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    Les Lumières de la ville
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    198 critiques spectateurs

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    totoro35
    totoro35

    89 abonnés 1 787 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 août 2010
    Chaplin signe une fois encore une oeuvre absolument sublime, qui témoigne de son incroyable sens du timing et du gag, d'une sensibilité à fleur de peau et d'un perfectionnisme hors du commun, le tout s'achevant dans un final magnifique, un des plus beaux du cinéma.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 9 septembre 2010
    Brillant, étincelant comme d'habitude (ça devait tout de même être quelque chose pour l'époque...). Les musiques et les scènes se doublent et se combinent d'une manière si équilibrée (faut dire que quand on fait tout soi-même, il y a moyen de faire un truc cohérent ; et quand on est extrêmement intelligent partout...) qu'on a l'impression d'assister à un théâtre musical, une sorte d'opéra pour les pauvres. Je dis pauvre dans un sens noble évidemment, c'est-à-dire que comme toujours, ce qui compte c'est le rire accessible et compréhensible par tous, c'est le décalage, encore très réussi ici.
    Comme souvent, une histoire d'amour entre deux pauvres malheureux constitue l'axe central du film, et qui se termine plutôt positivement, rien de tel pour remettre une petite couche et réveiller une conscience de classe... (loul).
    Bon cela dit, c'est pas le meilleur. Bref, chapeau l'artiste (ah ah) : 16/20


    Et bien sûr, toutes les critiques sur le Tching's cine :
    http://tchingscine.over-blog.com/
    ASSRANCETOURIX
    ASSRANCETOURIX

    17 abonnés 299 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 7 mars 2015
    A voir pour les numéros de Chaplin (le match de boxe), la peinture sociale (le riche qui n'est sympa et ne reconnait Chaplin que quand il est saoul !), et surtout surtout pour les trois dernière minutes, merveilles scénaristiques (L'ex-aveugle qui reconnait la main de Chaplin en la prenant), esthétiques (Chaplin la rose à la bouche) et mélodramatiques..... "Vous voyez clair maintenant ?" "Oui ! Maintenant je vois clair !". Merci Charlot, On voit effectivement plus clair....., même si c'est à travers les larmes.....
    darthbebel
    darthbebel

    22 abonnés 636 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 9 décembre 2010
    Bon film, de jolies scènes.
    7eme critique
    7eme critique

    476 abonnés 2 778 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 27 septembre 2012
    "Les lumières de la ville" est un bon Chaplin, toutefois un peu long sur son format, ce qui peut provoquer quelques lenteurs ou des effets de répétition. On retrouve bien entendu tous les gags habituels de l'excellent Chaplin, mais ce long-métrage se positionnera derrière "Les temps modernes" ou encore le merveilleux "Le dictateur" (indétrônable). On passe tout de même un bon moment et on reste, encore une fois, admiratif de son travail, surtout lorsque l'on voit de si longues séquences sans coupure ou changement d'angle (certaines chorégraphies ont dû demander un sacré bout de temps, comme dans tous ses films de toute façon). La fin est assez émouvante et plutôt réussie.
    keating
    keating

    49 abonnés 582 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 décembre 2007
    Chaplin, c'est plus que cinéma, c'est universel hors du temps et de l'espace . Les Lumières De La Ville fonctionnera encore dans 200 ans . Notre ami Charlot parvient à nous faire hurler de rire comme jamais et en plus dans ce film a décidé de nous émouvoir . Alors il crée l'une des plus belles histoire d'amour du septième art . Quand un vagabond se fait passer pour un milliardaire afin de séduire une fleuriste aveugle , ça donne un sommet de poésie et de romance . Peut être n'avons nous jamais connu de mélange si habile entre humour et émotion . Car je vous le demande , qui d'autre est ainsi capable de faire passer en une heure vingt autant de scènes burlesques et émouvantes ? L'humour visuel fonctionne à merveille et les gags s'enchainent à une vitesse folle . De plus Chaplin a ici pour la première fois fait l'expérience d'un accompagnement musical en composant la bande son de son film , jouée par un orchestre et accompagnant les sécquences en totale harmonie (voir la scène de boxe , un sommet dans le genre ...) . Le parlant etait déja apparu , mais Chaplin , persuadé que la parole allait tuer le cinéma , décida de sauvegarde le pantomime à travers ce film puis "les temps modernes" avant d'entrer dans le parlant via "le dictateur" . Difficile de ne pas lui donner raison quand on découvre ce chef d'oeuvre qu'est "les lumières de la ville" . Si il nous a déja fait rire aux éclats , jamais Chaplin ne nous avait autant ému . Difficile de résister à cet amour tragique , cruel et aveugle . "Les lumières de la ville" est ainsi ni plus ni moins qu'un chef d'oeuvre absolu et intemporel !
    Guillaume182
    Guillaume182

    123 abonnés 1 194 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 5 janvier 2012
    Un pur et grand moment de cinéma!

    Un film émouvant avec un grand Charlie Chaplin drôle et attachant (La scène du combat de boxe est hilarante).

    Le seul truc que je regrette un peu c'est que l'argent soit finalement autant associés aux bonheurs, mais qu'importe Charlo lui se fiche de l'argent d'ailleurs il se retrouve fauché après avoir aidé la femme qu'il aime et cela suffit largement à son bonheur!

    Grand chef d'oeuvre!
    loulou451
    loulou451

    108 abonnés 1 503 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 février 2008
    Beau, profond, subtil, hilarant, cruel, romantique... Tous les qualificatifs sont bons pour tenter de qualifier ce monument du film muet... tourné à l'époque du grand boom du cinéma parlant, à peine plus d'un an après la sortie du "Chanteur de jazz".
    Une fois encore, Chaplin fait étalage de tout son génie du comique et de la mise en scène pour permettre au spectateur de s'émouvoir des aventures traversées par la clochard le plus romantique de toute l'histoire du cinéma. La magie de Chaplin tient à ce qu'on peut s'imaginer dans la peau de n'importe quel de ses personnages. Le ton est juste et la musique donne le ton. Que rajouter de plus ?
    SmEuG
    SmEuG

    33 abonnés 248 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 2 septembre 2010
    Les Lumières de la ville est tout d'abord génial pour sa mise en scène comique qui ressort simplement du génie à l'état pur, en particulier un génie chorégraphique (scène de la fête, combat de boxe).

    Toutefois, en dehors de son humour ravageur grâce aux mimiques de Charlot, de ces blagues à multiples rebondissements, le film demeure intéressant lorsqu'on le replace dans son contexte historique. Le film ayant été tourné après la crise de 29, il ne manque pas d'y faire mention en peignant une société hypocrite et aristocratique. Le film commence sur une scène montrant, grâce à un usage comique de bruitages, des politiciens dans leur tartuferie habituelle. Le son utilisé par Chaplin est doublement intelligent, car non content de dénoncer l'hypocrisie et la banalité débitée par les politiciens durant la crise, Charlot se moque également de l'apparition du cinéma parlant, forme de spectacle auquel il s'oppose ouvertement, car son personne de Charlot s'axe avant tout sur des mimiques et des gags visuels.
    Par la suite, les effets de la crise de 29 se répercutent sur chacun des personnages principaux : La femme handicapée par sa cécité est au bord de la ruine, Charlot n'est qu'un vagabond exclu de la société, mais généreux, car pas perverti par cette société capitaliste, le riche est alcoolique et malheureux. Ce parti pris de dénonciation est peut-être le seul défaut du film, car reste un peu trop naïf est caricatural.
    Il en reste que Chaplin n'était pas si loin de la réalité,alors qu'il a tourné son film en plein crise. Point de vue plutôt lucide à l'heure où personne n'avait encore pris le recul nécessaire sur la situation.
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 2 mai 2010
    C'est pas le meilleur des Chaplin mais il est globalement assez drôle.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 28 février 2010
    Le meilleur film muet de Chaplin, Les lumières de la ville nous offre un Charlie Chaplin comme on l'aime si bien.
    Emouvant, comique, tragique, tout y est, et la fin nous offre un moment d'émotion comme nous en avons rarement au cinéma.
    Jipis
    Jipis

    34 abonnés 360 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 29 septembre 2006
    Les lettres de noblesses de la marginalité sont détenues par ce vagabond qui malgré sa déchéance a le regard pur envers un environnement indifférent.

    Une jeune fleuriste aveugle est dans la peine. Quoi de plus passionnant d’intervenir de manière discrète et surtout non perceptible afin d’aider ce doux cœur persécuté par des créanciers insensibles.

    Ce marginal va se démener partout avec un courage à toutes épreuves afin d’améliorer l’ordinaire de sa petite protégée.

    Il va faire une rencontre inattendue, Un millionnaire bon et généreux dans l’ivresse, distant et irascible une fois la vapeur de l’alcool dissipé.

    Après bien des péripéties, l’argent nécessaire à une opération sera récolté et la belle recouvrera la vue.

    La douceur des mains du protecteur de la belle illuminera leurs deux visages.

    « Les lumières de la ville » sont au même titre que « les temps modernes » un long adieu que Charlie Chaplin fait au cinéma muet en passant par deux films sonores avant de pénétrer enfin dans la vraie parole avec « Le Dictateur ».

    La sauvegarde de la pantomime nécessita ce recul temporaire envers l’attirante technologie du parlant. L’intérêt visuel et gesticulant du personnage devait l’emporter sur une mobilité plus restreinte due à la parole qui positionnait davantage dans l’immobilisme.

    Chaplin désirait également conserver la suprématie de la technologie du mouvement pur, l’apport de la voix risquait de démasquer dans le personnage une seconde nature.

    Malgré cette approche, « Les lumières de la ville » sont un énorme paradoxe. Le vagabond qui ne peut être vu par la jeune fleuriste aveugle n’a que sa voix pour communiquer et cette voix n’est pas entendue par le spectateur. Voici une manière plus ou moins hermétique de sauvegarder encore un peu le muet qui s’éteint doucement en avançant lentement de manière symbolique vers le nouveau concept du parlant.
    ygor parizel
    ygor parizel

    209 abonnés 2 503 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 4 avril 2013
    Des bons gags mais d'autres tombent à plat comme d'habitude. Le film ne manque pas de charme et d'émotion, beaucoup de situations drôlissime. Un des sommets du cinéma évidemment pour beaucoup de cinéphiles, mais ce n'est pour moi pas mon Chaplin préféré.
    Camusduverseau
    Camusduverseau

    43 abonnés 778 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 4 décembre 2006
    L'un des plus grands films de Charlie Chaplin. C'est simple. C'est à la fois drôle et triste. C'est magnifique. C'est un véritable trésor de l'humanité. Certaines scènes sont inoubliables, comme notamment les différentes rencontres entre le vagabond au grand coeur et la vendeuse aveugle.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    601 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 août 2018
    Autour de ce bouton floral qui file la métaphore de l’amour gravitent des êtres marginaux, ou vagabonds ou aveugles ou boxeurs amateurs, dotés pourtant d’un sens de l’humain qui emporte tout, bâtit une cité où il fait bon vivre dans une société urbaine hostile, froide, à l’architecture fortement cloisonnée et anxiogène. Car ces Lumières de la ville, ce sont ces personnages instables, mal intégrés qui errent dans des costumes impropres et troués à l’instar d’un Rimbaud contemporain ; Chaplin signe une œuvre révoltée dont la révolte se diffuse dans la candeur – fausse candeur – de son protagoniste principal : sur les statues consacrées, provoquer le rire du spectateur, face au mépris ou à l’insulte, y opposer l’amour de l’autre. Non le héros ne remportera pas le combat face à un adversaire plus grand que lui, non il ne deviendra pas quelqu’un d’autre tel ce bellâtre au chapeau-melon venu acheter des fleurs ; il demeure cet être errant qui regarde sans pitié ses semblables et leur offre l’unique présent à sa portée : son affection. Immense affection qui emporte tout, rappelle que le bonheur est avant tout humain et accessible à tous. Monument cinématographique, poésie drolatique teintée d’une mélancolie douce. Chef-d’œuvre.
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