Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.
27 critiques presse
TF1 News
par Yves Grosjean
Après quelques égarements artistiques, Andrew Niccol renoue ici pour le meilleur avec la veine insolente de son "Lord of War" (2005) et instille, en dépit d'une tendance à l'explicitation, une paranoïa monstrueuse.
La critique complète est disponible sur le site TF1 News
Closer
par La Rédaction
Un film intelligent.
Femme Actuelle
par Cathy Bernheim
Une réflexion sensible et bienvenue sur la responsabilité.
La critique complète est disponible sur le site Femme Actuelle
L'Humanité
par Vincent Ostria
Une réflexion puissante sur la nature virtuelle des nouveaux conflits, qui mêlent jeu vidéo et réalité. Une œuvre aussi sobre qu’éthique, qui pose les bonnes questions sur l’engagement américain.
La critique complète est disponible sur le site L'Humanité
Le Journal du Dimanche
par Stéphanie Belpêche
Un thriller parano sur le cas de conscience d'un héros atteint du syndrome post-traumatique, incarné par Ethan Hawke, excellent. Seul regret: un dénouement escamoté.
Télé 7 Jours
par Julien Barcilon
Plus qu'une dénonciation de la guerre et ses dérives, c'est un constat 100% pessimiste que nous sert le réalisateur du mémorable "Lord of War". (...) Le cinéma en sort gagnant.
Télérama
par Frédéric Strauss
POUR:Le film trouve là une dimension mentale séduisante et pleine de tension. Car les états d'âme du militaire surgissent dans une réalité qui semble simplifiée, géométrique, comme les maisons du lotissement où il vit avec sa famille.
La critique complète est disponible sur le site Télérama
Voici
par La Rédaction
Un drame schizophrène intense et un pamphlet contre la guerre.
Chronic'art.com
par Louis Blanchot
Contrairement à Eastwood, qui déployait son archéologie d’une Amérique guerrière depuis l’intérieur de la psyché balourde de son protagoniste, Niccol se contente de faire dire à ses personnages tout ce qu’il pense, préférant le catéchisme de la prise de conscience à la psychanalyse in vivo.
La critique complète est disponible sur le site Chronic'art.com
CinemaTeaser
par Aurélien Allin
Un film assez fort sur les questionnements existentiels du héros militaire.
La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser
L'Obs
par François Forestier
Malgré la force du sujet, le film hésite entre le prêche et le spectacle. C'est dommage: Niccol a autrefois écrit le scénario de "The Truman Show", de Peter Weir, et c'était formidable. Passé derrière la caméra, il lui manque quelque chose. Un peu de lyrisme, peut être ?
Le Monde
par Thomas Sotinel
Portrait passionnant, bien que maladroit, d'un pilote qui tue à distance.
La critique complète est disponible sur le site Le Monde
Première
par Christophe Narbonne
Il y a des maladresses dans ce film à charge, plombé par de bonnes intentions qui le transforment parfois en manuel du type "Tout ce qu’il ne faut pas faire pour éviter le trouble de stress post-traumatique".
La critique complète est disponible sur le site Première
Studio Ciné Live
par Sophie Benamon
Ethan Hawke dans un réquisitoire contre la guerre des drones. Puissant.
La critique complète est disponible sur le site Studio Ciné Live
Charlie Hebdo
par Jean-Baptiste Thoret
"Good Kill" peut-être, mais bad target.
Critikat.com
par Quentin Le Goff
Il y a une superficialité agaçante dans "Good Kill", qui, assuré d’emblée de la force de son sujet, finit par s’en remettre presque entièrement à son aspect "scandale" en négligeant tout le reste.
La critique complète est disponible sur le site Critikat.com
Culturopoing.com
par Guillaume Bryon
Le regard de Niccol laisse difficilement deviner humour ou distanciation : la conclusion est extrêmement convenue dans ce cadre politique [...].
La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com
Ecran Large
par Simon Riaux
Paradoxalement, l’intelligence du sujet vient ici souligner les faiblesses de son traitement.
La critique complète est disponible sur le site Ecran Large
La Croix
par Arnaud Schwartz
"Good Kill" ne fait pas lontemps illusion : si le sujet autorisait une réflexion intéressante sur la guerre technologique, ses risques et limites, le scénario se charge de la caricaturer et de l'étouffer sous une épaisse couche de pathos.
La critique complète est disponible sur le site La Croix
Libération
par Clémentine Gallot
Trop littéral, accroché à sa seule idée de mise en scène : des vues aériennes en montage parallèle assimilant, cruelle ironie, les plaines du Moyen-Orient aux suburbs américaines.
La critique complète est disponible sur le site Libération
Ouest France
par Pierre Fornerod
Une mise en scène plombée par les images rébarbatives d'écrans satellitaires.
Cahiers du Cinéma
par Jean-Philippe Tessé
Le film mêle le récit grossier d’une crise du couple à celui, malhonnête, d’une crise de conscience. (…) l’impensé du film est une nostalgie estampillée 1986 pour "Top Gun" et Ronald Reagan.
L'Express
par Sandra Benedetti
Une guerre désincarnée comme un jeu vidéo, qui touche aussi des innocents. Le réalisateur, Andrew Niccol (...), insiste inutilement sur cette évidence.
Les Inrockuptibles
par Jacky Goldberg
Mais entre des dialogues ultra appuyés et une intrigue glissant vers l’abjection, finit par laisser un sale goût en bouche.
La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles
Positif
par Eithne O'Neill
Sans finesse, le film finit par évoquer lui-même la mission d'un drone : un survol froid, sans âme, et moralement très discutable d'un sujet complexe et passionnant.
Télérama
par Guillemette Odicino
CONTRE : La guerre moderne qui transforme les soldats en snipers de jeux vidéo : un sujet en or pour le réalisateur de "Bienvenue à Gattaca" et "Lord of war". Hélas, Andrew Niccol accumule les archétypes (...).
La critique complète est disponible sur le site Télérama
aVoir-aLire.com
par Emma Martin
Good kill questionne le complexe de Dieu de l’armée américaine et la légitimité de ses actions dans la croisade contre le terrorisme. Le discours manque de discernement et rivalise de bêtise.
La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
TF1 News
Après quelques égarements artistiques, Andrew Niccol renoue ici pour le meilleur avec la veine insolente de son "Lord of War" (2005) et instille, en dépit d'une tendance à l'explicitation, une paranoïa monstrueuse.
Closer
Un film intelligent.
Femme Actuelle
Une réflexion sensible et bienvenue sur la responsabilité.
L'Humanité
Une réflexion puissante sur la nature virtuelle des nouveaux conflits, qui mêlent jeu vidéo et réalité. Une œuvre aussi sobre qu’éthique, qui pose les bonnes questions sur l’engagement américain.
Le Journal du Dimanche
Un thriller parano sur le cas de conscience d'un héros atteint du syndrome post-traumatique, incarné par Ethan Hawke, excellent. Seul regret: un dénouement escamoté.
Télé 7 Jours
Plus qu'une dénonciation de la guerre et ses dérives, c'est un constat 100% pessimiste que nous sert le réalisateur du mémorable "Lord of War". (...) Le cinéma en sort gagnant.
Télérama
POUR:Le film trouve là une dimension mentale séduisante et pleine de tension. Car les états d'âme du militaire surgissent dans une réalité qui semble simplifiée, géométrique, comme les maisons du lotissement où il vit avec sa famille.
Voici
Un drame schizophrène intense et un pamphlet contre la guerre.
Chronic'art.com
Contrairement à Eastwood, qui déployait son archéologie d’une Amérique guerrière depuis l’intérieur de la psyché balourde de son protagoniste, Niccol se contente de faire dire à ses personnages tout ce qu’il pense, préférant le catéchisme de la prise de conscience à la psychanalyse in vivo.
CinemaTeaser
Un film assez fort sur les questionnements existentiels du héros militaire.
L'Obs
Malgré la force du sujet, le film hésite entre le prêche et le spectacle. C'est dommage: Niccol a autrefois écrit le scénario de "The Truman Show", de Peter Weir, et c'était formidable. Passé derrière la caméra, il lui manque quelque chose. Un peu de lyrisme, peut être ?
Le Monde
Portrait passionnant, bien que maladroit, d'un pilote qui tue à distance.
Première
Il y a des maladresses dans ce film à charge, plombé par de bonnes intentions qui le transforment parfois en manuel du type "Tout ce qu’il ne faut pas faire pour éviter le trouble de stress post-traumatique".
Studio Ciné Live
Ethan Hawke dans un réquisitoire contre la guerre des drones. Puissant.
Charlie Hebdo
"Good Kill" peut-être, mais bad target.
Critikat.com
Il y a une superficialité agaçante dans "Good Kill", qui, assuré d’emblée de la force de son sujet, finit par s’en remettre presque entièrement à son aspect "scandale" en négligeant tout le reste.
Culturopoing.com
Le regard de Niccol laisse difficilement deviner humour ou distanciation : la conclusion est extrêmement convenue dans ce cadre politique [...].
Ecran Large
Paradoxalement, l’intelligence du sujet vient ici souligner les faiblesses de son traitement.
La Croix
"Good Kill" ne fait pas lontemps illusion : si le sujet autorisait une réflexion intéressante sur la guerre technologique, ses risques et limites, le scénario se charge de la caricaturer et de l'étouffer sous une épaisse couche de pathos.
Libération
Trop littéral, accroché à sa seule idée de mise en scène : des vues aériennes en montage parallèle assimilant, cruelle ironie, les plaines du Moyen-Orient aux suburbs américaines.
Ouest France
Une mise en scène plombée par les images rébarbatives d'écrans satellitaires.
Cahiers du Cinéma
Le film mêle le récit grossier d’une crise du couple à celui, malhonnête, d’une crise de conscience. (…) l’impensé du film est une nostalgie estampillée 1986 pour "Top Gun" et Ronald Reagan.
L'Express
Une guerre désincarnée comme un jeu vidéo, qui touche aussi des innocents. Le réalisateur, Andrew Niccol (...), insiste inutilement sur cette évidence.
Les Inrockuptibles
Mais entre des dialogues ultra appuyés et une intrigue glissant vers l’abjection, finit par laisser un sale goût en bouche.
Positif
Sans finesse, le film finit par évoquer lui-même la mission d'un drone : un survol froid, sans âme, et moralement très discutable d'un sujet complexe et passionnant.
Télérama
CONTRE : La guerre moderne qui transforme les soldats en snipers de jeux vidéo : un sujet en or pour le réalisateur de "Bienvenue à Gattaca" et "Lord of war". Hélas, Andrew Niccol accumule les archétypes (...).
aVoir-aLire.com
Good kill questionne le complexe de Dieu de l’armée américaine et la légitimité de ses actions dans la croisade contre le terrorisme. Le discours manque de discernement et rivalise de bêtise.