Avis : E.T. l'extra-terrestre - Page 6

LE plus émouvant film de Spielberg à comprendre entre des scientifique cherchant à connaitre l'extra-terrestre échoué malgré lui sur la terre pour sa biologie, et un gosse qui lui voue un amour de fils à un père de l'autre univers quand il n'a pratiquement jamais connu vraiment le sien, qui lui sera le plus fidèle qui veut l'aider à rentrer chez lui. Des scènes cultes à gogo. Peter Coyote, Dee Wallace, Henry Thomas, Drew Barrymore et Robert MacNaughton pour un casting sans grand envergure mais qui a su se faire mémoriser pour l'éternité. Un chef D'œuvre que rien ne pourra détrôné. Et avec la musique de John Williams, Une pure merveille!!
en bonus l'image de la création de la société de production ( le vélo devant la lune ), ANBLIN ENTERTAINMENT!!!!

Difficile de critiquer un film aussi unanimement salué par la critique. Spielberg a eu le courage de proposer un alien pacifique, et cette prise de position est très louable. C'est mignon, attachant, émouvant. En voilà de beaux adjectifs pour un film. Mais au final on reprend une recette déjà vue et revue, et encore revisitée maintenant (avatar.....), avec des méchants très méchants et des gentiles très gentils. Ce film est un peu trop naïf et gentillet pour ma part. Pour l'apprécier il faut vraiment le regarder avec des yeux d'enfants. Il ne peut pas déplaire mais ne me plait pas totalement en raison de sa tendance moralisatrice-universaliste. Cependant, ce film reste à voir, tant il a marqué toute une génération.

On ne présente plus ce film ou la magie se mélange à la poésie et l'amitié à la tendresse. Bref une réussite totale, un chef-d'oeuvre, un film culte.

Émouvant, bouleversant et magique, “E.T. l’extra-terrestre” est un chef d’œuvre de Steven Spielberg avec une histoire simple mais captivante, une narration parfaitement maîtrisée, une musique inoubliable signée John Williams, un scénario débordant de poésies et de fééries, des dialogues cultes et un casting très bon.

J'ai vu E.T. en salle à sa sortie. J'avais 15 ans à l'époque. Autour de moi, les mouchoirs sortaient des poches avec une régularité déstabilisante, et nous eûmes même droit à des applaudissements au moment où les vélos décollent, poussés par les cuivres tonitruants de John Williams. Je suis sorti bluffé : comment peut-on aprécier un film aussi mièvre, aussi guimauve, aussi plein de bons sentiments nauséeux, servis à la louche de manière aussi complaisante?
On fustige souvent (et souvent à tort, il est vrai) le cinéma américain et on le taxe de complaisance. Voilà un bel exemple de complaisance scénaristique et artistique qui fait pourtant l'unanimité critique!
Un extra-terrestre qui ressemble à un vague étron, ou un pied inversé, comme on veut (horrible créature signée Carlo Rambaldi, l'un des plus mauvais techniciens d'effets mécaniques du monde - le King Kong de 1976 (figé et aussi crédible qu'une statue du musée Grévin, c'est lui, et le Voyageur de Dune, l'espèce d'étron rigide et moche dans son bocal, c'est lui aussi)), vit une histoire d'amitié inoubliable (tu parles!) avec un garçonnet malheureux de ne plus voir son papa. Spielberg règle ses comptes au père, au monde des adultes en général, et glorifie de manière niaiseuse le monde de l'enfance et du rêve.
Un très mauvais opus qui annonce la catastrophe à venir : Hook du même Spielberg, encore plus crétin et consensuel que E.T.
Cela dit, et qu'on me jette toutes les pierres qu'on veut, Spielberg n'est pas un réalisateur de génie. Un bon faiseur, certes, un bon technicien, c'est sûr. Un artiste éclairé et inspiré, certainement pas.

déjà à 15 ans j'avais trouvé ça niais, mais alors, vraiment niais, pétri de bons sentiments à deux balles, tous les clichés des films américains que je déteste. ce supposé chef d'oeuvre ne m'a pas paru attendrissant le moins du monde, et E.T est tellement laid que je n'ai jamais réussi à l'aimer. j'ai bien conscience de faire bande à part, mais je trouve que tout est vilain dans ce film, et qu'en plus aujourd'hui, ça a terriblement vieilli...

« E.T., je t'aime »

Une nuit, spoiler: à la périphérie de Los Angeles, un vaisseau spatial émet une douce lumière à l'orée de la forêt, où des extraterrestres en mission d'exploration botanique s'affairent à honorer la civilisation des arbres et des plantes de la planète Terre
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Un de leurs membres spoiler: déambule avec admiration parmi les majestueux conifères, dont les cimes se perdent dans le ciel étoilé, jusqu'à ce qu'il arrive à une clôture d'où il peut apercevoir, au loin, la cité des humains
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Traqué par spoiler: les forces gouvernementales, ses congénères doivent partir en urgence et E.T. ne peut pas rejoindre leur vaisseau à temps. Ce petit être apeuré se dirige alors vers la banlieue, et se réfugie dans la remise d’un jardin
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Lors de leur premier contact spoiler: visuel, tant E.T. qu’Elliot, un garçon de dix ans, sont apeurés et fuient. Mais, réalisant que leurs intentions mutuelles sont pacifiques, ils laissent leur intérêt réciproque et les émotions pures qui les animent prendre le dessus. Elliot lui construit un abri dans le placard faisant le lien entre sa chambre et celle de sa sœur cadette, Gertie, âgée de sept ans
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Unis par spoiler: échange télépathique, les deux êtres deviennent inséparables. Aidé par sa sœur et son frère aîné Michael, Elliot tentera alors de conserver la présence d'E.T. secrète tout en l'aidant à contacter ses collègues botanistes extraterrestres
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Certains films sont destinés à spoiler: la réflexion, d'autres à éprouver des sentiments, d'autres à nous éloigner de nos problèmes ou alors à nous aider à les examiner. "E.T. l’Extra-Terrestre" est merveilleux car il réunit toutes ces intentions en rappelant à quoi servent les films
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Les séquences qui nous touchent profondément au fil des décennies nous rappellent spoiler: à quel point nous sommes restés les mêmes, à quel point nous sommes toujours satisfaits d'un film qui rejoint si justement notre sens de la vie et de l'émerveillement
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Ce film né de l'imagination de Steven Spielberg a été écrit avec Melissa Mathison lors des pauses sur le tournage des Aventuriers de l'Arche perdue (1981). La conception d'E.T. a ensuite été confiée au génie de Carlo Rambaldi, tandis que les auditions pour les rôles principaux permettaient de réunir le casting idéal, qui allait incarner les personnages de l’histoire à la perfection en s’alliant aux compétences cinématographiques techniques et humaines magistrales et innées de Spielberg. Enfin, John Williams a souligné la pureté de cette œuvre avec une nouvelle partition emblématique.

Avec ce message d’amour, absolu, universel et intemporel, Steven Spielberg signe là, indéniablement, son plus grand chef-d’œuvre. La magie d’E.T. opère à chaque vision auprès de toutes les générations. Car, "E.T." représente pour l'histoire du cinéma un film culte, qui a transcendé les genres science-fiction et films pour enfants. Et pour moi-même, mon film préféré de tous les temps, que j'ai vu dans le plus d'endroits – continents, pays et lieux – que n'importe quel autre film. Que j'aie dix ans quand je le vois pour la première fois dans ma ville natale, que je le revoie plus tard dans les salles de trois villes différentes sur trois années, que j'épuise ma cassette VHS en le regardant encore et encore, ou que je le regarde pour la première fois en DVD, aujourd'hui, E.T. est « toujours ici » dans mon esprit et dans mon cœur, car il a cette place spéciale que seules nos personnes les plus chères peuvent avoir.

5/5

Typique de l'univers de Spielberg, une fable magique et poétique qui a émerveillé l’enfant en chacun de nous et qui se déguste comme une madeleine de Proust.

Film de science-fiction ultra-culte, vraiment génial pour les enfants.

Le chef d'œuvre de Steven Spielberg n'a pas pris une ride. On retrouve ce conte enchanteur avec le même plaisir.

Vu au cinéma lorsque j'avais 12 ans. J'avais trouvé ça parfaitement niais.
"Tu n'avais déjà plus ton âme d'enfant", m'avait-on dit.
Maintenant, je suis papa et je pleure aussi bien devant Blanche Neige que devant Toy story et pourtant... Je viens de revoir E.T. et je trouve ce film encore un peu plus stupide qu'avant.

Comme souvent chez Spielberg, une très bonne idée, un très bon départ, des personnages assez bien campés et décrits, une forte et efficace direction d'acteurs, une image réussie et en général belle. Mais, comme trop souvent aussi chez Spielberg, une fin absolument pathétiquement conne et niaise, qu'on pressent quasiment depuis le début - avec tous ces personnages (des hommes, des adultes : Spielberg doit être profondément mysanthrope et mysandre !) dont on ne voit que les jambes et jamais le moindre visage. Des personnages inhumains, au fond, qui n'existent pas en tant que tel.
Comme toujours (ou presque) chez Spielberg, les méchants sont complètement méchants et les gentils complètement gentils, mais ils n'ont pas de chance parce que les méchants sont les plus forts.
Bref, un navet.

Avec E.T., Spielberg nous signe un chef d'oeuvre remplit d'amour et de poésie. En effet, durant son voyage sur Terre, nous allons passer par toutes les émotions ! Des larmes pour la dernière partie du film aux rires qui nous procure cet extra terrestre qui va découvrir notre planète, c'est ça la magie d'ET ! De plus, la mise en scène est remarquable, avec une photographie très intelligente et travaillée qui met une ambiance très spéciale entre mystère et fascination (on a beaucoup de contre jour et donc un jeu d'ombre mêlé à la nuit et les lumières extra terrestres). Celle ci nous permet de nous tenir en halène tant elle met dans une ambiance spéciale. Avec des scènes mythiques comme l'oubli d'ET sur Terre, le rencontre entre Eliott et ET dans la cabane du jardin, le doigt levé vers le ciel, la fin émouvante aux larmes, la libération des grenouilles, ET apprenant à parler, en passant par le vélo volant devant la lune jusqu'au fameux "ET téléphone maison", le tout accompagné d'un BO du grand John Willams, le film nous transporte dans un compte aux multiples messages sur l’humanité, les rapports avec autrui et les sentiments humains.
Sans oublier le fait qu'il conviendra aux petits comme aux grands avec ses différentes lectures possibles... Inoubliable

Un film plutot intimiste avec l'apparition de l'extraordinaire dans la triste existence d'un enfant de banlieue, tantot drole, tantot émouvant mais un peu niais aussi. On est en plein dans le Spielberg infantile un peu chic et toc des années 80. M'enfin, l'extra-terrestre est réussi par son coté maladroit, les enfants sont biens dirigés et Spielberg a ce don pour faire apparaitre le merveilleux et frapper l'imagination du spectateur. Des scènes extraodinaires comme l'envolée des vélos, l'apprentissage de l'alphabet...

Un beau film très emouvant. Culte.