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    Planétarium
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    99 critiques spectateurs

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    Serge_la
    Serge_la

    7 abonnés 695 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 13 septembre 2023
    Ce film recrée l'époque de manière assez crédible. Le fait qu’il reproduise une histoire réelle, à l’exception du sujet principal, est en quelque sorte une manière secondaire d’en parler. L'histoire vraie me semble avoir fait un bien meilleur film. Peut-être que l’histoire vraie est trop dépressive pour même penser à la faire pour que les gens puissent la voir. Alors, à la place, ils ont réalisé ce film. Nathalie est certainement la femme qui joue de terribles chutes. Le film rend un peu à la légère les événements sérieux et cela ressemble un peu à la vraie vie. La gravité des situations se révèle souvent après les conséquences. Et en fait, prendre les choses au sérieux au fur et à mesure qu’elles arrivent est un moyen sûr de se laisser paralyser par tout.
    maxime ...
    maxime ...

    202 abonnés 2 069 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 juin 2022
    Planétarium est un film démonstratif, dans son esthétique de gravure, du temps comme du corps et de l'esprit, la plongée est il faut le reconnaitre assez virevoltante.

    Il y'a quelques semaines de cela, je découvrais Une Fille Facile, le dernier long métrage en date de Rebecca Zlotowski, et j'avoue bien volontiers mettre pris un mur devant les ambitions " poseuses " de sa réalisatrice. J'ai ici aussi par instants reçu de pareille décharge, notamment au vue des aspects conversation de salon un brin bourgeoise mais rien d'aussi ratatinant que lors de l'autre expérience. Planétarium, au contraire questionne le conformisme de l'instant, au travers l'époque et brille de par son image et imagerie volontiers iconique.

    Le duo féminin et familiale qui semble donc être une recherche chez Zlotwski à aussi beaucoup à offrir. Certes, la beauté est un épicentre, sans cesse mis en avant mais une fois de plus il y'a du fond à attendre. L'ambiguïté de sa forme, de son gout, de l'ambivalence de matière cogne lors de certaines séquences. Vraiment, il y'a de l'audace !

    Rebecca Zlotowski en revanche use de grammaire, de vocabulaire et de conjugaison pour embellir sa syntaxe plus que mesure. Elle modernise son ode au cinéma, rien de neuf pour autant. Elle reprend les habitudes du vieux cinéma, se regarde un tantinet trop le nombril pour défendre une seule et unique posture.

    Natalie Portman, Lily-Rose Depp et Emmanuelle Salinger sont quand à eux remarquables. Les seconds rôles également.

    Un film qui mérite d'être reregardé , à l'avenir ...
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 554 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 3 septembre 2021
    L'intro les premières images avec Natalie Portman et la musique. Je pensais ça commence bien ca va être encore plus mauvais que ce que j'imaginais. Et avec ce sentiment j'ai attendu 10 minutes puis 30 minutes puis 60 minutes et puis 90 minutes et c'était bien pire que ce que j'avais imaginé. L'intrigue de ce Planétarium n'a pas abouti à aucune conclusion pour moi. Cette histoire ne visait pas une certaine direction elle allait n'importe ou. D'accord un homme croit aux capacités surnaturelles de deux sœurs et détruit sa vie avec cette croyance. Mais elle aurait été détruite de toute façon parce qu'il a mal agi avec l'argent des affaires. Mais les nazis l'auraient aussi détruit et en plus je n'ai pas compris le but de ce film inutile...
    youliyouli
    youliyouli

    13 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 28 mai 2021
    Dommage, les acteurs sont bons, et Natalie Portman est merveilleuse, mais le film n'arrive pas à vraiment raconter une histoire. On s'ennuie
    Thomas B
    Thomas B

    1 abonné 202 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 14 mai 2021
    Visuellement c'est très joli et le casting est convaincant, mais malheureusement le déroulement du récit est tout de même bien ennuyeux et la réalisation de Rebecca Zlotowski manque singulièrement de relief, ce qui fait de Planetarium une oeuvre qu'on oublie aussitôt qu'on l'a visionner.
    Roseirful
    Roseirful

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 mai 2021
    N'ayant pas revu ce film depuis sa sortie, période au cours de laquelle j'avais une toute autre mentalité - plus facilement impressionnable dira-t-on, et ayant été à l'époque absolument subjugué par ce film, je dois avouer que j'avais très peur de le revisionner, ce pourquoi son Blu-Ray était encore dans son blister, de peur de me rendre compte qu'il s'agissait d'une niaiserie imbuvable comme d'autres films tombés en disgrâce à mes yeux (comme certains productions Hollywoodiennes larmoyantes des années 90). Après avoir pris mon courage à deux mains, je ne regrette en rien mon revisionnage qui non seulement confirme mon impression très positive mais qui en sus n'a fait que renforcer ma compréhension du film et donc l'appréciation de sa grade sensibilité couplée à l'intellectualisation en toile de fond.

    A ce titre, je ne comprends pas - ou plutôt je comprends trop bien sans vouloir l'accepter - comment un tel chef d'oeuvre de sensibilité et de beauté soit jugé aussi mal qu'un pauvre navet sans profondeur ni esthétique. Pire, je me demande comment de telles productions puissent être traînées dans la boue au profit de niaiseries politiques régressives, et ce même par la critique !
    Construit autour de multiples mises en abîme, débutant de la froideur et du cynisme de la période dépeinte (qui contraste avec la certaine "folie" de la façade mondaine) jusqu'au rêve dan le film, elle-même mise en abîme récurrente, Planétarium dépeint l'ambivalence du rêve et du mensonge, sorte de délice donnant accès à la sensibilité et aux trésors réconfortants de la mémoire magnifiée mais aussi source d'aveuglement et de désillusion. Dans cette valse étrange où la magie s'invite dans la réalité (fantasmée ? jouée ? comme les plumes qui remplacent la neige ou encore l'allégorie des oiseaux), les trois personnages, dont le plus central - Korben, magnifiquement jouée d'ailleurs dans sa naïveté et sa fuite du réel - tiennent leur rôle. La plus petite soeur Barlow, énigmatique et davantage instrument artistique que personnage réel, incarne cette "peuve" de la véracité des illusions du retour à l'Eden fantasmé et d'ailleurs spoiler: meurt en même temps que le rêve et les illusions de Korben s'achèvent, la dernière étant la foi en la justice et en sa libération
    . La grande soeur Barlow - elle aussi magnifiquement incarnée avec beaucoup de retenue - joue l'observatrice internalisant et incarnant les émotions des rêveurs - plus prosaïquement d'ailleurs, on comprend son rôle empathique nécessaire à l'autopersuasion (? le film ne donne jamais la réponse à sa partie fantastique très discrète mais qui symbolise le caractère ténu et difficilement transmissible de la déraison du rêve, ce qui explique d'ailleurs peut-être pourquoi une grande partie du public ait été imperméable à sa beauté, on retiendra notamment spoiler: le visionnage du film par les investisseurs et autres membres de la direction dans une amère vision prémonitoire sur le destin de Planétarium, celui d'être incompris
    ). Korben quant à lui, image glorieuse d'un entrepreneur visionnaire, joue un rôle presque trop beau pour être réel, contrastant avec la dureté du contexte qui spoiler: va le happer jusqu’à sa chute
    . Dans des scènes irréelles de ses "rêves" (ou visions ?) catalysées par la petite soeur Barlow et dans ses réactions étranges de déni face au scepticisme ambiant, les émotions fleurissent dans une pureté qui touche à l'âme, le tout porté par une bande originale en harmonie totale avec ce qui se passe à l'écran et présageant du dénouement inéluctable du film.

    Ce sentiment d’irréalité est renforcé par le déroulement presque à huis-clos du film et des décors factices (et clinquants) d'époque, jusqu'à ce ciel qui ouvre et clôt le film, sorte de planétarium en carton pâte mais qui par son mystère évoque bien plus que toute verbalisation inutile. C'est d'ailleurs la vérité de cette révélation, de l'émotion qu'il suscite qui contraste avec ce factice car au fond c'est bien un des messages subtil du film : dans sa quête impossible de capturer la magie et l'infini de son "planétarium", Korben ne fait que le détruire dans une réalité décevante, petite, finie ( spoiler: cf. le film qu'il arrive à produire grâce à sa machine et à sa caméra hors de prix, une brève apparition spectrale (? ou juste un artefact lumineux sur la pellicule, un reflet dans la lentille ?)
    ) et surtout niée par la Raison ambiante.

    Chef d'oeuvre esthétique, Planétarium se distingue aussi par la beauté visuelle qu'il produit, loin devant ce que la plus chère des CGI ne m'a fait ressentir, dans ses décors élégants, figuratifs et pleins parfois du kitsch doré de l'époque qui comprend bien la thématique et la dualité de ce film qui n'hésite d'ailleurs pas à faire usage du clair-obscur et des effets de tunnel. Ceci et la facilité qu'ont les acteurs à adopter le ton du théâtre dont le raffinement et l'élévation n'ont d'égal que le factice, plongent le spectateur dans une capsule - elle-aussi presque en carton-pâte - vers ce ciel mystérieux dont on connaît la finitude mais donc la profondeur fantasmée nous dévore.

    Film cruel et pourtant enchanté sur le Rêve, Planétarium est tout à la fois un chef d'oeuvre artistique, un chef d'oeuvre sensible et un chef d'oeuvre figuratif. Délice d'intellectualisation tout juste suffisante pour ne pas dévorer sa partie plus sensible qui explose dans l'âme en ses multiples dimensions les plus ambivalentes, ce film aura peut-être raté son rendez-vous avec l'histoire. Mais n'est-ce pas ce que nous dit le film, comme si la réalisatrice savait déjà ce qu'il en serait ? Et c'est bien là un des coups de génie de Planétarium : faire un film qui communique ce que le film à l'intérieur du même film n’arrive pas à communiquer dans sa quête de vérité, en y apportant l'arme utile - et que le public déteste, je ne l'ai que trop au sujet d'autres films comme Alexandre par exemple - l’impressionnisme.
    anonyme
    Un visiteur
    4,5
    Publiée le 25 avril 2020
    Rebecca Zlotowski pose sa caméra dans le Paris d'avant-guerre, et nous compte l'histoire de deux soeurs médiums d'origine américaines. Au delà, d'une simple histoire de sœurs rivales et de médium qui se découvre actrice : la réalisatrice française dresse surtout une ode à la magie et au cinéma aussi fascinante que drôle et cruelle. Porter par Lily-Rose Deep toujours aussi fade, Emmanuel Salinger qui est hypnotisé par son rôle et pleine de graces. Mais le plus beau dans tout ce spectacle digne d'un Woody Allen, c'est Natalie Portman. Avec Planétarium, elle offre une de ses prestations les plus inoubliables, aussi envoûtante que son accent français : la star oscarisée tire son épingle du jeu mieux que personne. Réel ou pas ? Planétarium est une expérience unique qui vous marquera même bien après son visionnage, et vous laisseras une seule marque : Natalie Portman magistrale comme jamais vu au par avant.
    Dnsstng
    Dnsstng

    20 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 6 avril 2020
    Vraiment moi ca ne me correspond pas a mes visionnement...l'histoire ne tient pas j'ai pas accroché mais c'est mon gout a moi.
    Caine78
    Caine78

    6 109 abonnés 7 396 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 2 avril 2020
    Stooop! On arrête tout. Un film français avec de hautes ambitions artistiques, parlant de cinéma dans les années 40, s'inspirant de faits réels forts intrigants et s'offrant les services d'une star internationale ? Rien que pour ces quelques raisons, je dis oui et pas qu'un peu. D'ailleurs, la première moitié m'a souvent conforté dans ce ressenti très bienveillant : cette histoire mêlant spiritisme, septième art, relations sororales et sentimentales complexes fait belle impression, l'ampleur de la mise en scène de Rebecca Zlotowski et l'incroyable qualité des décors comme de la photographie illuminant une œuvre au rythme un peu lent sans pour autant être ennuyeux. Se retrouver à la fois plongé au cœur de l'Histoire comme de l'industrie cinématographique, c'est faire preuve de beaucoup d'audace, voire de courage à une époque où la facilité est presque constamment le maître-mot. Malheureusement, ces indéniables qualités sont quelque peu remises en cause dans la seconde moitié : alors que tout semblait jusqu'alors maîtrisé, cohérent, notamment à travers ces deux médiums peu à peu spoiler: « dépossédés » de leur don pour devenir avant tout des comédiennes (surtout l'aînée, la plus jeune se retrouvant vite dans l'ombre)
    , la machine s'enraye. Ou plus exactement, elle ne tourne plus. En effet, alors que Zlotowski et son scénariste Robin Campillo pouvaient jusqu'alors s'appuyer sur une matière solide, on a l'impression qu'ils n'ont quasiment plus rien à raconter pendant plus de trois quarts d'heure, ce qui fait évidemment beaucoup. Certes, le visuel est toujours aussi splendide, et quelques passages (notamment le « flashback » impliquant le père de B) réussis permettent de maintenir un relatif intérêt jusqu'au bout. Mais niveau histoire, si ce n'est par l'évolution du lien unissant Laura et Korben ou le poids de plus en plus grandissant de l'antisémitisme, difficile de vous dire ce qu'il s'y passe vraiment, continuant sans réel entrain les thèmes abordés précédemment, si ce n'est, peut-être, à travers une fin douce-amère et plutôt touchante. Coté interprétation, Natalie Portman fait preuve d'une belle sensibilité à défaut d'être aussi mémorable qu'espéré, éclipsant toutefois aisément une Lily-Rose Depp m'ayant déçu et que je découvrais pour la première fois. Le grand acteur ici est incontestablement Emmanuel Salinger, dans un rôle complexe, subtil, s'inspirant librement de Bernard Natan : il est exceptionnel. Du bon et du moins bon, donc, notamment due à une très nette perte de densité sur la durée, mais dotée de qualités plastiques tellement hors-normes et s'attachant à une période cinématographique si riche que je ne peux que m'y retrouver un minimum. Cela écrit, si la réalisatrice veut aller jusqu'au bout de ses audaces la prochaine fois, qu'elle ne se prive surtout pas...
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 1 mars 2020
    Très belle photographie, magnifique lumière, acteurs et actrices à la hauteur... mais je n'ai pas été emporté par l'histoire et pour être honnête, je n'ai pas tout compris !
    perle de rosée
    perle de rosée

    40 abonnés 311 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 16 février 2020
    Je me suis ennuyée, j'ai eu du mal à rester jusqu'à la fin. Je trouve que tout cela ne tient pas debout. Le scénario est trop plat.
    anonyme
    Un visiteur
    3,5
    Publiée le 5 janvier 2020
    Film atypique par son thème (grave) et par sa narration. Je l'apprécie davantage après un deuxième visionnage. Coup de coeur pour Lily Rose Deep brillante dans son rôle de jeune fille hyper sensible.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    177 abonnés 380 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 5 novembre 2019
    Un vrai navet comme on n'ose plus. Zlotowski nous fait son "Dernier Métro" et se ramasse lamentablement. Le film est éprouvant, sans aucun rythme, mal joué malgré la présence de Natalie Portman qui ne comprend pas ce qu'elle est venue faire dans ce pétrin.
    Serpiko77
    Serpiko77

    50 abonnés 1 619 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 9 août 2019
    Les deux actrices principales sont très belles et envoûtantes, les décors et la photographie esthétiquement très réussis, c'est malheureusement tout. L'histoire inintéressante au possible ne captive jamais, on passe du spiritisme à un ménage à trois en passant par la mégalomanie d'un homme pour finir par l'occupation nazi d'une manière très confuse. Très ennuyeux.
    Candice D.
    Candice D.

    1 abonné 13 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 janvier 2019
    un très bon film, subtil et recherché. Un vrai jeu d'acteurs-trices, une belle photo pour un scénario hors norme à la réalisation fine et pertinente.
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