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Un visiteur
5,0
Publiée le 20 février 2020
“Le Cas Richard Jewell” est un très grand Clint Eastwood. Tous les ingrédients y sont, dans une maîtrise totale, interprétations impeccables, ce film est juste une perle de plus dans sa longue filmographie, tout aussi remarquable. Brillantissime ! ne le manquez surtout pas.
Superbe film , casting parfait , une réalisation au top , une histoire prenante , le personnage principal on aime s'attacher à lui , Clint Eastwood nous à donner un film encore avec plein de magie et sensibilité qu'on passe 2h très agréable à suivre la vie de ce pauvre Richard Jewel +4
Un bon Clint Eastwood. Malheureusement çà n'est qu'un reportage, ou une reconstitution. Rien à voir avec ses précédentes inspirations, voire coups de génie (appellation qu'il mérite). C'est bien, mais c'est tout.
c'est une histoire avec à la base une erreur judiciaire qui aurait pu coûter la vie à un innocent. c'est bien joué. c'est bien filmé mais il manque "un petit quelque chose" sûrement dans la réalisation (clint eastwood nous fait du réchauffé) ou dans le scénario où il manque pleins de détails pour innocenter richard jewell comme l'enquête auprès du directeur du campus.
Histoire poignante. Le film est assez doux et lent mais le rendu est fort. Ça fait un peu téléfilm avec des personnages caricaturaux. Mais on reste bien accrochés.
Un peu trop homophobes est le meilleur des mondes en respectant la procédure Avec un patriotisme qui finit par être un peu fatiguant de la part de Clint Eastwood pour ce film. C'est quoi laarrière-pensées du film.
Récit du monsieur tout le monde passant du statut de héros populaire à la figure kafkaïenne, le film déroule une machine à la fois classique dans son traitement du fait réel que palpitant dans son imbrication de l’enquête, Eastwood fait fonctionner l’empathie, peut être trop déraisonnablement vers la fin, quitte à basculer dans le mélo un brin vieillot et manichéen (surtout vis à vis du personnage de Jon Hamm, qui, je trouve, dévoile trop son jeu à la journaliste). Et malgré le côté très « cinoche » de la plaidoirie de Jewell ou du discours de sa mère, on passe l’éponge pour en retenir un Eastwood droit dans ses bottes se plaçant du côté des boucs émissaires du système, du petit peuple américain, et tirant à balle réelle sur la presse et sa déontologie douteuse.
Après SULLY, et LE 15 :17 POUR PARIS en s’inspirant une nouvelle fois d’une histoire vraie, et à plus de 80 ans, quasiment 90, Clint Eastwood poursuit sa série du héros ordinaire et continue à raconter magnifiquement des histoires
Richard Jewell est un vieux garçon, quasi obèse, qui rêve de devenir policier mais qui doit se cantonner des petits boulots d’agent de sécurité. Lors des JO d’Atlanta alors qu’il assure la sécurité , il découvre une bombe lors d’un concert en marge des JO, donne l’alerte et et ainsi sauve de nombreuses vies. Peu de temps après le FBI le soupçonne d’avoir posé lui même la bombe.
Passant en quelques heures du statut de héros national à suspect n°1, c’est le destin de cet homme complètement dépassé par les événements qui est montré, sans juger, ni glorifierspoiler: (hormis peut être la tirade de Jewell devant le FBI qui fait faux) . Aprés les retraités laissés pour compte de la crise financière de LA MULE, Clint Eastwood continue de montrer les dérives de son pays en pointant la presse et ses abus.
Nouveau biopic signé Clint Eastwood, le cas Richard Jewell suit l'histoire d'un héros d'un jour mis au pilori par les médias et les agences fédérales. Si l'histoire est intéressante, le rythme est plutôt mal géré avec une fin assez abrupte qui ne conclue pas vraiment l'histoire des personnages présents, spoiler: seulement ce qui concerne Richard Jewell et son avocat . Certaines scènes sont aussi mal faites spoiler: (les scènes de concert où les chanteurs sont censés chanter mais aucune musique en parallèle) . La plupart des personnages sont aussi mal présentés et auraient mérité un meilleur traitement car ils ont tous plus ou moins clichés, d'autant que le film est très partial. Je suis resté sur ma faim malgré une bonne partition de la part des acteurs.
Clint Eastwood signe un film d'utilité publique. Les acteurs sont bien dirigés et sont au service d'un propos juste et sans manichéisme. Le casting est excellent. Ceci dit, on s'ennuie un peu.
La morale conservatrice du film d'Eastwood est pesamment assénée, répétée, comme une ventrée de junk food qu'il va nous falloir avaler jusqu'à plus soif. Il ne fait pas un film, mais une démonstration libertarienne du héros américain le plus insignifiant qui soit. On sauvera la prestation de PW Hauser, qui livre un Jewell simplet et antipathique, donnant un peu de complexité à une histoire bien trop simpliste.
Un film affligeant et pathétique. Le personnage principal considéré comme un héros est plutôt un anti héros. L'avocat est un peu barge et les agents du FBI complètement neuneu. Le rythme est un peu poussif et la reconstitution de l'attentat faiblarde. On ne peut pas dire que ce film donne une bonne image des États-Unis, comme d'habitude. Mais, en France, avons-nous une bonne image des États-Unis ?