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FABULOEUF
12 abonnés
392 critiques
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4,0
Publiée le 5 septembre 2007
Un très réjouissant déferlement de tartes et de baffes administrés par deux orfèvres en la matière, les Laurel et Hardy Italiens, Hill et Spencer ou Girotti et Perdersoli si vous préférez.
Aaahh, les films avec le duo Hill/Spencer ont vraiment marqués mon enfance. De la bagarre, des bons mots, des grosses baffes, des gags et des meubles brisés. C'était la recette et elle était toujours bonne. Sauf que..., à 10 ans, on s'en contente. Plus tard, on voit bien tous les défauts de ces films recyclant le même schéma, le tout tournés par des mercenaires qui savent à peine tenir une caméra et au scénario complètement grotesque. Je me suis presque ennuyé devant ce film mou, à l'intrigue poussive et tarabiscotée mais en entendant le bruit des bonnes grosses baffes donnés par ce bon vieux B. Spencer, j'ai rit. C'est du cinéma d'exploitation facile et rentable mais c'est assez amusant. Pas vraiment le meilleur du duo. D'autres critiques sur
Quand il faut y aller, faut y aller est un film médiocre de Enzo Barboni. La mise en scène est simple, le scénario est peu intéressant mais maitrisé, les acteurs comme Terence Hill, Bud Spencer ou encore Buffy Dee sont convaincants dans leurs rôles… Mais le film est peu divertissant et je me suis un peu ennuyé. Bref je vais mettre un 10 / 20.
Malgré une grosse incohérence lorsque les deux héros passent des toilettes d'un restaurant à un bateau en pleine mer (!?), "Quand faut y aller, faut y aller !" reste un bon film avec le duo Hill-Spencer, avec moins de bagarres mais plusieurs gags marrants.
Quand faut y aller faut y aller est une nouvelle bonne collaboration à mettre à l'actif de Enzo Barboni et du duo Bud Spencer/Terence Hill. Il s'agit d'un film classique quand on connait les deux acteurs mais toujours aussi efficace car très drôle grâce aux dialogues sur-mesure et à l'action. L'un et l'autre jouent deux ex taulards se retrouvant par erreur agents de la CIA et devant lutter contre une mystérieuse organisation terroriste et son chef K1 d'où la réflexion de l'ami Bud : "Ce K1, c'est un cas, hein..." Bien sûr que tout ceci est exagéré, en particulier les ninjas, mal joué, mais il serait bête de bouder notre plaisir devant un tel spectacle à mettre entre toutes les mains.
Une comédie très avare en scènes cocasses et en bagarres !! Des bastons qui font la part belle à notre duo qui s'en donne à cœur joie !! Forcément ça me fait rire !!
une comédie encore avec le duo Terence Hill et But spencer qui a pour but de divertir sans trop de prise de tête. Cela marche le public rigolera quelque fois devant malgré tout on trouve parfois le temps un peux long car quand on regarde ce qui est dommage car les personnage et le duo fonctionne toujours aussi bien mais certains personnage secondaire on un doublage VF juste abominable , quelque propos raciste envers les chinois (même si a l'époque c'était courant ) , histoire celle de 2 personne qui vons être confondue avec des agent secret et se trouver en possession de plusieurs chose qu'il ne devrait donc pas avoir en temps normal , il seront surveiller et auront des gens à leur trousse de partout avec une fin plutôt bien .
Comédie pachyderme au rythme mollasson. Quiproquos foireux, péripéties navrantes, scènes d'action ridicules, humour qui ne décolle pas... Avec, en leitmotiv, un numéro de ventriloque consternant. Terence Hill et Bud Spencer sont des Laurel et Hardy pas drôles du tout. Dans ce film, seuls les bruitages des castagnes, exagérés, sont rigolos. Côté scénario, on remarque une "tentative" de parodie de James Bond, avec une voiture à gadgets et divers accessoires tels que spray aphrodisiaque et papier toilette ultrarésistant. La classe. Il y a aussi un méchant nullissime (baptisé "K1" en version anglaise - cela s'entend "Caïn" en version française) qui veut devenir le maître du monde. Enfin, côté dialogues, on retiendra cette perle : "Quand faut y aller, faut y aller", dit Rosco - "Quand on est con, on est con", réplique Doug. Tant de lucidité rassure.
"- T'imagines un monde sans nombre ? Au football y'aurait plus de score !" Un de mes Spencer/Hill favoris et un de leurs derniers d'ailleurs. Toute l'intrigue est basée sur un énorme quiproquo; nos deux loustics sont ici deux fuyards qui sont pris pour des agents secrets en mission. On a donc droit à une énorme parodie de l'univers de James Bond (et de ses personnages récurrents) et du genre espionnage. On découvre donc des gadgets tels que le papier toilette indestructible, l'aphrodisiaque en spray, la bagnole qui balance des bains d'huile ... Et des personnages tous plus loufoques les uns que les autres (la bande de ninjas, le grand méchant K1 ...) Le scénario est bon, pas de temps morts, les vannes et les baffes fusent et les situations de grand n'importe quoi s'enchaînent, la palme revenant aux "toilettes téléportatives". Bref, c'est toujours un plaisir et une détente de retrouver ces deux olibrius.