Il existe des histoires qui font réfléchir certains téléspectateurs. Celle unissant Théo et Magali, beau-fils et belle-mère à l'état civil, a ému les plus sensibles d'entre eux dans Y'a que la vérité qui compte, ce jeudi 11 avril. Comme depuis leur retour sur C8, Laurent Fontaine et Pascal Bataille ont été les témoins privilégiés de nouveaux moments poignants, entre retrouvailles, demandes et donc cet hommage d'un jeune homme à celle qui l'a élevé comme son propre enfant.
Théo reconnaissant envers sa belle-mère
Prenant son courage à deux mains, et bravant sa timidité, ce garçon de 18 ans a effectué une "jolie démarche", selon les mots de Laurent Fontaine, pour faire savoir à sa belle-mère que sa vie avait changé lorsqu'elle a rencontré son cher papa. "Mes parents se sont séparés très tôt, j'avais quatre ans, et c'est elle qui m'a éduqué. Tout de suite, elle a vu que j'avais très mal vécu cette rupture et elle a toujours été là pour moi", a confié Théo, très reconnaissant. D'autant que la naissance d'un autre bambin n'a en rien entravé leur relation, et qu'elle a continué à le choyer, malgré son mal-être dû à son enfance difficile.
Magali a-t-elle décidé d'ouvrir le rideau ?
C'est donc pour remercier son ange gardien que le jeune homme introverti l'a convoquée devant le rideau de Y'a que la vérité qui compte. Et la concernée était loin de se douter de l'identité de son hôte, imaginant plutôt une femme derrière le voile. Lorsque le visage de Théo s'est affiché sur l'écran, Magali a eu du mal à contenir son émotion, lâchant même quelques larmes. Elle l'a alors écouté lui rendre un vibrant hommage. "Si je suis venu, c'est pour te remercier pour tout ce que tu as fait pour moi. Tu m'as ouvert ton coeur, tu m'as aidé à aller mieux. Aujourd'hui, je serais rien sans toi", lui a déclaré l'étudiant.
Le rideau s'est donc logiquement ouvert sur une étreinte poignante entre ces deux personnes qui ne partagent peut-être pas les liens du sang, mais ceux d'une famille aimante. Un bel exemple à suivre noté par les téléspectateurs, attendris par cette "histoire toute simple mais jamais évidente".
