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    Anatomie d’une chute
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    traversay1
    traversay1

    3 181 abonnés 4 653 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 28 mai 2023
    Depuis quelques années, le cinéma français, et plus particulièrement ses réalisatrices, trustent les lauriers dans les plus grands festivals. Au tour de Justine Triet d'être palmée à Cannes avec Anatomie d'une chute, son meilleur film et aussi le plus ambitieux. Tout en reconnaissant le savoir-faire de la mise en scène et l'intelligence du scénario, une question peut toutefois se poser dans le cas des films de procès : les plus vertigineux sont-ils ceux qui partent de faits réels, comme Saint Omer, par exemple, ou ceux qui ne sont que pure fiction, comme Anatomie d'une chute ? Les premiers aurait-on tendance à déclarer mais tout n'est-il pas finalement lié au talent du ou de la cinéaste ? Anatomie d'une chute dissèque le mécanisme d'un procès, les intentions de la défense, les angles d'attaque de l'accusation, et ce côté documentaire, s'il est convaincant, n'est pas particulièrement neuf, sans vouloir à tout prix convoquer les œuvres de Cayatte, pour comprendre que rendre justice est une entreprise délicate et imparfaite. Plus largement, avec une certaine cruauté, le film montre un couple en crise, tout en laissant au spectateur le soin de décider in fine les torts de l'une et de l'autre et, par conséquent, s"il s'agir d'un suicide, d'un accident, ou d'un crime. Dans ce jeu de la vérité introuvable, les autres membres du foyer concerné ont aussi leur rôle à jouer : le fils malvoyant et un chien très expressif. L'ordonnancement des scènes et l'évolution dramatique sont très habiles mais est-ce que l'ensemble méritait une récompense suprême à Cannes ? C'est en tous cas une façon de rendre hommage à la formidable Sandra Hüller, de retour aux sommets qu'elle avait atteints avec Toni Erdmann.
    GARAL
    GARAL

    2 abonnés 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 1 janvier 2024
    Ca ressemble aux films de tribunal de Cayatte. Le procureur n’est pas du tout crédible. Les personnages pas caractérisés
    Les sorties de Philippe
    Les sorties de Philippe

    38 abonnés 52 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 24 août 2023
    Le personnage principal (Sandra Hüller) parle anglais, ce qui fait que la majorité du film se joue dans cette langue, pourquoi ? Pour obliger le spectateur à lire les sous-titres ? Tout est fait pour rendre le film antipathique : image dégueu, filmé sans aucune imagination, on se croirait dans un documentaire ou un téléfilm M6, absence de musique (sauf une ritournelle massacrée au piano), un scénario qui s’enlise, se noie dans l’anecdote (deux heures et demi!), des acteurs transparents (sauf le procureur, on avait envie qu’il s’attaque au film lui-même). L’ennui s’impose, le malaise aussi, aucun enjeu ne ressort de cette histoire qui nous reste extérieure. L’Anatomie d’une chute est le prototype du film français assomant : du cinéma qui refuse absolument tout ce qui fait la séduction du cinéma, pour montrer la «vérité vraie, sans fioritures». On a même droit à un gros plan sur du vomi, sans aucune justification narrative, encore moins cinématographique. Et cette manie des zooms lents sur les visages, genre «moi je fais du cinéma psychologique»… Au secours.
    Plus d’infos culture sur mon Instagram "Les sorties de Philippe"
    Pascale TELENCZAK
    Pascale TELENCZAK

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 janvier 2024
    Franchement, c'est long, très long, banal, et ces dialogues en anglais sont pénibles. Je necomprends pas vraiment d'où proviennent toutes ces critiques positives ? J'ai dû loupé quelque chose...
    Romain Jouan
    Romain Jouan

    5 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 2 janvier 2024
    il ne vaut pas 0.5 mais je suis tellement surpris par les notes positives sur ce film.... film vraiment moyen avec des acteurs très moyen, une intrigue irréaliste.
    Marcellin Moi
    Marcellin Moi

    3 abonnés 1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 12 septembre 2023
    Bonjour,
    Vraiment aucun intérêt ! Prises de vues pas terribles, dialogue bidons... Etc...
    Cordialement.
    Nicolas L.
    Nicolas L.

    3 abonnés 20 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 10 septembre 2023
    Quand 2 tiers du film sont en un (mauvais) anglais pour se donner un genre, merci d'indiquer vost ! Tout le monde n'est pas en capacité de lire !!!!!
    Toroxind
    Toroxind

    1 abonné 29 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 janvier 2024
    Film en anglais plus de la moitié du temps. Dune lenteur et d’un ennui incommensurable. Niveau d’un téléfilm français bien bobo.
    Les wokistes et les me-too vont se régaler. sinon fuyez ou apportez un bon oreiller.. Encore un film sur la repentance masculine pour les pauvres femmes sous influences, et sur les hommes qui sont tous des monstres.
    Valerie L
    Valerie L

    8 abonnés 8 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 24 août 2023
    Je n'ai pas apprécié ce film. J'ai trouvé qu'il s'agissait d'u long, très long, très très long pensum. Aucune émotion. Justine Triet devrait plutôt écrire des romans car les sujets qu'elle traite sont intéressants mais elle filme de manière trop monocorde. Il n'y a pas de rythme. On ne s'attache pas aux personnages. C'est cérébral et ça manque de chair.
    Laurent Evrard
    Laurent Evrard

    4 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 9 décembre 2023
    J'ai assisté à ce film "français" (ou presque).
    Hyper lent, une pseudo histoire de meurtre/suicide à la mode Agatha Christie merguez à la raclette de la Creuse.
    Un jeu d'acteur ridicule où le réalisateur a cru que parler Anglais allait rendre le film cool.
    (Spoiler: Bro, it sucks!), ça ne prend pas du tout.
    J'ai fait de mon mieux pour essayer de ne pas décrocher, pour y croire un moment, me dire que ça allait venir mais la lenteur du début du film a eu raison de moi, c'est lentissime...
    Malgré la pression de ma femme à mes côtés lors de ce visionnage, au bout de 40 minutes à ruminer, j'ai quitté la salle.
    J'ai payé cher et malgré un prix conséquent dans le pays où je suis, j'ai préféré attendre ma femme (pendant 1h30!!!!) en dehors de la salle, tellement ce film ne présentait aucun intérêt, il s'agit juste d'une nième exception culturelle française à fuir comme la peste. Comment une palme d'or à Cannes a pu être décernée à ce film, grosse question???
    Cinévore24
    Cinévore24

    307 abonnés 616 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 31 mai 2023
    «Un couple, c'est parfois une sorte de chaos.»

    Daniel, 11 ans, découvre le corps de son père aux pieds du chalet dans lequel il vit avec ses parents depuis un an. S'agit-il d'un accident, d'un suicide ou d'un homicide ?
    Très vite, Sandra, la mère, est soupçonnée puis inculpée.

    Découvert samedi dernier dans le cadre de l’événement "Cannes à Paris", ce 4e long-métrage de la réalisatrice Justine Triet (La Bataille de Solférino, Victoria, Sibyl), auréolé ce même soir par une Palme d'Or (la troisième remise à une femme depuis sa création au sein du Festival de Cannes) s'avère sans conteste être son œuvre la plus prenante, la mieux écrite également.

    Car derrière ce très bon scénario, écrit par Triet et son mari Arthur Harari (Diamant Noir, Onoda), et le portrait de cette femme que tout semble accuser, c'est d'abord à une autopsie du couple et de la vérité que se prête le film.

    Car, que ce soit dans les mots de Sandra ou de ceux qu'ils restent de son mari, où se situe la vérité ? Que ce soit dans les éléments présentés et les témoins auditionnés par la défense ou par la partie civile, où se situe la vérité ?

    À l'intérieur de ce film de procès levant petit-à-petit le voile sur l'intime, la "vérité" est une question d'interprétation et n'a finalement que peu de place à l'intérieur de cette arène où les joutes verbales qui y ont lieu sont là pour influencer et convaincre l'auditoire présent (et nous par la même occasion) que la seule vérité qui compte est celle d'un camp ou de l'autre. Ou comme le dit l'un des personnages du film : «brouiller les pistes pour que la fiction finisse par détruire le réel.»

    Ce qu'il s'est réellement passé, on ne le saura jamais vraiment, en tous cas de la bouche des protagonistes.
    Mais ce film n'est pas là pour ça, il n'est pas là pour juger Sandra pour ce qu'elle a fait ou non.
    Ce film, c'est d'abord une étude de mœurs, décortiquant la vie de couple (et par extension la vie de famille) dans ses moindres recoins, à l'image d'un puzzle que l'on tente de reconstituer mais dont il nous manquerait certaines pièces, et cherchant à comprendre comment on en est arrivé à cette situation-là. Et à l'intérieur de tout ça, la vérité, quelque part.
    À nous, spectateur/spectatrice, de nous poser la question de là où nous nous situerions dans cette histoire, dans ce procès, dans ce drame.

    Le genre de film, extrêmement bien dialogué et interprété (mentions spéciales à Sandra Hüller, Milo Machado Graner, Swann Arlaud ou encore Antoine Reinartz), qui vous fait réfléchir et vous reste encore bien en tête après son visionnage.

    La sortie de cette Palme d'Or bien méritée est prévue le 23 AOÛT prochain dans nos salles, et bien sûr je ne peux que vous la recommander.
    Ça tourne
    Ça tourne

    24 abonnés 46 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 6 septembre 2023
    A vrai dire, je m'attendais à mieux. Quasiment tous les articles de presse sont dithyrambiques concernant ce film assez injustement. "Anatomie d'une chute" est loin d'être mauvais mais ce n'est pas non plus un chef-d'œuvre. La partie centrale, soit celle du procès, est terriblement conventionnelle. Rien de notable ne distingue vraiment Justine Triet d'autres bons réalisateurs dans cette scène judiciaire. Rien de plus, rien de moins. Tout ce qui tourne autour du procès est plus intéressant car la réalisatrice parvient à se pencher de manière plus pertinente sur la réaction et l'individualité de ses personnages. Après l'accumulation d'un certain nombre de palmes très contestables, je commence à sérieusement me poser des questions sur l'objectivité des différents jurys. J'ai la désagréable impression que le style des réalisateurs est de plus en plus mis au placard au profit d'une pseudo mode, celle du film dont les principales qualités sont de s'inscrire dans son époque et de ne pas posséder une signification trop complexe. Pourquoi "Titane" et non "France" ? Pourquoi "Sans filtre" et non "Leïla et ses frères" ? Pourquoi "Anatomie d'une chute" et non "Les Herbes sèches" ? Des choix que je n'explique plus...
    selenie
    selenie

    5 580 abonnés 6 047 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 29 août 2023
    Justine Triet impose un climax inquiétant et pesant dès les premiers instants on constate ensuite que son film est bel et bien sans enjeu véritable et dans un environnement trop froid ou trop sage, trop limpide aussi même si des artifices narratifs tentent de nous faire croire le contraire. Le film oublie que le Parquet "veille à la manifestation de la vérité à charge et à décharge", ce qui n'est absolument pas le cas ici ou le procureur est clairement et aveuglément à charge. Ce qui a deux effets, le premier tue le suspense à être trop à charge on devine le final, le second on donne une sensation désagréable d'un être gratuitement abject voir peut-être sexiste ce qui n'apporte rien de constructif à l'intrigue principale, ainsi le procureur devient si antipathique qu'à l'inverse on finit par avoir de l'empathie pour cette accusée (du spoilers pour être plus précis sur mon site). Par contre, superbe performance de Sandra Hüller qui fait passer les ambiguités de son personnage et compense ainsi là où le scénario pêche. Bref, malgré une Palme d'Or le premier film de la réalisatrice qui déçoit...
    Site : Selenie.fr
    Bertrand Barbaud
    Bertrand Barbaud

    179 abonnés 381 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2023
    Faites entrer l'accusé. Dialogues surexplicatifs. Antoine Reinartz dans un rôle hautement caricatural. Le film est trop orienté idéologiquement, trop démonstratif et bien trop à charge contre les hommes. Justine Triet ne prend pas le moindre risque : les femmes sont victimes du patriarcat et les hommes sont faibles. Elle est totalement en phase avec le discours de gauche dominant de son époque. Enfin, le film est censé être trouble mais il n'y a aucun suspense, aucune tension : pas de meurtre, pas de suicide, c'est juste une chute. Et ça on le savait déjà avant d'entrer en salle.
    Simon Andrieux
    Simon Andrieux

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 18 septembre 2023
    Sombre navet mal filmé.
    Le son est atroce.
    Les acteurs sont nuls.
    L'image est immonde.
    La mise en scène indigente.
    c'est interminable.
    On ne s'intéresse à aucun moment à cette histoire.
    spoiler: J'espère au moins qu'elle avait tué son mari. Quoi que même s'il s'est jeté par la fenêtre en fait je m'en fous.

    Un supplice
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