Avis La Flamme - Page 4

J'ai perdu la flamme ! Je n'ai pas aimé cette série qui utilise un humour bateau mais surtout qui a voulu infiltrer la Neurchisphère.

C'est mal joué, ça repompe des concepts américains qu'étaient déjà pas bien drôle au départ, les personnages sont stéréotypés à mort et ça a aucun intérêt. En plus les techniques marketing sur Internet sont douteuses, des marketeux dans des petits bureaux devraient s'approprier artificiellement des concepts créés par des fans pour des fans.

Je n'ai pas esquissé un seul sourire... entre le jeu d'acteur forcé et l'humour lourd cette série est très décevante... spoiler: Pouet Pouet mdr

"Une irrésistible parodie des émissions de téléréalité de dating signée Jonathan Cohen avec un casting époustouflant." Alors dans cette annonce la seule chose qui ne soit pas un mensonge (pardon une parodie) c'est que cette "production" pour rester poli est signée Jonathan Cohen. Comme ils n'ont pas menti sur ce point je mets une étoile. Sinon je vais être froid et glacial mais cette "parodie" tiens plus de la vidéo amateur de vacances en marges du "Marrakech du rire" que d'une vraie série, pensée et écrite. Alors c'est sûre que si vous hurler de rire à chaque fois que Florence Foresti dit "AH" vous allez adorer et la trouver excellente, grand bien vous en fasse. Si vous crier "trop mignonne" à chaque fois que Géraldine Nakache fais un "Quoi" vous allez adorer cette série. Et bien entendu si vous trouver que Leïla Bekhti à des cheveux aussi forts que son talent vous allez être aux anges. Sinon vous en conviendrez cette série est une nullité plus vulgaire que drôle ( spoiler: chattalère c'est Anthony 8 ans qui a soufflé l'idée ?
) se voulant de bousculer les codes ils tombent au contraire dans des clichés navrants de cruauté et de stupidité. Le panda est vraiment très belle ce sera le seul point positif aussi fugace par son passage à l'écran que ma patience pour cette série. Heureusement Canal+ a déjà commander une saison 2 !

J'ai adoré!! C'est tt à fait le genre d'humour que j'apprécie.. Ils ont du bien se marrer sur ce tournage. J aurais tellement voulu y participer.. Bravo à tte l'equipe. Jonathan Cohen t es génial!

Une version du Bachelor qu'on n'est pas près d'oublier. On a bien rigolé avec les candidates délirantes (notre préférée : Adèle Exarchopoulos en "femme-singe" qui mange des cacahuètes accroupie sur une murette et qui fait "Ouh" - "Ben, là"... Vraiment, on s'est gondolé), avec Jonathan Cohen en roue-libre pour jouer ce Bachelor tellement débile qu'il en est brillant, avec les sous-titres décalés à chaque interview... Une série qui nous a fait débrancher notre cerveau le temps de neuf petits épisodes de moins de trente minutes, sans pour autant nous proposer un programme facile, en voulant toujours nous surprendre dans l'humour inattendu, et ça nous a fait du bien. On n'a pas vu l'original de Ben Stiller ("Burning Love", dont La Flamme est, à ce qu'on a compris des mauvaises critiques, une copie française), et on s'est laissé prendre au jeu. On s'est un peu moins enthousiasmé pour les épisodes en milieu de série, passée la surprise de découvrir le concept bien déjanté, et l'on s'est de nouveau fait surprendre par le final (on s'attendait à une autre candidate, et on approuve le choix fait). Le format court va donc bien au teint de La Flamme, qui aurait pu vite devenir redondante autrement, et permet de vite arriver au choix de l’Élue qu'on attend tous, pour la première fois, puisque les émissions du Bachelor classique nous ennuient au possible. On aura donc logiquement bien aimé cette version parodique, qui évite même l'écueil de parodier un genre télévisé déjà très excessif (les parodies des Anges - et autres productions de candidats en surjeu vulgaire - ne fonctionnent pas), en se concentrant sur les personnages, en leur créant une identité ridicule mais en ne les poussant pas forcément au surjeu bruyant (on a adoré l'aveugle de Foresti et la "Mamie Claude" aussi). On retiendra surtout le démarrage étonnant (on ne connaissait pas le concept, bien timbré) et quelques candidates hilarantes (Adèle, Foresti, "Mamie Claude"...), une série-détente très bête mais assumée, donc efficace.

La Flamme se veut une parodie des téléréalités où un homme (Marc) se retrouve dans une villa avec une dizaine de prétendentes, pour finir avec une seule au bout de "l'aventure"...Certains moments sont droles et les acteurs/trices jouent bien (casting imoressionant, bonus à Dedienne qui est étonnament bon) mais l'ensemble est juste divertissant et les personnages trop caricaturaux ce qui finit par lasser voir agasser. Je ne m'attendais de toute façon pas à grand chose. La fin de la saison ne m'a pas plus convaincu que le début, je ne peux pas aller au delà de la moyenne.

Cette série me fait déjà rigoler toutes les cinq secondes ! Jonathan Cohen est excellent dans son rôle et les actrices aussi ! J’adore trop top j’ai hâte de voir la suite ! ! !

Du rire, un casting de dingue, des scénaristes excellents. Ça fait du bien. C'est tout ce qu'on demande !

Alors faire de la récupération du concept des neurchis sur facebook pour faire son auto-promo, c'est non.
Et sinon l'humour est un peu lourdingue, j'ai connu Jonathan Cohen dans de meilleurs rôles

Il s'agit d'une série à très basse hauteur de plafond, lamentable, "humour" lourd, sans même être drôle. Encore un tour de force de Canal pouet.

c'est peut être la chose la plus mauvaise que j'ai vu à la télévision avec le spectacle duo de Kev adams et Gad Elmaleh

"L'acteur" Jonathan Cohen est nul, je n'ai jamais compris pourquoi il est aussi présent au cinéma, je crois qu'il ne m"a jamais fait rire, la même chose avec Vincent Dedienne ce mec n'a jamais été brillant dans ce qu'il fait, mais je constate dans le cinéma français, le talent n'est pas nécessaire pour être à l’écran

C'est réalisé avec les pieds, l’écriture est chiante et aucune scéne ne fonctionne, il ne se passe rien d'intéressant et de drôle entre les acteurs
Même Leïla Bekhti, qui est une excellente actrice (voir dans "le grand bain", "une vie meilleur", "maintenant ou jamais" ect...), n'arrive pas à s'en sortir, qu'est ce qu'elle a été foutre dans ce projet ?

Si on a envie de rire de la télé réalité, il suffit de regarder une émission de télé réalité qui sera quoi qu'il arrive (involontairement ?) plus drôle que "la flamme"
Quand je pense que Canal+ est passé de "les nuls" à cette daube, il est peut être temps de se remettre en question.

J'avoue que très vite, j'ai été attiré par ce projet. Voir toutes ces émissions de télé-réalité débiles tournées en dérision à travers une série en reprenant les principes pour mieux s'en moquer, je trouvais ça très excitant, pouvant donner lieu à une excellente comédie si celle-ci parvenait à aller très loin dans le ridicule, voire le grandiloquent, surtout porté par un casting aussi incroyable, notamment féminin (j'y reviendrais). C'est d'ailleurs plus ou moins ce qui s'est passé dans les premiers épisodes : tout en restant (jusqu'au bout) fidèle au format extrêmement codifié du genre, reprenant ses principes et rendant « l'aventure » presque réaliste, dans son déroulement comme le comportement des un(e)s et des autres (bon, pour le second point j'exagère un peu). Drôle, acerbe, piquant : à défaut des éclats de rire espérés (Jean Guille exceptée), cette trentaine de minutes par épisode file à un rythme soutenu, mettant excellemment en exergue les principes totalement débiles et machistes de ce genre d'émission, où des gens passent complaisamment leur temps à se (faire) rabaisser de façon odieuse, où l'on se demande comment peut-on espérer rencontrer le « grand amour » à travers un procédé aussi lamentable et humiliant pour toutes (voire le héros). Personne n'est épargné, surtout pas Marc, d'une stupidité, d'une médiocrité, d'une indécence rendant presque sympathique n'importe laquelle des prétendantes. On apprécie aussi relativement l'apparition de nombreuses « guest-stars », apportant un peu de piment à la routine (Pierre Niney et Gilbert Melki sont notamment très efficaces). Malheureusement, dès la moitié (voire avant), la série s'enlise. On sent qu'on essaie de se renouveler, de trouver des situations différentes, mais c'est souvent au détriment de la qualité, avec pas mal de scènes longuettes, malvenues et une certaine tendance à faire du mauvais esprit juste pour faire du mauvais esprit, à laquelle s'ajoute pas mal de lourdeurs plus que dispensables, réduisant le concept (notamment des éliminations) parfois à son strict minimum alors que c'était ce qu'il y a de plus réjouissant. Surtout, c'est parfois vraiment trop chargé, en particulier notre « héros », tellement con, tellement odieux qu'on est en souffrance de voir d'aussi belles (et parfois charmantes) femmes se battre pour un tel abruti : non seulement ce n'est pas du tout crédible, mais pose un vrai problème d'intérêt, d'attachement pour ce qui se passe devant nous. Enfin, à quelques exceptions près, il n'est en définitive pas très compliqué de deviner l'ordre de départ de chacune, que ce soit par leur célébrité ou la manière d'être mise en valeur par Jonathan Cohen (également réalisateur), même la présumée surprise finale m'ayant paru presque prévisible, peu drôle voire presque malvenue tant elle est pour le coup totalement incohérente avec les règles du jeu. Malgré tout, si j'ai tiqué à de (trop) nombreuses reprises, notamment lors des moments trop gras ou « rabaissants », je me suis globalement pris au jeu, ayant toujours une certaine attente concernant l'épisode suivant, la mécanique restant plutôt bien huilée jusqu'au bout. Avec quelques moments particulièrement réjouissants (les échanges entre Cohen et Vincent Dedienne (brillant), jubilatoires), et donc une distribution de folie chez les femmes, où presque chacun aura une favorite différente : pour votre serviteur, cela se joue entre Ana Girardot, Adèle Exarchopoulos, Laure Calamy et ma Doria Tillier adorée), chacune dans un registre qu'elle maîtrise parfaitement. Bref, si l'on peut regretter que les créateurs aient parfois un peu eu... la flemme et n'aient pas su élever leur production à un jeu de massacre irrésistible en jouant trop souvent de la facilité, « La Flamme » reste un bon antidote à la morosité ambiante et à la bien-pensance généralisée : sans être un incontournable « création Canal », le jeu peut valoir le coup d'œil.

ça pourrait s'appeler la flemme tellement c'est fainéant, mais bon comme c'est aussi misogyne, bête, pas drôle, laid et vulgaire... chacun donnera le nom qui lui convient.

Très mauvais. A la limite du plagiat sans imagination. Une parodie d’une parodie qui en perd tout son humour. Le casting est relativement bon néanmoins