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    EO
    Note moyenne
    4,2
    34 titres de presse
    • Bande à part
    • Culturopoing.com
    • Dernières Nouvelles d'Alsace
    • Franceinfo Culture
    • GQ
    • Le Dauphiné Libéré
    • Le Journal du Dimanche
    • Le Point
    • Les Inrockuptibles
    • Ouest France
    • Positif
    • 20 Minutes
    • Cahiers du Cinéma
    • Critikat.com
    • Ecran Large
    • L'Humanité
    • L'Obs
    • La Croix
    • La Septième Obsession
    • Le Figaro
    • Le Monde
    • Le Parisien
    • Les Echos
    • Les Fiches du Cinéma
    • Libération
    • Marie Claire
    • Paris Match
    • Première
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    • Télérama
    • CinemaTeaser
    • La Voix du Nord
    • Paris Match
    • aVoir-aLire.com

    Chaque magazine ou journal ayant son propre système de notation, toutes les notes attribuées sont remises au barême de AlloCiné, de 1 à 5 étoiles. Retrouvez plus d'infos sur notre page Revue de presse pour en savoir plus.

    34 critiques presse

    Bande à part

    par Jo Fishley

    C'est l'une des plus pures et plus innocentes histoires d'amour jamais racontées au cinéma. Un âne sentimental dans les pas de Bresson, de Stevenson, de la comtesse de Ségur et de Gainsbourg. Un Skolimowski fantastique.

    La critique complète est disponible sur le site Bande à part

    Culturopoing.com

    par Bénédicte Prot

    C’est à la fois vivifiant et perturbant de constater que le seul film en compétition cannoise 2022 qui fasse une proposition de cinéma vraiment nouvelle, forme et fond, est l’oeuvre d’un maestro de 84 ans. (...) Skolimowski suit un héros exploité de toutes parts, impuissant et avec lequel personne n’essaie plus de dialoguer – ce que son prénom onomatopéique suggère se retrouve dans la manière dont le tintamarre humain, hurlant et cognant, métallique, motorisé, bien rendu par un design sonore formidable, couvre le souffle de l’âne.

    La critique complète est disponible sur le site Culturopoing.com

    Dernières Nouvelles d'Alsace

    par Nathalie Chifflet

    Une expérience cinématographique sensible et essentielle à découvrir ce mercredi dans les salles.

    Franceinfo Culture

    par Jacky Bornet

    Des images inédites habitent ce film OVNI, où la surprise et la beauté sont dans chaque plan, sur une bande-son et une musique magnifiques.

    La critique complète est disponible sur le site Franceinfo Culture

    GQ

    par Adam Sanchez

    À la fois odyssée exaltante aux dimensions homériques, poème visuel au spleen omniprésent et fable animiste, EO demeure surtout un objet de cinéma d'une beauté absolue, aux multiples niveaux de lecture et à la richesse insoupçonnée.

    La critique complète est disponible sur le site GQ

    Le Dauphiné Libéré

    par Nathalie Chifflet

    Une œuvre puissante et sensationnelle.

    Le Journal du Dimanche

    par Baptiste Thion

    Superbe film que cette fable signée Jerzy Skolimowski, qui rend hommage au chef-d’œuvre de Robert Bresson, Au hasard Balthazar, tout en s’en éloignant.

    La critique complète est disponible sur le site Le Journal du Dimanche

    Le Point

    par Victoria Gairin

    Le grand cinéaste Jerzy Skolimowski – prix du Jury du Festival de Cannes – dresse le portrait de l’humanité à travers les yeux d’un âne. Somptueux.

    La critique complète est disponible sur le site Le Point

    Les Inrockuptibles

    par Gérard Lefort

    Fidèle à sa réputation dans nos civilisations occidentales, EO s’entête à vivre, choisit sans cesse sa liberté, saute toutes les clôtures, s’enfuit dans ses rêves dont le filtre rouge attise toutes les fantaisies.

    La critique complète est disponible sur le site Les Inrockuptibles

    Ouest France

    par Gilles Kerdreux

    EO peut dérouter mais il faut vraiment tenter cette expérience cinématographique audacieuse.

    Positif

    par Baptiste Roux

    Une fable d’une constante invention visuelle.

    20 Minutes

    par Caroline Vié

    Un conte bouleversant.

    La critique complète est disponible sur le site 20 Minutes

    Cahiers du Cinéma

    par Hervé Aubron

    Dans EO [...] Skolimowski reprend bien des figures de Balthazar, mais en les déplaçant. Si Eo apparaît, comme l’âne de Bresson, le plus souvent impassible pendant qu’on se l’approprie ou qu’on le brutalise, il n’est toutefois pas exclusivement un martyr, ne s’abandonne pas complètement à son destin – et cela vaut bien déjà un remake.

    Critikat.com

    par Corentin Lê

    Si EO, film fou et stimulant, reprend le principe moteur d'Au Hasard Balthazar, il s’en écarte nettement par son penchant pour l’expérimentation et l’étrange plasticité de ses images.

    La critique complète est disponible sur le site Critikat.com

    Ecran Large

    par La rédaction

    Porté par une musique jonglant entre le classique et le metal, EO livre alors un pamphlet troublant contre les violences animales, et dresse un portrait du monde alarmiste à la vision singulière, où l'espèce humaine est bel et bien la plus dangereuse du monde.

    La critique complète est disponible sur le site Ecran Large

    L'Humanité

    par Vincent Ostria

    Trop philosophique pour être honnête ? Peut-être, mais parfois prendre du recul, plonger dans l’inconnu et redistribuer les cartes de la fiction sont salutaires. Pour cela on peut compter sur l’infatigable Skolimowski, qui, à 84 ans, n’a rien perdu de sa foi de défricheur et d’empêcheur de tourner en rond.

    La critique complète est disponible sur le site L'Humanité

    L'Obs

    par François Forestier

    Donc : beauté formelle, admiration esthétique, ovni cinématographique. Mais… Un âne ? On se pince.

    La critique complète est disponible sur le site L'Obs

    La Croix

    par Jean-Claude Raspiengeas

    Prix du jury au dernier Festival de Cannes, ce film signe le retour au cinéma de Jerzy Skolimowski avec un poème visuel et une méditation sur l’humanité.

    La critique complète est disponible sur le site La Croix

    La Septième Obsession

    par Xavier Leherpeur

    À la philosophie humaniste et mélancolique de Bresson répond la rage amère et punk de Skolimowski. Multipliant les effets et les visuels (un écran virant au rouge, des points de vue de l’animal) il confronte la folie de l’homme à l’existence maltraitée des animaux.

    Le Figaro

    par Eric Neuhoff

    EO est un personnage de Dostoïevski. Skolimowski est un peintre. Les séquences constituent autant de tableaux. Certains coupent le souffle, tel ce plan d’un barrage crachant des flots. Sur un pont, EO stationne là, songeant à on ne sait quelle chimère.

    La critique complète est disponible sur le site Le Figaro

    Le Monde

    par Mathieu Macheret

    Le film avance, bancal mais stupéfiant, tirant au passage le portrait au vitriol d’une société brutale. Ses ersatz d’humanité se reflètent dans l’œil du petit âne, venu contredire à lui seul l’anthropocentrisme du cinéma.

    La critique complète est disponible sur le site Le Monde

    Le Parisien

    par La Rédaction

    Le vieux cinéaste chante la beauté à couper le souffle de la nature, des forêts, des arbres, d’un monde silencieux que l’homme défigure. Film très noir et tendre d’une beauté foudroyante, « Eo » nous conjure de respecter l’autre.

    La critique complète est disponible sur le site Le Parisien

    Les Echos

    par Adrien Gombeaud

    Le grand cinéaste polonais Jerzy Skolimowski signe un road-movie hors du commun, filmé à hauteur d'âne. Drôle de récit picaresque où l'animal n'est pas un compagnon de voyage mais le sujet du film tout entier. Une expérience de cinéma ébouriffante.

    La critique complète est disponible sur le site Les Echos

    Les Fiches du Cinéma

    par Paul Fabreuil

    Un film d’une beauté inoubliable, signé par le génial Skolimowski.

    La critique complète est disponible sur le site Les Fiches du Cinéma

    Libération

    par Luc Chessel

    Dans le film, plutôt que de la jouer bêtement anthropomorphique, il s’agit – pour manifester sans équivoque, dans les torsions des plans et le rythme de leurs enchaînements, les affects de l’âne Eo – de se chercher avec lui un terrain commun, une forme de communication simple, qui soit évidente au spectateur humain : où l’émotion agiterait les plans exactement comme elle agite son héros équidé.

    La critique complète est disponible sur le site Libération

    Marie Claire

    par Emily Barnett

    Une fable animiste et antispéciste.

    La critique complète est disponible sur le site Marie Claire

    Paris Match

    par Fabrice Leclerc

    POUR - Dans le formatage ambiant, voilà du cinéma libéré comme on n’en voit plus, donc chaudement recommandé.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    Première

    par Thomas Baurez

    Assurément l’un des films les plus stimulant et passionnant de cette année 2022.

    La critique complète est disponible sur le site Première

    Sud Ouest

    par Sophie Avon

    Pas besoin d’un exercice poussé d’anthropomorphisme pour voir dans la douceur de cette bête souvent maltraitée quelque chose d’humain. C’est comme si le réalisateur, revenu de la fréquentation des hommes et de leurs turpitudes, jugeait que désormais, seuls les ânes pouvaient prendre en charge notre humanité.

    Télérama

    par Louis Guichard

    Le chemin de croix d’un âne devenu le jouet des hommes, par un sorcier des images à la misanthropie assumée : le grand Jerzy Skolimowski. Fascinant.

    La critique complète est disponible sur le site Télérama

    CinemaTeaser

    par Aurélien Allin

    La conclusion, redoutable, comme une lente mise à genoux du spectateur devant sa responsabilité dans le sort animal, a beau frapper en plein bide, « Eo » semble avoir visé légèrement à côté de ce que ses plus belles scènes pouvaient promettre.

    La critique complète est disponible sur le site CinemaTeaser

    La Voix du Nord

    par Christophe Caron

    Très peu de dialogues, mais une expérience sensitive vraiment surprenante confirmant que la vie est juste une question de point de vue.

    La critique complète est disponible sur le site La Voix du Nord

    Paris Match

    par Yannick Vely

    CONTRE - Eo s'affranchit de toute narration classique pour proposer un trip formel souvent impressionnant, un peu redondant aussi, avec cette volonté parfois trop appuyée de trouver une chute à chaque séquence.

    La critique complète est disponible sur le site Paris Match

    aVoir-aLire.com

    par Laurent Cambon

    Plus qu’improbable, ce road movie animalier à travers l’Europe laisse un curieux sentiment d’incompréhension.

    La critique complète est disponible sur le site aVoir-aLire.com
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