Avis : Star Trek II : La Colère de Khan - Page 3

Deuxiéme film et surtout un grnd changement !! Ce film change surtout par plus d'action et moins de longueur que dans le premier et cette fois un énemi humain !! Le retour d'un des personnages les plus charismatique de la série original et surtout le plus sombre !! Un trés bon meme un superbe film qui est surtout marqué par le scrifice de spock pour sauver l'enterprise , ce décés a marqué les esprits !!
un superbe film

Après un bon premier volet, Star Trek revient en force avec cet opus considéré à juste titre comme le meilleur de la franchise car plus sombre (mort de Spock et retour de Khan) et plus réussi (moins de longueurs).

Un Star trek vraiment sympa a regarder. Même si le scenario est très simple et qu'il y a parfois des problèmes de rythme, le plaisir est bien là. C'est visuellement très bien foutu, les effets spéciaux sont vraiment excellent pour l'époque, le "cache-cache" dans la nébuleuse est techniquement limite parfaite. La mise en scène est elle aussi bonne. Le scenario, malgré qu'il soit simple, reste efficace, grâce au projet Genesis et a certains moments avec de l’émotion. Un bon film de science fiction.

Encore mieux travailler que le précédent opus, cette épisode ajoute un plus à la saga culte. Un collègue abondonnée sur une planète hostile par le capitaine James Kirk décide de se venger. Le plaisir des retrouvailles est évidemment de la partie et de L'Uss Entreprise. Ils y ont ajouté également une touche émotionnelle à la fin. Mais qui prédit, d'autres aventures inter galactiques.

Ce deuxième épisode de la saga Star Trek sur grand écran,est bien plus fidèle à l'esprit de la série,et donc plus convaincant. "La Colère de Khan"(1982)fait réapparaître un ennemi que les Trekkies connaissent bien : Khan,un blond peroxydé machiavélique qui en veut à mort au capitaine Kirk ,qui l'avait abandonné sur une planète,car en désaccord avec son point de vue sur l'eugénisme. Le scénario n'a rien de bien compliqué,et peut séduire aussi bien les puristes(les nombreux clins d'œil) que les néophytes(qui peuvent établir un parallèle avec "L'Empire contre-attaque",la saga concurrente...). Les personnages sont mieux développés,en particulier Chekov et Spock dont la sagesse fait merveille ici. Les effets spéciaux sont rudimentaires,mais ont contribué à des avançées décisives. James Horner remplace avantageusement Jerry Goldsmith à la musique,avec son sens de l'épique et de l'infiniment grand. Bien sûr,il faut adhérer à cet univers qui fonctionne un peu en vase clos,avec un langage technique,des équipages qui ne s'affrontent que par écrans interposés,et une qualité générale qui a du mal à dépasser un épisode rallongé de la série.

Après un premier film au succès mitigé, Paramount décide tout de même de lancer une suite à "Star Trek". Il faut dire que l'univers de la série est vaste et qu'il y a là de belles matières pour en sortir un film solide. "La Colère de Khan" tâche alors de s'éloigner du kitsch et des costume pyjamas du premier opus pour lancer l'Enterprise dans une aventure plus palpitante et plus sombre, confrontant Kirk à un vieil ennemi, le désormais célèbre Khan, incarné par un Ricardo Montalban en grande forme. Ce grand méchant fait la force du film, poussant certains personnages dans leurs retranchements. Il reste cependant en retrait pour laisser la part belle à Kirk dont on apprend pas mal de choses. Les seconds rôles ont également de l'importance, en témoigne l'acte de Spock dans la dernière partie du film. Rythmée, lorgnant sur l'aventure et l'esprit d'équipe tout en ne lésinant pas sur la noirceur, cette "Colère de Khan" a beau avoir légèrement vieillie, elle n'en reste pas moins l'un des modèles de la saga, avec une mise en scène plutôt inspirée et une intrigue bien travaillée.

Après un premier opus psychédélique et surtout très lent, les producteurs décident de changer d'orientation. Finis les long travelings sur les vaisseaux ou le scénario mystique : cette suite est beaucoup plus tournée vers l'action, et propose un rythme nettement plus soutenu. Cette fois, Kirk affronte un vieil ennemi abandonné sur une planète déserte, qui refait surface pour se venger. Que ce soit par la mise en scène, l'intrigue, ou les effet spéciaux, on se rapproche plus d'un long épisode de série TV que de la qualité des films de SF ambitieux de l'époque. Sans compter un côté parfois kitsch dans l'ensemble. Mais le film propose un scénario riche en péripéties et en combat spatiaux, un univers visuel plus recherché que son prédécesseur (notamment au niveau des costumes), et l'on notera aussi un humour plus présent. En outre, l'infâme Khan, très théâtral, est un méchant idéal pour un récit de space opéra. Divertissant.

Considérez par certains comme le meilleur opus de la saga, je dois dire que je me suis un peu ennuyé devant cet interminable épisode qui propose certes quelques bonnes scènes et une histoire un peu plus élaborée, je n'accroche définitivement pas avec cet univers. La mise en scène est sympa, proposant quelques plans sympas avec des batailles plutôt dynamiques mais pour le reste, rien de bien passionnant pour moi. Je suis passé à côté du film tout en reconnaissant le soin apporté aux décors, aux costumes et à certains points de l'histoire, le film bénéficiant de bons effets spéciaux. Après, ça reste cheap pour l'imaginaire et kitsch au niveau de l'interprétation. D'autres critiques sur

Bon alors de ce que j'ai compris, ce deuxième opus de la franchise cinématographique "Star Trek" réalisé cette fois par Nicholas Meyer et sorti en 1982, est un des plus appréciés des fans. Au risque de heurter ces derniers, je n'y ai pas beaucoup plus vu d'intérêt que dans le précédent. Enfin si, là on a quand même l'action, complètement absente du précédent film, d'ailleurs incluse dès le début. Effectivement, le film commence par une attaque de Klingons mais c'est en réalité une cession de tests pour la future commandante Saavik. Eh oui, une femme aux commandes, c'est plutôt rare dans les années 80 mais pourtant, ce fut pensé dès la création de la série par Gene Roddenberry avec le personnage de Number One mais ensuite retiré par NBC parce-que bon, les années 60 quoi. Mais ce personnage revient donc en force ici en occupant le même poste, à savoir celui de premier officier aux côtés du capitaine Kirk dont ce dernier lui laissera quelques-fois carrément la barre de l'Enterprise. Eh oui, ce n'est pas un personnage féminin que l'on relègue au second plan, ici, elle a réellement de l'importance, participe aux missions, a de l'assurance, bref en impose quoi. Le film en profite également pour aborder l’âgisme avec des personnages vieillissants, majoritairement masculins, peu à peu "remplacer" par une nouvelle génération, se composant donc de plus en plus de femmes fortes. C'est un peu la parabole de l'évolution de la société des années 80 façon "Star Trek" quoi, qui n'a d'ailleurs jamais été un univers si bête que ça en abordant au contraire des sujets importants et "osés" pour l'époque. Mais seulement, pour en revenir au film, bah on s’ennuie beaucoup ! Même si ça bouge un peu plus et qu'on a (un peu) plus de décors que dans le premier film, le tout reste quand même très mou. Et même si les costumes ont fort heureusement évolués, de même que les effets spéciaux, le tout reste quand même très kitsch. Et ce n'est pas vraiment un problème en-soi car la première trilogie "Star Wras" a aussi pris un sacré coup dans la tronche mais elle reste toujours aussi intéressante malgré les années, sûrement car elle écrite avec plus de subtilité (et pourtant, c'est une trilogie qui ne l'est absolument pas). "Star Trek II : La Colère de Khan" est donc regardable mais avec quand même pas mal d'ennui.

Remplaçant Robert Wise dont l’adaptation cinématographique de Star Trek n’a pas su séduire le public, Nicholas Meyer tâche d’offrir à la franchise une approche plus rythmée et une intrigue plus palpitante que lors du premier opus. L’approfondissement des personnages principaux et de leurs relations internes sont également la preuve d’une volonté d’écriture s’adressant à un public plus large que la fanbase de la série culte. Disposant d’un budget colossal lui donnant accès à des effets numériques à l’époque révolutionnaires, le réalisateur fait de la bataille que se livrent l’équipage de l’Enterprise et un adversaire revenu de la série originelle un grand spectacle visuel dont les enjeux tentent de flirter des interrogations métaphysiques profondes sur les origines de la vie. L’intensité dramatique de la conclusion ne peut que laisser l’impression d’être face à une réponse qu’a voulu faire la Paramount à L’empire contre-attaque sans réussir à lui insuffler la dimension épique qui peut faire d’un space-opéra un chef d’œuvre interplanétaire.

On sent dans ce film une volonté de se rapprocher un peu plus de la série de départ. Fini l'introduction pour les non-initiés et c'est parti pour l'entrée de plein pied dans l'univers. Avec une histoire dont la structure se rapproche fortement de celui d'un épisode de série, à la différence qu'il fait deux heures. L'histoire nous en apprend donc un peu plus sur l'univers même de la saga, ses personnages. On y voit cependant quelques raccourcis et des passages assez faciles, parfois même trop facile. Une histoire divertissante à souhait, proposant un méchant avec un charisme rare, mais trop prévisible par moment. C'est bien dommage, car dans le fond c'est vraiment pas mal du tout. Le casting reste assez proche du premier épisode : les habitués sont à l'aise, les nouveaux personnages sont corrects. Techniquement, on retrouve ce qui avait la force du premier film, même si la mise en scène se permet moins de plans grandioses (n'hésitant d'ailleurs pas à emprunter au premier film). Une musique toujours aussi chouette, même si le thème principal se fiat moins présent (mais du coup, moins répétitif). Une suite relativement correcte et très plaisante.

Ce second volet n'aura été qu'une quasi perte de temps, 30 min plus court que le premier, un jeu global aussi théâtrale que faux, une direction molle et presque aucune musique de fond. Le peu d'action spatiale reste amusant mais prouve les basses ambitions filmographique de l'époque. Pour un titre vendant une colère, son principal intéresser Ricardo Montalbán aura réussi à ringardiser un personnage devant être sombre, son costume fut le summum du ridicule et importa à lui seul, la mode disco dans un vaisseau devant être futuriste, accompagner d'un équipage habiller tel des Clodettes attendant la musique pour accompagner son CloClo spatial. Son jeu fut aussi mauvais que presque comique tant encore une fois, la "colère" fut absente. Seul point fort, la quasi poésie visuelle de l'espace lointain.

Si le premier Star Trek m'avait surpris par sa lenteur toute contemplative, m'est venue l'idée de continuer la saga, voire de la terminer dans son intégralité. Et tandis qu'on y trouvait une sorte de space-opéra lent, principalement porté sur la découverte spatiale que sur des combats de pistolasers, Star Trek : le film offrait une alternative intéressante à la saga nouvellement nommée Star Wars.

Une suite devait forcément voir le jour, et qui dit grande saga, sous-entend forcément grande figure du mal. C'est en la personne de Khan que les scénaristes choisiront la Némésis de leur film : kitch à en crever, il se pavanera tout du long en coll v de panthère, avec sa coiffure glam rock et son crew à la Skid Row. Terrible à voir autant qu'à entendre, il ajoute à son apparence physique surprenante un surjeu du tonnerre de dieu, propre au ridicule et au nanardesque de quelques passages quelque peu grotesques.

Peu charismatique, il tente de se dépatouiller de son rôle en faisant tout ce qu'il peut, pas bien aidé par quelques lignes de dialogues des moins habiles et travaillées. Nimoy campera en bon ennemi de notre méchant; toujours aussi charismatique et imposant en Spock, il fera ici preuve d'encore plus d'humanité qu'à l'accoutumée, le film partant dans l'idée de développer les thèmes de l'amitié, de la mort et du deuil, de l'acceptation de choix difficiles pour le plus grand nombre, et du fait que c'est en étant humain que l'on peut soit refuser de se sacrifier, soit se soumettre à la vision terrible de la mort imminente d'un être cher.

Plutôt bien rebattus, ces thèmes trouveront leur apogée dans un final certes spectaculaire dans son lancement, mais étrangement dramatique et poignant dans sa conclusion; petite surprise s'il en est, la fin de Star Trek II : La Colère de Khan marquera, si ce n'est les esprits, une pierre angulaire dans l'univers de Star trek, malheureusement rejetée à la mer par le film suivant, et pas forcément de la meilleure des manières

On s'interrogera par ailleurs sur l'utilité d'avoir amené dans l'histoire le fils du Captain Kirk, à peine développé dans l'intrigue et ne jouant pas mieux que son père. Il est vrai qu'entre un William Shatner qui fait n'importe quoi quand il doit jouer des séquences émotions et le jeu encore plus incertain du sympathique mais grotesque DeForest Kelley, on n'aura pas grand chose à se mettre sous la dent niveau acteurs.

La caractérisation des personnages manque par ailleurs de profondeur ou de justesse, si ce n'est le développement intéressant d'une nouvelle Vulcaine en la personne de Saavik, interprétée par une Kirstie Alley agréable et charismatique et qui découvre les sentiments et ressentis de l'homme avec les yeux d'un enfant déshumanisé. Tout comme Spock, on pourrait lui prédire une montée progressive vers la compréhension des sentiments et des humains en général, si les films suivants devaient lui donner plus d'importance, ou pousser son développement intellectuel encore plus loin.

Et même si la mise en scène pourra lui donner un côté série TV que le film précédent avait su abandonner avec pertinence, coupant malencontreusement le rythme par bien des moments des suites de plans et cadrages peu inventifs ou dynamiques, on retiendra tout de même une évolution des effets spéciaux des plus appréciables qui nous donne la possibilité d'observer, dans Star Trek, des combats spatiaux visuellement travaillés et spectaculaires. C'est un plaisir à voir, autant que le film manque parfois de rythme.

Un résultat en demi-teinte, donc, qu'on saurait apprécier de plus bel sans le surjeu de maints acteurs et ses longueurs disséminées ici et là au grand dam du spectateur. .

Je n’ai toujours pas vu la série d’où est tirée cette série de films mais je trouve ce film bien plus accessible que le précédent. Je l’ai d’ailleurs préféré ; effectivement, ce deuxième opus est vraiment un bon film. Le scénario nous montre des enjeux beaucoup plus limpides et la mise en scène est clairement mieux rythmée.

L’univers de “Star Trek” est toujours passionnant à parcourir et à découvrir et c’est encore une fois le cas dans ce film. L’histoire en elle-même met un peu de temps à démarrer mais elle est très prenante et les enjeux sont intéressants ; j’ai d’ailleurs senti plus d’émotions dans le jeu des acteurs. En effet, les protagonistes sont beaucoup mieux développés et ont plus d’alchimie entre eux. Cela n’en reste pas moins cliché ; autant dans les intrigues principales que secondaires et surtout, c’est très manichéen. Quoi qu’il en soit, la narration est assez classique mais sait comment nous capter pendant le temps de la durée du film.

Je trouve que la réalisation est moins contemplative mais plus stimulante ; c’est une bonne évolution, on connaît l’univers, maintenant le cadrage est plus intimiste et les mouvements de caméra sont beaucoup plus doux et calmes. Dans la même idée, la musique ne se contente plus aux mêmes notes en continue ; l’émotion pourrait être le mot d’ordre de ce film. Sinon, la direction photographique est soignée de la même manière que lors du premier film et les effets spéciaux sont un peu plus convenables. Concrètement, une réalisation qui ne fait que s’améliorer en vu du précédent film.

Pour le coup, je recommande plus ce film que le premier film ; le scénario est plus prenant et la réalisation plus fraîche et symbolique.

Le deuxième opus de la franchise Star Trek s’avère moins beau et profond que le film original (il faut dire que le budget a fondu comme neige au soleil). Néanmoins, sur le plan de la narration comme sur celui du rythme on ressent une nette amélioration. Le visionnage s’avère donc un peu plus agréable, notamment grâce à quelques bonnes idées (les parasites cérébraux, le projet Genesis…) et à un final très émouvant, avec la disparition d’un membre oh combien emblématique de l’USS Enterprise. Bien évidement, les scénaristes n’assumèrent pas ce choix radical et le personnage fut ressuscité dès l’épisode suivant.