Avis : La La Land - Page 9

Si "La La Land" est en fin de compte un film attachant, c'est grâce à sa vision évolutive du couple, composé d'une jeune serveuse - actrice en devenir - et d'un pianiste fan de jazz. La première belle idée est de retarder le moment où Sebastian et Mia se mettent ensemble, d'imaginer leur relation seulement en termes de rencontres non-programmées et de provocations puériles; puis, dans un second temps, filmer le délitement du couple à cause d'objectifs professionnels. C'est sur ce point que "La La Land" propose une représentation moderne du couple, dans la mesure où elle s'attache à des préoccupations contemporaines, c'est-à-dire que Sebastian et Mia n'ont pas le temps d'être ensemble, de passer leur vie au cinéma ou de parler de musique mais chacun - pour pouvoir faire quelque chose de concret - va devoir renoncer à ses idéaux et travailler nuit et jour. À l'inverse des comédies musicales de l'âge d'or hollywoodien, l'amour n'est pas déconnecté d'une réalité sociale mais influe directement sur le quotidien du couple. Intéressant et même assez émouvant à ce sujet, surtout dans sa deuxième heure, le film fait exister ses personnages d'une part grâce aux très belles interprétations de Ryan Gosling et d'Emma Stone et d'autre part à travers des dialogues souvent inspirés, qui font ressortir une vraie maturité. Mais "La La Land" déçoit sur son programme musical puisque, hormis une séquence d'ouverture brillante où le transfert du singulier au collectif s’effectue avec fluidité, la quasi-totalité des moments chantés et dansés sont désespérants. On est même à la limite de la non-chorégraphie, à moins de considérer comme des mouvements inventifs des gens courir d'une pièce à l'autre, sauter dans une piscine ou bien danser une esquisse de valse. Chazelle ne sait pas quoi faire de ces passages obligés du genre, si ce n'est faire habiller quatre filles avec quatre robes différentes, les faire marcher quelques secondes dans une rue avant qu'elles ne rejoignent leur voiture ou faire danser on ne peut plus classiquement ses deux stars au Griffith Observatory dans une scène formellement décevante. En somme, les moments chantés et dansés ne sont pas intéressants car leur portée narrative et leur créativité sont d'une faiblesse inouïe. Et la mise en scène n'arrange rien, avec cette volonté très agaçante de rythmer à tout prix l'action en usant de panoramiques ultra-rapides et de successions de plans brefs qui ne le sont pas moins, une réalisation tapageuse déjà exaspérante dans "Whiplash". C'est peut-être ce manque de sobriété qui empêche le surgissement d'une émotion dans un final pourtant doté d'un fort potentiel dramatique, lequel ne laisse pas indifférent mais fait regretter que Chazelle n'ait pas laissé de côté des effets de mise en scène tape-à-l’œil et notamment des choix d'éclairage virant au systématisme : encore plus d'attention aux personnages et une réalisation qui carbure moins à l'épate, c'est mon souhait concernant le prochain film de Damien Chazelle, à qui il faut reconnaître de belles qualités d'écriture mais qui manque de suite dans les idées sur le plan formel.

Un film bien réalisé à l'esthétique remarquable.
Mais je ne comprends pas pour autant une telle pluie de récompenses pour un film nostalgique, en forme d'hommage, qui n'apporte rien de vraiment neuf au cinéma (scénario classique, scènes tirées de comédies musicales connues,...).
Sûrement l'effet Ryan Gosling qui chante et danse, ou bien le besoin de plus en plus pressant de s'évader le temps d'un film...

Proche de la perfection: prise de vue, scénario, mise en scene, chants, danses et jeux d'acteurs sublimes. Emma Stone et Ryan Gosling parfait dqns ces rôles !!

VO
Ça fait très longtemps que je n'avais pas vu une comédie musicale de ce niveau. Véritable hommage à ces prédécesseurs des années 50, ainsi qu'à l'âge d'or des studios d'Hollywood, de Los Angeles et du jazz, ce film est aussi une ode à la poursuite de ces rêves et à l'amour, perdu ou retrouvé. Le mélange années 50 et époque actuelle est assez déstabilisant au début, mais on s'y habitue vite. Le style de l'image rappelle les productions de l'époque mais ce qui ressort le plus c'est Emma Stone qui crève littéralement l'écran (encore une fois) bien appuyé par Ryan Gosling en forme lui aussi. Par contre, les deux acteurs peinent un peu au niveau des chansons et des danses laissant quelques moments de flottement par endroits. Les passages musicaux sont, pour la plupart, un peu mous et pas nécessaires à la compréhension de l'histoire.
Bref, à voir absolument pour tous les fans de cinéma et surtout celui de l'âge d'or d'Hollywood. Par contre, si vous n'appréciez guère les comédies musicales au cinéma, passez votre chemin.

Je ne comprend pas l'engouement autour de ce film, il est, mais alors, tellement, réchauffé ! bon dieu ! Non mais j'hallucine là, il en faut vraiment pas beaucoup aux gens pour adorer un film aujourd'hui... C'est archi niais et cliché.
Emma Stone n'est vraiment bonne que dans ce genre de film, restes dedans c'est bien, enfermes-toi dans les comédies c'est tout ce que tu sais faire de toute façon.
Je commence sérieusement à perdre espoir dans le cinéma là. Plus jamais je vais voir un film sur-médiatisé, plus jamais...

Pourtant absolument pas fan du genre "comédie musicale", je me suis retrouvé complètement conquis devant *La La Land*, à tel point que j'ai même regretté le fait qu'il n'y ait pas plus de séquences musicales. Dés la scène d'ouverture, on est mis dans le bain, une réalisation inspirée, dynamique et spectaculaire, des chorégraphies à la fois millimétrées et pourtant naturelles, une bande originale du feu de Dieu.

La suite du film va dans ce sens en se focalisant de plus en plus, à mesure que celui ci progresse, sur ses deux personnages principaux, leurs désirs et leurs rêves. De fait, *La La Land* est selon moi autant une comédie dramatique que musicale, car Damien Chazelle ne se contente pas de nous proposer une histoire d'amour toute simple sous prétexte de réaliser film musical. En fait, c'est justement cet équilibre entre développement scénaristique et place de la musique qui fait de *La La Land* un quasi chef d'oeuvre. Parce que la musique ronge les personnages de l'intérieur autant qu'elle ronge le film, et chaque séquence musicale paraît donc parfaitement à sa place et s'y intègre sans aucun problème, rien ne paraît forcé ou surjoué, le spectateur est sur un nuage durant les 135 minutes que composent le film.

*La La Land* est donc un film indispensable dans une période actuelle très noire et pessimiste, il propose un spectacle incessant, une réflexion sur le couple et les ambitions professionnelles ainsi qu'une introspection du milieu artistique, le tout dans une ambiance colorée, chaleureuse et pleine de **vie**. Véritablement un film qui fait du bien, à voir autant de fois que possible !

Bref, allez voir ce film.

Je suis allé voir ce film un peu influencé par les avis trés positifs qu'il avait reçus. Supérieur à West Side Story, ai-je même pu lire! Quelle ne fut pas ma déception ! Ce film est nul et affligeant! Et quel ennui! On passe 45' à se demander quand le film va commencer ! Absence totale d'intrigue ; scénario indigent et la musique n'est pas terrible ! Tout cela assaisonné d'une idéologie de réussite individualiste d'un niveau assez voisin de la Star académie!
Fuyez si vous pouvez !

La La Land.... Réalisé par Damien Chazelle, à qui ont doit le prodigieux "Whiplash" (sorti le 24 décembre 2014 en salles, nominé aux Oscars du meilleur film et du meilleur scénario original en 2015, mais récompensé des statues du meilleur montage et du meilleur second rôle pour l'acteur J.K. Simmons). Le réalisateur américain de 32 ans nous offre sa seconde réalisation, dont il signe également le scénario. En tête d'affiches on retrouve Ryan Gosling (The Nice Guys, The Big Short : Le casse du siècle, Crazy Stupid Love, Drive, ...), Emma Stone (Zombieland, Crazy Stupid Love, La couleur des sentiments, Birdman, The Amazing Spider-Man, ...), J. K. Simmons (Whiplash, Juno, Mr Wolff, Last Days of s'immerger, Spider-Man 1-2-3, ...) et le chanteur John Legend. Il s'agit de la troisième rencontre à l'écran de Ryan Gosling et Emma Stone (après Crazy Stupid Love et Gangster Squad). Sorti en fin d'année dernière sur le territoire de l'oncle Sam, le film se paie depuis un solide buzz. Les critiques presses sont dytirambiques, les retours publics plus qu'élogieux, et le film fait office de favori dans la course aux statuettes dorées organisée par l'Académie des Oscars cette année. Il a déjà raflé 9 prix dans divers festivals (dont ceux de meilleur film et meilleur scénario) et compte 19 nominations à son actif. Il est déjà à 52 422 496 millions de dollars de recettes aux USA après 6 semaines d'exploitation et suis enfin dans nos salles ce mercredi 25 janvier 2017.
J'attendais avec beaucoup de curiosité ce film. J'étais plus qu'intrigué de découvrir ce phénomène venu d'outre atlantique. Et force est de constater, que toutes les éloges ou qualificatifs pompeux que l'on peut voir sur toutes les affiches du film sont bien vrais. "La La Land" est bien aussi fantastique que tous ceux qui l'ont vu, le laisse entendre. Il s'est imposé d'emblée comme l'un des meilleurs films musicaux que j'ai vu depuis New-York Mélodie. Un feel-good Movie sensationnel.
La mise en scène est tout bonnement éblouissante. De la séquence d'introduction à la scène finale. Damien Chazelle et son monteur Tom Cross avaient déjà fait des merveilles sur Whiplash. Mais là le résultat est juste sidérant de beauté, d'ingéniosité et de maîtrise. Les séquences s'enchainent avec une fluidité remarquable. D'un dialogue à quelques pas de danses ou une chanson. D'ailleurs certains plans séquences dans le film sont juste bluffants. Le réalisateur a poussé ses acteurs et son équipe au meilleur, et ça transparaît magnifiquement à l'écran.
Le scénario est, malgré ses airs relativement classiques, d'une subtilité et d'une justesse incroyable. On va suivre Sébastian et Mia, joués respectivement par Ryan Gosling et Emma Stone. L'un est un pianiste de jazz frustré par la direction que prend sa vie et qui rêve d'ouvrir son propre club, tandis que l'autre est une serveuse dans un Starbucks-like, rêvant de devenir actrice à Hollywood, mais enchaînant les déconvenues aux auditions. Les deux vont finir par se rencontrer dans l'embouteillage de leurs vies. Et leurs parcours va s'entremêler pour notre plus grand plaisir. Damien Chazelle signe un scénario fort et touchant, hommage à un pan du cinéma qui a eu trop tendance à être mis de côté depuis des années. Une vision à la fois moderne et nostalgique du cinéma qu'il affectionne. De West Side Story à Mary Poppins, en passant bien évidemment par Singin' in the rain, ou alors le récent The Artist avec Jean Dujardin, les références pleuvent sans jamais paraître forcées. Et c'est une réussite indéniable.
La bande originale est absolument superbe. Enivrante et entraînante, elle vous emporte autant que les personnages et vous fait bouger sur place en rythme avec les chorégraphies à l'écran, ou vous émeut autant qu'elle les touche. Le thème principal est mémorable et reste en tête même des heures après la sortie de la salle de cinéma. Une réussite, qui vaut la peine d'être réécoutée encore et encore.
Et les acteurs quand à eux crèvent littéralement l'écran. Emma Stone et Ryan Gosling forment définitivement un duo magnifique et irrésistible à l'écran. Leur alchimie est palpable. Leurs performances mutuelles simplement bluffantes. Les deux acteurs chantent, dansent, nous émeuvent et tout cela avec une facilité déconcertante. Ils prouvent, tout deux, qu'ils sont définitivement parmi les meilleures acteurs de leurs générations. Et il est certains que leurs prestations dans ce film seront largement récompensées (Les Golden Globes les ont déjà récompensé avec les prix de meilleur acteur et actrice dans une comédie ou une comédie musicale). Et si le couple vedette du film nous ébloui, le reste du casting n'est pas en reste, et ce malgré l'importance mineure de certains seconds rôles. J.K. Simmons par exemple est toujours aussi bon, et même John Legend, pour le peu qu'on le voit à l'écran, s'avère des plus convaincants.

Bref... LaLaland est un petit bijou. Une perle rare. Un film dont on reparlera encore dans dix ans. Une lettre d'amour aux comédies musicales, et au cinéma en général. Un beau divertissement enivrant et entraînant qui saura vous toucher en plein cœur. Je ne peux que vous conseiller vivement de foncer le voir dès sa sortie.

J'avais adoré Whiplash mais là franchement.....
C'est assomant, ennuyeux, long, banal, inutile.
Deux heures gaspillées.

La la land est un bon film. J'en attendais beaucoup, entre les critiques très enthousiastes et record de récompenses aux golden globes. La mise en scène est extrêmement plaisante: des couleurs pop, de longs plans séquences vertigineux, un tourbillon de couleurs qui tient en haleine tout du long. La musique est magnifique et reste longtemps dans les oreilles. Si ca n'est pas décevant, ca n'est pas vraiment surprenant non plus. Réconfortant, plutôt. Mais le film reste précieux pour deux choses: son intemporalité (les personnages ont des iphones, mais semblent continuellement ramenés vers le passé, comme cette promenade dans les grands studios comme dans sunset boulevard), et aussi une excellente fin, ce qui est rare. La dernière scène, sans rien en dévoiler, incarne l'essence même des musicals, et du cinéma en général : un monde où tout est possible.

Pour un film qui a battu le nombre de nominations aux Oscars, quatorze tout de même, j’avoue que je m’attendais à mieux. La concurrence serait-elle faible cette année ? J’ai certes trouvé la réalisation assez inspirée (par exemple dans le long plan-séquence introductif) et que les décors valaient le détour (par exemple dans la scène les-choses-auraient-pu-être-différentes finale). J’ai certes été par moments touchée par le jeu d’acteurs, dans les scènes d’interaction tendues, par leurs disputes et leurs galères. Cependant, et ce malgré mon réel attrait pour les comédies musicales, je suis restée globalement insensible aux passages musicaux. Ces instants, qui sont d’ailleurs surtout concentrés sur le début du film et non espacés régulièrement tout du long, au lieu de me plonger encore plus dans la tête des personnages en me livrant de manière différente leurs réflexions et états d’âme, me faisaient perdre le fil de l’histoire et, pire, mon intérêt. Sans parler du fait que les paroles et les chorégraphies était loin d’être extraordinaires, ou du fait qu’à part Emma Stone et John Legend, la qualité vocale ne convainc pas, je trouvais les transitions pour amener la musique et la danse bancales, voire inexistantes. En particulier, je ne voyais presque jamais de raison profonde au fait que les personnages se mettent à danser. J’attendais avec beaucoup plus d’impatience les scènes classiques de dialogue que la partie musicale du mot « comédie musicale », ce qui est décevant. J’aurais presque préféré que cette ode au jazz, à la persévérance et aux rêveurs, tout en conservant le thème musical liant les deux personnages, abandonne complètement le chant. Ainsi, bien qu’in fine le visionnage reste assez agréable, je ne vois pas beaucoup de raisons de crier au chef-d’œuvre…

Mais pas déjà, s'il vous plaît pas déjà, je veux pas avoir déjà vu le meilleur film de 2017 en janvier, je refuse, mais bon, on va en parler quand même, de La La Land, le deuxième film de Damien Chazelle qui avait surpris tout le monde avec "Whiplash", et La La Land était extrêmement attendu, il avait reçu beaucoup de nomination au Golden Globes et aux oscars, et au final La La Land fera l'unanimité je pense, car tout le monde était conquis par le film, tellement le bonheur, la puissance et la beauté de ce film nous touche, les acteurs sont fabuleux, Ryan Gosling joue très bien même si j'ai un peu de mal avec son jeu d'acteur et Emma Stone est incroyable, c'est je pense mon actrice préféré, le scénario est captivant, La BO est folle, on peut l'écouter en boucle, la réalisation est magnifique et je pèse mes mots, La La Land au final c'est un film qui fait ressentir des émotions chez vous. "Here's to The Ones Who Dream" 20/20

Tellement mou et naïf... la lenteur des scènes et la répétition de la musique comme des séquences desservent le film.
film largement sur évalué.

Une histoire d'amour contrarié sur une bande musicale jazz...
Le sujet m’intéressait mais j'ai semble t'il un vrai probleme de fond avec la vision de la musique de Chazelle.

Les dialogues du film du genre "je ne vais pas laisser la samba gagner !" (face au jazz) n'a absolument aucun sens pour un musicien : la musique n'est pas une compétition... J'avais eu le même problème pour whiplash que j'ai vraiment détesté (je suis batteur pourtant...).

Pour vous donner une comparaison, je suis assez cinéfil et c'est comme si j'entendais je ne vais pas laisser les films de SF gagner... Je suis un real de polar ! Avouez que vu comme ça c'est complément con ? Bin c'est dans les dialogues du film, c'est ce qui pousse le héros dans le film.

Du coup "le jazz est mort" n'a plus la même signification. Pour moi la musique est morte, et c'est bien triste car c'est Damien Chazelle qui la défend au cinéma et il n'a pas compris ce que c'était. La musique a été tué par l'image, et elle survie dans les salles obscures grace à son bourreau qu'elle sublime : Que serait un film sans musique....

Sur la forme j'aurais bien voulu croire dans cette histoire d'amour mais c'est très décousu et j'ai pas accroché au final. Il y a pourtant des vrais scènes plutot belles mais l'intensité est très mal gérer chez ce jeune réalisateur.
J'ai apprécié les clins d’œil à Jaques Demi, les couleurs la légèreté de certaine scène mais la encore le sujet n'est pas heureux et ne s'y prête guère... En fait j'ai pas compris l'histoire que Chazelle veut raconter...

Avec un tel titre on le sait dès le départ où on met les pieds : la comédie musicale américaine. Et c'est pour notre plus grand plaisir. "La La Land" est un immense hommage aux grandes comédies musicales hollywoodiennes mais pas seulement. Tout d'abord avec son scénario, on retrouve tous les codes du genre, les amour difficiles, les rêves, l'espoir. On se laisse prendre au jeu de ces deux artistes voulant vivre leurs rêves mais qui ne rencontrent que des déceptions et ensemble ils essaient d'y parvenir. spoiler: Seule la fin évite l'happy-end.
Les références à de nombreux films autres que des comédies musicales se ressentent comme "La Fureur de Vivre" ou les films de Woody Allen. Ce qui vient apporter un nouveau souffle. La réalisation est parfaitement maitrisée. Encore, c'est un hommage aux comédies musicales, un petit bijou de plans séquences et de chorégraphies millimétrées. Mais aussi avec de plans faisant hommage au cinéma. La bande son est très prenante, surtout le thème du film qui est très beau. Ryan Gosling et Emma Stone sont géniaux. Ils dansent et chantent à merveille. Ryan joue même du piano comme un pro. Il est aussi agréable de voir Los Angeles sous un autre angle en évitant le côte carte postale de la ville. Une pépite qui a déjà raflé de nombreux Golden Globes et qui sera surement un des grands favoris aux Oscars.