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NammJones
100 abonnés
1 719 critiques
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1,0
Publiée le 30 mai 2022
Ce n'est déjà pas ce qu'il y a de mieux en film du genre et, en plus ils ont réussi à faire des répliques sans grande dose d'humour ni d'horreur, à faire une mise en scène alambiquée et un scénario plutôt bidon alors que l'idée aurait pu donner quelque chose de très drôle
Série Z mais pas dans le bon sens du terme, Black Friday est d'un ennui abyssal. Doté d'un casting intéressant, mais qui en restera là, le film ne décolle jamais, entre ennui et scènes d'une nullité affligeante. Les dialogues sont fabuleux, dans un genre négatif. Que dire des effets spéciaux, digne d'une PS1. Rien de bon ici.
Symbole de la folie consumériste de notre époque, le Black Friday se devait presque obligatoirement de passer un jour ou l'autre à la moulinette horrifique pour souligner les dérives absurdes de notre société à l'instar de l'incontournable regard critique d'un "Zombie" mis en scène par George Romero en son temps.
En choisissant le biais de la comédie horrifique où des clients possédés par un parasite extraterrestre prennent d'assaut une grande enseigne de jouets, "Black Friday" se montre évidemment moins subtil sur les intentions de son discours et dévoile, dès son prologue, la confusion entre "parasités" et consommateurs frappa-dingues sur laquelle il va jouer la majorité de sa durée... "Et voilà !" aurait-on envie de dire tant le film de Casey Tebo va se révéler particulièrement maigre au-delà de cette idée réjouissante. Se cantonnant juste à faire des clients une masse toujours plus violente et informe en guise de vision satirique (à coups de FX artisanaux plutôt amusants), "Black Friday" tente de trouver un peu d'humanité -et d'intérêt- avec ses employés héroïques qui, dans l'adversité, révèlent peu à peu leurs failles derrière les illusions brisées de leurs vies professionnelles mais, à part quelques rares séquences (le dîner de Thanksgiving improvisé, sans doute la meilleure scène du film), ceux-ci ne sortiront jamais de leurs rôles de gentilles caricatures simplement jetées en pâture à la clientèle monstrueuse lors d'une série d'affrontements très convenue et peinant vraiment à provoquer tout autant les rires qu'un minimum de tension (le dosage inhérent à toute comédie horrifique un tant soit peu mémorable en somme).
Au mieux, la bonne humeur de l'ensemble et le plaisir de retrouver les bonnes vieilles trognes de Devon Sawa et Bruce Campbell pourront vous laisser avoir un peu d'indulgence envers cette production hélas terriblement insignifiante (encore que le rôle à contre-emploi de Campbell bride forcément les attentes que l'on peut avoir d'un tel acteur dans le genre) mais, on préfère vous prévenir, il est fort probable que l'ennui ressenti le temps de sa découverte vous rappelle celui d'une queue interminable à la caisse d'une grande surface lors d'un Black Friday.
Il met en vedette Devon Sawa, Ivana Baquero, Ryan Lee, Stephen Peck, Michael Jai White et Bruce Campbell (qui sert de producteur). Le tournage a eu lieu entre le 16 novembre et le 16 décembre 2020 à Boston, Massachusetts. un drole de mélange qui ne prend pas un film tres moyen
C'est de pire en pire les soldes... Alors qu'ils se préparent pour le Black Friday, des employés d'un magasin de jouets vont devoir faire face à bien plus dangereux que des clients surexcités par une promo pour du Nutella. Une mystérieuse substance transforme les gens en créatures et plonge non seulement le magasin, mais aussi toute la ville dans le chaos. "Black Friday" est cependant un huis clos qui se déroule essentiellement au sein de l'enseigne. Un film à l'ancienne avec des influences des années 80s et 90s. Pour une histoire qui se déroule dans un environnement restreint, on ne peut pas dire qu'il y a beaucoup d'action. Les affrontements sont peu nombreux et l'on ne ressent jamais le danger. Il s'agit d'une comédie horrifique donc Casey Tebo ne cherche pas à faire peur, mais ça manque de sensations fortes. S'il y a quelques effets spéciaux ratés, le maquillage des créatures est vraiment bien fait, ce qui est d'autant plus frustrant, car leur présence est mal exploitée. Finalement, le casting est ce qui fonctionne le mieux. Hormis les quelques têtes bien connues, c'est surtout l'équipe dans son ensemble qui fonctionne. Malheureusement, les péripéties de la bande sont limitées... "Black Friday" est finalement un film moyen et frustrant, car il aurait pu être bien plus divertissant.
On regarde sans grand plaisir ce film d'horreur, et c'est bien dommage, vite vu, vite oublié, malgré la présence du mythique Bruce Campbell. Bof bof...
"parasite extraterrestre extrêmement contagieux" est quelque peu exagéré comme description mais, de toute façon, ce "Vendredi fou" est une déception. Il y avait un certain potentiel, quasiment jamais atteint.
Une comédie horrifique à la Shaun of the dead ou Zombieland, en bien moins réussi et drôle, relativement ennuyeux, qui avait tout sur le papier pour nous faire un truc bien plus sympa. Malgré tout, toujours un plaisir de revoir Bruce Campbell dans un film
Parabole sur la surconsommation de nos sociétés occidentales qui font des grandes surfaces de véritables temples où l’unique religion est d’acheter jusqu’à plus soif, ce « Black Friday » n’a malheureusement pas grand-chose de folichon pour attirer le quidam ! Pourtant, la chose pouvait paraître alléchante si on se fiait au pitch prometteur et à la distribution séduisante. Malheureusement, le réalisateur Casey Tebo, plus enclin à réaliser des clips et documentaires sur Aerosmith, tente - sans grande réussite - de parodier comme beaucoup avant lui le cultissime « Zombie » de Romero en transformant ses clients déjà bien excités par les soldes en morts-vivants voraces semblant liés entre eux par une entité venue de l’espace. Toutefois, le film se noie dans ses nombreux bavardages et en plus n’est même pas drôle car les dialogues sont ratés. Et ce ne sont pas quelques SFX assez bien fichus et encore moins la présence de Bruce Campbell en manager moustachu proche de la retraite qui parviendront à rattraper le naufrage cinématographique qui nous est proposé tant son personnage est mou du genou, tout comme le reste du casting n’ayant même pas une réplique mémorable à nous asséner ! Bref, voilà un film d’horreur qui se cherche sans jamais trouver sa voie et à oublier d’urgence !
Bon malgré des effets spéciaux un peu pourraves on peut de temps en temps se marrer devant la première heure mais après ça devient vraiment lourdingue car on sent bien que le réalisateur ne maîtrise pas vraiment comment son scénario évolue. C est pas pire qu autre chose mais enfin ...
Black Friday est une petite zéderie bien classique pour amateurs du genre. Hélas ! Là où l'on aurait eu, il y a trente ans, un excellent divertissement court et rythmé, la malédiction du digital est passé par là. Autrefois, les réalisateurs de petites prods étaient obligé de faire court, car la péloche coutait un bras. Le support numérique a réduit à "peau de zombie" cet aspect de la production. Du coup, des productions fauchées aux blockbusters, les producteurs ne savent plus faire court. Et c'est bien là que le bât blesse. Passé le premier tiers, le film devient incroyablement verbeux, les scènes d'action se trainent en longueur, tout comme les acteurs qui semblent ne plus savoir que faire pour "remplir le vide". Ce n'est pas qu'un défaut de montage, mais bien un manque de discernement du réalisateur qui ne sait pas tailler dans ses prises, et faire cut. Il étale interminablement une confiture qu'il n'a pas, et faute d'idée pour nourrir le scénario, une fois épuisée le stock des scènes incontournables pour ce genre de film, on s'ennuie ferme. C'est là le second défaut du film (mineur, il est vrai pour une série Z) : le film ne fait qu'enchainer ces scènes et répliques "classiques" et n'a pas grand chose d'autre à proposer. Copie à revoir ! Il y avait le matériel parfait pour un moyen métrage. Ici, il y a bien 20 minutes de trop au bas mot ! Certain rétorqueront que le moyen métrage se vend très mal -c'est vrai- mais on est dans le cadre d'un "direct-to-VOD", et la question de la diffusion ne devrait pas se poser. Alors, on regrettera les longueurs, et on le classera dans la catégorie des nanards à regarder entre amis en faisant autre chose à côté, pour meubler l'ennui passé la première demi heure !
Malgré la présence toujours bienvenue de Bruce Campbell au casting, ‘Black friday’ échoue à capitaliser sur sa sympathique idée de départ, une épidémie qui “zombifie” - ou plutôt “monstrifie” - les clients d’un magasin de jouets le soir du Black friday. Si on ne peut guère lui reprocher sa facture fauchée, sa mise en scène insipide et ses effets spéciaux cheap, il est dommage que le résultat sorte si peu des rails, échoue systématiquement à être drôle et n’aborde que timidement, sans le sarcasme qui aurait peut-être sauvé les meubles, la dureté des conditions de travail et le ridicule consommé des pratiques commerciales du capitalisme à l’américaine. Le meilleur moment du film, le seul où on pense qu’il parviendra peut-être s’extraire de sa condition, ne dure pas plus d’une minute : c’est, bien avant l’incident déclencheur, lorsqu’on observe les clients hystériques et agressifs qui s’agglutinent devant les portes du magasin avant son ouverture, impatients d’y consommer jusqu’à l’écoeurement.
Black Friday est une comédie (90%) sur fond d'horreur (10%) à la sauce typiquement américaine. L'humour est léger et facile. Ce film est dans un style archi connu,à savoir un humour qui égratigne la société de consommation américaine et l'exploitation des employés dans les grandes chaînes de magasin . Afin de faire un film, on y ajoute une forme extra-terrestre, un genre de blob géant qui transforme les clients et employés en sortes de zombies. Ce film se laisse regarder (une fois) avec un sachet de popcorns à la main. 2 étoiles ... parce qu'il fait sourire parfois.
Un bon film gore bien drôle qui respire les années 90, dans les maquillages des monstres,la mise en scène... On a en plus en guest star le grand Bruce Campbell, qui est très drôle en gérant de magasin de jouet. On passe un bon moment, à réserver bien sûr aux amateurs de série B et de films gore.