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    Sex Education
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    44 critiques spectateurs

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    Nicolas L.
    Nicolas L.

    69 abonnés 1 671 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 15 octobre 2023
    Très bonne surprise que cette première saison. C'est intelligent, gonflé et surtout c'est drôle ! Un vrai attachement pour les protagonistes et du rythme.Je vais sans aucun doute me mater la suite...
    RealPrime
    RealPrime

    61 abonnés 1 636 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 2 mars 2024
    Rarement une série n'aura aussi bien portée son nom, le sexe et sa psychologie dans tous ses états avec ses morales et scènes cocaces. Une distribution bien inconnue qui aura notamment permis à la française spoiler: Emma Mackey de se faire un nom et d'obtenir le premier rôle féminin du côté des ados avec un personnage aussi rebel que direct. De son côté, Asa Butterfield ("La Stratégie Ender", "Miss Peregrine et les enfants particuliers"...) performe dans la peau de cet ado sans aucune expérience physique et morale, une timidité extrême bien poussée qui vaut à son rôle d'avoir une particularité que l'on pourrait limite jugée d'impensable, sa mère est sexologue. Un avantage massif qui lui permettra tout au long de cette première slave d'expérimenter moralement toutes les facettes du sexe. La mère justement, Gillian Anderson en double jeu, mère assez envahissante dans la vie de son fils et psy / écrivaine dont la franchise verbale est naturellement étonnante. Un casting secondaire impeccable explorant tour à tour les différentes vies et comportements des ados, leur but en plus de leur scolarité, un proviseur superbement jouer par Alistair Petrie qui perfectionne l'autorité d'autan en plus d'être un père bien absent pour son fils, gros caïd du lycée
    . 8 épisodes riches et passionnants qui ouvrent facilement la voie sur la suite à vivre sans modération.
    Cinémotion
    Cinémotion

    4 abonnés 126 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 12 décembre 2023
    C'est frais, c'est émouvant et drôle et ça aborde des sujets dont on a pas l'habitude d'entendre parler dans les séries pour jeunes adultes. Une bonne première saison!
    Candyortiz640
    Candyortiz640

    3 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 janvier 2024
    Sex Education Season 1 a été une découverte personnelle vraiment divertissante pour moi. Les situations comiques, les personnages attachants et la manière franche d'aborder des sujets délicats ont rendu cette série particulièrement agréable et m'ont permis de m'identifier à certains moments.
    Fêtons le cinéma
    Fêtons le cinéma

    600 abonnés 2 785 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 septembre 2019
    Il est une scène dans le sixième épisode où Maeve retrouve le pull de son ami Otis et le respire tendrement ; nous, spectateurs, savons qu’il s’agit du pull d’Otis prêté quelques minutes plus tôt ; un plan vient pourtant cadrer l’étiquette au niveau du col intérieur sur laquelle apparaît l'inscription OTIS. Cette destruction du symbole reflète parfaitement la politique suivie par Sex Education : marteler au burin une contre-éducation sexuelle exercée en deçà des cadres scolaires et où Netflix prendrait le relais, assumerait ce poids énorme imposé aux familles, aux enseignants et aux jeunes. Pour cela, la série se structure autour du point de vue d’un protagoniste avant tout fils de, fils de sexologue en l’occurrence. Cette profession a priori anodine, qui serait de l'ordre du ressort comique pur et dur, transfert cependant le savoir du sexe depuis une science vers une série. Et qui dit sexologue dit gage de véracité, induit une adéquation fiction = science. Parlons-en, de ce protagoniste principal : un jeune pré-pubère terrifié à l’idée d’être encore vierge dans un monde où coucher est une valeur sociale ; en d’autres termes, il équivaut au héros de 13 Reasons Why, série également produite par Netflix. Le choix d’un ingénu n’est pas le fruit du hasard, offre à Sex Education l’occasion de tout expliquer en détails afin de ravir la curiosité faussement naïve des spectateurs. Ingénu freudien d’ailleurs, qui refoule les images de sa jeunesse. Pitié. Il incarne cette part d’innocence qui flatte le spectateur : je ne peux être pervers en regardant cette série puisque son héros, lui, ne l’est pas. Au contraire, il s’éduque. Et quel mal à suivre une éducation ? Le mal ? Il réside dans la normalité vulgaire du sexe dépeinte ici qui stigmatise toute individualité spécifique et, ce faisant, conforte le discours communément déclamé par une masse obsédée et intransigeante. Car chaque personnage campe un cliché bien défini : et le frère dealer et la gothique torturée mais au grand cœur et le fils à papa malheureux refoulé parce qu’il a un trop gros sexe (sic) et l’ami homosexuel qui forcément se travestit et se maquille dans le traditionnel amalgame homo-travelo, qui se fait tabasser (dans une scène que l'on anticipe tant la démarche est éléphantesque). Le plus frustrant, c’est qu’un potentiel transparaît de temps à autre, laissant entrevoir ce que la série aurait pu être et donner. C’est seulement quand Sex Education ralentit, prend le temps de développer ses protagonistes non comme des vagins ou des phallus sur pattes mais comme des adolescents tiraillés entre une éternelle soif d’insouciance et les responsabilités que leur corps et l'environnement dans lequel ils évoluent exigent d'eux, que l’ensemble convainc enfin, diffuse une belle alchimie et de beaux portraits. Mais non. L’avortement n’occupe qu’un demi-épisode, puis hop là par ici la sortie ; le harcèlement est caricaturé. L’excès qui n'a de cesse d'être montré déforme et banalise la sexualité : un sexe féminin photographié circule de portable en portable, mais ce qui choque n’est pas tant la photo que de ne pas savoir à qui il appartient. Tout est pensé par rapport au voyeurisme, jamais par rapport à l’impact véridique sur des corps en construction. Et ce voyeurisme nourrit « l’industrie culturelle ». Sous le manteau nous nous « éduquons », sous le manteau nous consommons. On aime ou on n’aime pas, mais on a vu. Les affiches sont partout : dans le métro, dans les stations de bus, au cinéma, sous la forme de mini bande-annonce. Netflix éduque les foules. Car la série pallie l’incapacité de l’école à se rendre maîtresse du sujet sexuel (difficulté avérée) ; les élèves y remédie avec ce qu’ils ont sous la main, une bande de spécialistes autoproclamés que Netflix pourra à son gré décliner au fil des saisons futures. Car Sex Education nous dit quelque chose de l’état de l’enseignement du sexe aujourd’hui en Angleterre, et plus largement en Occident : la bienséance rend tabou cet ensemble de pratiques. Mais le problème, c’est de substituer à l’éducation officielle une éducation officieuse qu'aucune institution ne contrôle : Netflix devient l’instituteur qui se voile derrière le « tout est permis ». Cool, colorée, peps, la série se construit par rapport à l’image désaturée de l’école, elle tire sa force d’une explosion des cadres apparemment libertaire mais qui, en réalité, enferme chacun davantage devant son écran dans l’espoir d’apercevoir, ne serait-ce qu’un instant, un bout de viande numériquement retouché.
    lhomme-grenouille
    lhomme-grenouille

    3 182 abonnés 3 170 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 24 août 2019
    Série qui a pas mal fait parler d’elle parmi les lycéens et qui en plus aborde un sujet qui m’interpelle tout particulièrement (…car oui, prenez peur : mais « sexe » et « éducation » j’ai beaucoup bossé dessus.), tout concourrait donc pour que je me sorte de mon sommeil sériel pour cette série-là. Et autant dire qu’au départ le réveil fut très rude car – je vais être honnête – je ne savais absolument pas à quoi m’attendre et, clairement, je n’étais pas préparé. Dès les cinq premières minutes, je me suis dit que cette série avait vraiment tout faux. On commence quand même avec une nana en train de chevaucher en amazone un gars. La fille est seins à l’air. Elle un physique et des mensurations de nana de magazine. Et surtout elle gémit comme une actrice porno. Quant au gars, il est taillé comme un athlète et on nous fait ensuite comprendre, en affichant son préservatif, qu’il a une teub de plus de 30 centimètres. Là j’ai dit « Non ». Tu fais une série que les ados matent ; tu décides de l’axer sur l’éducation sexuelle ; et le premier truc que tu décides de faire c’est de confirmer tous les stéréotypes liés à la sexualité ? Non mais ! Pour maintenir les gens dans leurs complexes et dans leur ignorance tu ne pouvais pas faire mieux ! A ce moment là, je me suis même demandé si ça valait vraiment la peine d’aller plus loin tant cette série avait l’air stupide, racoleuse et totalement contre-productive. Et puis au fur et à mesure de l’épisode j’ai fini par comprendre. « Sex Education » avait en fait opté pour un créneau que moi je n’aurais certainement pas choisi mais qui, au regard du public visé, peut se révéler malgré tout pertinent. Ce créneau c’est celui de la série pour ados. (Bah oui, il fallait y penser…) Alors du coup, « Sex Education » va prendre le parti de se dérouler dans le monde irréel et fantasmé d’un village bucolique anglais (mais dans lequel il y a quand-même un lycée), où tout le monde est gentil, heureux, multicolore et pas dans le besoin. Alors OK, il y a bien un personnage qui vit seule dans un petit bungalow en périphérie du patelin mais, franchement, dans ce village arc-en-ciel où il fait toujours beau, autant dire que ça va. On ne s’en fait pas trop pour elle. On a plus l’impression qu’elle fait du camping en vacances plutôt qu’elle expérimente véritablement la dèche. Et si j’ai toujours eu plus ou moins du mal à m’adapter à ce monde là et à ce ton là – où il faut accepter que tous les personnages soient des stéréotypes sur pattes et que chaque situation soit systématiquement simplifiée à l’extrême – je me dois quand même de reconnaître que non seulement ça peut avoir sa pertinence, mais qu’en plus il y a de quoi se laisser prendre. (D’ailleurs j’ai mis 3/5 : je me suis laissé prendre. Pauvre de moi.) Pertinence d’abord parce que, l’un dans l’autre, la série parvient malgré tout à dénouer quelques représentations. Chaque personnage qui « consulte » notre héros résout souvent son problème en déconstruisant une idée fausse, ou plutôt en conscientisant un aspect de la sexualité que notre société a contribué à invisibiliser. Et l’air de rien, bon an mal an, la série parvient à aborder pas mal de sujets et de problématiques de notre temps. Et même si cet abord est toujours très superficiel et enrobé d’un paquet de guimauve, ça a toujours le mérite d’aller dans le « bon » sens. Alors certes, on pourrait se dire que c’est là une consolation bien maigre au regard de tout ce que cette série cherche à nous faire gober en termes de stéréotypes malaisants et d’indigences scénaristiques. C’est vrai. Mais d’un autre côté je trouve intéressant que des approches un peu plus progressistes se mettent à investir des espaces culturels comme ceux-là. Après tout chaque génération d’adolescents a toujours eu ses œuvres basiques dans lesquelles il a projeté un imaginaire fantasmatique. « American Pie », « Dawson », « Friends » : autant de films ou de séries qui déforment et simplifient volontairement le réel pour nous faire nous poêler ou nous émouvoir. Et qu’une série prenne la peine de réajuster les composantes de ces univers totalement fantasmés, notamment afin qu’ils soient davantage inclusifs, au fond moi je trouve ça cool… La blague a même voulu que je me sois laissé prendre. Parce que l’air de rien, au-delà des lourdeurs typiques de ce genre de série, il y a quand même un savoir-faire pour rendre tout cet univers attractif et attachant. Il faut quelques épisodes avant que la faune de cette série se mettre vraiment en place, mais elle finit par avoir son attrait grâce à une mise en dynamique de chacun sur des axes d’intrigue clairs mais qui offrent pas mal de possibilités d’évolutions différentes. De même chacun de ces personnages est souvent ramené à des situations au fond universelles et à hauteur d’humain : dilemmes amoureux basiques, tensions sexuelles mal gérées, choix égoïstes pouvant conduire à de la culpabilisation… Autant de situations qui nous permettent de ramener ces stéréotypes à des formes d’humanité dans lesquelles on peut se projeter. Tout cela mêlé à des épisodes qui savent bien gérer le temps court et le temps long, avec des cliffhangers qui font le job attendu, je me suis donc retrouvé avec une série qui est parvenue à me capter sans trop d’effort. Du coup – et ça me surprend moi-même – j’avoue que cette série a su, malgré ses innombrables limites, s’attirer ma sympathie. OK je ne la conseillerais à personne et je ne pense pas que je me la rematerai un jour. Mais je me dois de reconnaître l’évidence : je me suis amusé à regarder ça avec mes yeux (vieillis) d’ado et, rien qu’en cela, on ne pourra pas retirer à cette série d’être cohérente dans l’univers et le spectacle qu’elle propose. C’est déjà pas si mal. Alors moi, je ne vois pas pourquoi je cracherais là-dessus… Mais bon, ça ne reste que mon point de vue. Donc si vous n’êtes pas d’accord et que vous voulez qu’on en discute, n’hésitez pas et venez me retrouver sur lhommegrenouille.over-blog.com. Parce que le débat, moi j’aime ça… ;-)
    Selingues G
    Selingues G

    61 abonnés 951 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 14 juin 2020
    Certes un air d'American Pie flotte sur cette série Anglaise.

    spoiler: Entre histoire d'amour, conseils sur la puberté et les relations entre les jeunes, on suit les aventure du jeune Otis épaulé par sa mère qui est sexologu
    e.

    Une série intéressante qui se suite avec intérêt et permet aussi d'avoir un peu de pédagogie sur certains sujets sensibles.
    jthuil
    jthuil

    10 abonnés 301 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 19 septembre 2021
    Une série progressiste et tendre, peuplée de personnages inattendus et particulièrement attachants incarnés pour la plupart par de jeunes acteurs inconnus vraiment prometteurs. A la fois très drôle et par moment très émouvante, cette fiction est un excellent divertissement.
    ConFucAmuS
    ConFucAmuS

    488 abonnés 929 critiques Suivre son activité

    3,0
    Publiée le 4 avril 2020
    L'adolescence, ce réservoir à séries inépuisable. En même temps, quel meilleur terreau pour traiter d'une multitude de sujets intemporels qui - paradoxalement - se renouvellent habilement avec le passage d'une génération à une autre.
    Sex Education s'ajoute donc à la (longue) liste de créations pressant le même citron.
    La saison 1 aura le même attrait que les séries doudous : drôle et mignonnette. À ceci près que celle-ci se montre plus impudique et absurde que la moyenne. Évidemment, on y parle beaucoup de sexe, de névroses personnelles et de jeunesse désorientée par ces repères chamboulés.
    Bref, ôtez le ton moins fleur bleue et on obtient la nouvelle version d'un Dawson : mêmes aléas, mêmes trémolos et mêmes clichés. Il ne faudra pas plus de deux épisodes pour deviner l'ensemble des rebondissements à venir. Embêtant, quand même puisque la série avait manifestement la verve pour faire mieux. De plus, la série trébuche également dans ses ruptures de ton puisque certaines pistes plus graves sont escamotées en une séquence.
    Comment expliquer donc que la vision des 8 épisodes reste malgré tout plaisante, en dehors de certaines scories d'écriture ?
    Deux raisons. La forme est plutôt soignée. Riche en couleurs et en séquences décalées, Sex Education rappelle autant l'esthétique d'un Danny Boyle que les pantalonnades existentielles de John Hughes. Un très bon point, puisqu'il est souvent pris en défaut dans ce genre-là. Et le casting permet au charme d'opérer : le trio Asa Butterfield, Emma Macckey, Ncuty Gatwa jouit d'une superbe alchimie. Puis, comment rester indifférent à la toujours incroyable Gillian Anderson ? Impossible voyons. Il faut aussi signaler un mieux dans la représentation du corps dénudé, puisque les deux sexes sont traités sur un pied d'égalité. Ce qui n'est pas si fréquent, et mérite donc d'être salué.
    Très récréative à défaut de livrer un KO technique sur le terrain de l'adolescence, Sex Education est un héritier légitime à beaucoup de ces séries qui nous divertissaient il y a vingt ans.
    stallonefan62
    stallonefan62

    245 abonnés 2 495 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 30 janvier 2019
    Une série sympa sur un sujet peu exploité, qui brise quelques tabous sans dérivé dans la vulgarité gratuite
    Dik ap Prale
    Dik ap Prale

    163 abonnés 2 790 critiques Suivre son activité

    4,5
    Publiée le 26 janvier 2019
    Des personnages tous plus attachants les uns que les autres. Des péripéties bien senties qui nous conduit avec entrain et bonne humeur jusqu'au dernier et plus beau plan de la saison. Vivement la suite.
    Le Monde de Mel G
    Le Monde de Mel G

    26 abonnés 456 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 19 janvier 2020
    Alors que dire de cette première saison ? Pour moi, c'est une série qui s'adresse vraiment aux adolescents. Ne l'étant plus depuis très longtemps, il m'a fallu trois épisodes avant d'accrocher enfin. Ce qui est bien avec cette série est la diversité des thèmes abordés, ainsi que l'ouverture d'esprit. Une autre bonne chose est le choix des musiques, parfois rétro. Malgré tout, j'ai fini par accrocher à certains personnages et le casting est convaincant. De plus on y retrouve notamment Gillian Anderson qui n'a plus ses preuves à faire.

    Par contre, je ne conseille pas la série aux personnes qui sont mal à l'aise avec le thème du "sexe", puisque en plus des propos, certaines scènes pourraient paraître "choquantes" pour ces personnes.
    AlexLaloix
    AlexLaloix

    92 abonnés 936 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 3 novembre 2021
    Infiniment drôle, déjantée et décontractée, la nouvelle comédie dramatique ado de Netflix "Sex Education" figure comme l’une des plus belles réussites de la plateforme. Entièrement rafraîchissante et pleine de bons sentiments, la série de Laurie Nunn apporte un regard neuf sur la sexualité des ados, notamment grâce à une écriture scénaristique à la fois subtile et totalement libre. Sans être clichée ni militante, la série se révèle comme un véritable divertissement addictif grâce à une ambiance teen britannique amusante et à de forts personnages attachants. Magnifiquement réalisé, cette première saison portée par un formidable casting – Asa Butterfield, Emma Mackey ou encore Gillian Anderson – mérite amplement son succès.
    -
    16/20
    Critique sur Sex Education (saison 1)
    Vue du 11.01 au 02.02.2019 sur Netflix
    Jérémy J
    Jérémy J

    29 abonnés 653 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 4 mai 2019
    Série très agréable à suivre. Une bonne surprise. Plus profonde qu'une simple série pour ado. Deux dernier épisodes un peu décevant au niveau de l'histoire et prévisible. Le personnage principal est assez énervant.
    Gentilbordelais
    Gentilbordelais

    277 abonnés 2 825 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 1 février 2020
    si l'on omet le côté irréaliste du cadre général de cette école et l'aspect farfelu de certaines situations, il faut reconnaître que cette série est bien écrite. sous couvert d'humour, de nombreuses thématiques (pas seulement autour de la découverte du sexe) sont traitées avec plus de finesse et d'intelligence qu'il n'y paraît. de même que l'on s'attache facilement à eux, à de nombreuses reprises on se retrouve surpris et cueilli d'émotion par les rapports entre ses protagonistes. une série dans son temps, dynamique, aussi bien drôle qu'elle suscite réflexion!
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