Avis : S.O.S. Fantômes : La Menace de glace - Page 4

Mauvais mauvais, franchement encore un film ou 80% c'est des ados, enfin c'est pro ado.
Mais ques que j'en est marre des films comme ça.

Avec le message encore sur le passage de l'adolescence et la lutte des parents, truc totalement inutile dans ce genre de film, mais ça tourne au tour de ça, et tout le monde en a vraiment rien a foutre !

De toute façon c'est simple, vous avez connu SOS Fantôme avec une bande de 4 / 5 mec de 30 a 40 ans qui défonce du fantôme en mode drôle sans rentré dans le grotesque, et bas là, dès le début vous avez, un mec, ça femme, un ado de 18 ans et une gamine de 15 ans dans la voiture qui chasse un fantôme au milieu de la ville, normal.
Avec dès le début le niveau des dialogues ... comment dire ... bas ?

Et le reste n'est pas mieux, c'est nié au possible.

Seul le méchant est un peu près bien fais, mais va y après que je te place un gugus maître du feu ou plutôt maître de l'humour , rien de crédible, c'est pas fin c'est lourd, pas crédible, surjoué, et ont reprend les anciens pour dire qu'ils sont là, et au final leur rôle c'est plus que inutile, c'est tellement nul mon dieu ...

Jeanne, au s'cour !

Disons-le d’emblée : cet opus est clairement le moins bon de cette saga qui compte déjà cinq épisodes depuis près de quarante ans, entre le film original, sa suite directe, un reboot féminin trente ans après puis un legacy sequel il y a deux ans. Pour préciser un peu ce néologisme apparu récemment et devenu à la mode dans la culture hollywoodienne, il s’agit d’une suite tardive qui reprend les éléments et la mythologie du film original et certains de ses personnages pour en ajouter de nouveaux; comme a pu le faire la saga « Scream » par exemple récemment. « S.O.S. Fantômes, la menace de glace » est donc la suite de ce legacy sequel ayant rencontré du succès il y a deux ans. Symptomatique du manque de renouveau des blockbusters américains, ce procédé peut donc parfois surprendre en bien puisque le précédent était tout à fait sympathique et distrayant en déplaçant l’univers en plein désert de l’Oklahoma en plus de faire revenir les personnages originaux. Mais ici, le syndrome de l’excès semble annihiler tout charme et toute réussite à cette suite peu emballante et ce n’est pas les nombreux et parfois inutiles easters eggs destinés à satisfaire l’aspect fan service qui vont camoufler quoi que ce soit et dynamiser notre engouement.

Si, par exemple, le reboot féminin de 2016 avait attisé les foudres des fans, il était plutôt correct et surtout drôle, en tout cas bien plus comparé à cet épisode mécanique et sans âme. En effet, ici tout se veut cool mais ça ne l’est pas du tout en plus de prendre le mauvais choix de retourner à New York une quatrième fois, ce qui occasionne lassitude et prévisibilité. La trame narrative ici est classique au possible, sans surprise voire jouée d’avance : on a donc droit à un prologue exposant (plutôt bien) la menace fantastique, une séquence d’action montrant le quotidien de nos nouveaux chasseurs de fantômes, une présentation des nombreux personnages avec chacun une minuscule sous-intrigue ou posture, puis une enquête sur ladite menace et son explication (lourde et maintes fois vue) avant le tardif affrontement final. Un schéma qu’on dirait obligatoire désormais dans la plupart des blockbusters hollywoodiens, voire sortie d’une IA et qui devient lassant. Quant au final, il est expédié à la va-vite et peu impressionnant, réduit à quelques minutes dans la caserne mythique...

Les rares points positifs de cette énième resucée résultent dans la qualité des effets spéciaux, très réussis entre vintage et progrès ce qui permet de maintenir le charme des épisodes eighties. On peut aussi citer le design de la créature malveillante, plutôt qualitatif. Pour le reste, difficile de ne pas s’ennuyer devant cette bien trop longue exposition et ce qui s’en suit. Et en voulant trop en mettre niveau personnages, le film se tire une balle dans le pied. Entre les anciens qui reviennent tous, les nouveaux héros présentés dans le précédent opus et les nouveaux personnages de celui-ci on est en plein capharnaüm de comédiens qui ne font que passer ou n’ont rien à jouer. Il y en a beaucoup trop et pour rien. Là-dedans, seule McKenna Grace qui a quelque chose d’un tant soit peu consistant à incarner et un véritable profil qui se développe. Alors si ce n’est quelques séquences amusantes, on passe notre chemin c’est l’exemple parfait de la suite inutile et mercantile.

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Un film avec une multitude de personnages, bien trop pour se concentrer sur les principaux et tellement trop qu'il est bien difficile de savoir lesquels le sont réellement.
On fait revenir les anciens pour créer un peu de nostalgie et là où le précédent opus avait permis cette alchimie, ici, cela ne fonctionne plus. Le charme est rompu...
Le méchant qu'on annonce durant près d'une heure trente arrive et disparait presque aussi rapidement.
On lui règle son affaire en quelques minutes, tout compris, la fin survient presque immédiatement après ce long et impressionnant affrontement (sic).
J'ai regardé souvent ma montre, je me suis ennuyé et la seule chose que j'ai véritablement apprécié, c'est le moment où j'ai quitté la salle.
Je n'ai pas ri une seule fois, j'ai souri à deux reprises et pas suffisamment pour rentabiliser le prix de ma place.

Grosse grosse déception! Je m’attendais à un film digne des 1ers sos fantômes avec un retour des anciens de manière spectaculaires et au lieu de ça une histoire sans queue ni tête, scénario bâclé, jeux des acteurs médiocres !!!! Bref passez votre chemin ou relouez les anciens SOS fantômes

Des facilités scenaristique a pagaille, des persos clichés et peu interressant, un antagoniste mauvais et un humoir forcé... C'est tout ce que vous pouvez être certain de retrouver dans ce navet. Je n'en attendais pas grand chose, mais ca reste une grosse déception pour ma part

Mais quelle nullité, ma fille s'est endormie moi en attendant j'ai subi les références aux anciens volets avec mêmes des scènes en copier-coller, le tout sur un scénario cousu de fil blanc franchement ça me fatigue de payer pour voir de tels films.

Bon bah c’est pas bon hein. Les effets spéciaux c’est vraiment pas ça, une bonne bouillie numérique comme souvent (mise à part bouffetout). Le scenar est au ras des paquerettes. Un peu de fan service et c’est tout. Le reboot précédent était vraiment pas mal, là on use la corde autant qu’on peut. Next !

Autant le reboot "Heritage" était une vraie réussite, autant "La menace de glace" est faiblard et ennuyeux. Sur les 3 enfants que j'ai emmené le voir au Grand Rex, j'en ai même un qui s'est endormi ! On est vite rentré à la maison pour regarder le DVD du premier :-) C'est du niveau d'une mauvaise série sur Disney Channel. Aucun intérêt.

Ne venez qu'à 1h30 de film, c'est là que le méchant arrive. Auparavant, du remplissage avec du fan-service sorti du congélateur, sans saveur. Cet opus mise tout (encore) sur la nostalgie de nos joujoux d'enfant, agités sous notre nez sans réelle envie (le plan de la tête de lion devant la bibliothèque en boucle), avec maintenant un aveu criard qu'il y a une check-list "fan-service" à cocher : spoiler: Ray s'arrête pour taper sur l'épaule d'un gars en disant "Ah ça fait longtemps !", avant de repartir et qu'on ne le voit plus jamais (bon... c'était qui ? Le proprio de la biblio du 1, non ?), et fait carrément demi-tour dans la bibliothèque car il a oublié de nous refaire la scène de la mamie "chut" du premier film.
On en est là. Les anciens reviennent cinq minutes à l'écran pour ne servir à rien dans le scénario, mais pour faire la chasse à la scène "qu'on peut refaire à l'identique", et c'est épuisant. On a donc spoiler: le méchant du 2 qui revient pour prononcer les mêmes répliques qu'il y a 40 piges, on a l'interrogatoire avec le casque "passoire", on a la fuite des fantômes de la caserne (oui, "encoooore"),
on a le "Êtes-vous le Maître...", on a Bouffe-tout qui traverse Finn Wolfhard deux fois (des fois qu'on n'a pas compris la réf)... Bref, un tour au micro-ondes, et c'est immangeable. Enfin presque. On sauve le personnage de la petite-fille de Spengler, on voulait vraiment explorer son univers après l'introduction du précédent film, voilà chose faite (on aime bien ce personnage). On sauve aussi le final dynamique, et c'est à peu près tout. Car pour le reste, on a un montage de scènes qui ressemble à un patchwork (il manque le liant entre plusieurs scènes, qui font très "ah oui j'ai oublié d'expliquer ça, ça va resservir plus tard"), on rêve encore vainement de voir un jour un fantôme cool rejoindre la team (on y a cru, avant qu'on nous remplace la spoiler: sympathique Melody par San Goku en armure qui fait des kaméhaméha ridicules à la fin...
Pire personnage de ce film), et même Finn Wolfhard ne sait pas ce qu'il fait dans ce film (cette incroyable scène où spoiler: toute la famille aide la petite à tenir son pistolet à protons, sauf qu'il n'y a plus de place pour passer un bras, alors il se met derrière elle et plisse les yeux...
Fou-rire dans la salle). Pas plus à dire sur le monstre qui arrive à 25 minutes de la fin du film (et ce n'est pas comme Alien, si on ne le voit pas, ce n'est pas qu'on le cache, c'est qu'on s'en contrefiche pendant 1h30, les jeunes sont trop occupés à explorer leur psycho familiale, et les anciens à rejouer toutes les scènes des premiers films). Le monstre ? Pas le temps, alors qu'il a pour une fois un super design, des bons effets spéciaux, et un vrai pouvoir maléfique (sauf qu'il ne s'en sert jamais... Il pourrait tuer vingt fois les Ghostbusters, il s'arrête toujours à la simple menace, allez savoir pourquoi...). On ne comprend pas plus comment spoiler: il a su où étaient ses cornes, ni pourquoi Ray laisse sans surveillance sa prison sphérique juste après avoir dit qu'elle refermait probablement un esprit maléfique puissant
(ça n'a aucun sens)... Bref, un scénario vide, qui ne se concentre que sur l'exactitude des scènes à refaire dans la check-list du fan (trop) nostalgique, et à ce stade on a beau être vraiment très fan de l'univers, avoir grandi avec les films et la série animée Extreme Ghostbusters, avoir été dans le 1% d'hérétiques qui aiment le 2016, on est dépassé par l'idée que se fait ce film de nous, un grand bébé incapable d'évoluer et d'aimer les changements... Un opus creux, qui n'est qu'un fan-service surgelé.

Les fans des deux premiers films, des années 80 boiront les dernières gouttes de nostalgie de cette saga, les plus jeunes qui ont remplacé les Ancien acteurs (notamment Finn Wolfhard et Mckenna Grace) sont dénués de tout talent et de tout intérêt, bien entendu, la référence LGBTQ + est totalement artificielle, quant à l’apparition de bill murray elle est pathétique, la scène post générique marque de Plus la ferme intention de Colombia Pictures de faire d’autres suites aussi vide de sens tant que ça rapporte du pognon!

SOS j'mendors aurait pu être été le titre du film... Il ne se passe rien pendant toute la premiere partie du film une lente succession de dialogues et d'explications totalement insipides et inutiles, la deuxieme partie du film un peu plus rythmée est hélas bâclé en deux deux rien a voir avec la bande annonce ou on s'attend a voir la ville envahie et des tas d'aventures.... Bref...

Comme le précédent film sos fantôme, je pense que c'est film descent et passable , mon problème , c'est les scènes avec les petits bibundum shamallow, dans le film original, c'est Gozer qui prenait cette apparence là, ça fait peu un fan service artificiel, mais c'est passable .

Après un "Héritage" qui était vraiment mauvais, enfin qui n'était surtout qu'une copie remastérisée du premier de 1984, je n'attendais pas grand-chose de cette quatrième suite qui est en réalité le cinquième film de la franchise. Cette fois-ci réalisé par Gil Kenan, nous retrouvons les personnages du précédent volet qui doivent cette fois affronter, comme le titre l'indique, une menace de glace. Bon en vérité, c'est un fantôme emprisonné dans une boule antique qui arrive à sortir et seul un "maitre de feu" pourra le remettre dans sa boule. Bon voilà, dès le synopsis, on sent bien que c'est un peu bancal mais pourquoi pas. Et effectivement, c'est quand même un peu mieux que le précédent opus, c'est-à-dire que cette fois, ils ont un peu calqués leur scénario sur "S.O.S. Fantômes 2" mais de manière plus subtile que "L'Héritage" (enfin on quand même des plans qui sont repris à l'identique mais, encore une fois, moins que dans le précédent volet). Seulement voilà, l'histoire est complètement osef. C'est-à-dire que le film met en scène des personnages à qui on s'attache pas vraiment et qui fait revenir les anciens pour la bonne grosse dose de fan service. Et alors là, du fan service, y 'en a ! Effectivement, on a des références en pagaille qui ne servent quelques-fois pas à grand-chose ; en fait surtout là pour meubler des scènes. De même que les personnages d'ailleurs hein parce-qu'entre les nouveaux et les anciens, ça fait un sacré paquet de personnages à occuper et autant dire que certains sont juste là pour être là, comme Janine ou même Bill Murray qu'est juste là pour balancer deux/trois vannes. Et même sans souffrir de la comparaison, le film n'est objectivement pas terrible, ça reste un divertissement très prévisible avec des sous-intrigues mal torchées, comme l'histoire du fantôme brulé vif ou celle du fameux maitre du feu. Malgré tout, bon, on ne passe pas forcément un mauvais moment sur le coup, certaines scènes restent sympas et puis il y a quand même le petit côté nostalgique qui opère. "S.O.S Fantômes : La Menace de glace" est donc au mieux un film osef que l'on aura oublié une heure après l'avoir vu et au pire un énième blockbuster vraiment pas terrible.

Pire film que j'ai vu depuis longtemps, le scénario est est nul, le film est lent et il ne passe absolument rien

Si on omet quelques effets spéciaux réussis, le film est un enchaînement d’exposition sans intérêt. Quasiment tous les personnages ne servent à rien et sont beaucoup trop nombreux pour espérer un semblant de développement. Le énième retour des anciens ne fait que rajouter du fanservice. L’histoire n’a aucun sens du début à la fin et rien n’est logique en termes d’écriture.