Avis Machine - Page 2

Un non sens… rien que l’idée de base… une militaire d’élite qui se découvre une fibre communiste et qui part en croisade contre les vilains capitalistes du système… sachant qu’à la base, elle cherche à se faire oublier, en retournant chez elle…
Des personnages caricaturaux à souhait. Mention spéciale au militaire qui est aussi le cousin éloigné de « Léon » version Besson, aussi teubê que patriote!
Même l’ambiance de la série au fil des épisodes est déconcertante. Des scènes de combat qui se veulent impressionnantes, dommage que l’on voit que les bâtons télescopiques soient en caoutchouc souple… Et à croire que le réal a lâché l’affaire en cours de route voyant que la crédibilité n’était pas au rendez vous. Soudainement, le ton employé se réinvente dans le Branquignolesque notamment lors des scènes avec le compère le Ragnar Le Breton.
Bref, c’est navrant d’incohérences. Tout comme les personnages en garde à vue qui se matent tranquillou des vidéos en cellules avec leur téléphone portable ! À éviter.

Bon jeu d'acteur mais impossible d'accrocher à cette histoire tirée par les cheveux. Tout sonne faux.... Et le look improbable de Machine la rend encore plus caricaturale que les autres acteurs .... Seul Joe Star tire son épingle du jeu. Franchement Arte nous a habitués à mieux....

Belle surprise cette série française d'action
Bon casting belle scène de baston
En attendant un deuxième saison

Ça part bien mais ça part vite dans le débile. Incompréhension. Vraiment j'en ai vu des séries de merde mais là j'ai pas pu voir la fin.
Point fort pour l'héroïne qui se donne à fond.

Une série d’action française avec une héroïne charismatique, des combats relativement bien chorégraphiés, des clins d’œil cinématographiques comme s’il en pleuvait (merci Tarantino !), certains protagonistes intéressants notamment ceux dont le background est un peu fouillé comme Benoît ou J.P., le tout sur fond d’usine qui va fermer et de lutte des classes ! Que demander de plus ? Peut-être moins de stéréotypes chez la plupart des personnages, un scénario un peu plus fouillé qui mette moins l’accent sur les bastons et ce serait déjà pas mal !

Pfff encore une série française ...qui sent bon la bonne vieille série franchouillarde
Joeystarr est bon et juste en marxiste cycliste
Margot "machine" par contre surjoue, mais c'est la marque de fabrique des séries françaises. L'intrigue est un peu scabreuse, la meuf qui sort de nul part qui arrive en justicière kung-fu, la production ose une comparaison avec un kill bill à la française !!!!
On en est trèèèès loin quand même
Les bastons sont un peu poussives, la bande son inappropriée, la justicière qui écoute de la bonne vieille variété des années 80 ça ne colle pas avec le personnage, les décors et la photo très réussi
Bref ça se regarde mais c'est pas dingue du tout

Les deux premiers épisodes sont plutôt convaincant. La suite se gâte et frôle le grotesque. On dirait un très mauvais film de kung-fu, le dernier épisode est affligeant de conneries et de nullité En résumé, il s’agit d’un navet intersidéral. et je trouve troublant que Arte diffuse ce genre de série de série B

Une série intéressante qui se regarde sans déplaisir. Lutte ouvrière mêlée à une jeune femme dotée de talents d'une super héroïne dans une France industrieuse en proie au rachat d'une entreprise coréenne. Certains s'appuient sur les préceptes de Kant quand d'autres pensent profit. L'héroïne est là en sauveuse. Bagarres et humour en prime dans un univers décalé. C'est original pour un opus qui se suffit à lui même. A voir !

Bravo, bravo, bravo ! Je suis rarement autant enthousiaste : c'est jouissif, drôle, touchant, intelligent, et ça frappe. Une très belle réussite.

Bonjour
Une belle surprise Arte, une série musclée ou son héroine dérouille grave les personne qui s opposent a elle
Les scènes de baston sont plutot bien faites et spectaculaires
Mention a Joey Star qui joue l ouvrier...
A découvrir

Série qui se cherche entre deux sujets trop différents, une critique sociale et politique et une intrigue sur le passé du personnage principal, il aurait fallu choisir entre les deux (à mon sens la deuxieme intrigue sur le passé du personnage) pour que cela fonctionne parce que du coup c'est un peu long, un peu pénible cette histoire de syndicat etc etc et au final on s'ennuie pas mal !

Si seulement Tarantino avait fait la mise en scène, voir écrit le scénario, voir dirigé les acteurs etc etc . Ce n'est peut etre pas dans les cordes d'arte de produire ce type d'histoire qui avait un vrai potentiel

Bon , que dire , je sort de cette mini série et ce fut un réel plaisir de découvrir un cinéma Français , avec un scénario bien ficelé , ou les acteurs s'en donnent à cœur joie ! non franchement, je ne vais pas vous faire le spoil de ces 6 épisodes car le mieux est que vous sortiez votre zappette ou votre tablette pour un replay ARTE ! plongez vous dès le premier épisode pour être bien le bain et laissez vous filer sur les episodes suivant !

Il y a vraiment du pire et du meilleur dans les séries Arte. Là, malheureusement on est dans le pire. La série est en fait un cas d'école. Les pros devraient s'en servir comme quizz. A quel film, telle partie du scénario a t-elle été empruntée ? On a en effet un peu de thriller, avec le psychopathe qui laisse une ribambelle de victimes derrière lui, un peu de film social avec la grève locale, un peu de film de pouvoir avec les magouilles concernant un EPR en Corée, un peu de film policier avec la traque de l'héroïne et pas mal de kung fu. Le moment mémorable, concernant ce dernier, est censé être le combat entre le maître aveugle et sa disciple alcoolique, accompagné évidemment des préceptes ésotériques fumeux habituels. Je dois reconnaître que les combats sont bien chorégraphiés. D'où l'étoile.
Le seul élément original est un mogul coréen aquarelliste ! J'ai abandonné au 3ème épisode, donc je ne saurais pas si ses talents de peintre apportaient quelque chose au scénario...

J' ai regardé les 06 épisodes de la série sur Arte. La violence est le fond de cette série à travers différents thèmes. 1) la lutte d'ouvriers Français contre les soi-disant méchants investisseurs étrangers Sud- Coréens/ Ces mêmes ouvriers sont odieux, au début, avec l'héroïne intérimaire. Elle est appelée Machine, féminin de machin. A aucun moment( de mémoire) ces ouvriers ne connaîtront le prénom de l'intérimaire : Corinne. Elle se fait insulter par eux ( avis à tous ceux qui sont ou ont été intérimaires) Les mecs ne lui proposent aucun endroit pour se changer. Comme elle a besoin de bosser, elle a fermé sa bouche.(2) La lutte entre ouvriers Polonais et ouvriers Francais pour récupérer ou garder les machines=travail=salaires (3) L'Etat français : double action =officielle avec la préfète et officieuse avec l'envoi de l'ancien militaire assassin ( victime ?) souffrant d'un syndrome post traumatique dû aux guerres (4) Le traumatisme de militaires d'élite envoyés en mission ou autres zones de conflits ( Beaulieu, Corinne, l'ex militaire voire Benoît) : pas de débriefing post missions = déséquilibre psychique, alcoolisme (5) Le proprio Sud- Coreen a juste racheté 1 usine déficitaire. Il a eu des subventions de la France. Mais beaucoup de pays proposent des subventions ou exemptions fiscales ou autres avantages pour attirer des investisseurs étrangers. Le proprio est obligé d'envoyer des hommes armés pour récupérer son bien. (6) Le fils du proprio ne semble pas aimer bosser dans l'entreprise familiale= pression familiale=forme de violence ? (7) Benoît : comment une mère peut faire ressentir à son enfant qu'il est une "fiotte" ?
Enfin, être le pion de l'autre: (A)Machine est le pion des ouvriers ( quand les Polonais prennent le matériel, Leila, la comptable, demande à Machine ce qu'elle attend pour agir) ( B) le fils Marchanbault semble avoir été utilisé par l'état (C) Benoît : utilisé pour tuer l'indicateur de sa colonelle/ L' indicateur militaire envoyé par la colonelle pour surveiller Beaulieu ( D) L'assassin ex-militaire est utilisé par l'Etat qui le méprise en la personne de la préfète.
La série est agréable à regarder mais le fond est dur.