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    Gueules noires
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    2,6
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    RedArrow
    RedArrow

    1 548 abonnés 1 501 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 7 décembre 2023
    Après "Acide", "Le Règne Animal" et en parallèle de "Vincent Doit Mourir", voilà que le cinéma de genre français, très en forme ces derniers temps, s'attaque au survival horrifique en huis-clos par l'intermédiaire de "Gueules Noires", troisième long-métrage de Matthieu Turi dont on attend toujours qu'il confirme le potentiel entrevu dans "Hostile" et "Méandres" pour s'imposer comme un nom hexagonal incontournable en son domaine de prédilection. Et, comme on a un petit faible pour les bonnes vieilles séries B (au sens noble) voyant un groupe d'individus se confronter à une chose carnassière en milieu hostile, inutile de dire que l'on ne s'est pas fait prier pour rejoindre cette équipe de mineurs du nord de la France, chargée en 1956 d'escorter un scientifique pour qu'il effectue des relevés en sous-sol. Au cours de leur escapade, ils vont évidemment tomber sur un lieu oublié qui va leur poser quelques menus soucis..

    Difficile de nier que Matthieu Turi n'est pas un bon artisan pour nous enfermer en compagnie de ses personnages dans les intestins des profondeurs minières, le tout via un croisement inédit et plutôt réussi du traitement voulu réaliste des conditions de ce labeur éprouvant et une lutte à mort face à la chose improbable qui va s'y réveiller.
    Ainsi, lors de sa première partie prenant le temps d'installer un contexte crédible autour de son groupe de mineurs envoyés en mission spéciale pour quelques deniers supplémentaires, "Gueules Noires" met par exemple en lumière ce qui les différencie superficiellement entre eux dans le monde de la surface (leurs origines, leurs aspects physiques, etc) avant, une fois sous terre, de les renvoyer à leurs simples statuts d'hommes, pétris de défaillances universelles et susceptibles d'enrayer la force collective qui leur permettrait de résister face à l'adversité (celle qui ressort d'un superbe prologue souligné par les chœurs de leurs prédécesseurs).
    Outre la belle ambiance claustro qui va déteindre au-delà de l'écran sitôt les protagonistes entrés dans les profondeurs, le film va peu à peu faire affluer ses vapeurs d'horreur/fantastique dans l'atmosphère déjà anxiogène de ses galeries et franchir assez vite le pas de les matérialiser sous la forme de son antagoniste au design réussi (emprunté au sculpteur japonais Yoneyama Keisuke) et aux FX d'antan convaincants pour lui donner plus de chair à l'écran. Sur cet aspect, Matthieu Turi tirera toujours le meilleur des apparitions de cette "chose", faisant monter en gamme ses manifestations par un éventail de séquences pensées pour la mettre en valeur, notamment lors d'une excellente phase de... disons... "traduction".

    Pour le reste, ces "Gueules Noires" suintent bien sûr tout l'amour de leur auteur pour les archétypes propres à ce type d'intrigue mais, malheureusement, à l'excès, empêtrant le déroulement global du film dans un lot de péripéties déjà vues et ne pouvant donc offrir qu'un nombre très restreint de surprises capables de briser la routine du genre pour peu que l'on soit un minimum familier de ces codes. Évidemment, on sent que le background autour de la menace a été pensé comme le grand cachet original qui pourrait faire la différence de l'entreprise -et il faut bien reconnaître que l'appel à cette (belle) référence est assez inédite dans une production frenchie- mais le film de Matthieu Turi vient après de trop de nombreux autres qui y ont fait opportunément appel pour se donner une contenance grâce au bénéfice de l'aura du lore utilisé (on pense par exemple à un certain film "sous-marin" de 2020) et, même si une forme de sincérité se fait ici plus nettement sentir dans la façon de l'exploiter, l'effet de surprise escompté peine à porter ses fruits et ne permet pas de supplanter le classicisme général et les personnages très stéréotypés (parfois sauvés par la conviction de leurs interprètes, mention spéciale à Samuel Le Bihan) dans lequel s'enterre trop souvent "Gueules Noires".

    Faites d'un respect que l'on sent immense à l'égard de ses modèles, les fondations de cette mine sont solides et le talent de celui qui nous y sert de guide est indéniable mais le recours à une mythologie connue et toujours fascinante ne suffit pas à créer le sentiment d'avoir découvert une réelle nouvelle pépite en sa catégorie. Le gisement de qualités est bien là mais peut-être aurait-il fallu creuser encore plus profond pour en tirer le meilleur ?
    Naughty Dog
    Naughty Dog

    819 abonnés 392 critiques Suivre son activité

    1,5
    Publiée le 12 mars 2024
    Très grosse déception que Gueules Noires (un peu comme les précédents films de Mathieu Turi).
    Pourtant cela commence très bien, lorgnant entre The Descent et la Momie mais dans un cadre typiquement français : des mineurs du Nord de la France descendent à plus de 200m de profondeur et découvrent un tombeau abritant une dangereuse créature.

    Et Turi pose très bien son cadre (flash-back intriguant en 1856), son setting (des galeries plongées dans le noir) et ses personnages (une bande de mineurs d'origines ethniques variées) pour progressivement nous tenir via une mise en scène carrée et un certain sens du suspense lié à l'anticipation de la menace.
    Puis patatra dès que le monstre survient le tout s'effondre : créature animatronique en carton-pâte (le pire c'est que contrairement à Alien le réal n'use jamais de la suggestion ou de la dissimulation, préférant tout montrer et annihiler la tension ou l'horreur), réaction stéréotypée des persos, morts à la chaine sans aucun poids émotionnel, incohérences (rappelez-vous qu'on est censé être à plus de 200m lors du climax), raccourcis et même un final expédié (c'était bien la peine de passer autant de temps sur l'introduction au Maroc tiens).

    Bref un vrai manque de tenue et de rigueur, malgré une 1e moitié de film plutôt réussie : c'est pas terrible
    🎬 RENGER 📼
    🎬 RENGER 📼

    6 278 abonnés 7 255 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 23 novembre 2023
    En 1956 dans le nord de la France, des mineurs dans une mine de charbon se voient obligés de conduire à 1km sous terre un professeur pour y faire des prélèvements. Ils vont y découvrir une mystérieuse crypte renfermant un étrange sarcophage et y réveiller une entité assoiffée de sang…

    Mathieu Turi continue sur sa lancée, après Hostile (2018) & Méandre (2021), c’est un énième film qui aborde le thème de la claustration dans un milieu hostile. Malgré de bonnes idées, je n’ai pas réussi à un seul moment à être happé au coeur de l’histoire, je n’ai ressenti aucune tension, voire même de frayeur. Le film oscille maladroitement entre Alien (1979) & The Descent (2005), sauf que l’on y croit jamais. La mine de charbon qui laisse place à une mine de calcaire (bien trop proprette) et qui ressemble davantage à des catacombes qu’autre chose, des dialogues écrits à la truelle, sans parler de la pléiade de protagonistes tous plus caricaturaux les uns que les autres (le gros rigolo, le jeune raciste, le chef de groupe, le professeur impétueux, …). Ajouter à cela que l’ensemble des interprétations sont à côté de la plaque, ne permettant pas de s’identifier ou de transmettre une quelconque émotion (Jean-Hugues Anglade est particulièrement mauvais et Samuel Le Bihan nous fait du… Samuel Le Bihan, sans âme).

    Pourtant, j’ai voulu y croire à cet hommage à Lovecraft dans un univers à la Germinal, sauf que rien ne fonctionne et ça ronronne gentiment jusqu’au clap de fin. Même l’entité monstrueuse (assez réussie visuellement) peine à convaincre (il aurait été préférable de ne pas autant la montrer (sa mobilité fait sourire), privilégier sa présence dans la pénombre ou hors champ, spoiler: plutôt que de nous montrer un monstre à 6 bras dont seulement 2 sont fonctionnels
    ).

    Quid de la claustrophobie ? Là aussi, à aucun moment on ne la ressentira, l'intérieur de la mine de charbon est crédible, mais celle de calcaire laissée à l’abandon depuis des siècles manque cruellement de crédibilité (pour avoir déjà visité diverses mines et catacombes, le résultat n’y est pas en termes de sensation, c’est bien trop propre). Tous les protagonistes retrouvent aisément leur chemin au sein de la mine de calcaire spoiler: (alors qu’ils la découvrent tous), mais le pire, c’est qu’ils parviennent avec une facilité déconcertante à décrypter les messages sur les parois (le livre du professeur n’excuse pas tout).


    Entre les interprétations décevantes, les dialogues bâclés et l’absence totale d’oppression ou de frayeur, c’est un encéphalogramme plat sans discontinuer, dommage car la première partie s’avérait assez correcte.

    ● http://bit.ly/CinephileNostalGeek ● http://twitter.com/B_Renger ●
    Culturevsnews
    Culturevsnews

    61 abonnés 199 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 10 octobre 2023
    "Gueules noires", le dernier film de Mathieu Turi, est une œuvre cinématographique qui plonge les spectateurs dans les profondeurs obscures d'une mine de charbon dans le nord de la France en 1956. Dès les premières images, le réalisateur parvient à nous immerger dans une atmosphère étouffante et oppressante, préparant habilement le terrain pour une expérience cinématographique captivante.

    La première chose qui saute aux yeux dans "Gueules noires" est la qualité de sa composition musicale, réalisée par Olivier Derivière. La musique joue un rôle crucial dans la création de l'ambiance du film, et ici, elle excelle à maintenir une tension constante tout au long de l'histoire. Les notes discordantes et les crescendos musicaux intensifient la terreur ressentie par les personnages, tout en renforçant l'angoisse qui règne dans les profondeurs de la mine. Olivier Derivière réussit à capturer l'essence même de l'horreur, contribuant grandement à l'impact émotionnel du film.

    Le casting est également à saluer, avec des acteurs de renom tels que Samuel Le Bihan, Amir El Kacem, et Jean-Hugues Anglade. Leur jeu d'acteur est impeccable, ajoutant une profondeur et une authenticité aux personnages qu'ils incarnent. Samuel Le Bihan, en particulier, incarne de manière convaincante le chef des mineurs, confronté à des choix moraux impossibles alors que la situation devient de plus en plus désespérée. Les interactions entre les personnages sont crédibles, ce qui ajoute une dimension humaine à l'horreur qui se déroule sous terre.

    L'un des aspects les plus remarquables de "Gueules noires" est la qualité de ses décors. Les scènes dans la mine sont incroyablement bien réalisées, transportant le spectateur dans un monde obscur et claustrophobique. Les détails des tunnels, des galeries, et de la crypte découverts par les mineurs sont saisissants, renforçant l'authenticité de l'environnement et accentuant la tension narrative. Les décors contribuent de manière significative à l'immersion du public dans l'histoire.

    Le réalisateur Mathieu Turi exploite également habilement le folklore local pour créer une atmosphère unique et effrayante. Il mélange avec succès les éléments des légendes régionales avec l'horreur surnaturelle, créant ainsi une ambiance mémorable et terrifiante. Les effets spéciaux et la conception de la créature sont bien réalisés, ajoutant au sentiment d'horreur et de mystère qui enveloppe l'intrigue.

    "Gueules noires" est un film d'horreur français qui réussit à captiver son public grâce à une histoire captivante, des performances d'acteurs exceptionnelles, une composition musicale impressionnante par Olivier Derivière, et des décors somptueux. Mathieu Turi parvient à fusionner habilement l'horreur et le folklore local, créant une expérience cinématographique terrifiante et unique. Pour les amateurs de films d'horreur qui apprécient une immersion totale dans l'angoisse, "Gueules noires" est un choix incontournable. Ce film est une preuve du talent du réalisateur et de l'équipe créative qui a contribué à sa réalisation, et il mérite sans aucun doute d'être découvert par un large public.
    kyu f
    kyu f

    79 abonnés 435 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 17 novembre 2023
    que dire de gueule noires, à part que sa déchire. après le très bon meandre Mathieu turi nous offre un nouveau petit bijoux de genre français créatif, unique, ingénieux et anxiogènes. les acteurs sont tous excellent et tout leur potentiel sont parfaitement utilisée, c'est remplie de bonnes idées, la manière dont est gérée la lumière est fabuleux, les scènes horrifique marchent à merveille, l'histoire est extrêmement prenante on ne voit pas la temps passer du tout. un monstre vraiment cool à regarder, même si tout comme meandre, le film a une fin qui laisse un léger goût amer, c'est un super film d'horreur en huis clos. il avait tout pour foirer, mais au final il remplie tout les cases d'un bon film de genre français avec succès. c'est une superbe expérience salles, et un des meilleurs film d'horreur de l'année.
    capirex
    capirex

    72 abonnés 156 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 17 novembre 2023
    Très bon film de Mathieu Turi qui entretient un réalisme Social poignant et qui bénéficie d'un suspense fascinant avec ce côté mystique le tout bien mené par d’excellents acteurs !
    Le seul gros point noir c'est la conception de la créature qui est assez risible mais de mon avis ça n'enlève rien à la qualité du film !
    Cinememories
    Cinememories

    444 abonnés 1 434 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 15 novembre 2023
    "Le huis clos est un exercice qui consomme beaucoup d’oxygène, du fait de l’espace réduit et d’une tension qui va crescendo. Mathieu Turi connait son affaire grâce à ses précédentes expériences. Si elles ne sont pas toujours concluantes, elles révèlent néanmoins une capacité à mélanger les genres. Gueules noires ne fait pas exception et nous invite à entrer dans un labyrinthe de calcaire horrifique, pour le meilleur et pour le pire."

    "Direction le Nord-Pas-de-Calais, précisément sur le site minier d’Arenberg Creative Mine à Wallers et au musée de la mine de Bruay-la-Buissière. Ce dernier lieu a également été fréquenté par Claude Berri lorsqu’il a mis en scène Germinal. Étant donné que l’univers prend place aux côtés des mineurs des années 50, autant jouer le jeu à fond et la première partie est résolument une bonne reconstitution de leur environnement souterrain. Surnommés les « gueules noires » après avoir été marqués au charbon à chaque remontée, les mineurs sont finalement peu représentés au cinéma, hormis dans des films catastrophes notoires comme Les 33 de Patricia Riggen et dans des westerns, où les protagonistes se lancent dans une ruée vers l’or."

    "Et pour cause, une influence lovecraftienne traverse le récit, ce qui ne peut que décupler nos attentes autour de cette expédition. Malheureusement, les sensations espérées ne sont pas au rendez-vous. Après quelques amuse-bouches bien senties au moment de la révélation de la menace, la caméra de Turi ne parvient que très rarement à exploiter le hors-champ. Et c’est d’autant plus frustrant quand on identifie des références à Alien, le huitième passager et Predator. On finit par perdre de vue l’empathie envers le vilain petit canard de la bande, Amir, fraîchement débarqué du Maroc. Il est un gringalet que l’on a envie de suivre jusqu’au bout, car il est bien le seul à respirer l’humanité, même dans les moments de crise. Les autres membres du groupe ont une fonction archétypale, tout au plus. Pas de quoi voler la vedette aux intrépides spéléologues de The Descent."

    "Quand bien même Mathieu Turi ne montre pas son meilleur jour avec Gueules noires, il démontre encore une fois sa rigueur pour créer un environnement unique. Manque encore une véritable profondeur horrifique à son cinéma, plutôt qu’un effroi de surface."

    Retrouvez ma critique complète sur Le Mag du Ciné.
    sunshine1
    sunshine1

    85 abonnés 429 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 15 novembre 2023
    Mon dieu , le film perd toute crédibilité avec ce monstre ridicule en costume carton-pâte qui reste immobile tout le long du film telle une marionnette sans vie ... Dommage car une réalisation plutôt propre avec un décor bien soigné.... Bref encore un film d'horreur français qui sera extrêmement oublié.
    Matt Cordell
    Matt Cordell

    1 abonné 10 critiques Suivre son activité

    0,5
    Publiée le 8 janvier 2024
    Les comédiens jouent mal ou son mal dirigés, la réalisation est molle, la zic est horrible, et la créature... mais LOL, on manque presque de voir les fils de pêche qui la font bouger. Elle est moche et ridiculement animée. En vrai, une main dans une chaussette aurait eu plus d'impact.
    traversay1
    traversay1

    3 151 abonnés 4 637 critiques Suivre son activité

    2,5
    Publiée le 12 novembre 2023
    spoiler: "C'est un film qui débute comme Germinal et se termine comme Alien" : la sentence est émise par Eric Miot, délégué général de l'Arras Film Festival, lors duquel Gueules noires a été présenté devant une salle de 900 personnes.
    L'histoire se déroule au milieu des années 50, dans le bassin minier du Nord, et rend dans sa première partie un bel hommage aux travailleurs du charbon, rehaussé par le tournage en décor naturel. Mais c'est d'un film de genre qu'il s'agit, ce dont on ne se plaindra pas, eu égard à l'appétence nouvelle des réalisateurs français en la matière, et le détournement de mineurs ne tarde pas à se manifester, nous confirmant que sous terre, personne ne vous entend crier. A partir de là, les avis risquent de diverger quant au traitement de l'horreur par Mathieu Turi, scénariste et réalisateur, qui ne lésine pas sur les scènes gore mais dont le film pêche notamment par une interprétation fort inégale. Même constat avec des dialogues assez surréalistes parfois, y compris avec un humour qui semble assez peu cohérent avec ce que vivent les protagonistes. Sans compter son aspect mythique, abordé parfois de manière scolaire, qui est loin d'être convaincant et qui peut même paraître grotesque. L'intention est louable mais il n'est pas certain que le film connaisse le même succès que Les Corons de Pierre Bachelet.
    Alice025
    Alice025

    1 532 abonnés 1 310 critiques Suivre son activité

    3,5
    Publiée le 24 novembre 2023
    Pour un film français, on peut dire qu'il s'en sort plutôt bien ! Huit-clos à moitié fantastique et horrifique, « Gueules noires » nous plonge dans l'univers de mineurs coincés dans des galeries à mille mètres sous terre avec une entité malfaisante. La tension est présente et l'anxiété se fait ressentir, avec une sensation de claustrophobie. La créature est plutôt bien faite mais ses mouvements sont assez limités, ce qui est dommage. Cela n'empêche pas cependant de plonger dans l'histoire avec plaisir et stress, une bonne surprise.

    http://cinephile-critique.over-blog.com
    mem94mem
    mem94mem

    95 abonnés 557 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 18 novembre 2023
    Grosse surprise. Mathieu Turi nous concocte un thriller mâtiné de réalisme social drôlement bien fichu. Direction d'acteurs au poil, faible lumière omniprésente, ambiance garanti dans laquelle je me suis noyé sans aucune résistance, grâce à un bon scénario Je n'ai pas vu le temps passer. Coup de coeur.
    Guigui Paul
    Guigui Paul

    2 abonnés 41 critiques Suivre son activité

    1,0
    Publiée le 17 novembre 2023
    Un film typique d'un certain cinéma "de genre" à la française, plein de bonnes intentions au départ mais à l'écran tiré vers le bas par une réalisation approximative, une écriture indigente et une direction d'acteurs maladroite. Il reste quelques rares effets sanglants mais ça ne suffit pas à compenser l'ineptie du scénario et le manque d'atmosphère, de tension et de rythme. Mieux vaut revoir "Alien", "Predator", "La forteresse noire" et "Meurtres à la saint Valentin"!
    Sébastien D.
    Sébastien D.

    8 abonnés 63 critiques Suivre son activité

    4,0
    Publiée le 20 novembre 2023
    Quelle belle surprise, heureusement il ne s'agit pas d'un énième film sur la lutte des classes et ce n'est pas non plus une reconstitution du travail des mineurs...déjà vu tellement de fois.
    L'idée bien que surprenante retient l'attention sur tout le film, pas de temps mort.
    L'équipe est à sa place, les personnages attachants et où détestables...beau jeu de lumières...
    Vraiment une très belle surprise.
    HuGhost
    HuGhost

    4 abonnés 12 critiques Suivre son activité

    5,0
    Publiée le 12 novembre 2023
    Ce film est incroyable, j'ai eu la grande chance d'aller le voir en Avant Première lors de l'Arras Film Festival le 12 Novembre 2023 avec la présence de l'équipe du film et le réalisateur. L'equipe est super sympa. Le film est tourné dans de vrais lieux dans ke nord de la France et dès le début, on plonge directement dans l'ambiance de la mine et dans la vie d'un mineur. Bravo
    Les meilleurs films de tous les temps
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