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    Le Nom de la Rose
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    505 critiques spectateurs

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    gattaca
    gattaca

    7 abonnés 11 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 avril 2024
    Le nom de la rose ,de 5 millions d'entrées au box-office en France,césar du meilleur film étranger.
    Qui a offert a Sean Connery l'un des ces plus beaux rôles au cinéma , dans Thriller médiéval sous l'Inquisition.
    Sont de retour après de longues années bloquées par des ayants droit, dans une version entièrement restaurée en 4K pour rendre hommage au chef-d'œuvre de Jean-Jacques Annaud.
    anonyme
    Un visiteur
    3,0
    Publiée le 3 décembre 2010
    Une petite enquête médiévale, avec le meilleur respect des traditions.
    dominique Manesse
    dominique Manesse

    1 abonné 39 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 14 mai 2024
    Ce huis clos ressemble presque a une pièce de théâtre Les personnes sont plus ou moins hideux il y a une intrigue certe mais ça ne vole pas très haut quand même Sean Connery sauve Les meubles j'ai bien eu du mal a aller jusqu'au bout du film 2 heures 10 c'est long pour les fans d abbaye peut être
    weihnachtsmann
    weihnachtsmann

    956 abonnés 4 886 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 25 janvier 2016
    Un film saisissant par sa plastique. Une adaptation de grande qualité sur l'obscurantisme et la terreur. Grande interprétation des acteurs et une ambiance surprenante. Film passionnant.
    bobmorane63
    bobmorane63

    159 abonnés 1 907 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 25 novembre 2023
    Un chef d'œuvre signé Jean-Jacques Annaud qui était dans les années 80 dans sa période bénite avec "L'ours " qu'il tournera peu après !
    Je pense que ce film doit être le début d'une passion pour les professionnels ou amateurs d'histoire, même aujourd'hui, je signale dans l'année où je tape ma critique qu'une mini série du roman adapté d'ici a vu le jour avec John Turturo produite par HBO que je n'ai pas vu. Ici, c'est une histoire monte de façon originale sur des meurtres mystérieux dans un domaine habité par des moines et personnes aux allures sauvages dans le alentours que doivent élucider le ou les coupables par un moine nommé Guillaume et son élève venu de l'extérieur. C'est un endroit étrange, glauque, sans bagarres à l'écran, intelligemment écrit dans l'enquête par Andrew Birkin , Gérard Brach qui rendent la plume et le parler des personnages passionnantes à suivre. Un grand long métrage somptueusement mis en scène par Jean-Jacques Annaud que sa caméra filmé l'histoire et les personnages à la perfection, on peux le dire, c'est gravée dans les mémoires une fois vue. Sean Connery trouve là un de ses meilleurs rôles aux côtés du jeune Christian Slater qui débute au cinéma ici haut la chandelle. Des gueules marquants ou casses dans les seconds rôles comme Ron Perlman, Michael Lonsdale ou F.Murray Abraham. J'adore ce film.
    Nico F
    Nico F

    183 abonnés 688 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 novembre 2020
    Chef d'oeuvre !! histoire, interprétation , images , .. tout est au top ! n'a pas pris une ride . A revoir
    Nicolas S.
    Nicolas S.

    79 abonnés 1 525 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 20 septembre 2023
    Un film de suspense, lorgnant sur le whodunnit, qui ferait confiance en ses spectateurs et leur proposerait un scénario intelligent ? "Le Nom de la Rose".


    Le matériau de base a bien aidé le film à s'engager sur cette voie, Umberto Eco étant brillantissime et pourtant accessible au plus grand nombre grâce à sa plume.


    Vous partez donc d'une histoire passionnante et riche, dans un univers fascinant et vous y ajoutez une maîtrise d'œuvre remarquable.


    En effet, l'équipe est allée jusqu'à construire les décors de l'abbaye à côté de Rome. Le soin mis dans les décors et les accessoires pour rendre le mieux hommage à l'histoire est ahurissant.


    Rajoutez encore un choix de casting composé d'acteurs avec des gueules incroyables ou des maquillages très bien faits et au talent indéniable et vous obtenez un chef d'œuvre pouvant être vu et revu sans difficultés.
    NotThatYouThink
    NotThatYouThink

    33 abonnés 255 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 24 mai 2024
    “Le Nom de la Rose” est un bijou de mise en scène, tant le travail au niveau de la lumière, des plans ; l’approche est incroyable et permet avec peu de chose de créer une véritable atmosphère, glauque, brute et médiévale. Le long-métrage est axé autour des croyances religieuses et de la foi où l’église se retrouve mêlée à une succession de meurtres étranges. Sean Connery campe en tant que Guillaume de Baskerville, un franciscain, enquêteur et philosophe à ses heures perdues ; avec l’aide de Adso (Christian Slater) qui pose les questions de la manière dont le spectateur pourrait se les poser lui-même ; de la découle plusieurs thème autour de la foi, de l’emploi du rire dans la religion, de l’amour et différente valeur de la vie. Le long-métrage est dur et violent dans l’ensemble. “Le nom de la Rose” propose également une des scènes d’amour les plus sensuelles de l'histoire du cinéma entre Adso et une inconnue (Valentina Vargas) (appelée la diablesse par les croyants de l’abbaye). Par sa consistance et son rythme, le long-métrage propose quelque chose de fort bien construit ; même s’il manque peut-être de modernité à présent, il n’en reste pas moins un classique du genre.
    rocky6
    rocky6

    28 abonnés 1 638 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 13 février 2023
    Une brillante adaptation du roman de Umberto Ecco. Jean-Jacques Annaud signe un film de grande envergure servi par un casting royal. Les décors sont magnifiques et la reconstitution historique est criante de vérité. L'atmosphère mystérieuse et inquiétante de cette abbaye est parfaitement restituée. En l'an 1327, Le moine Guillaume de Baskerville (Sean Connery, excellent), mène l'enquête avec son jeune novice (Christian Slater) sur la morts étrange de plusieurs moines au coeur d'une abbaye bénédictine du nord de l'Italie. Nous sommes en pleine période d'inquisition et ces meurtres vont attirer l'attention d'un inquisiteur qui vient lui aussi mener son enquête à l'abbaye. Un thriller historique qui n'a pas pris une ride et reste un modèle du genre. A voir ou revoir sans modération.
    Arsenik67
    Arsenik67

    15 abonnés 776 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 30 avril 2021
    Un bon film a l'ancienne comme on les aime. Une enquete passionnante. Une periode noire. Des superbes acteurs.
    Gregory S
    Gregory S

    18 abonnés 516 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 mars 2024
    Le film résiste très bien au temps,musique formidable, mise en scène inspirée et Sean Connery est impeccable ainsi que tous les moines. C'est un film à voir même si ça fait évidemment drôle de voir des moines bénédictins italiens parler anglais.
    Ykarpathakis157
    Ykarpathakis157

    3 626 abonnés 18 103 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 25 avril 2021
    Dans son Post-scriptum au nom de la rose de 1983 Umberto Eco fait allusion à la possibilité de filmer son roman. Marco Ferreri a dit un jour que ses dialogues sont cinématographiques parce qu'ils durent juste assez longtemps. Délibérément lorsque deux de ces personnages passent en conversant du réfractaire au cloître j'écris en tenant compte du plan et lorsqu'ils arrivent ils cessent de parler. Bien qu'il ait été un best-seller si riche en discussions complexes en allusions historiques et ecclésiastiques que beaucoup plus de gens l'ont acheté et lu Le nom de la rose est intensément visuel. Il est à la fois visuel et claustrophobe. Une rose est un labyrinthe ou la rose ici est le labyrinthe. L'ombre entre ses pétales mène à son centre. Annaud diminue la bibliothèque labyrinthique. La crise qu'il entraîne commence dès les premières pages d'Eco lorsque l'abbé présenté avec plus de sympathie et comme un homme plus sage que dans le film met au défi l'ingénieux Guillaume de déduire tout ce qu'il doit savoir sur la bibliothèque sans y mettre les pieds. Même si William échoue dans la mesure où il doit finalement entrer dans la bibliothèque et même y retourner. Comment des cinéastes des réalisateurs de films auraient-ils pu jeter ce défi merveilleusement holmésien. Peter Greenaway aurait pu construire tout le reste sur cette base. La difficulté d'entrer et la terreur proche de se perdre à l'intérieur de la bibliothèque apparaissent à peine dans le film. Je ne peux pas imaginer que ce film sera un jour remodelé et c'est peut-être aussi bien ainsi. Mais il aurait pu et dû être plus que ce film trop simple...
    Eselce
    Eselce

    1 235 abonnés 4 238 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 3 mars 2015
    "Le nom de la rose" offre l'une des meilleures prestations de Ron Perlman, vraiment bluffant en moine un peu fou. Sean Connery et Christian Slater y sont également remarquables en moines enquêteurs, surtout S. Connery. L'intrigue est prenante, la reconstitution parfaite. Les personnages sont vraiment intrigants.
    soniadidierkmurgia
    soniadidierkmurgia

    1 039 abonnés 4 100 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 25 mars 2018
    Dès la parution du "Nom de la rose" d'Umberto Ecco, énorme succès littéraire, Jean-Jacques Annaud s'est entiché du roman faisant le siège de l'auteur pour s'en voir confier l'adaptation cinématographique. Le réalisateur a quelques arguments à faire valoir. En seulement trois films il a déjà acquis une solide réputation. Son premier long métrage en 1976, "La victoire en chantant", violent pamphlet anticolonialiste remporte contre toute attente l'Oscar du meilleur film étranger. En 1981, "La guerre du feu" inspirée du roman éponyme de J.H Rosny aîné démontre son sens de l'épique via cette reconstitution très réaliste des premiers temps de l'humanité. Ecco convaincu, c'est le producteur allemand Bernd Eichinger qui finance le projet dont Annaud sait qu'il sera coûteux notamment en raison du cadre de l'action inspiré du Castel del Monte dans les Pouilles entièrement reconstitué en studio à Rome. Une équipe de quatre scénaristes (Gérard Brach, Alain Godard, Andrew Birkin et Howard Franklin) se met au travail pour extirper de l'épais et touffu roman une intrigue tout à la fois respectueuse du travail d'Ecco et apte à captiver un public de cinéma. Sean Connery dont la présence au générique n'allait pas de soi pour le producteur qui le jugeait en perte de vitesse, incarne Guillaume de Baskerville moine franciscain ancien inquisiteur chargé d'apporter la lumière sur la mort mystérieuse de plusieurs prêtres au sein d'une abbaye bénédictine située dans les confins des Alpes italiennes. L'approche déductive du moine se rappelle au bon souvenir de Sherlock Holmes le héros de Conan Doyle, d'où le nom de Baskerville allusion à l'enquête la plus célèbre du grand détective. Le moine est affublé d'un jeune novice (Christian Slater) à qui cette ténébreuse enquête va servir d'affirmation de sa foi. L'entame du film avec son chemin sinueux qui mène Sean Connery et Christian Slater à l'abbaye franciscaine nous transporte étrangement en 1951 quand Fernandel moine lui aussi accompagné de son novice grimpait sous la neige vers la sinistre "Auberge rouge" de Claude Autant-Lara. Mais le frère Baskerville est d'une autre trempe que le moine poltron qui devra faire face aux aubergistes assassins et ce n'est sans doute pas pour rien qu'il est interprété par le premier James Bond de l'écran qui quoique blanchi sous le harnais conserve la même ruse et un peu de sa vista. L'intrigue policière relativement classique mais tout de même solidement bâtie prend toute son ampleur grâce à la galerie de portraits dont l'a habillée Umberto Ecco. Grâce à un sens aigu du spectaculaire et de la mise en relief habile des images d'Epinal construites autour du Moyen-âge, Jean-Jacques Annaud aidé d'une solide équipe technique italienne (Tonino Delli Colli, Dante Ferretti, Gabriella Pescucci) fait preuve d'une efficacité remarquable qui traverse sans encombre les années. Plus de trente ans après sa sortie, "Le nom de la Rose" se regarde avec toujours autant de plaisir mariant avec bonheur suspense, épique, dépaysement gothique et saillies drolatiques émanant d'un Sean Connery au meilleur de sa forme. A regarder sans modération.
    capirex
    capirex

    73 abonnés 165 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 15 mars 2024
    Avec cette oeuvre , adaptée du roman éponyme de l'écrivain Umberto Eco , Jean-Jacques Annaud réalisait là en 1986 un film sans aucune fausse note à travers ce thriller Médiévo-Religieux et une enquête prenante et palpitante de bout en bout ! Quant au casting où tous sont parfait , je me dois d’insister sur LA performance de Ron Perlman qui, dans ce vrai rôle de composition, touche du doigt l’excellence de l’interprétation dans la peau du "stupido" Salvatore !
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