Avis Marvel's Jessica Jones - Page 2

Ce n'est pas le genre de série qui relève le niveau intellectuel mais qui à l'avantage de distraire. On fait abstraction des aberrations du style, le junky qui au bout d'1 semaine est clean.. nc.. on dira que ce sont les pouvoir surhumain des Marvel qui a fait le travail. Dans l'ensemble la série est distrayante et si les séries qui se prolongent deviennent de pire en pire au fil des épisodes , on peut dire que Jessica Jones est comme le bon vin , plus il y en a, meilleur c'est

Tellement déçue... Tout sonne faux. La mère de JJ qui revient et veut devenir "gentille", c'est d'un ridicule !! Pareil pour Trish et ses envies soudaines de pouvoirs. Les mésaventures de Jeri qui s'est fait duper et voler son "Vuitton" ? On s'en tape complètement. Et Cheng, il sert à quoi ? Il fallait un quota d'asiatiques ? C'était ennuyant. Zéro émotion. C'est mal écrit, incohérent. Un ratage total. Seul Malcom, trop peu exploité, évolue. Et on devine la saison 3 : la blonde contre la brune. Quel cliché !! Désolant.

Apres daredevil qui est pour moi la meilleur serie de super héros . Marvel penche sur un personnage feminin jessica jones qui n'est pas tres connu contrairement a tout les heros marvel . Plus cool que daredevil mais moin prenant , jessica jones est une serie assez sombre est psychologique a l'image du mechant de la saison kilgrave plus connu sous le nom de l'homme pourpre dans les comics qui me fais penser un peux au joker . Kristen ritter est super dans la peau de jessica jones qui est devenu detective privée apres une courte duree de super-heroine qui a été un fiasco commence a sombre dans l'alcool . On a des personnage de ssecond comme luke cage qui va avoir sa propre serie et deja tres convainquant . Le seul bemol c'est que le final est un peux bâclée et j'aurai bien aimé voir matt murdock passé une tete dans la serie mais bon dommage , mais sinon un bon divertissement .

Je suis déçue de cette serie trop plate pas assez d’intrigues un méchant avec de grands pouvoirs mais qui les utilisent pas réellement boff un grand n’importe quoi pas assez de détails sur l’actrice principale bofffff

Alors que les Studios Marvel tardent encore à donner à ses super héroïnes un film en solo, Jessica Jones est la deuxième femme à avoir le droit à une série télé après l'Agent Carter. C'est à la scénariste Melissa Rosenberg qu'a été confié l'adaptation de la bande dessinée Alias qui raconte comment l'ex-super héroïne est devenue agent secret. Un choix plutôt judicieux bien que risqué car le parcours de la scénariste comprend la série DC Comics Les Anges De La Nuit comme les scénarios des films 2, 3, 4 et 5 de la saga Twilight.ainsi que nombreux épisodes de Dexter.

La série Jessica Jones se déroule elle aussi dans le quartier de Hell's Kitchen peu de temps après les événements du premier film Avengers et de la première saison de Daredevil. Elle s'inscrit donc aussi dans la phase 2 du Cinematic Universe et dans les plans de Netflix qui compte produire des séries dédiés à quatre super héros Marvel avant de les réunir dans la série The Defenders qui pourraient rejoindre par la suite la deuxième partie du film Avengers : Infinity Wars.

Le rôle de Jessica Jones a été donné à Krysten Ritter, une actrice à la carrière déjà bien étoffée mais que l'on a surtout vu jusque là dans des seconds rôles. Elle était notamment dans Big Eyes, le dernier Tim Burton où elle jouait la meilleure amie de Margaret Keane ainsi que dans la série Don't Trust The B In The Apartment 23. D'habitude plutôt habituée aux rôles sexy, elle est ici très masculine avec une tenue jean + débardeur lui venant de l'adolescence et qu'elle ne quitte que très rarement.

Le scénario de la série s'éloigne des habituelles histoires de super héros pour se rapprocher du polar. Il y a très peu d'effets spéciaux et la série enchaîne plus de scènes de dialogues et d'investigation que les scènes d'action. D'ailleurs on a parfois des doutes sur les capacités spéciales de Jessica Jones qui pour une super héroïne a tendance à se faire souvent maltraité par ses adversaires pourtant sans pouvoir. Contrairement à ceux de Daredevil, ces combats sont d'ailleurs très mal chorégraphiés.

Les premiers épisodes semblent clairement destiné à nous présenter le personnage de Luke Cage, joué par Mike Colter (The Good Wife), qui sera le prochain héros Marvel à avoir sa propre série sur Netflix. Il faudra attendre le cinquième épisode pour que l'intrigue prenne de l'ampleur avec les premières scènes de Killgrave, le grand méchant de cette première saison incarné brillamment par David Tennant, second ex-Dr Who à jouer les méchants dans le M.C.U. On surveillera alors avec impatience toute scène avec ce grand malade capable de manipuler l'esprit de n'importe qui et lui faire faire les pires choses imaginables.

Autre star à l'affiche de la série, Carrie-Anne Moss, célèbre pour son rôle dans la trilogie Matrix, incarne Jeri Hogarth une avocate pas très honnête qui a un second rôle assez important dans la série. Il y aussi de très belles actrices encore peu connues comme Rachael Taylor (666 Park Avenue) joue Trish Walker, meilleure amie de Jessica Jones et star d'une émission radio. Erin Moriarty, victime malheureuse de Killgrave que Jessica cherche à sauver et Susie Abromeit, amante de l'avocate. Eka Darville vu dans Empire incarne le sympathique voisin de Jessica et Will Traval joue Will Simpson un flic manipulé par Killgrave porteur de lourds secrets.

Véritable pendant au féminin de la série Daredevil, Jessica Jones s'oriente plus vers le thriller psychologique que la série d'action. Moins de combat mais plus de suspense et de révélations tordues qui méritent de s'accrocher un peu pendant les quatre premiers épisodes pour permettre à la série de décoller. Le casting est impeccable avec une Krysten Ritter qui trouve ici son plus grand rôle et un David Tennant terrifiant dans son premier rôle de méchant.

Jessica Jones n'est pas terrible et les facteurs sont multiples. L'intrigue s'attarde sur des choses inutiles et passe en coup de vent sur des instants qui auraient pu durer bien plus longtemps ( spoiler: le divorce de l'avocate et l'entrainement de Kilgrave, pour ne citer qu'eux
). Les enjeux ne sont pas élevés et n'évoluent jamais ; certes ils tiennent la route pendant les cinq premiers épisodes mais au delà, on a le sentiment que la série se fout de nous. Les personnages secondaires sont inutiles, ennuyeux et mal interprétés (la palme revenant au jumeau de Captain America, ou à la voisine, j'hésite). L'esprit de dualité entre l'héroïne et son antagoniste est mal articulé, et ce qui aurait pu donner un conflit digne de Death Note n'est en réalité qu'une espèce de dispute familiale. Et enfin, le dernier problème de cette série : son méchant sous exploité. Bien que David Tennant soit très bon dans son jeu, il ressemble plus à un harceleur psychotique amoureux qu'a quelqu'un voulant faire le mal. De plus, malgré un pouvoir avec lequel il pourrait faire des choses impressionnantes (ce type pourrait renverser des gouvernements, rien que ça), il reste dans une utilisation assez bateau du contrôle mental. Les qualités de Jessica Jones sont rares : La réalisation est correcte, les dialogues sont bien écrits et le rythme se tient ; ce qui fait peu. A éviter. Vivement la saison 2 de Daredevil.

saison. l'intrigue est vraiment sympa et le méchant très charismatique. par contre pour le reste. des personnages détestable, des épisodes qui traînent en longueur. dommage

serie centre sur jessica jones une serie tres bien ecrite et une serie avec une ambiance asser realiste et qui pour une foit nous montre une heroine brise.

J'étais curieux de voir les nouvelles séries Marvel.
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Je suis tombé sur Jessica Jones.
Bon début avec une intro conceptuel qui laisse très vite place au doute. La série commence sur un rythme lent et ennuyeux.
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Le message LGBT, malheureusement très mal amené, totalement gratuit de la saison 1, n'apporte rien à la trame principale. Font alors perdre un rythme déjà soporifique.
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spoiler: A part entre Luke Cage et Jessica Jones (pour ceux qui ont lue le comics) dont la relation avec Jessica est intéressante du point de vue du caractère et des pouvoirs des 2 personnages, lié à la trame principale et pourtant, trop court.

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Les scènes de sexes sont nombreuses, longues, dérangeante. C'est terriblement malaisant pour le spectateur. On se surprends à coupé le son et allé se faire un café le temps que ça passe.
On y découvre une Jessica Jones, sale ! Qui couche avec le 1er venu, pour ensuite traiter d'autres personnages de "pervers".
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Une réalisation incohérente, incomplète.
La réalisatrice de toute la saga Twilight nous montre ici quel peut aussi massacré du Marvel.

Trop d'originalité tue l'originalité, c'est un peu l'impression que me laisse cette série, après avoir avalé la saison 1 de dardevil, et dans un soucis de ne pas bafouer l'ordre chronologique des séries Marvel Netflix, je me suis laissé tenté par Jessica Jones.
Résultat, je me demande si je vais aller au bout de cette série ( episode 7/13 ) ,je suis déjà gavé.
Manque de rythme, le choix de mettre l'aspect super héros au second plan pour se diriger vers une héroïne en conflit existentiel est certes original mais ça gonfle vite remarque la remise en question et la renaissance devrait par la suite nous réconcilier avec l'héroïne, mais je trouve les personnage assez inconsistants, le méchants est un stalker, les personnages secondaire hormis cage ne donne pas envie d'en apprendre d'avantage sur eux et le scénario .........( bon 7 épisode ce n'est pas encore assez pour juger du scénario, ca devrait pourtant mais bon je regarde la suite et je regretterais ou pas).

"Marvel's Jessica Jones" s'impose comme un chef-d'œuvre incontournable du genre super-héroïque, offrant une expérience de visionnage captivante et profondément nuancée. Krysten Ritter incarne de manière exceptionnelle le rôle principal de Jessica Jones, apportant une complexité et une intensité à son personnage qui transcendent les tropes conventionnels des super-héros. La série se démarque par sa tonalité sombre et mature, explorant des thèmes tels que la traumatologie, la résilience et le pouvoir de l'autonomisation.

L'intrigue de la première saison, centrée sur la lutte de Jessica contre Kilgrave (David Tennant), est un modèle de narration captivante. Le suspense est maintenu à un niveau haletant, et le traitement des conséquences psychologiques du contrôle mental donne une profondeur émotionnelle rarement atteinte dans le genre. La manière dont la série aborde les questions de consentement et d'abus de pouvoir la distingue comme une œuvre courageuse et socialement pertinente.

Outre la performance exceptionnelle de Ritter, le casting dans son ensemble est remarquable. Chaque acteur apporte une dimension unique à son personnage, enrichissant ainsi l'ensemble de l'histoire. Les relations interpersonnelles complexes entre les personnages, qu'elles soient amicales, familiales ou romantiques, ajoutent une couche de réalisme qui renforce l'immersion du spectateur.

La deuxième saison de "Jessica Jones" poursuit brillamment le développement du personnage éponyme, explorant davantage son passé et les origines de ses pouvoirs. Les thèmes de l'identité et de la recherche de soi sont habilement tissés dans l'intrigue, tout en maintenant un équilibre judicieux entre l'action palpitante et les moments plus introspectifs.

Enfin, la troisième saison offre une conclusion satisfaisante à l'arc narratif de Jessica Jones. Elle se concentre sur l'exploration des conséquences de ses actions passées et sur son parcours vers la rédemption. L'écriture intelligente et les performances exceptionnelles des acteurs font de cette saison une conclusion digne et cohérente pour l'ensemble de la série.

"Marvel's Jessica Jones" se distingue donc par sa capacité à transcender les conventions du genre super-héroïque en proposant une histoire riche en complexité émotionnelle et sociale. Elle laisse une empreinte durable en tant que série qui ose aborder des sujets difficiles, tout en offrant une représentation puissante d'une héroïne forte, indépendante et complexe.

Que dire de Jessica Jones ???

Série très bien réalisée, avec une très belle Jessica au cœur sombre mais rempli de bonté qu'elle tente de cacher...

Une histoire très bien ficelée et doté d'un certain humour que j'apprécie et également avec des menaces charismatiques...

Bref cette série j'adore même si la première saison reste la meilleure des trois...

Pour cette deuxième franchise entre Marvel et Netflix le contrat tiens la route pour cette Jessica Jones( Krysten Ritter) qui nous plonge dans une série plutôt sombre et punchy .
L'actrice tient sont rôle en enquêtrice froide et antipathique bercée par son addiction au bourbon ^^ ( référence à Breaking Bad)
J'aurais juste aimée la voir un peu plus Fun et Rock and Roll à la Californication pourquoi pas par exemple .
Elle n'en reste pas moins superbe car c'est une Héroïne qui sort des sentiers battus !

La saison 1 est vraiment déjanté avec ce killGraves qui casse tout les codes du méchant de base avec sa pointe d'ironie et d'humeur noir à l'anglaise.
Le duel est vraiment passionnant et donne un élan de folie comme il se doit pour booster l'intrigue à haut niveau.
La saison 2 pour moi commence déjà à perdre de son intensité, moins de folie, moins de mystère, sa tourne en rond pour expliquer et clore l'histoire qui l'a amener à être Jessica Jones.
La saison 3 elle est intéressante dans le fond mais le méchant surdoué m'a laissé perplexe sur sa capacité à atteindre un niveau de peur ou d'angoisse suffisante pour nous plonger dans une vrai intrigue policière entre le génie du crime et une détective hors pair ! Il manque cruellement d'un affrontement à la True detective pour envoyer du lourd dommage.

En résumé cette série ce digère bien malgré tout !

Une très bonne série, le côté Marvel à été étonnement bien dosé (pas à outrance). Le scénario est sympa et accrocheur, l'univers est soigné, les acteurs sont à la hauteur de leur rôle. Je recommande cette série.

Malgré une ambiance identique à celle de Dardevil ou Punisher, une bonne esthétique et distribution de qualité, le personnage fonctionne moins bien de mon point de vue. Par contre je reste marqué par son méchant principal d'où la note favorable.