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    Good Kill
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    3,1
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    185 critiques spectateurs

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    7eme critique
    7eme critique

    476 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 5 mai 2015
    Andrew Niccol refait appel à Ethan Hawke, après plusieurs collaborations à succès ("Bienvenue à Gattaca", "Lord of war"), pour ce "Good kill" au scénario captivant. La guerre 2.0 a commencé ! Inévitable face à cette évolution technologique, le terrain cède sa place au fauteuil confortable, et l'arme à feu, quant à elle, se change en joystick. La sensation de lâcheté, l'impact psychologique, les crimes de guerre, "Good kill" frappe fort par l'importance de son scénario. Novateur et pourtant d'actualité, le cinéaste Andrew Niccol a une fois de plus, visé dans le mille.
    Shephard69
    Shephard69

    291 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 juin 2017
    Sur un aspect méconnu du conflit américain contre le terrorisme en Afghanistan à savoir l'utilisation des drones de combat, un nouveau film du réalisateur Andrew Niccol qui propose une réflexion réfléchie et sensée sur une trame qui n'a rien d'inédit. Un rythme assez lent, une mise en scène feutrée et distante, qui rappelle beaucoup "Bienvenue à Gattaca", pour mieux coller au sujet du long-métrage. Ethan Hawke, dans une prestation très intériorisée, est toujours aussi bon face à un excellent Bruce Greenwood, parfait en militaire cynique et paternaliste, Zoé Kravitz ayant plus de mal à me convaincre complètement. Intéressant mais une écriture très classique dans son ensemble alors qu'il y avait peut-être matière à autre chose, une légère déception.
    eldarkstone
    eldarkstone

    189 abonnés 1 976 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    Partant d'un bon sentiment, avec quelques bonnes idées, quelques bons arguments, le film peine pourtant à s'évader de son ennui quasi perpétuel tout le long, qui en fait un film chiant plus qu'autre chose, en plus d'avoir du mal à vraiment toucher le coeur du spectateur.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 2 juin 2016
    « Good Kill » est un bon film de guerre, proposant une réflexion sur le bien-fondé ou non de l’intervention militaire américaine en différents endroits du globe. Le tout sans-parti pris et à travers les actions de pilotes de drones tueurs, mettant ainsi en avant l’aspect technologique qui s’est immiscé dans la guerre moderne. L’histoire est cohérente et l’intrigue repose essentiellement sur l’impact psychologique et moral des personnages. Ethan Hawke offre une très bonne prestation. Un film à voir …
    Patricemarie
    Patricemarie

    40 abonnés 1 280 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 5 septembre 2015
    Tout est déjà dit en deux minutes dans le générique de début.
    Ensuite on s'ennuie à mourir, autant que le personnage d' Ethan Hawke à téléguider ses drones.
    Quel est le message transmis par le film ?
    Un militaire fait une dépression quand il tue des afghans à distance, "what else" ?
    Film de conditionnement à l'usage de la population américaine ?
    Y Leca
    Y Leca

    22 abonnés 920 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 août 2022
    Film intéressant sur la manière dont sont opérés les drones tueurs par l'armée US. Pas sûr que ceux qui les commandent aient autant de scrupules que ce qu'il nous montre, mais peu importe. Une œuvre à l'opposé de Top Gun et qui fait donc œuvre utile.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    601 abonnés 2 790 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 26 septembre 2021
    La facilité avec laquelle Good Kill représente d’une part la crise de conscience du commandant Egan et de sa collègue Vera Suarez, d’autre part le délitement de la cellule conjugale formée par le même commandant avec son épouse Molly, frôle l’indécence et l’illustration plate d’une thèse trop simpliste pour convaincre. Le film aimerait condamner la guerre par drones, associée à celle que mènerait un adepte de jeux vidéo, mais adopte dans la caractérisation de ses personnages et dans l’écriture des situations que ceux-ci traversent un opportunisme similaire : l’humain est ici si stéréotypé que nous en devinons les réactions avant même qu’elles n’adviennent, à ce point dépourvu de profondeur qu’il est regardé depuis le ciel comme ces plans centrés sur les ennemis à détruire. Andrew Niccol n’impose aucune vision personnelle de son sujet, si bien qu’il tente des greffes qui jamais ne prennent : chansons rock à fond, dénonciation de la petite vie rangée dans les banlieues pavillonnaires de Las Vegas, mécanisation de l’homme à mesure que son travail change de nature, peinture d’une paranoïa d’État qui exécute froidement par subalternes interposés comme on se commande un bon gros burger à emporter. Le microcosme militaire paraît artificiel du fait de l’explicitation grossière de son fonctionnement ; aussi le personnage interprété par Bruce Greenwood n’est-il là que pour expliquer au spectateur tenants et aboutissants, exprimer son point de vue, tenir de longs discours sur le bien et le mal. Tout cela sonne faux, à l’image de la rébellion pompeuse de Vera Suarez ; seuls Ethan Hawke et la partition musicale de Christophe Beck sauvent Good Kill du naufrage complet. Pas de quoi, pour autant, en justifier le visionnage.
    videoman29
    videoman29

    211 abonnés 1 811 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 mai 2016
    Voilà un projet qui, sur le papier, paraissait bien alléchant mais qui peine à tenir ses promesses. En effet, « Good kill » traite d'un sujet brûlant d'actualité en racontant la vie d'un pilote de drone de l'armée Américaine, engagé sur le théâtre d'opération Afghan. La vie de ces militaires de l'ombre, qui tirent sur des cibles depuis un pupitre situé à des milliers de kilomètres de la zone de combats, frappe forcément les imaginations et il était important d'y consacrer un film. Le fait de tuer ainsi des gens qui ne peuvent fuir, ni même comprendre qu'ils sont attaqués, doit provoquer quelques problèmes de conscience qui paraissent bien légitimes quand on se penche sur la question. Malheureusement, si le scénario se pose comme une évidence, son traitement à l'écran est plutôt décevant. L'ensemble manque totalement de rythme et les « missions » s’enchaînent sans tension ni véritable enjeux. Les acteurs font ce qu'ils peuvent pour maintenir un semblant de suspense mais ils ne parviennent jamais à nous immerger dans cette guerre qui ressemble trop à un jeu vidéo futuriste. Du coup, tout est déshumanisé et la mayonnaise ne prend jamais réellement. Même le petit drame familial qui se joue en parallèle manque de liant et on se désintéresse peu à peu de l'histoire et des personnages. C'est dommage car il y avait sans doute beaucoup mieux à faire de cette idée originale et très actuelle.
    HamsterPsycho
    HamsterPsycho

    97 abonnés 1 180 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 6 mai 2015
    Encore une fois, voici un film intéressant sur les nouvelles façons de faire la guerre dans le monde moderne. On saisit bien le décalage induit par le fait de ne pas se trouver physiquement sur le terrain des opérations, et entre un véritable pilote cloué au sol et les nouvelles recrues, dénichées pour leur habilité au joystick.
    L'histoire prend d'autant plus d'intérêt grâce au cachet "inspiré de faits réels" et par la prestation d'Ethan Hawke en pilote USAF tourmenté.
    Malheureusement le film peine à trouver un véritable souffle et il est relativement plat. Reste son caratère instructif.
    Baptistos
    Baptistos

    61 abonnés 705 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 octobre 2016
    Good Kill est un film qui manque cruellement d'accroche, d'ambition mais aussi d'émotion. Ce film, inspiré de faits réels, se devait de fournir bien plus d'impact et bien plus de tensions. Ici, tout est en partie répétitif, on sent l'ennui, qui, au fur et à mesure, s'accumule et provoque cette sensation désagréable dans l'esprit du spectateur. Les enjeux ne sont pas assez fournis, malgré le bon déroulement de l'histoire et le " désespoir ", qui, peu à peu, consume le personnage principal qui est l'un des points plutôt efficace. On prend tout de même un certain plaisir à regarder ce film, qui nous offre la possibilité de découvrir des missions d'un réalisme profond et une sensibilité assez développé. Le jeu d'acteur est correcte, rien de plus et l'ambiance l'est tout autant.
    Toto INF
    Toto INF

    35 abonnés 555 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 8 janvier 2017
    Un film de guerre peu commun, pour une guerre peu commune.

    Prenant ici comme contexte les drones de combat déployés par l'armée américaine dans les conflits actuels, le film est déjà original rien que par son sujet. Mais il ne s'arrête pas là, puisqu'il s'articule autour de toute une équipe de pilotes de ce genre d'appareil, qui, installés dans une cabine dans une base du Texas, font la guerre au Moyen-Orient, tout en rentrant chez eux le soir. Et c'est là-dessus que le film brille ! Toute la dualité d'un conflit étrangement loin du quotidien de ces pilotes. Porté par un Ethan Hawke hors pair, l'acteur réussit vraiment à souligner tout le malaise du personnage qu'il incarne. Ajouter à cela une histoire qui sert tout à fait le propos, une réflexion intelligente sur l'armée, les combats, et les soldats engagés dedans. Bien loin du patriotisme aveugle, le film nous projette dans une réalité que l'on pensait encore appartenant au futur, mais la guerre à distance est déjà là. Une question ouverte saisissante quant aux futurs des conflits armés.
    Benj'Top F
    Benj'Top F

    18 abonnés 358 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 23 août 2017
    Avec Good kill on plonge dans une discipline méconnue: le pilotage de drone de guerre. Dans la veine de "american sniper" on nous expose le stress moral des soldats face a la guerre moderne. Les principaux thèmes sont évoqués : le respect des ordres, la loyauté, l'éthique en temps de guerre. L'originalité réside dans la dématérialisation de cette guerre devenue virtuelle.
    La réalisation est très classique, on est coincé dans "la boîte" avec le héro et on ne vit que ce qu'il ne voit ( il n'existe aucun plan extérieur du drone piloté ) ce qui augmente l'immersion. Le film fonctionne bien car même si on sait que le pilote est a l'abris c'est ce qui se déroule sous ses yeux qui est stressant. L'histoire se tient bien globalement on passe un bon moment. Je regrette juste un climax un peu trop exagéré et un manque d'ambition générale dans l'exploitation du personnage.
    Bref: a voir une fois pour les fans de guerre.
    Kilian Dayer
    Kilian Dayer

    99 abonnés 838 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 4 septembre 2015
    Andrew Niccol est de ces réalisateurs qui naviguent perpétuellement entre l’optimal et le minimal. Dans la première catégorie, citons notamment Bienvenue à Gattaca ou encore Lord of War, et dans la seconde les âmes vagabondes ou Time Out. Quoiqu’il en soit, en dépit des défaillances dont fait parfois preuve le cinéaste, il est indiscutable que le bonhomme sait choisir avec minutie ses sujets, comme c’est le cas pour ce Good Kill, d’où une certaine impression de gâchis. S’associant, comme sur ses deux plus grands succès, avec son comédien fétiche, Ethan Hawke, Niccol tente de piquée à l’aiguille le postérieur d’une Amérique de plus en plus indifférente face à la guerre menée en Orient face au terrorisme, du moins indifférente aux moyens déployés pour que le gouvernement parvienne à ses fins. Cette guerre, incessamment évolutive, marque la naissance de l’utilisation massive de drones de combat, aéronefs sans pilotes, tueurs silencieux et invisibles manipulés depuis l’autre bout de monde par des individus qui doivent composer entre les critiques de lâcheté et le remords de toutes ces morts d’un simple clic sur un joystick.

    Andrew Niccol, conscient des enjeux moraux d’une telle guerre, menée depuis son domicile par des soldats qui peinent à se définir comme tel, illustre son propos en suivant de très près un commandant de l’US Air Force, pilote scotché à terre par sa hiérarchie et frocé d’accomplir sa mission dans un container, aux commandes d’un drone survolant des pays dans lesquels il ne se trouve pas. Chaque soir, le brave pilote rentre chez lui, dans la banlieue de Las Vegas, se disputant avec sa femme, prenant en charge ses enfants, toujours avec la pensée du nombre des tués dont il est responsable ce même jour. Intéressant. Oui, mais le cinéaste semble avoir pris le parti d’illustrer cette drôle de guerre en se concentrant sur la psyché d’un seul personnage, un pilote qui souffre surtout de ne plus pouvoir voler, qui souffre d’un manque d’adrénaline et qui perd peu à peu pied, en s’éloignant toujours d’avantage de sa famille. Dès lors, l’effort pour amener un sujet captivant sur le tapis est mis à mal par l’aspect mélodramatique du film. Pour conclure son film, Andrew Niccol ira même jusqu’à bafouer toute sa construction narrative, erreur immanquable pour tout cinéphile un tant soit peu exigeant.

    Bref, si tout débute formidablement, l’aspect didactique de la première partie du film s’avère salvatrice pour captiver les non-initiés, la suite vire tout gentiment au mélodrame individuel, une crise de conscience assez peu sensible qui se termine sur un coup de tête que l’on pressentait venir depuis belle lurette. En gros, Andrew Niccol n’a pas su donner le bon ton à son film, un film qui plus est par moment ennuyeux tant le rythme ne décolle jamais. D’un massacre aérien et impersonnel à un autre, le commandant Egan s’engueule avec madame, fait griller des steaks, se balade en ville et son personnage n’évolue jamais, jusqu’à la très logique annonce de séparation. L’homme souffre, oui, mais le public souffre de la facilité avec laquelle le film se conclut.

    La guerre est sale, tout le monde le sait et Andrew Niccol ne nous apprend strictement rien si ce n’est qu’il effleure la problématique des drones, l’impact d’une guerre menée à distance par des gamins ou anciens combattants à qui l’on demande de jouer au plus meurtrier des jeux vidéo. A ce titre, l’évocation de la Xbox ou de la Playstation par le colonel de la base n’est pas anodine. Voilà qui contentera quelques curieux mais certainement pas les plus exigeants des cinéphiles, adeptes de l’approfondissement des sujets proposés, exercice dont le réalisateur s’est ici éviter, par manque d’envie, de temps ou de moyens. 07/20
    Anonymous :)
    Anonymous :)

    59 abonnés 532 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 mai 2015
    Révélé au grand public avec "Bienvenue à Gattaca", une oeuvre d'anticipation subtile qui avait marqué les mémoires, Andrew Niccol récidive avec son sixième long-métrage, "Good Kill", un thriller sur fond de guerre qui s'intéresse à l'utilisation des drones de combat en Afghanistan à distance. Ancien pilote de chasse reconverti en pilote de drone de combat, le major Thomas Egan est confronté à une multitude de problèmes de conscience quant à son métier. Alors qu'il développe un trouble de stress post-traumatique, Thomas remet sa mission en question : ne crée-t-il pas plus de terroristes qu’il en extermine ? Film psychologique qui sort des sentiers battus, "Good Kill" est un film très intelligent qui prend le contre pied de "American Sniper" sorti il y a quelques mois. Le long-métrage exploite une multitude de thématiques dont on n'a pas l'habitude de voir au grand écran, le cinéaste donne un regard critique qui pour une fois dénonce les actions du gouvernement Américain. Le rôle des Etats-Unis dans cette guerre est clairement mis en question tout comme les pratiques parfois douteuses qui consistent à éradiquer les Talibans malgré les dommages collatéraux tels que les civils, tout cela au nom de la paix et de la démocratie. Le réalisateur critique cette guerre à distance qui prend l'allure d'un jeu vidéo pour les pilotes où la mort est au bout d'un petit bouton. A la réalisation, Andrew Niccol propose une mise en scène efficace qui malgré quelque petits défauts est plutôt convaincante. Dans le rôle phare, Ethan Hawke lire une très bonne prestation et parvient à nous faire partager ses états d'âmes et ses fêlures intérieures. Cependant, malgré toutes ses bonnes intentions, le film est assez plat, sans réel tension dramatique et se révèle très répétitif, passé les trois premiers quarts d'heure des longueurs apparaissent, on a l'impression d'assister à la même scène encore et encore. Ainsi, "Good Kill" est un petit film intelligent qui remet en question le rôle des Etats-Unis mais qui manque cruellement d'ambition.
    Eric C.
    Eric C.

    210 abonnés 2 273 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 mars 2016
    Un film de guerre mais très statique, la guerre à très longue distance avec des drones et des frappes dites chirurgicales ou stratégiques. Des soldats enfermés dans des containers à Las Vegas frappent des cibles décidées à Washington et on leur demande de tuer , sans état d'âme, sans poser de questions, obéir en tuant combattants et dommages civils acceptables stratégiquement. C'est le sujet du film, le tourment intérieur de ces soldats, leurs questionnements sur l'utilité de leur action, leur culpabilité, le sens de tout cela. La guerre est elle sans fin, est ce un cercle vicieux , je te tue, tu me tues . Globalement intéressant sur cet aspect de la guerre mais film peu passionnant visuellement avec des images style jeu vidéo de guerre à répétition. A noter la belle présence de Zoé Kravitz.
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