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    Anatomie d’une chute
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    sylvain cellerin
    sylvain cellerin

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 31 décembre 2023
    Film particulièrement long pour pas grand chose, inintéressant, 3/4 des acteurs jouent affreusement...
    ENVIE DE POISSON
    ENVIE DE POISSON

    6 abonnés 35 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 27 août 2023
    Piano
    C'est ce que je trouve symptomatique de ce qui ne va pas dans ce film
    Les passages où le jeune garçon s'entraine au piano et perfectionne son jeu au fur à mesure que sa personnalité s'affirme et que le temps passe
    "Asturias" ça va encore
    Elle illustre bien cette musique le tourbillon dans lequel les personnages vont être entrainés
    Chopin par contre
    On doit comprendre la profondeur et la sensibilité des personnages ?
    Mais il y a zéro identification dans ce film
    Du coup
    Ces passages sont terriblement ennuyeux
    Ce qui n'est pas forcément un souci
    Mais là où c'est un souci c'est qu'ils sont ennuyeux car hors sujet
    .
    Dans un film de procès
    Ce qui est intéressant c'est la vérité
    La question sur la notion même de réalité qu'un procès pose toujours
    Ici
    On est un peu le cul entre 2 chaises
    Entre la chronique de la construction d'un enfant à travers un procès douloureux pour lui
    Et entre un film de procès qui normalement est sensé être prenant
    Sauf que
    La situation de base est minimale
    Creuse
    Pas assez complexe et riche
    Et
    En plaçant finalement l'enfant au cœur du récit
    Anéanti toutes émotions
    Car ce jeune acteur n'est pas très bon et n'arrive jamais à susciter de l'empathie
    Plus le film avance et moins on croit à son personnage
    Il devient agaçant
    Et peu crédible dans ses actions de plus en plus affirmées
    Contrairement
    A
    Sandra Hüller
    Qui
    Elle
    Porte totalement le film
    Elle est véritablement extraordinaire
    Forte
    Juste
    Elle arrive plusieurs fois à nous émouvoir
    A nous prendre aux tripes
    Et
    Ce qui est intéressant dans le traitement de ce personnage c'est qu'il est vu à la fois de très près et en même temps de loin
    On ne sait pas exactement qui elle est
    Mais
    Pas suffisamment
    Il me semble
    Vers la fin
    Elle n'est plus aussi énigmatique que ça
    Même si un doute persiste sur ce qu'il s'est réellement passé
    Et
    Curieusement
    Plus le film avance
    Plus on s'en fout de la réalité de cette chute
    La situation est assez bidon
    Et comme j'ai pu le lire dans diverses critiques
    Digne d'un téléfilm
    Sans grands enjeux
    Il y a aussi quelques bonnes idées de mise en scène
    Notamment au niveau du son
    Ce qui est intéressant pour placer le jeune garçon mal voyant au centre du récit
    Et
    L'inversement des rôles homme/Femme
    Pourquoi pas
    Intéressant
    Bien qu'anecdotique
    Donc
    C'est clairement pas nul
    Mais assez plat
    Je pensais que j'allais tellement aimer ce film
    Quand le film a commencé
    Je me disais
    Sympa le chien !
    Cool c'est l'actrice de Toni Erdmann !
    Bien vu la musique !
    En espérant à force ne plus rien me dire du tout et me laisser emporter par le procès qui attribue souvent à la vérité un sens aussi arbitraire que vertigineux et perturbant
    Mais non
    Ici
    Rien de métaphysique
    C'est presque un fait divers
    Terre à terre
    Même si le procès semble être le centre du récit
    C'est plus un drame familial
    Ce que
    Personnellement
    Je trouve dommage
    Car les personnages n'ont pas réussis à m'intéresser
    Me troubler
    Me toucher
    Ce qui est assez embêtant dans le registre du drame familial
    Marie Pierce
    Marie Pierce

    7 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 26 août 2023
    Encore 1 procès, loin d'être remarquable, images de montagne inexistantes ,pas de musique sauf pt morceau du garçon au piano très mal joué, acteurs sont bons mais je n'ai ressenti aucune empathie pour les protagonistes ,le seul attachant c'est le chien
    sonnya22
    sonnya22

    5 abonnés 14 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 20 janvier 2024
    Rarement vu une palme d'or si peu méritée. C'est lent, le scénario est digne d'un téléfilm. L'avocat général est grotesque. La photographie est totalement absente. Pas de musique. Je ne comprends pas l'engouement. 2h30 plus que pénible pour une fin plus que décevante. Je ne conseille absolument pas.
    Pascal
    Pascal

    125 abonnés 1 436 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 25 août 2023
    Une palme d'or est toujours un film qui possède à priori une force d'attraction, même si ces dernières années je suis resté souvent sur ma faim et dubitatif sur les choix des jurys.

    "Anatomie d'une chute" ( PO 2023) ne changera pas, en ce qui me concerne, mon interrogation devant ce nouveau choix des professionnels du Palais des festivals.

    A travers la mort suspecte d'un professeur époux d'une écrivaine allemande survenu à leur domicile ( s'est il suicidé ou a t il été tué par sa femme lors d'une dispute ?), la cinéaste J.Triet propose finalement une réflexion clinique sur le couple et aussi sur le " nouveau" couple.

    Celui décrit ici est libre ( de moeurs et d'esprit), ses deux membres sont des personnes cultivées, capables d'analyses sur eux-mêmes, vivant dans un cadre privilégié et pourtant...

    Plus encore que l'anatomie de la chute d'un homme avec pour corollaire l'enquête et le jugement, c'est celui de la chute d'une relation de la fin du lien qui a réuni à un moment deux êtres, dans une perspective de bonheur commun mais aussi d'épanouissement personnel.

    Car finalement peu importe la réponse au mystère que conserve le scénario jusqu'à son terme : quelle que soit l'issue ( sauf pour la protagoniste principale bien sûr) le processus de désagrégation au sein de cette union, était arrivé à son terme.

    Mais par delà cette problématique, c'est aussi une réflexion sur les conséquences négatives, traumatisantes que produira cet échec sur leur progéniture, elle pourtant totalement irresponsable dans ces enjeux d'adultes au milieu desquels elle est placée.

    Pourtant, si la thématique proposée est intéressante, son traitement, son parti pris formel m'a beaucoup moins séduit.

    Globalement ce quatrième opus de la réalisatrice m'a semblé trop long, en regard de son scénario et d'un montage relâché sans nécessité.

    La première heure est inutilement étirée, au risque de créer un manque de rythme, peut-être pour contrebalancer en durée la seconde partie du procès ?

    Manquant à mes yeux de charme, trop sec " Anatomie..." souffre parallèlement de la comparaison avec d'autres films de procès célèbres du septième art ( je pense à " Témoin à charge " de B.Wilder, évidemment à" 12 hommes en colère " et surtout à "Autopsie d'un meurtre" de O.Preminger dont le titre de la palme d'or 2023 sonne à l'oreille de façon voisine).

    Certes "Anatomie..." possède des qualités :: écriture des dialogues (la première scène, les répliques de l'avocat général et celles de la dispute sont très réussies), la direction d'acteurs et l'interprétation par l'ensemble de la distribution.

    Ceci étant dit, le spectacle proposé par la cinéaste se laisse voir sans déplaisir, même si la récompense suprême attribuée à "Anatomie..." me parait très discutable (compte tenu de la qualité d'au moins un autre film présenté en compétition officielle 2023 et déjà sorti sur les écrans)
    Corradiantony
    Corradiantony

    11 abonnés 102 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 janvier 2024
    Un film sur un procès de deux heures trente dans l'ensemble c'est quand même assez long mais l'histoire ne m'a pas du tout branchée aucune émotion je ne suis pas du tout ressorti bouleversé le jeu d'acteur et pas mal mais je le considère plus comme un téléfilm que pour un film
    Denis M
    Denis M

    1 abonné 21 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 25 août 2023
    Le film se regarde avec plaisir et sans ennui pendant 2h30. Cela pourrait être suffisant pour en faire un bon film. L' énigme est claire: suicide ou meurtre ? spoiler: Mais patatras le film ose se terminer sans nous donner la réponse, sans rebondissement, rien. Le spectateur regarde alors ébahi le générique. Inacceptable.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    602 abonnés 2 790 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 10 juillet 2023
    Le titre, Anatomie d’une chute, part d’un terme clinique qui n’est pas sans rappeler deux influences : celle de l’autopsie judiciaire entreprise par Otto Preminger (Anatomy of a Murder, 1959) dans le sillage duquel se place le présent long métrage ; celle de l’esthétique naturaliste telle qu’Émile Zola la définissait, concevant la tâche de l’écrivain comme « le travail analytique que les chirurgiens font sur des cadavres » (seconde préface de Thérèse Raquin) et associant l’homme à une bête – dimension portée par l’attribution d’un animal totémique par Sandra à son entourage ainsi que par le chien domestique, personnage à part entière. L’épouse est d’ailleurs jugée monstrueuse, ce qui lui octroie le statut instable et destructeur à la fois d’une appartenance à l’humanité et d’un rejet permanent depuis le centre vers la périphérie de sorte à la marginaliser encore et encore.

    Le film a pour point de départ l’unité d’une famille qui vit sous le même toit : le fils Daniel lave son chien, le père Samuel travaille en haut, la mère Sandra s’entretient avec une étudiante venue l’interviewer ; la bascule se fait lorsqu’une musique tonitruante vient à perturber puis à invalider l’échange entre les deux femmes, causée par l’époux dont l’habitude est de travailler en musique. Cet élément perturbateur, qui engendre une violence symbolique, n’aura de cesse de revenir hanter l’enquête et le procès : une musique diffusée trop fort, envoûtante par ailleurs mais, par un volume assourdissant, qui en devient presque nocive telle une alarme annonçant un danger imminent.

    Le son occupe une place importante dans l’œuvre, qu’il s’agisse de l’enregistrement vocal réalisé par le mari pour un projet littéraire, de la conversation prétendument normale que partageaient père et mère lorsque l’enfant est sorti et qui donne lieu à une erreur de localisation, de la toccata jouée au piano, des questions pressantes et indiscrètes des journalistes qui enregistrent les paroles ; il révèle une opposition de tempérament, dessinant les contours d’un couple scindé entre d’une part une épouse jugée froide par son calme et son silence, similaire à l’environnement enneigé, d’autre part un époux en position de victime qui rejette avec véhémence la faute sur autrui.

    Dès lors, si Justine Trier convoque au tribunal des personnages, elle y retranscrit davantage le procès d’une relation homme/femme au sein de laquelle le membre le plus fort n’est paradoxalement pas celui qui criait lever le plus la voix ou qui poussait le volume de sa radio au-delà du raisonnable ; et cette force dont témoigne Sandra tout au long du film lui est constamment reprochée : les échappatoires trouvées pour affronter l’accident, la conversion d’un brouillon en œuvre littéraire complète, le souci de s’adapter tout en demeurant soi-même. Comme le montrait avec pertinence le documentaire de Virginie Despentes intitulé Mutantes, il relève de l’inconscient collectif qu’une femme ait l’obligation d’être agréable, douce et bienveillante, tout ce que n’est pas, par nature, Sandra. Anatomie d’une chute aborde le jugement d’une femme pour, en réalité, représenter par à-coups la faiblesse de l’homme qui ne fait qu’ébaucher ce qu’elle accomplit pleinement – en témoigne l’attitude ignoble de l’avocat de la défense, superbement interprété par Antoine Reinartz, qui paraît conscient des enjeux sexués et symboliques au-delà du simple fait divers étudié. Le tour de force du film, justement récompensé de la Palme d’or au festival de Cannes, consiste alors à tenir écarté le mobile, notion qui n’est jamais explicitement nommée, pour tourner autour de ce que tous appellent la vérité et qui dépend de la reconstruction collective qui en est faite, à force d’hypothèses et de fictions. Le procès finit par perdre de vue les faits pour se concentrer sur la « chute » non pas d’un corps mais d’une famille, sujet qui glisse vers le blâme moral. Les doutes formulés par l’enfant attestent la faillite du réel à même de déformer les souvenirs de chacun telle que Beccaria le disait dans Des délits et des peines : « nos connaissances et toutes nos idées sont liées entre elles ; plus elles sont compliquées, plus nombreuses sont les voies qui y arrivent et qui en partent. Chaque homme a son point de vue, qui diffère selon les moments » (« IV. Interprétation des lois »). L’empressement avec lequel l’avocate précise que ce n’est pas tel juge qui préside mais unetelle insiste sur cette idée schopenhauerienne de monde comme représentation, et par conséquent de tribunal comme théâtre où se joue non pas la vérité mais une vérité issue de la rencontre de plusieurs, de leur confrontation, une vérité qui soit la plus probable, la plus vraisemblable à défaut peut-être d’être vraie. La finalité d’un jugement et de la peine qui en découle n’est-elle pas de maintenir la cohésion sociale en préservant la conscience collective, comme le défendait Durkheim ?

    C’est alors au fils de décider, de défendre une hypothèse qui deviendra choix. C’est alors au fils de condamner ou non sa mère, de décider de sa monstruosité. Tout un procès pour rétablir une communication sinon rompue. Un chef-d’œuvre
    Yves S
    Yves S

    8 abonnés 32 critiques Suivre son activité

    2,0
    Publiée le 5 septembre 2023
    J'ai du mal avec ce genre de (trop) long film aux ambitions multiples : intrigue, procès à sensation, tourments psychologiques, sentimentalisme, couple libre et conflictuel. À la limite, la mort (accidentelle ou criminelle, on ne le saura jamais) d'un des personnages principaux dès le début du film n'était qu'un prétexte qui aurait pu être remplacée par tout autre événement dramatique. A mon humble avis de cinéphile, ce film prétentieux, malgré sa palme d'or, sera vite oublié.
    Cinéphiles 44
    Cinéphiles 44

    1 211 abonnés 4 030 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 28 mai 2023
    Une histoire de chute et d'une suspicion de meurtre, une histoire de procès, d'un couple déchiré, d'une mère, d'un enfant aveugle, c'est la nouvelle Palme d'or du festival de Cannes 2023. "Anatomie d'une chute" est un thriller dramatique qui ne cesse de nous questionner. Les langues se délient en français et en anglais dans une mise en scène simple, mais au rythme qui va crescendo pour mieux nous capter. Enfin, Sandra Hüller livre une prestation vertigineuse aux côtés des doux jeux de Milo Machado Graner et Swann Arlaud.
    Simon Bernard
    Simon Bernard

    110 abonnés 493 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 22 mai 2023
    Après avoir promené le chien aux alentours de la maison, Daniel retrouve le corps de son père ensanglanté sur le perron. L'enquête de police sur les causes du décès remonte jusqu'à la mère, Sandra, qui semble mener une vie de couple bien moins idyllique qu'il n'y paraissait aux yeux naïfs du jeune malvoyant. En salle le.

    spoiler: Anatomie d'une Chute se divise en deux parties : le décès et le procès qui suit l'enquête de police. La prestation de Sandra Hüller est soufflante et incarne totalement cette femme qui semble tour à tour sincère, froide, aimante, manipulatrice etc. Le doute est très bien mis en scène et persiste jusqu'au bout d'un procès intéressant. J'aurais mis 5 étoiles si j'avais eu un final plus ambitieux, car les 20 dernières minutes font retomber le soufflet si brillamment amené.
    marc labbé
    marc labbé

    2 abonnés 2 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 25 août 2023
    Tout est nul dans ce film sauf le son.
    Une palme d'or, sérieux !!!! J'ai souffert 3h, je me suis ennuyé du début jusqu'à la fin.
    Nina Gauguet
    Nina Gauguet

    1 critique Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 7 septembre 2023
    Je ne comprends vraiment pas l'engouement des critiques vis-à-vis de ce film. Annoncé comme un thriller, je me suis retrouvée devant un film insipide, plein de longueurs, mal filmé, très désagréable à regarder, des acteurs absolument pas convaincants (hormis l'actrice principale qui a ce mérite), les scènes de procès sont absolument affligeantes, surjouées, notamment par l'avocat général et la juge. Non, je ne comprends vraiment pas. J'ai regardé des centaines de thriller et ce film n'en est pas un. Aucun véritable suspense, la seule tension que j'ai ressenti était dans la scène de la dispute, seul passage intéressant du film (enfin un peu d'action et d'échanges intéressants). J'ai très bien compris ce qu'a voulu transmettre la réalisatrice, entre film féministe et voulant démontrer que lors d'un procès, en fonction du discours on peut facilement apparaître coupable. spoiler: Le tout, pour faire gros, était donc de montrer qu'une femme qui ambitionne, qui ne passe pas beaucoup de temps avec son fils, qui a trompé son mari plusieurs fois, n'est pas coupable pour autant, malgré les "preuves" qui pouvaient la désigner. Montrer également que les hommes peuvent se victimiser en tenant pour responsable leur femme... où est donc le thriller?
    Mais c'était tellement mal joué, tellement peu crédible que c'est moi qui était très tendue à la fin du film. J'ai rarement vu un film aussi mauvais nominé pour la Palme d'Or, d'autant plus avec un budget aussi élevé (pourquoi?).
    AlphaWolf
    AlphaWolf

    67 abonnés 810 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 22 décembre 2023
    Beaucoup de bruit pour un drame judiciaire qui se traine sans raison, et dans lequel règne un hermétisme peu engageant tant sur le fond que la forme. Seules la depiction d'un procès à charge, et la scène de dispute ravivent un peu l'intérêt, ce qui est bien maigre. Le choix d'un personnage principal anglophone est incomprehensible.
    jean l.
    jean l.

    148 abonnés 225 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 23 août 2023
    Quel grand film
    Un chef d’œuvre d’intelligence, de suspense , de mise en scène, d’interprétation
    Palme d’or totalement méritée et depuis ce film a gagné le prix du public dans de nombreux festivals internationaux, avec une critique unanime
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