Figée dans l’austérité de la bonne bourgeoisie catholique dont elle est l’incarnation. Sa devise : "Ne jamais rien montrer, taire ses émotions". Jusqu’à ce matin-là, où un gendarme vient lui annoncer la mort de son fils. Son enfant adoré, le père Pierre-Marie, sa plus grande fierté. Gabrielle ne vacille pas, mais une fois la porte ...