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Y Leca
22 abonnés
925 critiques
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1,5
Publiée le 20 mai 2024
Recette du film d'action poussée jusqu'au grotesque : caméra stroboscopique qui laisse penser que ce sont les ophtalmologistes et les opticiens qui l'ont financé. Nos yeux font mal au bout des 2h10. Collyre nécessaire. Bien loin du 1er film de la série.
Un film d'action où courses poursuites et combats sont de mises dans un scénario réfléchi et bien construit, tout en ne perdant pas le spectateur venu se distraire.
Stressant du début à la fin, le spectateur se projette à la place du héros, sans cesse sur le qui-vive. On voyage beaucoup et on se demande comment cet homme seul, arrive à déjouer les protections à la main de la CIA dans le monde entier. On se demande d'ailleurs aussi comment la CIA peut à ce point prendre le contrôle de tout un tas de systèmes de surveillance partout sur la planète, mais c'est un autre sujet. Jason Bourne (alias Matt Damon, très en forme), est ici poursuivi par un méchant fort coriace, Asset (alias Vincent Cassel, tout en valises). Les deux jouent au chat et à la souris dans des scènes impressionnantes, que ce soit en Grèce ou à Las Vegas où les Américains s'adonnent à leur sport favori : casser des voitures ! De son bureau le directeur de la CIA (le taciturne Tommy Lee Jones, également adepte des valises) surveille et donne des ordres tandis qu'il n'arrive pas à contrôler sa collaboratrice sous son nez (Alicia Vinkander). Tous ces efforts et malgré la qualité des acteurs et des images, échouent à nous faire passer un moment mémorable (c'est le cas de le dire !). À réserver aux fans de la franchise.
Le cinquième opus de la franchise Jason Bourne (2016), sobrement appelé « Jason Bourne », reprend avec facilité les recettes qui ont fait le succès des opus précédents. Toujours les mêmes ficelles un peu éculées : le méchant patron de la CIA, le tueur limite psychopathe lancé aux trousses de Jason, le personnage féminin dont le sort est scellé d’entrée, nouvelles révélations sur le passé de Jason… Quelques nouveaux ingrédients, l’introduction d’une analyste de la CIA aux dents longues et un grand manitou des réseaux qui va être envahi par la honte et la culpabilité (n’est pas Elon Musk qui veut). Matt Damon incarne fidèlement son Jason Bourne. La réalisation de Paul Greengrass est toujours aussi débridée avec des scènes d’action époustouflantes. La vraie plus-value du film est la présence du formidable Vincent Cassel en tueur implacable. La caméra est un peu trop épileptique à mon goût et les gros plans abondent. Pour rester sur une demi-satisfaction, prions Saint-Jason Bourne de nous épargner un sixième opus. WHITE FINGERS, votre Marshal de l’Ouest.
Très beau tour du monde, très belles images de capitales. Très belles scènes d'actions. Film plaisant à voir et à revoir. Domage que le jeu de certains acteurs soit un peu trop caricatural.
Quel purge ce film ! Il est clair que les moyens ont été mis seulement cela ne suffit pas à rendre un film intéressant. La première demi heure donne le tournis visuellement tellement la caméra bouge. Passons sur le manque de crédibilité mais le manque de clarté de l'intrigue est plus grave ainsi que le côté répétitif des poursuites.
Banal, un film de plus où des agents de la CIA parcourent le monde comme s'ils étaient chez eux partout. Scénario faible, très convenu, que l'action ne parvient pas à combler.
Des films de courses poursuites incessantes, intrigue nulle, aucun intérêt si ce n'est le fait que Matt Damon est le héros du film. Un seul aurait suffit, les suites sont indigestes !
Une vraie purge Les acteurs n’ont aucun charisme , le doublage français est d’un pitoyable a l’image de ce film qui part dans tous les sens. On y comprend que dalle tellement le scénario est mauvais et inexistant. bref aucun intérêt une vraie perte de temps
Pour ce quatrième volet, légèrement en dessous des trois autres, on retourne vers le film d’espionnage un peu plus classique au niveau du scénario. Et ce même si l’intrigue tourne toujours autour du personnage principal : Jason Bourne alias David Webb. Cependant on va delà de ce personnage puisque l’on va creuser dans les fondements même de la CIA entre vielle école et nouvelle école. Tout s’entrecroise entre les différents pays visités et les scènes d’actions et de poursuites toujours aussi mémorables. Malheureusement dans cet opus, on perd un peu l’âme de la saga d’origine.
La saga était clairement écrite pour une trilogie mais pas plus. Les premiers films ne racontaient déjà pas grand chose, se contentant de filmer une scène de poursuite, puis une scène de fusillade, puis une scène de bagarre, puis une poursuite, etc. tout ça avec une caméra qui tremble dans tous les sens pour donner un style cache misère. Tout avait été dit, le projet Trendstone avait été révélé publiquement, Jason Bourne pouvait donc retrouver une vie normale. Puis voilà que près de 10 ans plus tard, des gens se sont dit qu'il y avait probablement encore un peu d'argent à se faire sur le nom de cette saga. Problème : Que raconter quand on a déjà conclu une saga dont le scénario tenait sur 3 lignes? Et bien on refait le scénario des premiers films. Jason, qui a maintenant près de 50 ans se retrouve donc à nouveau dans le secret d'un nouveau projet secret de la CIA chapeauté par un nouveau vieux bureaucrate peu scrupuleux du respect des libertés individuelles. Malheureusement, en plus du fait que ce n'est absolument pas original et que les prétextes pour lier le personnage de Jason à l'intrigue sont complètement, au mieux tirées par les cheveux, au pire incohérentes, Matt Damon a pris un sérieux coup de vieux et n'est absolument plus crédible dans ce rôle, malgré les anabolisants et la gonflette. Le pire c'est que ça rend la moitié du scénario encore plus incohérente. Vouloir le faire "rempiler" mais pour quoi faire??? Il n'est plus agent depuis 15 ans et il n'a plus l'âge d'être sur le terrain (d'ailleurs c'est pareil avec Vinvent Cassel. On a mis face à lui un assassin encore plus vieux pour rendre Matt Damon moins vieux mais ça ne marche pas, on ne voit que deux quinquas se taper dessus). Pour le reste, c'est-à-dire les scène d'action/poursuite c'est une pâle copie des premiers films. Bref ce 4eme film n'a aucune raison d'être si ce n'est l'argent.
Matt Damon est de retour, il reprend son rôle de Jason Bourne. Au casting, Tommy Lee Jones, Alicia Vikander et Vincent Cassel (au top). On en apprend un peu plus sur le passé de Bourne. Un nouveau programme voit le jour et Bourne est lié. Un opus qui conclut bien la saga, qui reprend les bases. Vivement un opus avec Matt Damon et Jeremy Renner.
Ceci est le 4e Jason Bourne, saga d'action menés par Matt Damon dans le rôle titre d'un ex militaire transformé par la CIA en machine à tuer suite à une opération qui lui a également coûté sa mémoire (ou presque). Dans ce film, Jason Bourne s'est déjà rebellé contre la CIA qui tente de l'éliminer. Le scénario n'est déjà pas très original mais l'ensemble du film ne l'est pas plus. Les scènes d'action classiques et les rebondissements attendus ne nous distraits guère malgré leurs enchaînements. La réalisation est elle aussi banale (et sur cutée !). Même si les acteurs sont corrects (voir plutôt bons pour Matt Damon), leur jeu est desservie par des dialogues plats. Bref, pas terrible du tout, même si l'image de la CIA sans scrupule et nous surveillant tous est intéressante.
Escroquerie mal réalisée, qui insulte autant le spectateur, que les 1ers épisodes brillants de la franchise... Débrancher votre cerveau ne suffira malheureusement pas à atténuer la douleur: la moitié du film est tournée en mode 'on va les faire vomir', ça tremble, ça flashe, ça fatigue, ça cache en tout cas très mal le vide et l'inconsistance d'une resucée dont l'unique but est de surfer sur le nom et les anciennes réussites, pour faire de l'argent. Même les scènes d'action et de poursuite, qui sont l'argument de vente principal de ce numéro de trop, sont gâchées par des cadrages insupportables. Matt Damon ou Tommy Lee Jones ont vraiment du toucher un très gros chèque, pour re-re-resigner pour le pire...