette son Robert Langdon dans une aventure qui ne tente même pas de se convaincre lui-même, avant de s’adresser à nous…
« Da Vinci Code » se plantait totalement, « Anges et Démons » recherchait le pardon et ce dernier volet n’a pas trouvé le juste équilibre. On retrouve les mêmes problèmes que précédemment et le postulat de départ ne s’éloigne pas de cet élan trop Hollywoodien sur le coup. La dimension mondiale est de rigueur et les divers plans larges en témoignent. L’ampleur de la culture de l’Art est encore plus récurrente mais reste obstinée dans le cadre qu’est « Inferno ». Le scénario, a priori, se permet des libertés que l’on ne reconnait pas à la patte de Brown. La mécanique rythmique est saccadée à l’image de la maladie viral que l’on combat ici. La juxtaposition des plans fait que la forme du projet est bien travaillée.
Tom Hanks n’a plus rien à se reprocher, mais la mise en scène qui l’accompagne l’oblige à entrer dans la bêtise du rôle. La cohérence même de l’intrigue se met en cause. Le fait de ne pas y croire et nous faire douter d’hypothèses, à mon goût, trop grandes à avaler n’est pas l’idéal lorsque l’on s’adresse à une majorité de non lecteurs. Bien entendu, on comprend succinctement la trame de cette aventure, avec l’effort nécessaire. Si on se concentrait un minimum, cela gâcherait tout le plaisir dès les premières minutes et c’est fatal pour une œuvre aussi riche en rebondissements. Le plaisir de retrouver Felicity Jones ou Omar Sy, pour nous autres francophones, est précipité dans l’escapade contre la montre. On pose le contexte et on innove, le tout en même temps que l’intrigue accélère. Cette mauvaise coordination a de quoi faire perdre de l’émotion et notre foi au pragmatisme de Ron Howard. Le souci réside encore dans l’acquisition de la morale finale. Elle est moins évidente et percutante, sans doute allégée par un dénouement trop propre, où l’échec n’a jamais été envisagé. Le flou nous guette, faute de quoi la compréhension des personnages est d’un puzzle désagréable à résoudre. Les « twist » sont utilisés à tort et à travers, tout comme certains effets spéciaux qui auraient certainement mérités un meilleur traitement. Au même titre que ses prédécesseurs, « Inferno » ne décolle pas ses défauts sur le fond. On reste sur du divertissement brut, où le religieux est quelque peu délaissé en dépit d’une course qui sonne en action plutôt qu’en réelle réflexion.
La critique n'avait pas été élogieuse avec "Da Vinci Code" et "Anges et Démons", il n'y avait pas de raisons que ce soit différent avec "Inferno". Pourtant le film s'inscrit dans la lignée de ces prédécesseurs, avec toujours Ron Howard derrière la caméra et Tom Hanks devant. La recette était, à nos yeux, efficace pour les deux films précédents, elle l'est toujours ici. La photographie est vraiment excellente, nous voyageons de Florence à Istanbul en passant par Venise. L'histoire tient la route malgré quelques maladresses, et les rebondissements sont encore au rendez-vous pour maintenir le rythme effréné de l'intrigue. Aux côtés de Tom Hanks, on retrouve la sublime Felicity Jones et notre Omar Sy national dans un rôle assez improbable. On retrouve donc avec joie le Professeur Langdon dans ce divertissement toujours efficace, globalement bien ficelé et toujours techniquement très abouti.
Du grand n'importe quoi avec un scénario en forme de jeu de piste incompréhensible, des facilités de scénario "en veux-tu en voilà" ! Des acteurs aussi charismatiques que des bulots, avec un Tom Hanks pas convainquant du tout et pour lequel on éprouve aucune empathie, Omar Sy est pitoyable et ne parlons pas des autres, (quoique Ana Ularu dans le rôle de la méchante Vayentha soit amusante). Le réalisateur n'a su créer aucune tension dans cette histoire sans intérêt dont la fin constitue le coup de grâce en forme du pub ahurissante pour la souris à grandes oreilles.
Un début haletant, et des effets éprouvants qui portent ce dernier volet dans une noirceur dantesque et puis plus grand chose. On traverse le Palazzo vecchio à Florence, Venise, Istanbul. Des énigmes toutes faites, un réel manque de souffle et d'innovation si bien que Benjamin Gates nous manquerait d'évidence plus qu'un professeur Robert Langdon.
Voici l'adaptation du quatrième roman avec le héro R.Langdon. Le troisième à l'écran. Très franchement, rien de surprenant. C'est toujours les mêmes codes. Toujours beaucoup de raccourcies entre le roman et le film, et toujours un rythme élevé. Niveau casting, Tom Hanks et Omar Sy sont assez quelquonque, tandis que Félicity Jones apporte une fraîcheur très appréciable. La célèbre BO est quand à elle massacrée par un remix de mauvais gout. Côté image, les villes de Florence et de Venise sont magnifiquement filmées. Donc à voir si on est fan des films, et à ne pas voir si on est fan des livres !
Inferno est une suite plutôt convaincante aux aventures de Robert Langdon. N'ayant pas lu les livres de Dan Brown, je ne saurais m'exprimer sur la fidélité du film par rapport à l'oeuvre originale, mais j'ai trouvé l'intrigue franchement palpitante. Certes, en regardant à froid le synopsis, les incohérences scénaristiques seront sans doute assez frappantes mais le rythme de l'histoire a permis de ne pas vraiment s'en rendre compte (là où il m'est arrivé une ou deux fois de lever les yeux au ciel devant Anges et Démons). Les quelques scènes d'action fonctionnent très bien. La résolution progressive de l’énigme est extrêmement convaincante.
Tom Hanks toujours très bon dans le rôle principal (même s'il commence un peu à accuser l'âge lors des scènes d'action). Les acteurs secondaires sont convaincants eux aussi et on peut dire que le film ne mise pas que Tom Hanks comme tête d'affiche (Felicity Jones, Omar Sy, Sidse Babett Knudsen, Irrfan Khan ou encore Ben Foster).
Les décors sont absolument sublimes, ça donne vraiment envie de visiter la ville de Dante (l'office du tourisme de Florence ne saurait faire mieux pour inciter les tourisme à venir).
Ce n'est peut-être pas le film policier du siècle (tout deux comme les deux autres films ne l'étaient pas) et la saga aura sans doute un impact culturelle bien plus important à l'écrit qu'à l'écran, mais le film fait très bien son rôle de divertissement policier.
Après le raté "Da Vinci code", le regardable "Anges & démons", Robert Langdon revient dans cet "Inferno" où cela commence mal pour lui car il a une légère amnésie et est recherché par des gens pas gentils ! En plus, il est à Florence, Italie, et il ne sait même plus pourquoi ! Aidé par une médecin, il devra ENCORE reconstruire le puzzle et trouvé un par un les indices qui le mèneront à la solution... enfin ici, c'est surtout à éviter une catastrophe humanitaire planétaire (rien que ça !!). Bon ne tournons pas autour du pot, ça se regarde mieux que "Da Vinci" ! (y a pas de mal) Et bien qu'il y ait quelques doutes sur les intentions des personnages secondaires pendant les 3/4 du film, tout s'imbrique au fur et à mesure dans le dernier quart. Ce n'est pas encore le thriller de l'année, mais ici l'histoire a la bonne idée d'abandonner les bondieuseries pour s' intéresser à l'art et l'enfer de Dante. Au final, on a le droit à un bon film, même si ce n'est pas le meilleur de Tom Hanks et Ron Howard (encore en mode je fais le moins possible). A voir tout de même.
Ce film faisant parti de la franchise débutée par "Da Vinci Code", toujours réalisé par Ron Howard, toujours adapté d'un roman de Dan Brown et sorti en 2016 est bien mais sans plus. Nous sommes cette fois reparti dans une aventure mystérieuse avec Robert Langdon accompagné du docteur Sienna Brooks qui tentent de déjouer les plans d'un homme voulant libérer un virus dans le but de détruire la moitié de la population humaine. J'adore les livres de cette franchise mais j'ai un peu plus de mal avec les films que ne trouve pas à la hauteur des livres mais je trouve ce film malgré tout mieux fait que "Anges & Démons". Le scénario respecte la trame principale du livre mais la fin est complètement différente et je trouve cela dommage car le livre faisait passer une sorte de morale que le film n'a du coup pas su reprendre. Malgré tout, les scènes principales et importantes sont là et l'aventure est bien ficelée, on ne s'ennuie pas et surtout elle est toujours aussi intéressante sur le plan historique, même si cette partie est un peu plus survolée dans ce film-ci. La réalisation est toujours aussi bonne et les décors authentiques magnifiques, très bien filmés. La B.O, toujours signée Hans Zimmer, est très bonne, comme d'habitude car elle rythme très bien le film et elle est tout simplement très belle. Pour ce qui est des acteurs, nous retrouvons toujours Tom Hanks dans le rôle titre, qui interprète toujours aussi bien son personnage et nous avons cette fois-ci Felicity Jones, Irfan Khan, Ben Foster et Sidse Babett Knudsen qui jouent très bien. En ce qui concerne Omar Sy, cela conforte mon idée dans le fait que c'est un mauvais acteur car, au risque de contrarier certains fans, il joue mal, une fois de plus. "Inferno" est donc un film qui reste plutôt pas mal mais dont il vaut mieux lire les livres.