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    Le Cauchemar de Dracula
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    Redzing
    Redzing

    965 abonnés 4 322 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2022
    Après le succès de leur version de Frankenstein, la Hammer Film Productions continue sa lancée dans la reprise en couleur des classiques de l'horreur gothique. Ainsi sort en 1958 le "Dracula" made in Hammer, qui lancera une franchise et deviendra l'un des fers de lance du studio.
    Budget réduit oblige, il ne s'agit pas d'une adaptation complète du roman de Bram Stoker. Le film n'en reprend en fait que quelques éléments & personnages, allègrement simplifiés. Mais peu importe tant il est efficace et fluide sur sa durée modeste (1h22).
    Et surtout, ce "Dracula" effectue pas mal de propositions qui ont du secouer à l'époque ! Comme pour "The Curse of Frankenstein", la couleur, a priori inadaptée à l'horreur (du moins vu de 1958), sert justement à renforcer le malaise. Nappes de brumes, décors gothiques recherchés, et surtout du sang écarlate sont ainsi mis en avant !
    Tandis que la dimension sexuelle est très présente, Dracula ayant des allures de séducteur "violant" ses victimes (l'allégorie des canines et du filet de sang étant évidente...). Victimes qui sont bien souvent des jeunes femmes aux tenues affriolantes.
    Le tout enrobé dans la mise en scène relevée de Terence Fisher, qui fait bon usage des jeux d'ombres et des contrastes de couleur vive. Mais Fisher n'est "que" l'un des trois membres du "trio gagnant" de la Hammer. Impossible de ne pas citer les deux autres...
    A savoir Peter Cushing, habitué aux rôles de savants secs, qui incarne ici un Van Helsing placé au centre de l'intrigue. Roublard et allant droit au but, il est un excellente héros face à Dracula. Celui-ci est évidemment joué par Christopher Lee, dont la carrière sera marquée au fer rouge par ce rôle... qu'il interprètera au total 7 fois pour la Hammer, au sein des 9 (!) films de la franchise.
    Grand et svelte, à la démarche inquiétante et eu regard perçant, jouant allègrement sur le volet séduction, l'acteur est aussi classe que terrifiant. Pas étonnant qu'il soit resté des décennies durant le visage le plus fréquemment associé à Dracula par le public.
    Mais outre l'image de Lee, ce sont de nombreux éléments de ce film qui serviront de gimmicks de base pour l'immense majorité des films de vampire (canines acérées, yeux injectés de sang...). Preuve que cette version de la Hammer a eu du poids sur le cinéma fantastique !
    Shephard69
    Shephard69

    292 abonnés 2 259 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 mars 2018
    Le premier volet autour du comte Dracula de la célèbre société Hammer Film Productions qui propose une adaptation assez libre du roman de Bram Stoker. Une mise en scène qui n'a plus grand-chose à voir avec les standards des films d'épouvante contemporains mais qui demeure tout de même efficace. Face au rôle phare de l'immense Christopher Lee, Peter Cushing et Michael Gough, respectivement connus du grand public pour leurs rôles du Grand Moff Tarkin et d'Alfred Pennyworth dans les deux Batman de Tim Burton, livrent des prestations très théâtrales mais convaincantes. Un bon long-métrage.
    dougray
    dougray

    216 abonnés 1 904 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 17 janvier 2016
    Personnage phare du studio Hammer avec Frankenstein, Dracula a, également, marqué la naissance médiatique d’un grand acteur, Christopher Lee. Et le premier film que le studio a consacré au vampire de Bram Stoker ressemble beaucoup, dans ses intentions (à commencer par sa volonté de se démarquer de l’iconographie imposée par Universal), à "Frankenstein s’est échappé", également réalisé par le metteur en scène maison, Terence Fischer. On retrouve, ainsi, dans "Le Cauchemar de Dracula", cette approche plus frontale de la violence, avec des effusions de sang bien marquées (même si elles restent très sages au vu des productions actuelles), son choix de ne pas négliger les scènes de jour et, plus généralement, d’exploiter la couleur à bon escient (ce qui n’est pas encore si commun en 1958) ou encore de se montrer plus suave dans sa représentation des corps et des attaques du vampire. On retrouve, également cette volonté de s’éloigner du roman d’origine… volonté qui va assez loin ici puisque les personnages et leurs relations sont considérablement chamboulés. spoiler: Ainsi, Jonathan Harker est devenu un chasseur de vampire associé à Van Helsing et fiancé à Lucy (et non plus à Mina) alors que Mina est désormais mariée à Arthur Holmwood (l’ancien prétendant de Lucy dans les romans).
    Il s’agit, certes de détails mais ils sont caractéristiques de la volonté d’affranchissement des scénaristes qui ont, par ailleurs, décidé que leur héros ne serait pas le Comte Dracula mais bien Van Helsing, campé par le classieux Peter Cushing. Élégant, obstiné, moderne, Van Helsing met un peu de temps à arriver dans l’intrigue mais, une fois présenté, ne quitte pratiquement plus l’écran et s’offre un baroud d’honneur d’anthologie pour mettre fin aux exactions du Comte. C’est, d’ailleurs, la principale surprise du film : Dracula n’y a qu’un rôle limité et, surtout, n’a pas la même aura qu’un Bela Lugosi. En effet, Christopher Lee a beau être au moins aussi connu dans le rôle que son illustre prédécesseur, il ne fait pas montre, dans ce film, de toute l’étendue de son talent... peu aidé, il est vrai par le nombre très limitées de dialogues qui lui ont été accordés et par l’évolution de son personnage qui, une fois qu’il a quitté son château, se voit cantonner à spoiler: apparaître de façon fantomatique aux fenêtres ou fuir devant Van Helsing
    . Heureusement, Christopher Lee peut compter sur sa prestance naturelle et sur quelques séquences (dont la terrible apparition avec les yeux injecté de sang qui coule, également de sa bouche) pour faire le boulot et aura l’occasion d’approfondir le personnage dans les suites à venir. Le scénario est, par ailleurs, un peu simple dans sa structure et manque, surtout, d’un point de vue à défendre. A titre d’exemple, "Frankenstein s’est échappé" mettait en avant les conséquences de la folie créatrice d’un homme. Le "Dracula" de Coppola en faisait un anti-héros romantique et maudit. "Le Cauchemar de Dracula", lui, ne propose pas un véritable renouvellement du mythe et se montre un peu trop attentiste. Il reste, pour autant, le renouvellement visuel et charnel d’un personnage qui a retrouvé, à l’époque, une seconde jeunesse et a intronisé Christopher Lee comme monstre sacré du genre. Et puis, le reste du casting réserve quelques bonnes surprises John Van Eyssen en Jonathan Harker, Valerie Gaunt en femme-vampire et surtout Michael Gough en mari irascible. J'attends, néanmoins, de voir la suite pour avoir un avis définitif sur le personnage de Dracula, époque Hammer.
    ManoCornuta
    ManoCornuta

    231 abonnés 2 808 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 avril 2020
    Adaptation dans tous les sens du terme: l'essentiel de la trame imaginée par Stoker est conservé, mais élagué de très nombreux éléments, les relations entre les personnages sont modifiées et simplifiées. Diablement court, le film déroule son histoire à toute vitesse, dans une atmosphère pas si inquiétante que cela (la faute sans doute en partie à un budget un peu limité, ceci expliquant les décors qui sentent le carton-pâte plus que de raison) et avec des acteurs qui vont du dynamique au morne. Le gros regret restera sans doute le peu de présence au final de Christopher Lee, dont la silhouette inquiétante et le talent ne sont que peu servis, et la mécanique globale du film, presque trop simplifiée pour se rendre intéressante. Néanmoins, on est loin d'une adaptation honteuse, plus desservie par son manque de moyens que son manque d'idées.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 29 octobre 2010
    Un grand film de la Hammer signé Terence Fisher, un immense classique du genre. Bon c’est vrai que les effets spéciaux ont vieillis, notamment lors de la scène finale, mais il y’a bien l’ambiance et l’histoire des vampires qui est bien présente. Peter Cushing est excellent dans le rôle du docteur Van Helsing et Christopher Lee livre une très bonne prestation dans le rôle du terrifiant Comte Dracula, inoubliable.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 26 mai 2019
    Un régal ce film sur le père ancêtre de toute sorte de vampire 🧛�♀�maléfique imaginé nombre de fois au cinéma, l’investigateur curieux bibliothécaire s’aventure dans l’antre ténébreux des Carpates. La curiosité sera son vilain défaut vampirisé par la fiancée malgré elle, crucifiée en une véritable forme humainement mortelle, après X temps indéterminé plongée dans les ténèbres terrestres, mordu et transformé par le maudit Comte roumain de Transylvanie. Après le docteur baron Frankie le foldingue manipulateur science anatomique, Peter Cushing est Sir Van Helsing, un gentleman « vampire slayer », spécialiste sollicité en la question sur ces phénomènes obscurs qui s’abattent sur la famille du défunt intrigué et égaré des lieux. Le comte Dracula n’est pas en reste avec la perte de sa dulcinée tourmentée, son état d’âme démoniaque se penche vers sa prochaine victime, ce sera la sœur au malheur. Yes Sir ! Le manuel du chasseur de croc, leçon primaire à l’école, alors l’ail comme condiment culture populaire, les vampires de pâleur froide n’aiment pas ce goût culinaire, une forte senteur pour leur haleine qu’ils dégusteront amèrement que le sang frais, le crucifix pour les croyants, et que la lumière soit et la lumière fût ! La Sainte Bible prescription remède afin de brûler ces apostates créatures, c’était trop drôle comme réalisation, ne doutant pas une seconde de ce chef-d’œuvre fascinant hypnotisé vampirique, digne du splendide « Dracula 🧛�♂�1992 ». Allons-y avec réjouissance voir ces deux bâtons croix du milieu pour le repousser dans ses retranchés enfouies Christianophobiques. Thank you Sir pour votre sollicitation combattante anti-suceur d’hémoglobine, l’origine du mal est battue, luminosité vaincra sur l’ombre gothique en un plaisir cinématographique. Quelle joie de voir le jeune mari tracassé par son épouse contaminée sauvée de justesse, majordome de l’homme chauve-souris joué dans ce film. Le géniteur mordant de « Blade », « une nuit en enfer », « thirst ceci est mon sang », « Daybreakers » entre autre.
    real-disciple
    real-disciple

    68 abonnés 1 022 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 août 2011
    Bien que je le trouve inférieur au "chien des baskerville", le cauchemar de dracual reste une référence, tant par ses décors que par l'interprétation de Cushing et Lee, des films de la Hammer et un classique de l'épouvante. Alors certes cela a vieillit, il n'y a pas autant de sang que dans les productions actuelles mais l'atmosphère est pesante, et la scène de fin (mort de dracula) superbe de mise en scène.
    anonyme
    Un visiteur
    5,0
    Publiée le 3 mai 2014
    Premier film de la Hammer sur le comte Dracula avec dans le rôle titre Christopher Lee.
    Je n’avais jamais vu ce film. C’était devenu pour moi une arlésienne et je n’ai pas boudé mon plaisir de le découvrir récemment.
    Le jeu d’acteur est souvent théâtral, ce qui me gêne quelque peu mais il faut reconnaître que la réalisation est magistrale, les décors hors du commun et l’ambiance propre de la Hammer, magique. Le tout rend le film attachant, sublime, épique, loin, très loin, des productions qui peuvent se faire aujourd’hui où tout est sans relief. Ici, le combat fait rage entre ces deux acteurs hors norme que sont Christopher Lee et Peter Cushing, chacun marquant la pellicule de sa présence.
    Suivant avec plus ou moins de libertés le roman de Bram Stocker, Terence Fisher rend ici un brillant hommage au tout premier vampire de la littérature.
    cylon86
    cylon86

    2 298 abonnés 4 430 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 19 mai 2011
    La Hammer signe son premier volet centré sur Dracula et marque les esprits avec ce film moins kitsch et plus violent que la version de 1931. Christopher Lee campe un Dracula inoubliable, à la fois animal et élégant face à un Peter Cushing impeccable dans le rôle de Van Helsing. Rythmé, le film est un petit bijou du genre.
    Moorhuhn
    Moorhuhn

    121 abonnés 579 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 12 juillet 2011
    Ma foi ce film est plutôt sympathique. Le mythe de Dracula, créature issue de la littérature qui a beaucoup plu aux studios hollywoodiens pendant l’âge d’or, subit ici un petit lifting. Bon autant le dire tout de suite, le film ne suit pas tellement la trame du livre de Stoker mais je ne le reproche aucunement, je dirais même que le parti pris des scénaristes est intéressant car les rebondissements sont plus nombreux. La grande qualité de ce film est d’être accrocheur et bien rythmé, je n’ai vraiment aucun souvenir de temps morts ou de scènes qui s’étirent. Au contraire le film est peut-être trop succinct, ça manque de développement mais le tout demeure correct.
    A vrai dire je n’ai pas de reproches majeurs à faire au Cauchemar de Dracula, disons que c’est un film qui se laisse suivre, qui est divertissant mais il n’y a pas grand-chose d’exceptionnel. L’atmosphère gothique du film est un peu sapée par le fait que les décors sonnent vraiment trop studios, à titre de comparaison le Dracula de Browning avait de meilleurs décors et rendaient l’atmosphère plus oppressante. Il manque du temps pour donner ne ambiance digne de ce nom au film même si elle reste ici plutôt appréciable.
    Techniquement c’est pas du lourd mais ça reste convenable, la mise en scène reste peut-être trop figée, on se sent un peu distant de l’action qui se déroule. La photo quant à elle est correcte mais elle n’éblouit pas l’écran de sa classe non plus. Un des bons points du film est son interprétation, Christopher Lee a un charisme phénoménal, Peter Cushing et Michael Gough offrent des prestations solides, le casting est doté de bons acteurs. Au niveau du scénario comme je l’ai dit c’est pas fidèle au livre, ça reste néanmoins maîtrisé et sans fausses notes. En fin de compte Le Cauchemar de Dracula ne présente ni carences majeures ni qualités exceptionnelles, l’ensemble reste plus que convenable et donne lieu à un bon petit film d’épouvante appréciable.
    Cinémonde
    Cinémonde

    135 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 février 2022
    C’est pas mal, les différences avec le film de 1931 sont notables. J’ai trouvé le Dracula un peu trop malsain ; le jeu d’acteur est vraiment crédible ; mais il y a un vrai problème de rythme, c’est lent, on décroche facilement. La musique sert à ponctuer le film, elle est vraiment belle parfois, mais des fois cela peut être tourné au ridicule ; même dans la mise en scène, certains plans sont drôles malgré eux.
    Le Monde de Mel G
    Le Monde de Mel G

    27 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 28 février 2017
    Incontournable film d'épouvante-horreur des années 50,plus précisément fin des années 50.Considéré comme violent pour l'époque,il l'est bien moins aujourd'hui,puisque nous ne voyons pas d'hémoglobine comme dans les films d'aujourd'hui.Cependant tout est mis en oeuvre pour nous faire tenir en haleine.
    Le casting est grandiose avec Christopher Lee aussi majestueux que glacial.Il reste pour moi le meilleur des Dracula.
    Le scénario bien que basique aujourd'hui,reste bien conçu,avec plusieurs victimes au programme.
    La bande originale est pas mal aussi,bien dans le thème du film..Intrigante et puissante.Le rythme s'intensifie peu à peu.
    Pour en finir,la réalisation est magistrale et est incontestablement l'un des points forts du film.
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 331 abonnés 7 272 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 13 novembre 2007
    Après la première adaptation au cinéma (Dracula - 1931) de Tod Browning, l’œuvre de Bram Stoker est une nouvelle fois retranscrit sur grand écran pour le compte de la Hammer. Le Cauchemar de Dracula (1959) fut les beaux jours du box office et des producteurs. Il était donc normal que Terence Fisher en réalise la suite, avec l’excellent Dracula - Prince des ténèbres (1965). Si l’on retrouve dans ce diptyque les même personnages, il en va de même avec les acteurs principaux : Christopher Lee (le Comte Dracula) & Peter Cushing (Van Helsing). Fisher nous permet aussi de retrouver le duo dans un troisième film mais dans un autre registre, un film de S.F kitch : La Nuit de la grande chaleur (1967). Avec Le Cauchemar de Dracula, Fisher réinvente et s’approprie le mythe de Dracula. Après avoir maintes fois adaptés Frankenstein, il se lance dans une nouvelle aventure, celle du Comte des Carpates. Et le résultat est parfait ! Mêlant habillement l’épouvante à l’érotisme, on repense alors inévitablement aux nombreux plans resserrés sur Christopher Lee, lorsqu’il s’apprête à mordre sa victime, la regardant droit dans les yeux, s’approchant d’elle petit à petit, ouvrant la bouche, les canines reluisantes. Ce genre de plan pourrait prêter à sourire de nos jours, mais pour l’époque, c’est vraiment bien mis en scène !
    anonyme
    Un visiteur
    4,0
    Publiée le 27 avril 2016
    "Le cauchemar de Dracula" est le premier film sur les vampires que j'ai vu au cinéma. Bien loin de "Twillight" et autres navets télévisuels sur ces créatures de la nuit, il vaut surtout pour l'interprétation de Peter Cushing et Christopher Lee, deux valeurs sures du cinéma. La mise en scène et les décors sont très réussis. D'ailleurs le château a été réutilisé dans la célèbre adaptation du "Chien des Baskerville" des mêmes producteurs. Bien sûr, cette adaptation du roman de Stocker n'égale pas en magie et en atmosphère "Nosferatu" de Murnau et le "Dracula" de Browning, mais elle est tout de même scotchante.
    soulman
    soulman

    70 abonnés 1 163 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 27 juillet 2015
    Un chef d'oeuvre du genre où le retrouve la patte du grand Terence Fisher : qualité de la photographie (travail éblouissant sur les couleurs, les jeux d'ombre), beauté des décors et soin de la mise en scène. Certes, l'interprétation des seconds rôles est très théâtrale mais Peter Cushing et, surtout, Christopher Lee mènent l'action avec génie, entraînant le spectateur dans l'état de terreur recherché.
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