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    Qui vive
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    Nicolas N.
    Nicolas N.

    18 abonnés 623 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 janvier 2023
    Qui vive ! : Un film tres interessant de Marianne Tardieu sorti en 2014. Reda Ketab joue très très bien son rôle de vigile entre deux chaises et ravi de voir apparaitre la jolie Adèle Exarchopoulos. Le film est interessant! j'ai mis 3 étoiles
    GéDéon
    GéDéon

    62 abonnés 454 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 30 mai 2022
    Avec un tel sujet et une telle distribution (Reda Kateb et Adèle Exarchopoulos), comment peut-on réaliser un film aussi insipide ? C’est le pari impossible accompli par Marianne Tardieu en 2014. Pour son premier long-métrage, la jeune réalisatrice s’intéresse à la détresse des banlieues à travers le parcours d’un homme qui tente de devenir infirmier. Malgré sa courte durée, les minutes s’égrènent lentement tant les intrigues sont cousues de fil blanc ou bien confuses. On ne peut nier la sincérité de la cinéaste pour dépeindre les tensions de cet univers difficile, mais cela ne suffit pas. Bref, un drame social à classer dans la catégorie du simple téléfilm.
    Dois-Je Le voir ?
    Dois-Je Le voir ?

    320 abonnés 1 707 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 octobre 2021
    Retourné vivre chez ses parents, Chérif, la trentaine, peine à décrocher le concours d’infirmier. En attendant, il travaille comme vigile. Il réussit malgré tous les écrits de son concours et rencontre une fille qui lui plaît, Jenny… Mais au centre commercial où il travaille, il perd pied face à une bande d'adolescents désœuvrés qui le harcèlent.

    C’est une réalisation de Marianne Tardieu qui fait là son premier long métrage après avoir travaillé en tant que cadreuse et chef opératrice. Elle a écrit le scénario avec Nadine Lamari. Qui vive a été présenté au Festival de Cannes dans la Programmation ACID Cannes 2014. Sortie en salle en 2014, il est désormais sur des plateformes de VOD comme UniversCiné.

    J’adore Reda Kateb donc forcément quand je trouve un film avec lui, je fonce dessus, donc ravi d’avoir eu affaire à un bon drame.



    Il dure moins de 1h30, on peut donc le considérer assez court. Cela fait qu’on peut le voir assez facilement. Tout le dérouler est fluide ce qui en fait presque une valeur sûre. Cependant, la volonté de simplicité du scénario est un peu embêtante par moments. En effet, à force de vouloir faire sobre, on aura un résultat un peu facile, voire linéaire. Il ne faut pas s’attendre à ce que Qui vive révolutionne le genre.

    Je lui reconnais une certaine efficacité, d’autant plus que j’aime bien ce genre de film. On va être plongé à la fois dans un quartier populaire, et dans ce qui permet à son personnage d’en sortir. Une immersion assez réaliste de la part de Marianne Tardieu qui n’était pas à son coup d’essai avec ce genre. On ne tombe pas dans le cliché et je l’en remercie. Cependant, j’aurai tout de même aimé avoir un peu plus de pic émotionnel.



    Le personnage est intéressant à suivre. On sent rapidement sa volonté de s’en sortir. Il est touchant à ne pas y arriver. Quoi qu'il arrive, l’impression est laissée que celui-ci ne peut rien à son destin. La galère l’a condamné à perpétuité. Cependant, sa ténacité va être une touche d’espoir non négligeable. On va croire en lui, à tort ou à raison. Même s’il dérape, son bon cœur lui laissera toujours une chance d’aller vers le bon chemin.

    Reda Kateb est fantastique dans ce rôle. Cet acteur est fabuleux dans toutes ses prestations, et celle-ci ne fait pas défaut à la règle. Il donne un ton particulier à Chérif. Il est bien entouré avec notamment Adèle Exarchopoulos. Elle venait de sortir de La Vie d'Adèle - Chapitres 1 et 2 (2013) et confirme son talent sans problème. J’ai aussi apprécié la prestation de Moussa Mansaly qui ne me déçoit jamais dans un film. À noter la présence de Rashid Debbouze, frère de Jamel, qui effectuait sans seconde et dernière apparition au cinéma après le maladroit La Désintégration (2012).
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 626 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 septembre 2020
    J'aime beaucoup l'acteur Reda Kateb. J'apprécie toujours les performances qu'il nous donne. Ici il joue un futur étudiant infirmier qui travaille également comme agent de sécurité pour l'aider à payer ses factures. Et croyez-moi il doit faire face à de nombreux problèmes, de nombreuses luttes pour sortir de sa détresse. Mais c'est un conte si sombre et sans fin comme d'habitude dans les drames français. Un vrai film déprimant et pas très rafraîchissant aussi. La vie réelle et vraie de nombreuses personnes vivant en banlieue. J'apprécie le caractère du responsable au centre commercial. Il semble très impoli mais il semble qu'il aide notre héros dans ses problèmes. C'est surprenant pour un tel personnage. Mais je suis surtout fatigué par cette femme (Adèle Exarchopoulos) qui joue ses rôles avec si peu de sensibilité...
    Dorgx G.
    Dorgx G.

    4 abonnés 58 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 17 mars 2020
    Les français ne savent pas faire de films, on en a une fois de plus la preuve avec "Qui vive". La réalisatrice, Tardieu, inconnue au bataillon et visiblement sans talent, nous assomme d'un film à la réalisation trop académique bourré de plan trop long doublé d'un rythme soporifique porté par un scénario sans intérêt. L'acteur principal est talentueux, il devrait jouer dans un transformers, je verrai bien en duo avec Optimus Prime. ( c'est sérieux ) Quant à Adèle Exarchopoulos, ses apparitions sont anecdotiques et comme dans tous les films ou elle apparaît, elle s'exprime comme une racaille du 92. Le point positif est que le film dure moins d'une heure trente et une fois ce délai passé il nous suffit d'aller prendre l'air et remercier le ciel que le cinéma ne dépende pas que des français.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    602 abonnés 2 790 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 février 2020
    Il est dommage qu’une petite histoire – comprenons, une histoire inscrite dans la banalité du quotidien et mettant en scène monsieur et madame tout-le-monde – ne donne lieu qu’à un petit film, si petit que ses petites ambitions limitent l’ampleur dramatique qu’un tel récit aurait pu prendre. Car Qui Vive sait inscrire ses personnages dans une réalité sociale restituée avec justesse : suivre Chérif dans sa routine comprenant vie chez ses parents, emploi de vigile dans un magasin, concours d’infirmier et relation amoureuse naissante avec l’institutrice de l’école d’à côté passionne, mieux immerge le spectateur dans un microcosme qu’il ne connaît peut-être pas bien, celui des cités rennaises. Et l’originalité du traitement du néoréalisme social réside dans l’onirisme qui l’enveloppe, à la manière de ces nappes musicales signées Sayem qui scandent le film et permettent aux voyages en bus de décupler la puissance esthétique du mouvement. Cependant, une fois les enjeux posés et l’accident survenu, le long métrage se fige dans les procédures mises en scène et rebat, sans jamais les dépasser, les cartes de la tragédie sociale. Et ces figures que nous avons vu vivre, aimer et espérer se sclérosent, elles ne véhiculent ni l’émotion d’une crise intérieure ni l’absence d’émotions qui en serait l’expression privilégiée. En résulte une impression de sur-place qui enferme le film dans un cahier des charges malheureux, quoique pertinent. Manque un parti pris dramatique et esthétique, manque un risque qui, seul, aurait permis à Qui Vive de prendre de la hauteur afin de proposer une lecture plus intelligente de son sujet. Reste un film intrigant et campé à la perfection par son duo de tête, Reda Kateb et Adèle Exarchopoulos.
    Max Rss
    Max Rss

    173 abonnés 1 713 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 13 juin 2019
    Voilà un film qui n'a pas d'autre destin que de finir ses jours dans le grand océan de l'anonymat cinématographique. C'est peut-être un peu méchant que de dire ça, mais, sérieusement, que peut-on vraiment retenir de ce "Qui vive" ? Déjà, si on espère voir une démonstration intelligente de la vie en banlieue, c'est cuit. Tardieu nous fait un misérabilisme total. On est en banlieue, donc, forcément, tous ceux qui habitent en banlieue, sont dans une dèche pas possible. Désolé, mais à un moment donné, il faut penser à sortir du 16ème et aller mettre les pieds dans des cités à des fins autres que cinématographiques. Ensuite, on est en banlieue, donc, c'est inévitable, les petits gars écoutent du rap, que du rap. Et là, on ne me fera pas croire que ce sont des clichés qui sont utilisés pour être mieux combattus. Non non. C'est juste que Tardieu n'a aucune idée de quoi elle parle, c'est tout. Bon, déjà, on à ça. Ensuite, l'histoire. Bof aussi. Ça aurait pu être bien, sincèrement. Mais on nous sert finalement un truc super bateau. Moi, j'attendais une vraie dégringolade. Quelque chose qui malmène le personnage principal. Quelque chose qui le secoue profondément. Au lieu de ça, deux ou trois potes s'éloignent de lui et sa gonzesse le largue. Génial... Alors que, la gonzesse, justement, on pouvait agir dessus. Le personnage principal l'aime. Il y avait un truc à faire autour d'elle, mais non. Et ça me fait de la peine pour Adèle Exarchopoulos. Elle emmène son petit truc quand elle apparaît, c'est évident, mais son rôle est vide. Finalement, il ne reste que Reda Kateb qui, par son interprétation empêche le film de sombrer. L'étoile est pour lui.
    titicaca120
    titicaca120

    358 abonnés 2 179 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 octobre 2017
    il y a des endroits comme ça en France où vous ne
    pouvez pas vous sortir de certaines situations.
    ces "jeunes" oisifs qui pourrissent la vie de milliers de personnes
    avec la démission de leurs parents.
    Reda Kateb livre encore une fois une très belle prestation et
    on aimerait pas vivre ce qu'il endure.
    anonyme
    Un visiteur
    2,0
    Publiée le 6 octobre 2017
    Film lent, plans à rallonge sans intérêt concret sur l'histoire, à part pour montrer le quotidien du personnage principal, mais on voit bien le budget très limité du film, à la hauteur du mode de vie du personnage principal. Adèle Exarchopoulos est pratiquement absente du film. Seul le dénouement à une petite touche positive, mais ne rattrape pas la lenteur du film.
    I'm A Rocket Man
    I'm A Rocket Man

    231 abonnés 2 904 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 juin 2017
    J'ai été déçu par ce film...pour moi il était une valeur sûr tant par son acteur principal, que par son histoire qui me paraissait intéressante et bien pas du tout...je me suis tout bonnement ennuyé !! C'est plat, sans rebondissements et les situations ne sont pas très crédibles et un brin cliché !! Dommage car tout était là pour passer une bonne soirée !!
    rogerwaters
    rogerwaters

    129 abonnés 1 089 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 19 avril 2017
    Après une première heure qui laisse augurer du meilleur, la réalisatrice Marianne Tardieu semble perdre pied comme son personnage et livre une fin totalement bâclée. A tel point que l’on a bien du mal à comprendre le discours général et ce qu’a bien voulu dire l’auteure. C’est d’autant plus dommage que les acteurs sont excellents, que Reda Kateb fait preuve d’une force de sympathie immédiate et que les seconds rôles demeurent attachants malgré leur côté racaille assumé. Bref, un petit film naturaliste agréable à suivre, mais finalement décevant.
    MC feely
    MC feely

    74 abonnés 647 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 février 2017
    Un film sur la banlieue et sa spirale de violence et de magouilles!la réalisation est très réaliste c'est vrai et les acteurs jouent très bien,mais que c'est mou et vraiment pas passionnant comme histoire.Même si c'est une réalité certaine que dépeint ce film,bah cette histoire la peine vraiment à être intéressante.La fin me dérange pas en soit mais c'est vraiment la platitude de ce scénario et la réalisation qui ma ennuyée.2/5
    overlook2
    overlook2

    20 abonnés 163 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 septembre 2016
    …Où l’on apprécie la justesse d’un regard porté sur la banlieue loin des clichés et marqué par une certaine tendresse, mais qui ne gomme pas pour autant la dureté d’un monde où chacun se trouve assigné à une place et ploie sous ce déterminisme. Chérif, le personnage sobrement interprété par Reda Kateb, cherche justement à sortir de la sienne. Partagé entre deux mondes (le dehors et de le dedans de la cité – symptomatiquement, il bosse à sa frontière, comme agent de sécurité d’un centre commercial), il navigue entre volontarisme et résignation. Cette obstination empêchée est à la fois la force et la limite d’un film qui ne décolle jamais vraiment mais demeure toujours juste. C’est la limite d’un naturalisme qui reste bien dans ses marques, mais qui l’assume avec une belle tenue. Un premier film assez prometteur.
    THE-CHECKER
    THE-CHECKER

    103 abonnés 713 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 juin 2016
    Tout dans ce film suinte l'indigence! Indigence de la mise en scène (faut voir ces plans interminables montrant Reda Kateb en train de boire un verre d'eau!) Indigence du scénario (qui pour croire dans cette histoire de vigile trentenaire désabusé que le sort afflige?) indigence de la musique (un seul thème pour tout le film les gars!).

    Outre l'accumulation des clichés en la matière (faut arrêter le misérabilisme sociale, il y a des bacs 5 en banlieue!) d'un film alignant le néant thématique, "Qui vive" ne raconte rien de plus que le fantasme d'une réalisatrice s'imaginant pertinente en nous la jouant "profonde" avec cette chronique de la France d'en bas au rabais, oscillant entre le fait divers sans envergure et le drame humain forcé, du type blasé d'une vie de demi-esclave, asservit par un patron tout puissant et impitoyable (les prud'hommes ça existe!) et dont l'existence se résume à obtenir un diplôme d'infirmier histoire d'être encore plus exploité que la moyenne.

    Banlieue à l'horizon indépassable (réjouissons nous pour le coup, cet Arabe là boit de la bibine laïque) minant les enjeux dérisoires caractérisant la vie d'un type cumulant toutes les malchances possibles, érigé en quasi martyr jeté à la merci de petits sauvageons (parce que la banlieue c'est pas rose, la banlieue c'est morose!) dignes d'un roman de Rachid Djaïdani, à peine rasséréné par une Adèle salade tomate oignon au rôle inepte au possible!

    Un film calamiteux du début à la fin!
    LeMagduCiné
    LeMagduCiné

    61 abonnés 626 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 19 avril 2016
    Le sens de la vie

    Assistante caméra sur quelques films, et chef op sur de « tous petits films » comme elle le dit elle-même, Marianne Tardieu a fait son « big move » vers la mise en scène avec ce premier film, Qui Vive.

    Filmé au printemps 2013, le film vient seulement de sortir à l’écran. A l’époque, Adèle Exarchopoulos n’était qu’une actrice débutante qui venait de tourner dans La Vie d’Adèle, le film d’ Abdellatif Kéchiche. En revanche, ces deux dernières années, Reda Kateb a le statut de l’acteur incontournable : il a tourné dans Gare du Nord de Claire Simon, Hippocrate de Thomas Lilti, ou encore dans Guillaume et les garçons à table ! de Guillaume Gallienne.

    Les voici donc réunis par Marianne Tardieu dans un film de genre, le film de banlieue, un genre qui appelle par excellence un traitement naturaliste. Mais la sincérité du propos de la réalisatrice, ainsi que son empathie envers ses personnages empêchent le film de demeurer sur ce postulat, et le fait sombrer vers la pâle imitation de la vie de banlieue, avec tous les stéréotypes que cela peut charrier.
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