Avis : À la poursuite de demain - Page 6

Jules Verne est une fois de plus à l'honneur avec ce film. En effet, après Brendan Fraser dans "Voyage au centre de la Terre" et Dwayne Johnson dans sa suite, c'est au tour de George Clooney de louer les mérites de l'écrivain français. Cocorico ! Et comme d'habitude dans une aventure pleine de magie, de rêve et de bons sentiments. "A la poursuite de demain" est ainsi frais, gentillet et le bon George trouve parfaitement sa place dans l'univers Disney. Ici, j'ai particulièrement apprécié un scénario original et à vingt mille lieues de ces habituels contes pour têtes blondes formatés. Oui, vraiment plaisant.

Dire que je n'ai pas accroché à ce film serait un euphémisme. En effet, déjà un peu fatigué avant de rentrer dans la salle, *A la Poursuite de Demain* m'a achevé.

Cette science-fiction à la sauce Disney ne me plaît tout simplement pas. Le film aborde des thèmes et les dangers habituels liés à l'avenir de notre planète mais l'absence de vraie dramaturgie rend cet univers irréel d'autant plus que ce dernier présente une vision du futur old-school (qui croit encore aux voitures volantes ?) et donc trop optimiste. Il n'est donc pas étonnant de retrouver une morale bien niaise en point final.

Brad Bird s'est donc plié au cahier des charges Disney et son film doit d'abord faire rêver les enfants. L'ambiance enfantine est bien présente (grâce à tout à un tas de drôles de gadgets) mais pas sûr que ça leur plaisent pour autant. La narration confuse risque de les rebuter, ainsi que des situations exagérées servies par de trop nombreux effets spéciaux. En fait, nous sommes bien plus dans une vaste attraction d'un parc Disney (quelques références bien senties).

Je dois bien l'admettre, Noir Amer a ses petits chouchous en matière de réalisateurs. Il se trouve que Brad Bird est l'un d'entre eux. Membre essentiel de l'équipe qui a fait de Pixar ce qu'elle est aujourd’hui, impliqué dans les superbes Les Indestructibles et Ratatouille, Bird était passé au film d'action avec prises de vue réelles il y a quatre ans dans Mission : Impossible, Protocole Fantôme. Or c'est sous l'étendard Disney que ce talentueux metteur en scène présente son nouveau long-métrage, arrivé de manière assez inattendue sur nos écrans. Alors qu'on pouvait s'attendre à un classique film fantastique un peu mièvre autour du noyau familial, A la Poursuite de Demain nous offre bien plus que cela. Le film est organisé comme une longue épopée vers un univers fantastique. Quand Casey, jeune héroïne, touche un pin's qui a été glissé dans ses affaires, elle est projetée dans une univers parallèle futuriste. La phase de découvert du film, où l'on nous montre cet univers intriguant et où l'on fait également connaissance avec les trois personnages principaux est très longue, et c'est tant mieux. C'est précisément ça qui fait la qualité des films du genre. Concrètement, on a l'impression de ne pas arrêter la découverte et l'immersion dans le film pendant 1h30. C'est après cette durée que le rythme accélère pour laisser place à l'affrontement entre gentils et méchants (qui d'ailleurs ne le sont pas vraiment, ce qui est un autre point positif). En revanche, le film aurait mérité d'être un peu plus court, et l'actrice principale a encore du pain sur la planche pour gagner un Oscar...

Qu'y a-t-il de plus merveilleux en ces temps « cannois » accros aux auteurs dépressifs, que de voir, magiquement surgir, le nouveau « live action » estampillé Disney Pictures, dans une silhouette futuriste aux courbes plus épurées, encore, qu'un nouveau produit apple ! Tomorrowland s'annonce déjà comme une nouvelle œuvre ambitieuse qui refuse la tendance actuelle dystopique des films d'anticipation, où la destruction semble d'une facilité déconcertante. C'est, porté par des créateurs d'exceptionnelle envergure, que le nouveau Disney partage le message d'un homme, Walt, mort depuis bientôt 50 ans et qui n'aura jamais renoncé à de meilleurs lendemains.

Pour qu'une telle œuvre préserve ses plus beaux mystères lors de la rencontre du spectateur face à l'écran, le résumé se voudra volontairement évasif : Casey Newton, jeune adolescente douée et optimiste, se lance à la recherche d'une ville mystérieuse et futuriste du nom de Tomorrowland. Face aux nombreux obstacles qu'elle rencontrera, elle croisera les chemins d'Athena, jeune fille étrange et Frank Walker, ancien génie scientifique désabusé. Le parcours de nos trois héros leur ouvrira une nouvelle vision d'espoir pour un avenir fragile.

Il n'est pas difficile de percevoir, déjà au loin, les échos du spectateur, allergique aux productions Disney et qui, désenchanté comme Frank Walker (George Clooney), ne se donne plus le droit de rêver. D'abord, mettons tout de suite les choses au clair et cessons le débat numéro un autour de l'industrie des oreilles rondes : évidemment, Tomorrowland est un blockbuster, évidemment qu'il a été écrit et réalisé, comme le dit Brad Bird, pour plaire à un public élargi, lorsque les beaux jours reviennent. Cependant, le projet marketing (devons-nous rappeler que le cinéma est un art de l'industrie et nécessite ce « sale » argent pour vous faire rêver) n'enlève absolument rien à la qualité de cet objet filmique fascinant.

Oeuvre construite sur un scénario plus que béton, il n'est pas nécessaire de regarder le nom des scénaristes pour savoir qu'ils connaissent parfaitement leur métier. Mais parlons-en tout de même. Parmi les créateurs, c'est l'un des showrunners les plus renommés du monde de la série US qui offre une collaboration remarquable (et remarquée) : Damon Lidelof, co-créateur et producteur délégué de la série Lost et Leftovers mais aussi scénariste et producteur de Star Trek Into Darkness et Prometheus. A ceci, on ajoute Brad Bird, qui a réalisé bon nombre d'épisodes des Simpsons, mais surtout de grands films Pixar comme Les Indestructibles et Ratatouille. A la fois créateur, scénariste et réalisateur de Tomorrowland, nous pouvons largement considérer Bird comme auteur associé de son film et non petite main au service d'une industrie, prête à tout pour l'argent.

A travers une vision 1950's du futur, Brad Bird et ses acolytes, nous plongent dans un univers parfois immaculé, parfois coloré , qui place son œuvre au-delà du film de science-fiction, où celui qui rêve nourrit l'ambition d'un monde idéal, à l'image du créateur originel de ce réel imaginaire qu'était la section du même nom à Disneyworld. Finalement, Tomorrowland lance un appel à la « foi » (où l'on doit « prendre les coups qu'il faut pour que des choses positives arrivent »), face à une succession d'oeuvres récentes qui font leur art sur une société en perdition. A ce titre, nous pouvons largement voir ces auteurs optimistes, comme un nouveau souffle, de la même manière que Steven Spielberg ou George Lucas, à l'époque où le nouvel Hollywood créait autour de la noirceur d'un monde corrompu.

Même si le public, encore sceptique, hésite à franchir le pas, soyez sûrs, si vous n'avez pas vu la bande-annonce qui est une hérésie, que vous serez étonnés, secoués et subjugués dans les premiers deux tiers du film. L'enchaînement d'événements rocambolesques, mais crédibles, vous fera passer un excellent moment sans répit, vous prouvant que « l'entertainment » n'est pas nécessairement dénué d'intelligence et que, même un blockbuster Disney, peut offrir une réflexion poussée, pertinente et poétique sur le monde.

J’ai trouvé le scénario d’A La Poursuite De Demain inventif et captivant. Il y a un juste équilibre entre les scènes d’action et celles permettant à l’histoire de progresser tout en développant les relations entre les personnages. Malgré le fait qu’il y ait certaines questions qui subsistent à la fin du film, j’ai passé un très bon moment.

Il est l’heure de vous transformer en rêveur. Non ce n’est pas une blague mais une réalité ! A la tête du nouveau projet Disney, Brad Bird nous propose « Tomorrowland » horriblement traduit en français par « A La Poursuite de Demain » qui nous plonge cette fois-ci dans un domaine fictif plutôt bien mené d’un point de vue divertissement.

A la tête d’une réputation instable, il est vrai que beaucoup de doutes pouvaient discuter derrière le dos de Brad Bird. Néanmoins soutenu par Disney, le réalisateur nous offre un très bon film, comme toujours à l’image de son financier mais surtout innovateur dans son domaine. Un scénario plutôt malin, bien écrit et original, les fans de Buzz l’éclair s’y plairont beaucoup. Le film assure également une innovation constante, ce qui nous incite à continuer jusqu’au bout, voir à aller vivre dans cette dimension uniquement accessible aux étoiles montantes de la science.

Clooney convient plutôt bien, malgré son air toujours absent (sauf chez Nespresso) le domaine de la science-fiction lui allait déjà comme un gant notamment dans « Gravity » de Cuaron. Après, il faut dire qu’on est pratiquement que sur du divertissement pur, tout est bien pensé. Ce qui est dommage c’est le fait que l’histoire ne soit pas plus développée. La première heure est très bien exécutée mais la deuxième reste à désirer pour ce qu’elle est. On pourrait également rajouter le manque de fascination que le spectateur peut avoir pour Tomorrowland. Cette cité fait l’objet d’une incroyable utopie mais ne semble pas entièrement se montrer pour accélérer l’émerveillement.

Mais malgré le chipotage d’une ambiance futuriste, « A La Poursuite de Demain » est un très bon prétexte pour aller voir un Disney qui rappelle beaucoup la partie « DiscoveryLand » de DisneyLand Paris. De quoi donc émoustiller les fans.

Brad Bird signe une fable futuriste résolument optimiste et euphorique mais parfois confuse agrémentée par des effets visuels spectaculaires, une mise en scène inventive et une très bonne distribution dont la révélation Raffey Cassidy. Un bon divertissement à l'ancienne.

Ennuyant, aucune intrigue, une scène troublante à la fin donnant sur un côté pedobear....... Bref un des pire disney.

Spectaculaire et intelligent, "À la poursuite de demain" s'avère être un film très original de Brad Bird bien mis en scène et très bien interprété avec des effets spéciaux spectaculaires, des séquences d'actions ingénieuses, des décors incroyables et magiques, une héroïne intrépide et attachante, un scénario bien écrit et original, une mise en scène fluide et efficace, de nombreux clins d’œil à la pop culture et à l'univers Disney, un message puissant de vérité et d’optimisme, une très belle bande originale de Michael Giacchino et un casting fantastique.

A la poursuite de demain est le dernier film de Brad Bird. Le réalisateur des Indestructibles, de Protocole Fantôme ou encore de Ratatouille nous signe un film de la bonne vieille Science-Fiction Visionnaire. Qui aurait cru que la vision de Walt Disney, concernant un monde parallèle, prendrait la forme d’un film ? Brad a relevé le défi et réussit un coup de maître remarquable.

L’intrigue du film est directement lancée dès le début du film avec une belle introduction sur le bon vieux château Disney, remplacé par TomorrowLand. (DiscoveryLand à DisneyLand Paris). C’est beau, séduisant et nouveau ! De quoi régaler le spectateur et captiver rapidement son attention. Mais de quoi parle le film ? C’est l’histoire d’une jeune fille Casey qui cherche à tout prix un moyen de prolonger le travail de son père, ingénieur à la NASA. En découvrant le monde de Demain, grâce à un mystérieux pin trouvé, son imagination entre en jeu ! Mais en apprenant que la fin de notre monde approche, elle est optimiste et ne baisse pas les bras…

Laissez vous embarquer au coeur d’un monde magique et parallèle au nôtre !

Au cœur d’un monde parallèle…

C’est dans ce genre de film que notre imagination entre en scène. A travers un décor éblouissant, et une mise en scène magnifique, le réalisateur réussit à nous plonger dans un univers futuriste, en s’appuyant sur la vision du futur que pouvait avoir les gens des années 60, à l’époque de l’Exposition Universelle de New-York en 1964.

Le plus surprenant dans ce tournage c’est que la majorité des scènes a été tournée sur des lieux réels comme le Cap Canaveral, Paris ou encore Flushing Meadows, lieu de la fameuse exposition. Quant à TomorrowLand, le réalisateur s’est servi de la Cité des Arts et des Sciences à Valence. Tout ceci montre un vrai travail fourni pour un monde futuriste hors du commun et vraiment impressionnant.

Mais la question primordiale que le spectateur peut se poser : Quel est le rapport entre TomorrowLand (DiscoveryLand) du parc DisneyLand et le film ?

La magie de Disney.

Pour répondre à la question précédente, il suffit de bien observer chaque détail du film. En effet, le réalisateur a voulu faire de nombreuses références aux attractions du parc DisneyLand à travers le scénario. Tout d’abord, au début du film, lors de l’exposition Universelle, le jeune Frank atterrit dans It’s the small World !, attraction mythique du parc, qui est en effet l’un des passages secrets entre notre monde et celui de Demain.a-la-poursuite-de-demain-3

D’autres attractions, comme Space Mountains ou Orbitron avec les fusées, ou encore Autopia avec les véhicules qui circulent un peu partout dans la ville, sont présentes dans ce film. Enfin, terminons sur un clin d’oeil à Star Tours pour la musique de fond et à Buzz Lightyear Laser Blast pour les pistolets. De quoi nous faire voyager et rêver au cœur de la magie Disney !

La fin du monde approche !

Une petite remarque sur un thème intéressant abordé dans ce film qui est la destruction de notre monde par l’Homme. Il y a une véritable philosophie et réflexion sur le comportement de l’Homme à l’égard de la planète où il réside. De quoi nous remettre en question sur certains de nos gestes. Grâce à la mise en abyme mais aussi grâce à la vision future de notre monde, le spectateur est alors plongé dans un monde détruit, qui pourrait bien être le nôtre dans quelques années ! De quoi nous mettre en garde et de nous effrayer …

Un casting fantastique.

Au casting du film, nous retrouvons l’un des acteurs les plus connus à Hollywood, George Clooney, dans la peau de Frank Walker, scientifique banni de ce monde de Demain. Le côté vif du personnage est vraiment intéressant ! La particularité de personnage est qu’il est interprété par un deuxième acteur, le jeune Thomas Robinson, interprétant Frank Walker enfant, optimiste et rempli d’idées surprenantes !

La star du film, c’est Britt Robertson, que l’on retrouve dans la série Under the Dome, dans le rôle de la pétillante Casey Newton. Une véritable fraîcheur est apportée à son personnage d’adolescente surdouée. On retrouve ainsi les mêmes caractéristiques que Frank dans sa jeunesse. Enfin, pour compléter ce trio de choc, on retrouve Hugh Laurie dans la peau de David Nix, maître du monde de Demain et Raffey Cassidy, dans la peau de la jeune Athena, rempli de douceur (ou presque…) et de charme ! Un casting qui vend du rêve !

En bref…

A la Poursuite de Demain est donc un film vraiment original et un véritable clin d’oeil à la science et à l’esprit d’innovation. Le film est bien plus qu’une simple adaptation et nous embarque dans l’histoire originale de TomorrowLand. Une fin qui nous laisse imaginer une infinité de suites possibles ! Place à votre imagination pour construire le monde de Demain ! Un film de science fiction ouvert à tout public et très plaisant à regarder ! Bravo !

Brad Bird nous signe ici une œuvre très spéciale. « A la poursuite de demain » a du bon, et même du très bon si tant est que l’on se donne la peine de se mettre dans l’état d’esprit du film : il est impératif de laisser de côté toute la logique scientifique pour laisser place à l’imagination. spoiler: C’est d’ailleurs ce que le film annonce dès le début la scène où Frank plonge littéralement dans les tréfonds du royaume Disney pour apparaitre dans un lieu incroyable semble être un message évident d’invitation dans un univers magique qu’il faut voir avec les yeux d’un enfant.
On se rend très vite compte que Brad puisse une forte inspiration de la série vidéo ludique « Bioshock », à tel point que le film aurait pu s’appeler « Bioshock 4 ». spoiler: L’apparition d’une ville futuriste dont personne n’a entendu parler, le style steampunk que l’on retrouve dans la fusée de la Tour Eiffel, la jeune recruteuse qui fait étrangement pensé à Elizabeth Comstock, les capsules diverses qui mènent à la ville, l’histoire qui tourne autour d’un futur apocalyptique qu’il faut empêcher, etc….
Les personnages sont relativement bien mis en place (en particulier toute l’introduction qui présente la personnalité de Casey), l’univers de Tomorrowland est une machine à rêve et l’originalité est au rendez-vous : les scènes plus originales les unes que les autres s’enchaînent avec de nombreux détails amusants spoiler: - tel que Star Wars (un clin d’œil à l’épisode 7 produit par Disney qui sortira en fin d’année ?) ou encore le sourire Colgate et désarmant des robots tueurs qui contraste avec leurs rôles -
qui empêchent que le film ne soit prévisible. Brad Bird assume ces choix jusqu’au bout et ose aller très loin en repoussant sans cesse les limites spoiler: (la scène de la Tour Eiffel est le point faible du film selon de nombreuses personnes mais je vois plutôt ça comme la marque du délire ultime, un toupet plutôt appréciable quand l’on voit le nombre de réalisateur qui n’osent plus aller au bout de leurs idées).
Cependant, le film souffre tout de même de quelques problèmes qui peuvent gâcher un tantinet le visionnage : tout d’abord il semble vouloir s’adresser à la fois aux enfants et aux adultes, ce qui lui confère un style un peu spécial. On peut estimer que cela donne un côté bancal à l’histoire qui passe de plaisanteries enfantines à sujets de préoccupation actuels (écologie, réchauffement climatique, guerre, etc…), mais on peut aussi le prendre comme faisant partit du charme du film, tout dépend des points de vues. Les placements de produits quant à eux sont assez grossiers : il est dommage de voir l’industrie du cinéma de plus en plus parasité par ce genre de publicité intensive. Pour finir, la fin semble un peu brouillonne. spoiler: Le film nous tient en haleine tout au long de l’histoire sur ce lieu mystérieux et quand ils y arrivent tout va très vite : le « méchant » (car il y a toujours un grand méchant dans Disney) apparaît enfin pour se faire tuer quelques scènes plus tard, des robots débarquent, des gens se battent, tout explose et POUF, la terre est sauvé. Un peu décevant de la part d’un film plein d’idées comme celui-là.
Mais ces quelques défauts n’empêcheront pas à ce film haut en couleur d’avoir une très forte personnalité, ce qui fait qu’il reste en mémoire. Un bon point pour Brad Bird qui nous prouve qu’il est encore plein de bonnes idées!

Une petite étoile pour la mignonne Athena, mais tout le reste est soporifique : des longueurs, des inepties auxquelles évidemment on s'attend compte tenu du thème, mais quand même pas aussi grossière qu' spoiler: une base de lancement et une fusée cachées dans la tour Eiffel
et puis malaise palpable concernant la petite histoire d'amour entre les deux enfants spoiler: dont l'un est devenu un cinquantenaire qui n'a visiblement pas oublié ses sentiments à l'égard de la demoiselle,
c'est archi bizarre. L'héroine n'est pas attachante et même la morale qui se veut pleine d'espoir n'est pas mise en valeur puisqu'elle n'apparait que dans les 2 dernières minutes. Trop de défauts pour que je les énumère, à éviter !

Genial !!!
Je savais pas trop si je voulais aller voir ce film car une bande annonce me donnait très envie et une autre pas du tout !! Et au final magnifique suprise !!! L'esprit du film est super, la morale géniale et très optimiste. On a vraiment besoin de message de ce genre en ce moment. J'espère qu'un MAX de gens le voient ça pourrait peut-être changer beaucoup de choses !...

Une vraie série B pour enfants. Un mix entre Terminator, Men in Black.. Je me suis fait avoir par la présence de Clooney mais franchement c'est nul, le scénario est 0 et il met 3 plombes à se mettre en place. Il aurait fait 1h30 ok mais là plus de 2h c'est non

Fan de Disney, c'est le film de l'année à voir! Oublié les Avengers etc.
Ce film tourné à la manière de Marvel, nous plonge dans le Disney des années 50 au Disney Futur.
En passant de l'ouverture de "It's a small World" l'attraction phare de Disney à la vision du Space Mountain US dans le futur de Tomorrowland, vous y verrez certaines références du parc Disney et de son créateur. C'est le Premier film basé sur un Quartier du parc à thème de Disney.
Mêlant l'aventure au suspens, en passant par la joie et les larmes, ce film à tout pour plaire aux petits comme aux grands Imagineers que nous sommes.
Un film pleins d'espoirs pour un monde qui se détruit de jours en jours, aussi bien dans la réalité que dans la fiction.
J'espère qu'il y aura une suite.
Seul hic pour certains Geeks que nous sommes, la vente du Pins Officiel de ce film ne se fait qu'en Amérique pour le moment à 9$.