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    Laila in Haifa
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    Pauline T
    Pauline T

    27 abonnés 36 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 4 septembre 2021
    Je préviens, ma critique va être dure, avec du spoil, et surtout à chaud donc pas forcément la plus objective étant donné mon énervement en sortant de la salle :
    Déjà, le titre "Laila in Haifa", franchement la Laila en question, on ne la voit pas tant que cela, ça aurait mieux valu de s'appeler "Gil in Haifa" vu que tout tourne autour de ce personnage masculin.
    Le premier problème, c'est la bande annonce (et le résumé de Senscritique, n’en parlons pas… « Au cours d'une nuit, dans un club d'Haïfa où palestiniens et israéliens se côtoient, s'entrelacent les chemins de cinq femmes à travers une série de rencontres et de situations, défiant toutes les catégories et étiquettes sociales, politiques et sexuelles. » ça ne défie rien du tout, mais passons). Les extraits de la BA donnent envie (toute l'action se passe en une soirée dans un bar où se mélangent palestiniens et israéliens), on n’y voit quasiment que des femmes (même si elles semblent vivre des histoires avec des mecs). C'est certain que cette BA a été réalisé par un homme, parce qu'il s'est senti obligé de mettre le baiser lesbien (juste après une scène qui n'a rien avoir où deux des filles semblent se séduire). Et le must, sont les cartons qui disent "5 femmes" "5 histoires" "une nuit". Donc tu t'attends à quoi ? A un film assez féministe, centré autour de ces cinq femmes. Mais non, pas du tout.
    spoiler: Ça commence sur le fameux Gil qui se fait frapper et prendre sa voiture (on comprendra plus tard, je pense parce que ce n’est même pas sûr, que c'est la résistance palestinienne qui volent des voitures pour les revendre et donner l'argent à des familles palaisiennes pour les aider. Et la façon dont on comprend ça, c'est d'un ridicule…). Le Gil met mille ans à se relever, il se traîne dans une flaque d’eau alors qu’à 2 centimètres le sol est sec, et hop, t'as la Laila du titre qui vient le secourir. Chiant à mourir. Et la musique genre hyper dramatique ultra forte suspense pour rien du tout. Ça continue, direct ils montent à l'étage du bar, et hop ils se tripotent sur le canapé alors que y a les clients en bas. Bon, tu comprends que Laila en fait elle est mariée et que c'est son amant le Gil, mais tu comprends surtout que ça va tourner autour de lui... Et ensuite, les actions s’enchaînent pendant la soirée, parfois sans lien, sans queue ni tête, à un moment t'as un couple gay tu sais pas trop pourquoi, un drag pareil sorti de j'sais pas où, à la fin deux nouveaux persos pour un truc qui dure 5 secondes, sans intérêt. Et dans les "5 femmes" de la bande annonce là, bah en fait y en a 2 qui veulent sauter le Gil, une qui est sa demi sœur (c'est elle qui embrasse une autre femme, mais genre, pour zéro raison, et au final, elle se tape un inconnu dans sa voiture, alors qu'au début elle a un discours ultra féministe sur sa condition de mère au foyer blabla), une autre on sait pas trop ce qu'elle fou là, apparemment elle connait Gil mais on n'en sait pas plus (la nana de la fameuse résistance), et la dernière, une richouille qui cherche des talents pour ses expos en Amérique, mais elle a l'air de bien kiffer le Gil aussi, et vas-y que je touche ton torse pendant que je te convainc d'exposer tes photos aux US, breeeeef. La Laila, son mari en fait il a 60 ans, elle en a 30, mais bon elle s'écrase quand même devant lui. Et l'autre en kiff sur Gil, elle raconte son quasi viol par son oncle quand elle avait 15 ans, ça n'a aucun sens. S'en suit une scène ou les deux femmes parlent devant tout le monde, comme un discours, entre les tables du bar, on ne comprend pas pourquoi tout le monde les écoute ni ce qu’elles racontent. Aucun sens. Puis ça fini comme un cheveu sur la soupe. En fait, c'est que du vent. Tout est en surface, les personnages ne se racontent rien du tout, ça ne va nulle part, tu ne sais même pas si le Gil va accepter d'exposer aux US.

    En bref, ce qui m'énerve, c'est d’un côté la BA qui te vend un truc de femmes, de l'autre le réalisateur qui croit réaliser un film intelligent sur les femmes qui veulent s'émanciper. Mais y a rien de tout ça ! Mais à quelle heure ? Encore un vieux film, d'un vieux gars qui parle à la place des femmes. C'est pas "5 femmes" "5 histoires" c'est "Gil et 5 femmes". Le film ne sert à rien du tout, encore un réal qui veut faire son féministe mais qui met les mecs au centre de l'histoire. Ah et sans parler du pseudo féminisme, rien que le scénario, c'est du vent, mais évidemment c'est un grand réal, Amos Gitaï blabla, un grand nom, alors on lui accorde de faire sa daube. J'aurais présenté ce scénario, on m'aurait claqué la porte, je l'aurai tourné comme lui, on n’aurait pas présenté ma daube à la Mostra de Venise...
    Vous l’aurez compris, passez votre chemin !
    traversay1
    traversay1

    3 181 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 septembre 2021
    Le club Fattoush, du côté de Haïfa, est un endroit quasi unique en Israël : un lieu de tolérance où se croisent et dialoguent Palestiniens et Israéliens, homos et hétéros. Que Amos Gitaï ait eu envie d'y tourner un film choral ne surprend pas de la part d'un cinéaste qui a toujours tenté de montrer ce qui rapproche les hommes plus que ce qui les sépare et les fait se combattre. Laila in Haifa est donc un film-concept, avec une unité de lieu mais aussi de temps (une nuit) et, non pas d'action, mais de conversations. La chose aurait pu (dû ?) être passionnante mais tourne très vite au sentencieux et, disons-le, à l'ennuyeux, tellement les échanges tutoient assez souvent l'abstraction, le scénario ne prenant pas le temps de tracer de véritables portraits des différents interlocuteurs (14 dont 5 femmes au premier plan). Les langues se mélangent, arabe, hébreu et anglais, ce qui va dans le sens du mélange mais ne fait qu'ajouter à un début de confusion quant à savoir qui est qui et qui veut quoi ... Les actrices du film sont pourtant magnifiques et chacune d'entre elles aurait pu sans doute tenir à bout de bras un rôle plus consistant mais elles n'ont que des petits moments, parfois intenses, c'est vrai, pour s'exprimer. Si le but de Gitaï était de montrer que l'on peut discuter cordialement en Israël entre soi-disant ennemis, il est forcément atteint mais il eut mieux valu un documentaire sur ce club Fattouch que cette fiction bavarde et aux propos souvent abscons, où un peu d'humour n'aurait pas été de trop.
    Yves G.
    Yves G.

    1 330 abonnés 3 327 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 7 septembre 2021
    Amos Gitaï est originaire de Haïfa, la grande ville portuaire du nord d’Israël. il y a découvert le club Fattoush, un café-restaurant doublé d’un espace d’exposition, où se côtoient Juifs et arabes, Israéliens et Palestiniens, hommes et femmes, homos et hétéros. Il aurait pu y filmer un documentaire. Il préfère la fiction.

    Unité de temps. Unité de lieu. Tout se passe l’espace d’une soirée, quasiment en temps réel. Tout aurait pu d’ailleurs tenir sur une scène de théâtre. Tout aurait pu être filmé en un long plan séquence, techniquement magistral et dont d’ailleurs le premier plan du film – qui commence par une bastonnade sur le parking du club – laisse augurer ce qu’il aurait pu être.

    L’affiche du film évoque « 5 femmes. 5 histoires ». J’ai dû aller regarder le casting pour les identifier. Car ces cinq histoires là, d’importance inégale, ne sont pas immédiatement identifiables.

    À tout seigneur tout honneur, commençons par Laila, la propriétaire du club. Elle donne son nom au film alors qu’elle n’en est pas au centre. La raison en est peut-être dans l’allitération que son prénom permet.
    Khawla travaille au Club. Elle est mariée à Hisham le cuisinier qui aimerait lui faire un enfant, mais entretient une liaison avec Gil, le photographe que Laila expose – et dont elle est, elle aussi l’amante.
    Naama est israélienne et la demi-soeur de Gil. De passage dans le bar, elle y rencontre un séduisant palestinien avec lequel elle ira immédiatement faire l’amour sur le siège arrière de sa voiture.
    Bahira est une activiste palestinienne qui déborde de haine. Elle est venue au club pour racketter Kamal, le mari de Laila, beaucoup plus âgé qu’elle, dont l’immense fortune finance les hobbies de sa jeune épouse.
    Hanna, la soixantaine bien entamée, est une veuve qui cherche encore l’âme sœur. Un rendez-vous en ligne la confronte à un "date" passablement surprenant.
    On pourrait encore évoquer Roberta qui veut faire jouer son carnet d’adresse pour exposer Gil à Los Angeles. Mais on a déjà épuisé le quota féminin annoncé sur l’affiche.

    Vous n’y avez rien compris ? Moi non plus ! Et c’est bien là que le bât blesse.
    Car, si l’on voue une admiration révérencielle à Amos Gitaï qui, depuis plus de trente ans, surplombe de son oeuvre impressionnante le cinéma israélien, si l’on ne peut qu’applaudir au projet interculturel de son film, on doit hélas, constater que le résultat en est fort brouillon sinon totalement incompréhensible.
    Ces chassés-croisés polyglottes (les personnages s’expriment en hébreu, en arabe et en anglais selon leur identité culturelle) me sont restés passablement obscurs. Et quand j’en ai enfin compris le sens – ou plutôt quand j’ai cru les avoir compris – j’y suis resté insensible.
    Loïck G.
    Loïck G.

    303 abonnés 1 640 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 3 septembre 2021
    Amos Gitaï au pays, de retour dans sa ville nous fait découvrir un lieu, une boîte de nuit appelée « Le Club » où la concorde règne joliment entre Palestiniens et Israéliens. Juifs ou arabes, homos ou hétéros, la différence n’existe que dans les rapports sociaux. Coutumier de la parole donnée aux femmes, le réalisateur en choisit cinq dans ce milieu si particulier, cinq destins aux parallèles éventuelles, aux croisements parfois possibles, mais toujours guidées par la volonté d’aller de l’avant, de réussir, de s’affirmer. Il le fait malheureusement de manière trop parcellaire, attentiste, parfois brouillonne. Il n’y a pas d’intrigue formelle, mais des histoires éparses, où le bonheur tente de trouver son chemin. Les interprètes’y emploient de belle manière.
    Pour en savoir plus : lheuredelasortie.com
    mat niro
    mat niro

    318 abonnés 1 739 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 février 2022
    Amas Gitaï part d'une idée originale : filmer la vie nocturne d'un club à Haïfa, lieu de rencontre de noctambules de divers horizons (Israéliens et Arabes). Malheureusement, le film est d'une lenteur abyssale renforcée par ce huis clos où chacun et chacune font le point sur leurs tourments amoureux la plupart du temps. On ne s'attache pas aux personnages et certaines situations tournent au risible spoiler: comme quand une jeune palestinienne veut faire chanter un riche homme d'affaires avec sa grosse voiture par exemple
    . Bref, tout cela ressemble à de la philosophie rébarbative où au final je n'ai ressenti peu ou pas d'émotion. Pompeux.
    Mericstef
    Mericstef

    10 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 17 février 2023
    un sujet magnifique et humaniste. La bande-annonce; le synopsis indiquaient : 5 femmes lors d'une nuit dans une ville israélienne.
    Une très grande déception. Mal filmé, mal joué ou mal dirigé. Une déception de la part de ce réalisateur que je suis depuis quelques années, qui travaille sur le conflit israélo palestinien. Bien que tout à fait légitime pour parler de ce sujet, le réalisateur a vécu la guerre comme beaucoup d'autres.
    Ce n'est pas un film sur 5 femmes qui se croisent une nuit à Haifa mais sur l'homme qui traverse le film en multipliant les rencontres dans cette boite de nuit.

    Le sujet n'est absolument pas féminin, mais bien masculin et -en tant que spectateur, j'aurais préféré le savoir.
    Les clichés sont bien trop nombreux sur un sujet aussi complexe, le jeu des actrices est très surfait, que non, il n'est pas possible de considérer que c'est un bon film.
    Madame Baleine
    Madame Baleine

    6 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 6 septembre 2021
    D'une vacuité artistique et politique sans nom ! Un scénario bavard nourri d'excessives banalités, et de vagues procédés de mise en scène digne d'école de cinéma. On se croirait devant un premier film raté.

    L'affiche promet "cinq femmes, cinq histoires"... D'histoire, il n'y en a aura aucune, et de femme, presque tout autant, car le film suit plutôt l'histoire d'UN homme, personnage taiseux et insipide. Les femmes, vendues dans la bande-annonce comme "ayant le pouvoir", font en fait de la figuration à l'arrière plan.

    On assiste à une heure et demi de grand vide. En gros, dans cette boîte de nuit, il ne se passe rien. Mais rien. Aucun événement même le plus insignifiant ne viendra rompre le cours de cette ennuyeuse nuit.
    De propos politique il n'y en a aucun, les personnages errent sans but en se racontant des banalités du type "on surestime trop le temps présent"...

    Pour la subversion, le cinéaste aura placé ça et là un couple d'hommes homosexuels, un baiser entre femmes et un drag queen... mais ne vous inquiétez pas, ils sont aussi insipides que le reste.

    PASSEZ VOTRE CHEMIN. c'est un film qui n'a rien à dire et rien à montrer.
    Alberti21
    Alberti21

    6 abonnés 16 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 mars 2024
    Il y a des réalisateurs se répétant tant et tant qu’ils en deviennent lassants . C’est le cas avec Amos Gitai.

    D’un sujet important et essentiel, il en a fait une balade sexuelle dans une boîte de nuit. Comme s’il campait sur le créneau israélo palestinien depuis des années et que c’était largement suffisant. Pourtant, il y en a des choses à dire.
    Vendu comme un film sur des femmes:. Ce qui est nullement le cas. C’est un film d’homme pour les hommes. Le scénario est compliqué, bien trop de personnages qui apportent une confusion sérieuse. Des femmes autour d’un seul homme. Ce qui donne un sentiment étrange gênant.
    Les actrices et les acteurs, tout un programme. Tsahi Halevi qui joue Gil est très bon, dégageant un questionnement métaphorique sur la situation dans cette région.
    Hana Laszlo, déjà vu chez Amos Gitai, est excellente en femme evitant les palestiniens.
    Pour les autres, choisis parmi l’entourage intime du réalisateur, d’après l’une de ses interviews,qui sont tous amateurs,
    C’est difficile de les voir mal jouer et si mal dirigés, surtout Bahira Ablassi qui a plusieurs scènes, regard vague presque celui d’une droguée au rictus étrange, malaisant et dieu qu’elle joue mal.
    Heureusement que je n’étais pas dans une salle de cinéma, j’ai pu économiser le prix d’une place et faire des pauses.
    Sami
    Sami

    3 abonnés 68 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 septembre 2021
    Voici un film très intéressant, hélas le réalisateur a voulu courir trop de lièvres à la fois et on se perd dans un nuage de confusion. De quoi s'agit-il ? 1) de la ronde du désir érotique. En cela le film est un remake non avoué de La Ronde de Max Ophüls (1950). 2) du vivre ensemble entre israéliens d'origine palestinienne et juive, des israéliens marginaux dans leur communauté respective 3) de la condition féminine (en général, et au moyen-orient en particulier). 4) de l'histoire d'un café littéraire banché à Haïfa crée dans les années 90 par un arabe israélien communiste et homosexuel. Ce qui sauve le film : la façon de filmer les visages, Amos Gitaï est un très grand portraitiste.
    Mélany T
    Mélany T

    29 abonnés 490 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 11 septembre 2021
    La mise en scène est belle et soignée et le principe de départ captivant mais, à aucun moment, nous ne voyons des portraits de femmes, leur intériorité nous est tout du long inconnue, le film souffre, de plus, d'un scénario bancal sans conclusion, dommage.
    Roms
    Roms

    21 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 16 septembre 2021
    Il manque un véritable fil conducteur au film et un vrai suivi, beaucoup de scènes d’amour sans ne jamais comprendre le réel but.
    islander29
    islander29

    784 abonnés 2 288 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 7 septembre 2021
    C'est un film au fond relativement touchant, des rencontres dans un bar , de personnes plus ou moins en couples et qui se posent des questions, se font des "propositions";;;On y voit deux générations, des artistes souvent, et qui causent de deux choses principalement, les sentiments et la politique...Au fond ce film permet au réalisateur de règler ses comptes avec Israël...Que de questions en suspens auxquelles le spectateur peut répondre lui même, que d'opinions balancées sur ceux qui nous gouvernent, et on peut parfois sortir du cadre exclusif d'Israël ...la politique au fond est universelle...La France pourrait être aussi dans le miroir....Et puis les couples, L'amour versatile, ou profond ? Amos gitai nous adresse son testament amoureux???L'amour est complexe, l'amour ne dure pas...On notera une bande son impressionnante qui accentue les malaises des personnages (ils sont une petite dizaine) et les sensations .existentielles...Le film manque à mon avis d'action en fil rouge, il eut été bon dans le scénario d 'inclure une dramatique concrète....L;, les personnages restent en quête d'auteur, c'est mon unique regret, le film mérite un détour de cinéphile, ou autre.....A vous de voir
    Brady20
    Brady20

    4 abonnés 112 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 2 septembre 2021
    Avec une unité de temps et de lieu, la rencontre de divers personnages dans un bar de Haifa.Un film vraiment touchant et sensible que j'ai beaucoup apprécié. A recommander.
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    179 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2022
    Juifs, Arabes, palestiniens, hommes, femmes, homos, hétéros se croisent l'espace d'une nuit magique avec une grâce inouïe et une justesse de ton impeccable. Tous les personnages possèdent une beauté éclatante et une souffrance intérieure profonde. Par sa mise en scène sobre et magistrale, Amos Gitaï montre des hommes et des femmes très attachants. Une œuvre pleine d’amertume, de sérénité, d’espoir et de désespoir.
    Malike Do Brazil G
    Malike Do Brazil G

    1 critique Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 1 septembre 2021
    Excellent film, des personnages intéressants et une toile de fond qui en dit long (et pas assez) sur tout ce que la nature humaine peut faire, de bien ou de moins bien...
    À voir.
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